Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina : « Celui qui prend le pouvoir en ce moment-là par la force, le laissera par la force » (Simon Compaoré)
22 septembre 2021, 10:15, par
Yves Levi Sawadogo
Ah Sacré Simon !!! Avec ce langage irrespectueux, tu crois que vous avez tout le peuple avec vous. Ceux qui sont dans le silence sont plus nombreux que ceux que vous amadouez ou qui vous réjoignent parce qu’ils viennent à la soupe. On se connait dans ce pays !!!
Si tu pouvais bien souvent la fermer, cela nous arrangerait tous. Que n’as tu pas fait à la CGP ? On se rappelle aussi la réhabilitation de la mairie de Ouaga à près d’1 Milliard en son temps !!! Que n’as tu pas eu comme parcelles à Ouaga ? Ne prenez pas les gens pour des nez percés. Il serait mieux de vous faire oublier par moments pour ne pas réveiller des souvenirs amers. Aucun de vous n’est blanc ; alors, ne provoquez pas les gens. Vous êtes tous comptables.
Au temps de votre Blaise , n’oubliez pas les lignes rouges que vous traciez à ne pas franchir pour révediquer Justice pour Norbert Zongo.
Ah, Pauvre Faso
Ah Sacré Simon !!! Avec ce langage irrespectueux, tu crois que vous avez tout le peuple avec vous. Ceux qui sont dans le silence sont plus nombreux que ceux que vous amadouez ou qui vous réjoignent parce qu’ils viennent à la soupe. On se connait dans ce pays !!!
Si tu pouvais bien souvent la fermer, cela nous arrangerait tous. Que n’as tu pas fait à la CGP ? On se rappelle aussi la réhabilitation de la mairie de Ouaga à près d’1 Milliard en son temps !!! Que n’as tu pas eu comme parcelles à Ouaga ? Ne prenez pas les gens pour des nez percés. Il serait mieux de vous faire oublier par moments pour ne pas réveiller des souvenirs amers. Aucun de vous n’est blanc ; alors, ne provoquez pas les gens. Vous êtes tous comptables.
Au temps de votre Blaise , n’oubliez pas les lignes rouges que vous traciez à ne pas franchir pour révediquer Justice pour Norbert Zongo.
Ah, Pauvre Faso