Procès « Thomas Sankara et douze autres » : « Si Sankara ne m’avait pas envoyé chez Blaise, je serais mort », feu Salifou Diallo

Jan Jan a vraie dire, je suis parmi ceux qui pensent qu’après l’insurrection il fallait chercher d’autres voies pour rassembler les burkinabe autour de l’essentiel, mais hélas nous oublions nos mœurs pour ceux des autres. Je prend un exemple, qu’est ce que le Mogho Naaba dont le palais était devenu la présidence du Faso après le coup d’état du 16 septembre 2015,, avait souhaité. Il avait le même souhait que les chefs d’état de la CEDEAO a savoir amnistiier les pustchistes et repartir sur de nouvelles bases. Sans manquer du respect aux victimes et ayants droits et à ceux qui seront condamnés par erreur, je pense qu’on risque de passer trop de temps sans véritablement savoir ce qui s’est passé sur les différents dossers