Général de brigade Gilbert DIENDERE : L’homme de l’ombre
4 avril, 19:52, par
MUSUKUSUKU
Nul n’est indispensable. Même après Sankara la vie continue au Burkina. Il était aimé par beaucoup. Si ceux qui sont vomis sont loin des affaires on s’en fout. Nul n’est au dessus de la loi.
DURA LEX SED LEX.
Nul n’est indispensable. Même après Sankara la vie continue au Burkina. Il était aimé par beaucoup. Si ceux qui sont vomis sont loin des affaires on s’en fout. Nul n’est au dessus de la loi.
DURA LEX SED LEX.