Futur président de la transition : « Militaire ou civil, nous voulons quelqu’un qui suivra la voie tracée par le peuple »
5 octobre 2022, 19:08, par
Yako
Pour ma part, les assises nationales et compagnies ne résolvent rien si ce n’est ajouter du désordre aux désordres car l’heure est grave et le pays doit penser deux fois avant de s’ouvrir à une transition civilo-militaire handicapant pour l’action gouvernementale qui vise essentiellement à reconquérir les territoires" perdus" D’où la nécessité d’avancer avec un cabinet militaire homogène jusqu’aux élections 2024. En effet, à la suite de l’insurrection 2014 l’expérience du couple Kafando/Zida n’a pas été positive ni pour les Burkinabe ni pour les institutions car les mêmes faucons jadis animateurs de la vie politique nationale sont toujours en activité.Ce conglomérat de partis politiques et OSC protagonistes/antagonistes de 2014/2015/2022 sont un problème pour notre pays. Ceci dit ceux qui ont échoué dans un passé récent ne peuvent pas être une solution. Ils passeront les deux années qui nous séparent des élections dans des complots en vue des échéances de 2024,voire contre la transition elle-même !
Conclusion : il faut maintenir l’état d’exception qui se justifie par la dégradation aiguë de la situation nationale et le pays réel le comprendra aisément. Yako
Pour ma part, les assises nationales et compagnies ne résolvent rien si ce n’est ajouter du désordre aux désordres car l’heure est grave et le pays doit penser deux fois avant de s’ouvrir à une transition civilo-militaire handicapant pour l’action gouvernementale qui vise essentiellement à reconquérir les territoires" perdus" D’où la nécessité d’avancer avec un cabinet militaire homogène jusqu’aux élections 2024. En effet, à la suite de l’insurrection 2014 l’expérience du couple Kafando/Zida n’a pas été positive ni pour les Burkinabe ni pour les institutions car les mêmes faucons jadis animateurs de la vie politique nationale sont toujours en activité.Ce conglomérat de partis politiques et OSC protagonistes/antagonistes de 2014/2015/2022 sont un problème pour notre pays. Ceci dit ceux qui ont échoué dans un passé récent ne peuvent pas être une solution. Ils passeront les deux années qui nous séparent des élections dans des complots en vue des échéances de 2024,voire contre la transition elle-même !
Conclusion : il faut maintenir l’état d’exception qui se justifie par la dégradation aiguë de la situation nationale et le pays réel le comprendra aisément. Yako