Silvère Salga, chercheur-écrivain, sur la lutte contre le terrorisme : « Avec mon plan OBAR, on peut inverser la tendance en six mois »

Monsieur SALGA, la prochaine fois que vous avez un plan n’en parlez pas à la presse, n’en parlez pas devant les occidentaux.
 La presse veut être lue et ou écouter donc elle tentera avec juste raison de vos tirer le vers du nez. Avec la presse vous pouvez vous trahir sans savoir et cela en répondant à beaucoup de questions qui contiendront la réponse que vous refusez de donner.
Tous les occidentaux sont les mêmes, donc si vous faites votre déballage devant un, les autres le sauront. Croyez vous que les pays européens sont aux côtés des français pour rien, si il y a à choisir, ils choisiront la france et on le Burkina.
Votre école, c’est dans un système que que vous l’avez faite. Donc il sera possible pour ceux qui ont conçu ce système de savoir à peu près ou exactement même ce que vous mijotez. Ça ne coute rien à la france par exemple de mettre à table un certains nombre de personne pour qu’ils cogitent pour trouver ce que vous avez trouvé et pondre quelque chose contre.
Je dis ça par ce que convaincu que ce qui se passe dans nos pays n’a pas été pensé dans nos pays mais plutôt chez qui a intérêt dans cette situation.