Banques : Le Burkinabè Simon Tiemtoré finalise l’acquisition des filiales burkinabè et guinéenne de BNP Paribas, selon Jeune Afrique
22 octobre 2020, 09:26, par
YAMEOGO
Très bon travail pour le paysage Burkinabé. Divers études ont cherché à montrer que l’origine de la banque avait un effet sur le rythme du crédit. D’une manière général, cet effet résulte de la distance culturelle, géographique comme économique entre les emprunteurs et le pays d’origine de la décision du volume de crédit à allouer à l’économie. Ainsi, Coris Bank sera considérée plus proche des burkinabés que BICIAB et par rapport à d’autres établissements bancaires d’origines étrangère. Enfin dans mon mémoire sur la stabilité financière et la volatilité des flux de capitaux étrangers, il ressort un effet positif du développement financier à court terme sur la stabilité financière. En outre, une de mes recommandations de politiques économiques étaient d’augmenter le nombre de banque d’origine UEMOA et particulièrement augmenter la participation des nationaux dans le capital des banques à connotation étrangère. C’est ouf pour ma part pour le maintien de crédit à l’économie et l’étendue financière au Burkina Faso
Très bon travail pour le paysage Burkinabé. Divers études ont cherché à montrer que l’origine de la banque avait un effet sur le rythme du crédit. D’une manière général, cet effet résulte de la distance culturelle, géographique comme économique entre les emprunteurs et le pays d’origine de la décision du volume de crédit à allouer à l’économie. Ainsi, Coris Bank sera considérée plus proche des burkinabés que BICIAB et par rapport à d’autres établissements bancaires d’origines étrangère. Enfin dans mon mémoire sur la stabilité financière et la volatilité des flux de capitaux étrangers, il ressort un effet positif du développement financier à court terme sur la stabilité financière. En outre, une de mes recommandations de politiques économiques étaient d’augmenter le nombre de banque d’origine UEMOA et particulièrement augmenter la participation des nationaux dans le capital des banques à connotation étrangère. C’est ouf pour ma part pour le maintien de crédit à l’économie et l’étendue financière au Burkina Faso