Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina : « La réconciliation nationale reste d’une grande urgence », persiste et prouve Me Hermann Yaméogo (2e partie)
19 novembre 2020, 17:52, par
Nabiiga
@ Hermann
Comment s’est fait-il qu’Hermann est devenu l’apôtre de la réconciliation et un inconditionnel de Blaise et son frère. Je sais, par moment, dans la vie de soi, on peut avoir des changements, mais un si rapide virement de ce qu’il n’était pas avant, il n’y a pas longtemps, pour devenir un tel disciple me fait tomber de loin. Plus rien ne vaille pour lui rien sinon que la réconciliation comme si sa vie et la ressuscitation de sa vie politique en dépendent. Le matin, réconciliation, idem dans l’après-midi et pour finir sa journée sur la même. Il prêche à la moindre occasion, à la moindre provocation, à qui veut l’entendre, combien tout au Burkina doit passer par la réconciliation. Pour que notre économie retrouve ses poumons, il faut la réconciliation, pour prendre un avion, là encore il faut que la réconciliation, bref, pour lui, désormais, la survie de notre pays passe inéluctablement par la réconciliation mais, curieusement, à chaque reprise qu’il monte pour prêcher, il oublie sciemment à nous dire sur quoi doit-on nous réconcilier, n’est-ce pas curieux. Aidons-le, proposons lui d’autres sujets à parler. Il peut par exemple de ce que notre pays doit faire pour renforcer les institutions de l’état telles la justice en insistant sur l’égalité devant la loi et l’inviolabilité de celle-ci, la corruption en insistant sur la corruption et la correction exemplaire pour toute personne qui fait main basse sur la chose de l’État.
@ Hermann
Comment s’est fait-il qu’Hermann est devenu l’apôtre de la réconciliation et un inconditionnel de Blaise et son frère. Je sais, par moment, dans la vie de soi, on peut avoir des changements, mais un si rapide virement de ce qu’il n’était pas avant, il n’y a pas longtemps, pour devenir un tel disciple me fait tomber de loin. Plus rien ne vaille pour lui rien sinon que la réconciliation comme si sa vie et la ressuscitation de sa vie politique en dépendent. Le matin, réconciliation, idem dans l’après-midi et pour finir sa journée sur la même. Il prêche à la moindre occasion, à la moindre provocation, à qui veut l’entendre, combien tout au Burkina doit passer par la réconciliation. Pour que notre économie retrouve ses poumons, il faut la réconciliation, pour prendre un avion, là encore il faut que la réconciliation, bref, pour lui, désormais, la survie de notre pays passe inéluctablement par la réconciliation mais, curieusement, à chaque reprise qu’il monte pour prêcher, il oublie sciemment à nous dire sur quoi doit-on nous réconcilier, n’est-ce pas curieux. Aidons-le, proposons lui d’autres sujets à parler. Il peut par exemple de ce que notre pays doit faire pour renforcer les institutions de l’état telles la justice en insistant sur l’égalité devant la loi et l’inviolabilité de celle-ci, la corruption en insistant sur la corruption et la correction exemplaire pour toute personne qui fait main basse sur la chose de l’État.