Ville de Ouagadougou : Propositions pour résorber de façon durable le phénomène de la congestion routière
21 septembre 2021, 09:59, par
TANGA
Je ne suis pas spécialiste mais quand je regarde la circulation dans notre pays, ce qui me vient en tête c’est la mentalité du Burkinabè.
Oui, la largeur et la façons dont nos routes ont été construites, la façon dont nous circulons sont des données de cette circulation dont on parle.
De nos routes, je dirai que depuis leurs conceptions jusqu’à leurs finition, tous ceux qui y étaient impliqués ’’ont bouffé’’ ; durant les longues réunions, on hésite pas à dire : faisons comme cela seulement, on est combien dans ce pays à circuler ?
Comment voulez vous qu’avec de telles façons de faire, on puisse projeter des choses pour maintenant et pour l’avenir ?
La façon dont nous circulons reflète qui nous sommes. On s’en fou de l’autre, pourvu que l’on passe ; en réalité, on s’en fou de ce qui est commun.
Pire, regardez, au Faso chacun a sa mobylette ou moto et ça c’est la conséquence du solluptisme (moi seul compte, donc je me prémuni). Une volonté cachée d’indépendance individuelle.
bref,
Au faso, on doit surtaxer les engins à deux roue, développer le transport en commun.
Je ne suis pas spécialiste mais quand je regarde la circulation dans notre pays, ce qui me vient en tête c’est la mentalité du Burkinabè.
Oui, la largeur et la façons dont nos routes ont été construites, la façon dont nous circulons sont des données de cette circulation dont on parle.
De nos routes, je dirai que depuis leurs conceptions jusqu’à leurs finition, tous ceux qui y étaient impliqués ’’ont bouffé’’ ; durant les longues réunions, on hésite pas à dire : faisons comme cela seulement, on est combien dans ce pays à circuler ?
Comment voulez vous qu’avec de telles façons de faire, on puisse projeter des choses pour maintenant et pour l’avenir ?
La façon dont nous circulons reflète qui nous sommes. On s’en fou de l’autre, pourvu que l’on passe ; en réalité, on s’en fou de ce qui est commun.
Pire, regardez, au Faso chacun a sa mobylette ou moto et ça c’est la conséquence du solluptisme (moi seul compte, donc je me prémuni). Une volonté cachée d’indépendance individuelle.
bref,
Au faso, on doit surtaxer les engins à deux roue, développer le transport en commun.