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Mali : « Nous avons fait le choix d’être sincères afin de prendre notre destin en main », déclare Assimi Goïta

11 janvier 2022, 19:32, par Malien de passage.

En plus du retrait de nos ambassadeurs, commençons par suspendre notre participation à ce machin CEDEAO devenu la caisse de résonnance de la France.

Les maliens doivent désormais parler d’une seule voix et également supporter les effets pervers de ces sanctions injustifiées si nous voulons arracher notre pays des griffes occidentales car le complot terroriste que vit mon pays est orchestré depuis la France et ses alliés.
Les nègres de salons ont décidé de punir le brave et digne peuple malien sans aucun discernement. Une action qui vise à déstabiliser et inciter à un autre soulevement populaire ou coup militaire. La CEDEAO veut utiliser la population malienne pour chasser Assimi Goita, mais cela peut produire l’effet inverse.

Le Mali est pays très ancien et très grand pour que ces imbéciles fils d’esclaves de France puissent nous mettre à genoux. Il est temps que le malien se ressaisisse, sert la ceinture, arrête les gabegies et travaille dure. Tout ira bien. Ce ne serait pas facile, mais c’est bien faisable. Je crois que c’est une opportunité inouïe pour le Mali de prendre toute sa liberté. La Mauritanie l’a fait et a survecu et même économiquement meilleure. Le Mali ne disparaitra pas par la grâce de Dieu, de la volonté des maliens et du soutien des peuples africains épris de soif de justice et de liberté.

Le pétit nègre de la France ne se lasse pas de vouloir déstabiliser ses voisins. Lui l’usurpateur, le tripatouilleur de la constitution, l’étranger de Sindou au Burkina ayant fait ses études primaires à Koudougou, le plus grand criminels de faux et usage de faux, faux en écriture (falsifiant ses documents d’état civil, lieu de naissance réelle à Sindou au Burkina Faso), mais sur faux documents, il prétend être né à Dimbokoro en RCI. Et pourtant il avait étudié avec Bédié aux USA sur une bourse d’études au compte du Burkika. Il a travaillé dans les institutions financières internationales au compte du Burkina jusqu’à ce que son mentor (le commanditaire de l’assassinat de Sankara), le fasse venir en RCI comme Premier Ministre. Lui et tous ses pairs de la sous-région mourront pendant que le Mali est éternel
Si Laurent Gbagbo nous avait écouté en son temps les dirigeants maliens de l’époque, ce traitre africain ne serait jamais Président de RCI. C’est un Burkinabè (Senoufo) de Sindou où se trouvent les tombes de ses deux parents.

Il est impératif que le Mali et son peuple ne cèdent pas à la pression de ces fils d’esclaves de France et de Macron. Nous sommes à un point de non-retour de notre histoire perdue depuis Modibo Keita. Si nous cédons aujourd’hui, nous serons la risée de tout l’univers. Personne en Afrique ne nous respectera plus parce que le Mali est aujourd’hui une lueur d’espoir des peuples africains souffrants de la prédation et plongés dans les ténèbres à n’en pas sortir. Abandonner maintenant la lutte pour la vraie indépendance et la liberté serait pire que les sanctions économiques.
N’oublions pas que nos ancêtres ont dominé tout ce petit monde pendant des siècles. Alors soyons aussi braves, sinon plus que nos ancêtres. D’ailleurs certains de ces pays de la CEDEAO n’ont existé que grâce à la colonisation française...

Les sanctions contre le Mali est un couteau à double tranchant pour le Sénégal, la RCI et le Burkina Faso, car l’approvisionnement du Mali à partir des ports contribue beaucoup dans les budgets de ces Etats sans omettre les camionneurs de ces pays qui vivent de ces trajets.

Au casus belli de l’activation de la force en attente de la CEDEAO, si elle se hasarde à pénétrer au Mali, sera indexée comme une force d’invasion et traitée comme telle en conséquece. Les forces de la CEDEAO n’ont aucune chance dans une guerre frontale avec l’Armée Malienne. L’histoire donne encore raison à Thomas Sankara qui disait que chaque pays africain qui s’arme est contre d’autres africains. Si cette force avait joué son role en 2013, on ne serait pas là avec des colonels au pouvoir.à Koulouba. La CEDEAO a échoué à réussir au Mali ce que le Rwanda a accompli au Mozambique.

Comme d’habitude, la montagne accouchera de la souris..Allons seulement !!!


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