Lutte contre les mutilations génitales et féminines au Burkina : Un atelier pour valider le nouveau plan stratégique

@Zango
Si je vous approuve quant-au fait que le Faso soit actuellement submergé par de nombreux autres problèmes, je ne peux cautionner le fait de qualifier l’excision de "futilité".
D’ailleurs, que cherchez-vous à dire quand vous écrivez : "laissez les clitoris à leurs propriétaires", car il semble bien que ce soit l’objectif de la démarche.
De mon coté, pour croiser les inquiétudes, j’ai bien peur que la charia qui s’implante chaque jour davantage dans notre pays ne soit pas du même avis.