Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Affaire Thomas Sankara : « Ce sont les gens que nous vilipendions qui nous sont venus en aide, faisons donc attention … », signe Mousbila Sankara au sujet du pardon de Blaise Compaoré
9 août 2022, 11:54, par
Yako
@HUG,on ne demande pas pardon aux morts c’est aux vivants ni le président Thomas Sankara ni sont défunt père ne sont plus de ce monde, ce sont les héritiers qui pardonne n’est-ce pas ? La repentance précoce ou la demande de pardon tardive ce ne sont là que des détails ça ne change rien dans le narratif.Moi Yako j’ai eu l’occasion de connaître l’ambassadeur Mousbila quand il était aux affaires Croyez-moi c’est un homme droit le raccourcis (bien-être matériel)ne l’a jamais intéressé sinon il aurait pu bénéficier de certaines choses après les événements de 1987 contrairement à d’autres qui aujourd’hui profitent de l’ignorance de la jeunesse de cette époque pour se recycler dans le sankarisme intransigeant pourtant ils n’ont pas toujours été ainsi !Et si l’ambassadeur Mousbila parle sous ce ton c’est parce qu’il est convaincu qu’il faut avancer dans le sens de l’apaisement conformément à notre culture d’autant plus que les Burkinabe ont du mal à comprendre ce refus de pardon venant de Mariam et l’aile maximaliste de la famille Sankara. Yako
@HUG,on ne demande pas pardon aux morts c’est aux vivants ni le président Thomas Sankara ni sont défunt père ne sont plus de ce monde, ce sont les héritiers qui pardonne n’est-ce pas ? La repentance précoce ou la demande de pardon tardive ce ne sont là que des détails ça ne change rien dans le narratif.Moi Yako j’ai eu l’occasion de connaître l’ambassadeur Mousbila quand il était aux affaires Croyez-moi c’est un homme droit le raccourcis (bien-être matériel)ne l’a jamais intéressé sinon il aurait pu bénéficier de certaines choses après les événements de 1987 contrairement à d’autres qui aujourd’hui profitent de l’ignorance de la jeunesse de cette époque pour se recycler dans le sankarisme intransigeant pourtant ils n’ont pas toujours été ainsi !Et si l’ambassadeur Mousbila parle sous ce ton c’est parce qu’il est convaincu qu’il faut avancer dans le sens de l’apaisement conformément à notre culture d’autant plus que les Burkinabe ont du mal à comprendre ce refus de pardon venant de Mariam et l’aile maximaliste de la famille Sankara. Yako