Le Burkina est victime de ses hommes forts, ils sont applaudis tant que la victime n’est pas un parent proche, jusqu’au jour où ils sont réduits à néant. Sankara, Compaoré, Diendéré, Damiba, et j’en oublie. Qui peut les critiquer sans risquer la persécution.
Mais on ne tire pas de leçon
Le Burkina est victime de ses hommes forts, ils sont applaudis tant que la victime n’est pas un parent proche, jusqu’au jour où ils sont réduits à néant. Sankara, Compaoré, Diendéré, Damiba, et j’en oublie. Qui peut les critiquer sans risquer la persécution.
Mais on ne tire pas de leçon