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Prise et gestion du pouvoir MPSR au Burkina : Paul Henri Sandaogo Damiba apporte des éclairages

21 février 2022, 17:20, par Ka

Réactions diverses, et surtout enrichissantes : Je suis rassuré quand je lis 97% des intervenants de bonne foi comme LE VIGILAN nous dit : Est-ce qu’il ne resterait pas un deuxième coup après celui de DAMIBA parce que DAMIBA aurait pas coupé l’herbe sous les pieds de certains (les vrais traitres) qui avaient créé cette situation délétère de traitrise dans l’armée pour favoriser les villes tueries des populations et des FDS par les terroristes en vue de révolter le peuple pour expliquer leur coup d’Etat qui venait sinueusement ?

Indjaba conclu : En tout cas le peuple Burkinabè y compris la majorité des FDS le tient à l’œil à partir de deux indicateurs qu’il renseignera :

Bigbale ajoute : Dites à ce Président putschiste de ne pas nous pomper l’air à propos de l’affaire Maïga Ibrahim. Dieu a voulu que la vérité soit connue au détour d’une indigne prestation de serment de serment avec des putschistes tout aussi indignes. Et il veut nous faire croire que celui qui distillait les informations militaires sur les réseaux sociaux et que Dieu a abandonné en le laissant d’exhiber devant les caméras du monde, n’est pas membre du "RSP en Mouvement =MPRS.

jan jan le clair veillant dit : @le Vigilant, hum, façon vous connaissez tous les faits et détails, j’ai peur de vous, qui êtes-vous en réalité ??
LE SAHELIEN avec lucidité nous confirme : Oui le Vigilant on doit réfléchir beaucoup, « au Burkina Faso, vous savez bien que le président Roch Marc Christian Kaboré ne s’est pas vu reprocher la corruption, le népotisme ou quoi que ce soit… C’est la faillite, l’incapacité, l’occupation et la perte de contrôle, pratiquement, du nord et de l’est de son territoire, qui a fait que cette armée elle-même, qui était sur le front, est venue prendre le pouvoir, en prétextant de l’incapacité d’assurer la sécurité. ». Allons.

Bigbale nous dit ; Dites à ce Président putschiste de ne pas nous pomper l’air à propos de l’affaire Maïga Ibrahim. Dieu a voulu que la vérité soit connue au détour d’une indigne prestation de serment de serment avec des putschistes tout aussi indignes.

Soit : nous pose une question pertinente : C’est précisément ce que nous disons d’où Maïga tenait les informations ? Il ne lisait tout de même pas dans une boule de cristal.

Passakzir était très claire en disant : OK en tout cas difficile de tisser un lien de confiance entre RSP- M et moi depuis la honteuse contorsion faite à notre constitution et la photo d’affiche après. Seul un changement radical de la situation sécuritaire pourrait peut-être me convaincre un jour du contraire et j’espère vivre une agréable surprise. Mais j’avoue qu il est mince cet espoir.

Ka : Mr. Damiba : La confiance ne se décrète pas : Elle se mérite, on la sent, elle se manifeste, on la voit, on l’appréhende par les actions de tous les jours. Elle ne disparait pas du jour au lendemain. C’est tout un processus. Votre sincérité est tachée par la pourriture d’un activiste manipulateur. Changez de chanson et clarifier au peuple vos rapports avec celui qui a saboter un régime élu démocratiquement.

Sonni ALIBER : Personnellement je n’ai pas confiance ni le mpsr ne m’inspire pas du tout confiances /ils seront pires que les gouvernements précédent :

Wattimbo : Je ne sais pas mais le rêve que j’ai fait, me dis que Damiba n’est pas notre sauveur c’est tout le contraire , espérons que mon rêve n’est pas réel sinon la surprise n’est pas fini je vous assure, que Dieu protège mon pays de les oiseaux de mauvais augure.

Abas : On a commencé à comprendre le manège. Il semble que le LCL Damiba et Ibrahima Maïga se connaissent parfaitement et coopèrent depuis longtemps en échange d’informations stratégiques. Si c’est vraiment le cas, tôt ou tard, Damiba devra expliquer au peuple burkinabè les tenants et les aboutissants de leur deal, lui et ses hommes avec le clan de ce fameux Maïga. Là, c’est tout de même inquiétant.

C’est certain, l’annonce tardive des morts du coup d’état, Damiba vient de perdre sa crédibilité face à son peuple, et cela c’est de vouloir tourner le dos à la médiocrité. Mais quand celle-ci est érigée en système de gouvernement et en principe général de gouvernance, que peut-on réellement attendre ? Avec la génialissime argumentation avancée, la seule chose qu’on peut prévoir avec certitude, c’est que cette junte veut s’éterniser au pouvoir en complicité avec un activiste manipulateur.

Le mensonge court vite et prend l’ascenseur, mais la vérité qui va beaucoup plus lentement, et qui prend les escaliers fini toujours par rattraper et même dépasser le mensonge.

Et tant qu’on sera dans une république bananière et non dans un état de droit, où les initiatives individuelles est totalement désintéressées dans le seul but de profiter à la collectivité, seront "récupérées" par des margouillats ou instrumentalisées à des fin politiques partisanes, le pays ne pourra pas avancer. Eh oui, la vérité blesse parfois, mais il faut savoir la regarder en face plutôt que faire la stratégie de l’autruche comme ça se passe en ce moment.

Merci à toutes et tous les internautes de bonne foi, car, dénoncer les choses qui ne vont pas n’est ni une offense ni une atteinte à la sécurité nationale. Bien au contraire, c’est une aide vers la perfection (qui, quoi qu’il en soit, n’est pas de ce monde.

Avec ce qu’on découvre avec Damiba qui disait ‘’’’aucun mort,’’’’ le Burkina mérite mieux. Il mérite des courants d’idées fortes pour son développement. il mérite des acteurs neufs, qui pensent rassemblement, qui pensent paix et développement.

C’est vrais que dans notre marigot politique, tous nos politiques ont uses d’intrigues et de coups-bas pour écarter son adversaire le plus dangereux a l’accession au fauteuil présidentiel. En tant qu’un partisan de l’alternance politique de notre pays avec les jeunes, il est clair que nos anciens dirigeants ne sont plus les bienvenus à la tête du Burkina. Ils ont fait leur temps et doivent se retirer pour faire de la place. Cependant j’ai l’impression que plusieurs des intervenants sont nés en 1990 et sont ignorants de l’actualité historique du Burkina. A ce que je sache, avec ce coup d’état de sabotage, il y a d’autres qui ne veulent pas la transition pacifique et constitutionnelle.

Conclusion : Apres les mensonges de la junte, les membres du conseil constitutionnel doit revoir sa copie et remettre le président élu démocratiquement a sa place pour finir son mandat pour des élections transparentes en 2025. Un homme averti vaut deux, et je crois qu’il se débarrassera de ses mauvais conseillers, réinstauré une armée sincère et travailler avec pour éradiquer les terroristes


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