Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina Faso : Le lieutenant-colonel Paul Henri Damiba entame les concertations
26 janvier 2022, 10:30, par
ollo
La chose primordiale actuellement, en effet, c’est de s’entourer d’une équipe au fait des questions de géopolitiques, de relations internationales, de diplomatie, de droit, d’économie, de développement et de sociologie pour éviter de tomber dans l’amateurisme, le sensationnel et le populisme. Le peuple a également besoin d’une équipe qui va l’aider à faire face aux défis imminents tels que les sanctions de la communauté internationale, la sécurité alimentaire, l’approvisionnement du pays en ressources stratégiques, etc. Le président Rock a tenté de mettre en relief les questions de prospective, je crois qu’il faut poursuivre dans ce sens.
Il va falloir aussi assainir la communication et dissiper rapidement toute suspicion de parrainage d’une puissance extérieure parce que les peuples africains aspirent à une indépendance réelle. Si l’armée est mue par une volonté de changement positif et de restauration des valeurs nationales, il va falloir aussi situer rapidement les responsabilités dans les drames de Nassoumbou, Solham, Yirgou, Toéni, Inata, etc. pour ne pas donner l’impression qu’il y a un travail de dissimulation des preuves. En rappel, le rapport commandité par le président Rock n’a pas été publié.
Sur le plan sécuritaire stricto sensu, il va falloir définir urgemment une politique envers ceux qui soutiennent le terrorisme et aussi ceux qui les financent. Il y a beaucoup de bois verts envers la France et personne ne pipe un mot des pays du golfe arabique qui sont pourtant cités par une certaine presse. Le pays doit apprendre à désensibiliser les sujets sensibles s’il veut continuer d’exister en tant que nation.
La chose primordiale actuellement, en effet, c’est de s’entourer d’une équipe au fait des questions de géopolitiques, de relations internationales, de diplomatie, de droit, d’économie, de développement et de sociologie pour éviter de tomber dans l’amateurisme, le sensationnel et le populisme. Le peuple a également besoin d’une équipe qui va l’aider à faire face aux défis imminents tels que les sanctions de la communauté internationale, la sécurité alimentaire, l’approvisionnement du pays en ressources stratégiques, etc. Le président Rock a tenté de mettre en relief les questions de prospective, je crois qu’il faut poursuivre dans ce sens.
Il va falloir aussi assainir la communication et dissiper rapidement toute suspicion de parrainage d’une puissance extérieure parce que les peuples africains aspirent à une indépendance réelle. Si l’armée est mue par une volonté de changement positif et de restauration des valeurs nationales, il va falloir aussi situer rapidement les responsabilités dans les drames de Nassoumbou, Solham, Yirgou, Toéni, Inata, etc. pour ne pas donner l’impression qu’il y a un travail de dissimulation des preuves. En rappel, le rapport commandité par le président Rock n’a pas été publié.
Sur le plan sécuritaire stricto sensu, il va falloir définir urgemment une politique envers ceux qui soutiennent le terrorisme et aussi ceux qui les financent. Il y a beaucoup de bois verts envers la France et personne ne pipe un mot des pays du golfe arabique qui sont pourtant cités par une certaine presse. Le pays doit apprendre à désensibiliser les sujets sensibles s’il veut continuer d’exister en tant que nation.