Absence d’alternative politique crédible au Burkina Faso : Et si les « forces du progrès » s’engageaient résolument dans la bataille…

Bonjour Dr. Mamadou Hébié,

Félicitation pour votre effort de synthèse et l’appel que vous lancez à l’endroit de ceux et celles que vous appelez "forces du progrès".

D’entrer de jeu, je dois vous signalez que ce que vous appelez "forces du progrès" (en vous basant sur la justice et la justice sociale) n’est pas un groupe homogène. C’est un groupe extrêmement hétérogène différentiable dans le modèle économique (mots clés : besoins, biens et services, ressources, rareté, production, distribution et consommation), l’art des choix politiques (la nécessité d’effectuer des choix sur le fait que les besoins des Hommes vivant en société sont illimités et les ressources (biens et services) sont limitées), de justice (identification des anomalies dans la société et leur correction), de justice sociale (une société moins égoïste) et de l’écologie (relation entre les organismes vivants et leur environnement).

Sur cette base, j’ai une question à titre personnel à vous poser : quel est le code d’éthique et de déontologie en général de ce que vous appelez "forces du progrès" et en particulier sur le respect de la vie humaine notamment les personnes vulnérables que sont les femmes et les enfants ?

J’aimerais bien avoir votre opinion sur les libertés individuelles, le développement économique comme fondation de notre solidarité, la justice sociale, le respect de la société civile, l’attachement à la démocratie, et l’équité transgénérationnelle et intergénérationnelle.

Arzouma Hermann KABORE
Faisons le choix de la responsabilité !