Mais à Bourzanga, qui apparait comme notre meilleure victoire contre le terrorisme sur ces dernières années, l’armée française est clairement intervenue et il semble que la présence de deux mirages 2000 ait été suffisamment dissuasive pour mettre les terroristes en déroute.
La question qui se pose donc est de savoir pourquoi nos dirigeants ne leur demandent pas plus souvent de salvateurs coups de main.
D’autant que notre illégitime gouvernement de putschiste étant réputé éphémère, les diverses alliances qu’il pourrait conclure le seraient tout autant et n’engageraient en rien un futur gouvernement que l’on peut espérer démocratiquement élu.
Alors, pourquoi ne demande-t-on pas plus souvent l’aide de la France ?
Pour la rancœur qui nous habite encore de siècles d’esclavage et de colonisation ? Pour la néo-colonisation économique qui par l’importance de son emprise est un frein important à notre développement ? Pour ne pas se fâcher avec tous les pseudo-panafricanistes, dont certains ne sont pas burkinabè et qui inondent de messages haineux les réseaux sociaux ?
Dans notre univers capitalistique mondialisé, états, entreprises, comme particuliers n’ont que des intérêts.
Le problème, c’est quand la rancune, l’orgueil, la jalousie, la médisance, nous empêchent de voir où est vraiment l’urgence et où sont vraiment nos intérêts
Mais à Bourzanga, qui apparait comme notre meilleure victoire contre le terrorisme sur ces dernières années, l’armée française est clairement intervenue et il semble que la présence de deux mirages 2000 ait été suffisamment dissuasive pour mettre les terroristes en déroute.
La question qui se pose donc est de savoir pourquoi nos dirigeants ne leur demandent pas plus souvent de salvateurs coups de main.
D’autant que notre illégitime gouvernement de putschiste étant réputé éphémère, les diverses alliances qu’il pourrait conclure le seraient tout autant et n’engageraient en rien un futur gouvernement que l’on peut espérer démocratiquement élu.
Alors, pourquoi ne demande-t-on pas plus souvent l’aide de la France ?
Pour la rancœur qui nous habite encore de siècles d’esclavage et de colonisation ? Pour la néo-colonisation économique qui par l’importance de son emprise est un frein important à notre développement ? Pour ne pas se fâcher avec tous les pseudo-panafricanistes, dont certains ne sont pas burkinabè et qui inondent de messages haineux les réseaux sociaux ?
Dans notre univers capitalistique mondialisé, états, entreprises, comme particuliers n’ont que des intérêts.
Le problème, c’est quand la rancune, l’orgueil, la jalousie, la médisance, nous empêchent de voir où est vraiment l’urgence et où sont vraiment nos intérêts