Fonds de développement de la filière anacarde : Les acteurs dénoncent un accaparement du ministère du Commerce
28 janvier 2021, 18:15, par
Bonou
Une chose est claire.Pour les intérêts du Burkina,l état ne peut laisser une filière aussi importante entre les seules mains d une faîtière.Si les revendications de celle ci peuvent se comprendre a travers la défense de ses intérêts partisans,le ministère du commerce tutelle du commerce au Faso, et donc du commerce d anacarde est dans son rôle.Alors que faire ? La faîtière doit aller au delà de l émotion ou de son aversion contre la présence du ministère dans le domaine pour accepter d une part la supervision étatique, et d autre part continuer a parlementer avec l état dont le MICA n est qu une simple émanation.Il faut éviter de faire une fixation sur un ministère pour comprendre que si développement de filière anacarde,il doit y avoir au Burkina, les retombées ne sauraient être captées uniquement par la faîtière.C EST LE PAYS QUI DONNE LA FORCE LEGALE A LA FAÎTIÈRE ET NON L’ INVERSE.IL FAUT DONC SAVOIR RAISON GARDEE.UN PEU DE PATRIOTISME ET MOINS D EGOISME DE GROUPE ENTRE LES PARTIES EN CONFLIT ET C EST LE BURKINA QUI EN SORTIRA GRANDI.
Une chose est claire.Pour les intérêts du Burkina,l état ne peut laisser une filière aussi importante entre les seules mains d une faîtière.Si les revendications de celle ci peuvent se comprendre a travers la défense de ses intérêts partisans,le ministère du commerce tutelle du commerce au Faso, et donc du commerce d anacarde est dans son rôle.Alors que faire ? La faîtière doit aller au delà de l émotion ou de son aversion contre la présence du ministère dans le domaine pour accepter d une part la supervision étatique, et d autre part continuer a parlementer avec l état dont le MICA n est qu une simple émanation.Il faut éviter de faire une fixation sur un ministère pour comprendre que si développement de filière anacarde,il doit y avoir au Burkina, les retombées ne sauraient être captées uniquement par la faîtière.C EST LE PAYS QUI DONNE LA FORCE LEGALE A LA FAÎTIÈRE ET NON L’ INVERSE.IL FAUT DONC SAVOIR RAISON GARDEE.UN PEU DE PATRIOTISME ET MOINS D EGOISME DE GROUPE ENTRE LES PARTIES EN CONFLIT ET C EST LE BURKINA QUI EN SORTIRA GRANDI.