Burkina : La lutte contre l’insécurité est grandement handicapée par nos mauvais comportements, selon la FAIB

Êtes-vous vraiment affectés dans votre foi à Allah ? Si vous êtes de vrais croyants et que les actes terroristes vous offensent vraiment vous devez faire mieux avec des cris forts et des interdits de prêches méchantes dans les mosquées. L’islam au Faso n’existe pas ; il n’y a que de commerçants, de mendiants et de malfaiteurs qui s’habillent musulmans sans aucune culture religieuse. La conversion est facile ; et notre masse d’illettrés de lettrés analphabètes y trouve son compte. La FAIB parle molo-molo ici pour fuir ses responsabilités et profiter de toute situation. Et on verra que si les terroristes gagnaient avec leur islam au Faso, cette FAIB pourrait s’y allier et célébrer Mohamet. Et si les terroristes perdent à l’évidence, cette FAIB se réjouirait d’y avoir mis la main. Bel opportunisme ! Au FASO notre premier défaut, c’est la fuite de responsabilité. Pourtant il faut que les personnes coupables ou complices ou participantes aux jeux terroristes se confessent ouvertement et prennent des engagements à conscientiser les gens bornées, à interdire les mauvais comportements, à revenir à l’ordre de vie normale. Malgré l’absence de preuves convaincantes, le pape est descendu récemment en Amérique du nord pour se confesser, reconnaître les torts de l’église, et demander pardon aux autochtones qui se disent violentés par des prêtres il y a plus de 300 ans. C’est juste une preuve de responsabilité. Nous ne réclamons aucune religion. Mais nous voulons l’ouverture d’esprit, l’honnêteté et l’imputabilité. Acceptons la charge. Au Faso, tout le monde ne sera jamais musulman comme au Qatar. Car les gens éveillés poursuivront leurs études sans liturgie et la gestion du pays restera intellectuelle ; pas religieuse.