Sanctions de la CEDEAO contre le Mali : « Le Burkina Faso risque de payer le plus gros tribut », prévient Idrissa Ouédraogo
16 janvier 2022, 11:27, par
Jonassan
Le sujet étant l’utilisation de l’économique pour l’assise du politique il est évident que l’analyse du professeur ne soit pas tranchante. Le problème de l’Afrique c’est la recherche permanente d’un berger. Quand j’ai lu les menaces de la Russie, aux environs des rencontres onusiennes, aux Etats membres de la CEDEAO j’ai compris que l’Afrique surtout francophone est perdue. Est-ce parce qu’on en a marre de la France qu’il faut accepter cette méprise ? Nous c’est wēnd n’a yĩs yongr linguē (Que Dieu aide la souris à sortir de la gargoulette où elle s’est jetée).
Le sujet étant l’utilisation de l’économique pour l’assise du politique il est évident que l’analyse du professeur ne soit pas tranchante. Le problème de l’Afrique c’est la recherche permanente d’un berger. Quand j’ai lu les menaces de la Russie, aux environs des rencontres onusiennes, aux Etats membres de la CEDEAO j’ai compris que l’Afrique surtout francophone est perdue. Est-ce parce qu’on en a marre de la France qu’il faut accepter cette méprise ? Nous c’est wēnd n’a yĩs yongr linguē (Que Dieu aide la souris à sortir de la gargoulette où elle s’est jetée).