Intention du président Kaboré sur l’éventuel retour de Blaise Compaoré au Burkina : Des Burkinabè doutent de sa sincérité
17 octobre 2020, 09:25, par
warzat
Le hasard de mon ’’time table’’ m’a permis de suivre l’interview. Les journalistes ont eu ce qu’ils voulaient. Ils croyaient connaitre le Burkina, ils se sont gourés. Leur connaissance est celle des médias et autres réseaux sociaux. Ils s’attendaient comme habituellement a avoir en face d’eux, un président inculte, content d’être chef et d’en jouir des prérogatives sans se soucier des contraintes, un président qui compte uniquement sur la France en cas de pépins. En tout cas notre président a maitrisé son sujet et s’est montré maitre de son calendrier. Quand on voit la prudence avec laquelle Gauthier Ribinski de France 24 aborde certains sujets du proche orient, on est étonné, on est surpris que ces deux médias, envoient toujours les journalistes de la France Afrique chez nous. Ils n’ont pas compris que les temps ont changé.
L’éventuel retour de l’ancien président est lié à la capacité intrinsèque de la société burkinabè à pardonner et non aux excitations et autres pseudo pressions d’où qu’elles viennent. Cette méconnaissance du Burkina a entrainé ces mêmes gens à être surpris que nous puissions trouver un accord pour une transition et à tenir des élections par la suite.
Le hasard de mon ’’time table’’ m’a permis de suivre l’interview. Les journalistes ont eu ce qu’ils voulaient. Ils croyaient connaitre le Burkina, ils se sont gourés. Leur connaissance est celle des médias et autres réseaux sociaux. Ils s’attendaient comme habituellement a avoir en face d’eux, un président inculte, content d’être chef et d’en jouir des prérogatives sans se soucier des contraintes, un président qui compte uniquement sur la France en cas de pépins. En tout cas notre président a maitrisé son sujet et s’est montré maitre de son calendrier. Quand on voit la prudence avec laquelle Gauthier Ribinski de France 24 aborde certains sujets du proche orient, on est étonné, on est surpris que ces deux médias, envoient toujours les journalistes de la France Afrique chez nous. Ils n’ont pas compris que les temps ont changé.
L’éventuel retour de l’ancien président est lié à la capacité intrinsèque de la société burkinabè à pardonner et non aux excitations et autres pseudo pressions d’où qu’elles viennent. Cette méconnaissance du Burkina a entrainé ces mêmes gens à être surpris que nous puissions trouver un accord pour une transition et à tenir des élections par la suite.