Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Etait-ce donc le choix du Mogho Naaba ou le choix de la communauté coutumière ? Vivement que l’on repense notre CENI. Facilement on peut nuire à tout un pays par un simple acte « banal ».
Et aussi, il a fallu le président du Faso !! Donc un conseiller du ministre ou le ministre de l’administration territoriale ne pouvait pas aller régler cela ?
Il aurait donc fallu le président du Faso pour lui expliquer le bien fondé du retrait de ce dernier ? Qui dirige qui ? Et demain, si un autre chef quelque part au Burkina a un problème du genre, ce sera le Président qui fera la médiation ? Juste pour dire que nous sommes en République. A cette allure, si un chef coutumier venait à commettre l’irréparable, on dira que c’est un chef et qu’on ne touche pas à un chef ? Nous sommes en République !!!!!
Profitons de cette occasion pour repenser notre CENI et régler cette histoire de la chefferie coutumière. Si vous constitutionnalisez la chefferie coutumière, demain les leaders religieux vont demander aussi à être constitutionnalisé. Nous sommes en République, avant et après tout.
L’acte du président est salutaire parce que cet acte a réglé un problème temporaire et demain ?
Pour une CENI nouvelle, loin des leaders religieux, coutumiers et ceux de la société civile, que l’on nomme le procureur du Faso comme Patron de la CENI cumulativement à ses fonctions, chargé de trancher les questions électorales et chaque procureur de région est de facto son relai. Les résultats seront donc validés par les procureurs des régions avant donc la validation finale par le Procureur du Faso à Ouaga. Ça nous évitera tout ce tra la la.
Etait-ce donc le choix du Mogho Naaba ou le choix de la communauté coutumière ? Vivement que l’on repense notre CENI. Facilement on peut nuire à tout un pays par un simple acte « banal ».
Et aussi, il a fallu le président du Faso !! Donc un conseiller du ministre ou le ministre de l’administration territoriale ne pouvait pas aller régler cela ?
Il aurait donc fallu le président du Faso pour lui expliquer le bien fondé du retrait de ce dernier ? Qui dirige qui ? Et demain, si un autre chef quelque part au Burkina a un problème du genre, ce sera le Président qui fera la médiation ? Juste pour dire que nous sommes en République. A cette allure, si un chef coutumier venait à commettre l’irréparable, on dira que c’est un chef et qu’on ne touche pas à un chef ? Nous sommes en République !!!!!
Profitons de cette occasion pour repenser notre CENI et régler cette histoire de la chefferie coutumière. Si vous constitutionnalisez la chefferie coutumière, demain les leaders religieux vont demander aussi à être constitutionnalisé. Nous sommes en République, avant et après tout.
L’acte du président est salutaire parce que cet acte a réglé un problème temporaire et demain ?
Pour une CENI nouvelle, loin des leaders religieux, coutumiers et ceux de la société civile, que l’on nomme le procureur du Faso comme Patron de la CENI cumulativement à ses fonctions, chargé de trancher les questions électorales et chaque procureur de région est de facto son relai. Les résultats seront donc validés par les procureurs des régions avant donc la validation finale par le Procureur du Faso à Ouaga. Ça nous évitera tout ce tra la la.