Réconciliation nationale : « Nous allons régler la question dès le premier semestre 2021 », promet Roch Kaboré sur RFI
19 octobre 2020, 06:55, par
Ka
Mon jeune Damis merci de me lire : Je voudrai que tu revois le vidéo de l’interview du président et à la question du retour de Blaise Compaoré : Sa timide réponse par rapport a ce qu’il disait au début de sa prise du pouvoir me donne froid au dos. C’est pourquoi ce titre disant que Roch Kaboré tend la main à Blaise Compaoré pour la réconciliation.
Exemple il disait au début de sa prise du pouvoir : ‘’’’Le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré a appelé à "rendre justice dans toutes les affaires sensibles", dont les dossiers de l’assassinat de Thomas Sankara, Norbert Zongo, du putsch manqué et de l’insurrection populaire, pour "aider le peuple à se réconcilier".
"Nous devons tout faire pour que la justice soit rendue dans toutes (les) affaires sensibles pour aider notre peuple à se réconcilier avec son histoire, pour ramener la paix des cœurs et créer les conditions propices à la contribution de tous les Burkinabè à l’oeuvre de construction nationale", a
déclaré M. Kaboré dans un discours radiotélévisé à la veille de la célébration du 57e anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso.
"La réconciliation nationale reste un enjeu majeur que nous devons réussir, dans l’intérêt supérieur de la nation."
La justice militaire, une juridiction d’exception, doit solder une longue série de dossiers, dont principalement ceux du putsch manqué de septembre 2015 et de l’assassinat du "père de la révolution" burkinabè, le capitaine Thomas Sankara, tué lors du coup d’Etat qui porta l’ex-président Blaise Compaoré au pouvoir en 1987.
Également en instance, le dossier du journaliste d’investigation Norbert Zongo, tué en 1998 avec trois compagnons, a connu une évolution avec la mise sous contrôle judiciaire de François Compaoré, frère du président déchu Blaise Compaoré, poursuivi pour "incitation à assassinats".
M. Kaboré a dit "saluer l’avancée des dossiers pendants devant la justice", tout en rappelant aux acteurs chargés de les vider que "la soif légitime de justice des Burkinabè reste intacte.
Damis si le président disait a ces journalistes qui le piégeaient que Blaise Compaoré doit passer par la justice pour rentrer au Burkina, au lieu d’être timide dans ses propos, personne, je dis personne n’écrirait que le président Roch Kaboré tend sa main à un criminel pour la réconciliation. Ou aucune personne ne le traitera de menteur en ce qui concerne cette fameuse réconciliation. Encore une fois merci de me lire.
Mon jeune Damis merci de me lire : Je voudrai que tu revois le vidéo de l’interview du président et à la question du retour de Blaise Compaoré : Sa timide réponse par rapport a ce qu’il disait au début de sa prise du pouvoir me donne froid au dos. C’est pourquoi ce titre disant que Roch Kaboré tend la main à Blaise Compaoré pour la réconciliation.
Exemple il disait au début de sa prise du pouvoir : ‘’’’Le président burkinabè Roch Marc Christian Kaboré a appelé à "rendre justice dans toutes les affaires sensibles", dont les dossiers de l’assassinat de Thomas Sankara, Norbert Zongo, du putsch manqué et de l’insurrection populaire, pour "aider le peuple à se réconcilier".
"Nous devons tout faire pour que la justice soit rendue dans toutes (les) affaires sensibles pour aider notre peuple à se réconcilier avec son histoire, pour ramener la paix des cœurs et créer les conditions propices à la contribution de tous les Burkinabè à l’oeuvre de construction nationale", a
déclaré M. Kaboré dans un discours radiotélévisé à la veille de la célébration du 57e anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso.
"La réconciliation nationale reste un enjeu majeur que nous devons réussir, dans l’intérêt supérieur de la nation."
La justice militaire, une juridiction d’exception, doit solder une longue série de dossiers, dont principalement ceux du putsch manqué de septembre 2015 et de l’assassinat du "père de la révolution" burkinabè, le capitaine Thomas Sankara, tué lors du coup d’Etat qui porta l’ex-président Blaise Compaoré au pouvoir en 1987.
Également en instance, le dossier du journaliste d’investigation Norbert Zongo, tué en 1998 avec trois compagnons, a connu une évolution avec la mise sous contrôle judiciaire de François Compaoré, frère du président déchu Blaise Compaoré, poursuivi pour "incitation à assassinats".
M. Kaboré a dit "saluer l’avancée des dossiers pendants devant la justice", tout en rappelant aux acteurs chargés de les vider que "la soif légitime de justice des Burkinabè reste intacte.
Damis si le président disait a ces journalistes qui le piégeaient que Blaise Compaoré doit passer par la justice pour rentrer au Burkina, au lieu d’être timide dans ses propos, personne, je dis personne n’écrirait que le président Roch Kaboré tend sa main à un criminel pour la réconciliation. Ou aucune personne ne le traitera de menteur en ce qui concerne cette fameuse réconciliation. Encore une fois merci de me lire.