Médias publics burkinabè : Plus d’une vingtaine d’agents réaffectés dans des communes rurales selon le SYNATIC
20 octobre 2020, 10:57, par
Le Vigilent
Monsieur @Time Will Tell,
Un bon journaliste (pas le journaliste incompétent et paresseux à l’image de ceux qui ne savent que gueuler et animer des conférences de presse du SYNATIC) a bel et bien sa place dans une mairie rurale comme celle de Logobou. Un infirmier ou tout autre professionnnl de la santé ou d’un autre domaine peut également y trouver sa place. Comme la mauvaise foi est votre caractéristique essentielle, vous essayez de nous faire croire qu’un journaliste ou un infirmier affecté à une mairie, c’est pour rester toujours assis entre les quarte murs et non pas pour les besoins de toute la commune.
Vous prêtez aux responsables du ministère de vouloir saboter les médias publics pour que prospères les médias privés qui seraient leur propriété. Vous voulez donc dire que les médias privés qui sont les mieux appréciés par le public sont tous propriété des motos puissants du ministère ? Ces médias brillent à cause du professionnalisme, du sens du devoir bien accompli etc des agents qui les animent.
Retenez qu’il n’appartient pas à chaque agent de la fonction publique, syndique ou non, de choisir son lieu d’affectation pour l’imposer à la hiérarchie. Sachez que le contribuable burkinabé ne permettra jamais à ministre de gérer les effectifs de son départements au gré des humeurs des anarcho-syndicalistes.
Monsieur @Time Will Tell,
Un bon journaliste (pas le journaliste incompétent et paresseux à l’image de ceux qui ne savent que gueuler et animer des conférences de presse du SYNATIC) a bel et bien sa place dans une mairie rurale comme celle de Logobou. Un infirmier ou tout autre professionnnl de la santé ou d’un autre domaine peut également y trouver sa place. Comme la mauvaise foi est votre caractéristique essentielle, vous essayez de nous faire croire qu’un journaliste ou un infirmier affecté à une mairie, c’est pour rester toujours assis entre les quarte murs et non pas pour les besoins de toute la commune.
Vous prêtez aux responsables du ministère de vouloir saboter les médias publics pour que prospères les médias privés qui seraient leur propriété. Vous voulez donc dire que les médias privés qui sont les mieux appréciés par le public sont tous propriété des motos puissants du ministère ? Ces médias brillent à cause du professionnalisme, du sens du devoir bien accompli etc des agents qui les animent.
Retenez qu’il n’appartient pas à chaque agent de la fonction publique, syndique ou non, de choisir son lieu d’affectation pour l’imposer à la hiérarchie. Sachez que le contribuable burkinabé ne permettra jamais à ministre de gérer les effectifs de son départements au gré des humeurs des anarcho-syndicalistes.