Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Demande de pardon de Blaise Compaoré : « Cet acte constitue une démonstration de la volonté de son auteur, pour faciliter le processus de la réconciliation nationale », selon Ablassé Ouédraogo
27 juillet 2022, 16:47, par
Swartskoff
@windinmi, votre réconciliation ne grandi que koissy. Comme vous le reconnaissez SANKARA est Grand ici et Grand à l’International. Papa et Maman SANKARA aimaient les deux d’un même amour, l’un Compaoré ou Caëin pour venir même manger Seul sans risque d’empoisonnement chez les SANAKRA jusqu’au crime du 15 octobre. Quoique rongés par la douleur papa et maman ont attendu en vain son retour en famille. Les deux rejoindront le premier dans l’au-delà sans voir le second fils. Vous rappelez-vous qu’elle sépulture a-t-il été concoctée pour un Président du Faso ? Même votre chien à vous serait mieux loti. Cette demande de pardon ne respecte pas les codes de la tradition africaine, ne respecte pas l’environnement (temps et espace) de la culture du droit moderne.
laissez les faso autrement retrouver leur bênga préféré, faire leurs habituels appels du pied pour des postes.
@windinmi, votre réconciliation ne grandi que koissy. Comme vous le reconnaissez SANKARA est Grand ici et Grand à l’International. Papa et Maman SANKARA aimaient les deux d’un même amour, l’un Compaoré ou Caëin pour venir même manger Seul sans risque d’empoisonnement chez les SANAKRA jusqu’au crime du 15 octobre. Quoique rongés par la douleur papa et maman ont attendu en vain son retour en famille. Les deux rejoindront le premier dans l’au-delà sans voir le second fils. Vous rappelez-vous qu’elle sépulture a-t-il été concoctée pour un Président du Faso ? Même votre chien à vous serait mieux loti. Cette demande de pardon ne respecte pas les codes de la tradition africaine, ne respecte pas l’environnement (temps et espace) de la culture du droit moderne.
laissez les faso autrement retrouver leur bênga préféré, faire leurs habituels appels du pied pour des postes.