Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Selon le journal New York Post, le diplomate burkinabè basé à New York, Sylvestre Compaoré, a « frappé puis attaché les mains d’une de ses employés (…) elle s’est échappée et s’est rendue à la police » https://nypost.com/2020/08/23/african-diplomat-shielded-by-immunity-after-beating-employee/ . Voici les explications données par le diplomate Sylvestre Compaoré dans lesquelles, il dénonce « « un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays ».
New York, le 23 AOÛT 2020
Suite à l’article paru dans le journal « New York Post » en date du 23 Août 2020, faisant cas d’actes de maltraitance subis par d’une employée et dont j’en serais l’auteur, je viens par le présent droit de réponse rétablir la réalité des faits tels qu’ils se sont déroulés pour que nul ne se méprenne.
Jacqueline NIKIEMA, est avec ma famille comme employée de maison depuis sept (07) ans, soit 4ans à New York sans qu’aucun problème ne survienne jusqu’au 14 Août 2020, jour où elle a piqué des crises de dépression.
Ces crises se manifestaient par des cris très forts dans la maison et entrecoupée de chants. J’ai d’abord cru à une simple prière comme à ses habitudes (notons que depuis environ un an elle était devenue très pieuse, priant souvent à des heures tardives ou très tôt le matin). Mais ce jour-là ses cris étaient de plus en plus forts que j’étais obligé de l’interpeller à plusieurs reprises pour lui demander de faire moins de bruit. Mais rien n’y fit.
C’est alors que j’ai cru à une crise de folie, vu qu’elle devenait de plus en plus agressive. C’est ainsi qu’elle a cassé des bouteilles, un miroir dans la chambre et se laissant tomber sur les tessons elle s’est faite des blessures sur le corps. Elle s’est même coupée la paume et est entrée dans l’égout de la douche, en témoigne les égratignures au niveau de son épaule. Puis, elle s’est dénudée. C’est à ce moment-là que nous l’avons retenue et j’ai réalisé que son état devenait de plus en plus sérieux.
Elle détruisait tout ce qu’elle trouvait et elle crachait sur tous ceux qui s’approchaient d’elle et a même failli me piquer avec la tôle couvrant le chauffage. C’est ainsi qu’au regard de tous ces actes j’ai cru à une grave dépression de folie et nous l’avons emmené d’urgence à l’hôpital d’Harlem en lui attrapant les mains pour la faire monter dans la voiture, vu qu’elle était agressive. Et je tiens à préciser avec fermeté qu’elle n’a jamais été ligotée, sinon le personnel de l’hôpital qui nous a accueillis pourrait le confirmer.
Une fois sur place, elle a été prise en charge et a reçu des injections de tranquillisants. L’équipe d’urgence médicale de la nuit du 14 Août 2020 pourrait en témoigner. J’ai par la suite été invité à signer les autorisations pour que les actes médicaux et les examens puissent être pratiqués sur elle.
Le lendemain 15 août 2020, elle fut transférée en Psychiatrie, au 13ème étage, à la chambre 107. Mon épouse et moi avons pu lui rendre visite en ces lieux. A l’occasion, j’ai beaucoup échangé avec les médecins. Je leur ai retracé l’historique et décrit tous les faits. Ces faits qui sont inhabituels m’ont fait croire à un début de folie.
Inquiets, nous partions tous les jours pour lui rendre visite. Le vendredi 21 août 2020 lorsque je suis arrivé pour la visite, dès le hall il m’a été signifié que je ne pouvais plus la voir. Surpris et choqué, j’ai posé des questions et l’agent m’a informé qu’il arrive que le patient en Psychiatrie refuse des visites. Pour ma part ceci est toujours à mettre dans le compte de la dépression.
En effet, j’ai remarqué depuis un moment, que lorsque nous parlions du retour au pays (notez que je suis en fin de mission et suivant la règlementation de mon pays, toute ma famille et moi devons regagner le Burkina Faso avant la fin de cette année 2020), elle devenait subitement triste et calme.
Pourquoi après avoir fait plus de quatre (4) ans avec ma famille et moi ici à New-York, il n’y a que maintenant qu’elle trouve qu’elle est maltraitée ? Pourquoi alors n’a-t-elle pas signalé de tels faits à la police, si tant est qu’elle subissait des maltraitances ? Je précise qu’elle m’avait dit une fois au détour d’une conversation qu’elle souhaitait rester ici aux Etats Unis.
Je n’avais pas accordé d’importance à ses propos, mais à l’évidence, je réalise aujourd’hui qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays, car les examens neurologiques sont négatifs et ne montrent aucune infection du cerveau selon les médecins.
Le 23 août 2020 aux environs de 20 heures, c’est avec consternation que je découvre dans le journal New York Post un article m’accusant de maltraitance d’une adulte de 22 ans.
Je ne puis vous traduire en si peu de mots à quel point ces accusations m’affectent gravement, et je suis, à mon corps défendant, obligé d’apporter un démenti formel à ces graves accusations et rétablir les faits tels qu’ils se sont passés.
Je souhaite que toute la lumière soit faite sur cette affaire, afin que l’opinion ne soit point trompée.
Sylvestre COMPAORE,
Premier Secrétaire
Vos commentaires
1. Le 27 août 2020 à 21:07, par Cheikh En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Il semble que derrière les mots, il y’ait quand même "anguille sous roche". Autrement dit, le problème semble être né et s’être développé progressivement, sur la base d’autres faits qu’on perçoit difficilement ici. Bef, une confrontation officielle entre les parties s’avère nécessaire, pour mieux apprécier.
2. Le 27 août 2020 à 23:05, par passant En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Pourquoi avez vous besoin d’une employée de maison à NewYork ? Moi je vis aussi en amérique, mais je nai pas d’employé de maison, pourtant je suis un cadre aussi avec une famille. On travaille plus de 50h par semaine et on fait toutes les tâches ménagères nous mêmes comme 90% des americains. Vraiment, employé de maison ?? aux USA ? cest pour les millionaires en dollar ça...
Le 28 août 2020 à 09:18, par kwiliga En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
@ passant
Je suis tout à fait d’accord avec vous.
Je note en outre que :
"Jacqueline NIKIEMA, est avec ma famille comme employée de maison depuis sept (07) ans,..."
"m’accusant de maltraitance d’une adulte de 22 ans."
Ce qui m’amène à me demander si tous les diplomates burkinabè ont la fâcheuse tendance à ramener des "petites bonnes" dans leurs bagages.
Une bien belle image que nous exportons.
Le 28 août 2020 à 11:30, par lili En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Pour un cadre, tu as reflechi un peu bas. Les circonstances d un diplomate et les tiennes ne se comparent pas. Il a des opportunites que tu n as pas et que tu n auras pas, sois tu cadre ou autre chose. Ravale un peu ton orgueil car il ne sert a rien ici. Nombreux sont les Burkinabe aux US qui avec leur reussite ne peuvent avoir leur mere, tante, et soeur la bas pour plus de 6 mois. Alors pour une bonne, ceux qui le font sont d un autre niveau.
Le 28 août 2020 à 12:05, par Wendsom En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Réflexion inconséquente pour un cadre que vous êtes. Comprenez qu’étant du corps diplomatique, c’est bien un droit et/ou privilège pour lui dans le cadre de ses fonctions.
Le 28 août 2020 à 15:35, par Marie En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Hum ! A chacun son style de vie. Beaucoup de menages ici aux USA ont des femmes de menages, certes qui ne vivent pas avec eux mais qui passent faire le nettoyage et la buanderie. Et meme si 100% de la population n’a pas d’aide a domicile, cela n’empecherait pas ce couple de diplomates d’en avoir une. Vous avez peut etre choisi de ne pas avoir de femme de menage. Ce couple a voulu en avoir une. Est ce que cela fait d’eux, de facto, des mauvais, des eslavagistes, batteurs de bonnes ? Si monsieur et madame travaillent, s’ils ont des enfants qui vont a l’eoole et qu’il faut recuperer a 4:30pm, ils auront besoin d’aide. Or vous savez combie les creches et les nannies coutent cher ici. Moi aussi je vis aux USA, celibataire sans enfants, Executive dans ma boite, avec un salaire annuel a 6 chiffres. Or bien que seule, sans enfants, une chose que je deteste faire, c’est le menage et la buanderie. Je trouve que c’est du gachis sur mon temps de travail. Je prefere mettre le temps du menage dans le travail, ce qui rapporterait bien plus. Une femme de menage savaldorienne passe deux fois par mois faire le menage, cela me coute $100/passage (pour 3h de travail), soit $200/mois. J’ai voulu faire venir une niece de 25 ans qui ne fout rien de sa vie au Faso, pour m’aider juste pour le menage, mais aussi lui trouver quelques oppportunites. Helas. Donc vous voyez, avoir une femme de menage n’est pas forcement un luxe mais parfois une necessite.
3. Le 27 août 2020 à 23:09, par Manuel En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Bonjour
Bon courage à vous et à votre famille, mais ne vous inquiétez pas, la vérité sur cette affaire sera connue d’ici là.
Si j’ai un avis à vous donner, évitez de répondre dorénavant par voie de presse à ces accusations, saisissez la justice et laissez là faire son travail
Le 28 août 2020 à 10:00, par Gom En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
S’il saisit la justice, il va expliquer aux juges qu’il exploitent cette fille depuis 15 ans et il va leur dire quelle salaire, il lui paie avec des preuves à l’appui et quel taux horaire. Bonne chance à lui. Quand on les nomme, ils veulent profiter de tous les avantages en ignorant les conséquences, fallait expliquer à madame qu’avoir bonne à NY c’est compliqué même en important. Tu as une bonne à tout faire depuis qu’elle a 15 ans, une mineure exploitée et amené aux USA que tu veux ramener dans son quotidien de bonne à tout faire de Ouaga. Bien sûr qu’elle va tout faire pour y rester.
4. Le 28 août 2020 à 00:27, par Banga En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Je suis abonner au journal new York post tous les jours je lis mais mon frere faut pas dementir car ils sont comme Norbert Zongo et ont des preuvres solide avant de publier c’est des journaux independant personne ne peut les impersonner faut dementir ici directement a new York et laisse ceux du pays tranquille .
5. Le 28 août 2020 à 01:35, par Siriki Moussa En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
D’après le diplomate cette jeune dame serait âgée de 22 ans et travaillerait avec le couple depuis 7ans dont 4 ans à New York. Si ces informations sont vraies cela voudrait dire que cette pauvre fille est exploitée abusivement depuis l’âge de15 ans au Burkina Faso. C’est bien beau d’apporter un démenti mais je suis certain que vous cachez certains détails importants qui vont bientôt être élucidés malgré votre position dominante. Connaissant comment la presse travaille aux United States, New York Post aurait à coup sûr sollicité votre version des faits que, naturellement enivré de votre immunité diplomatique avez refusé.
6. Le 28 août 2020 à 04:39, par Papa En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Si réellement la bonne à monté ce scénario pour pouvoir rester aux USA, vraiment c’est pas sérieux cette mise en scène macabre pour créer des problèmes à son patron . Je conseille a l’employeur de saisir la justice. Quand à ceux qui se plaignent que le patron de la bonne résident AUX USA n’à pas droit à une fille de maison, je pense que ça sent de la jalousie, si non où est le problème si le patron a les moyens de payer le salaire de sa bonne . SVP arrêtons les petites mesquineries qui ne nous rapportent rien .
7. Le 28 août 2020 à 05:41, par Nabayouga En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Malgré les dénégations, cette histoire ressemble à de l’esclavage moderne qui malheureusement persiste au niveau des nouveaux riches ou du moins pour des gens qui considèrent comme tel sutout au BF .Je rejoins l’internaute qui se posait la question de la nécessité d’avoir un personnel de maison. Pour un petit fonctionnaire burkinabè vivant à New York, il me parait pretentieux car vous ne pouvez pas payer un personnel de maison, sauf s’il sagit d’esclavage moderne. Je vis en Occident je gagne bien ma vie ,tout comme ma femme et par principe je n’ai pas de personnel de maison. Conclusion, il est fort probable que ce monsieur et sa femme soient des esclavagistes modernes. Qu’il soit jugé et condamné s’il est coupable.
8. Le 28 août 2020 à 06:22, par Pas possible En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Elle a 22 and et travaille pour le Mr depuis 7 ans. Je ne sais pas si ce soit disant diplomate se rend compte de ce que cela signifie. Je demande a la diplomatie burkinabe d interdire ce genre de practiques a l exterieur.
9. Le 28 août 2020 à 07:04, par A qui la faute ? En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Mon avis n’aura rien à voir, est hors sujet. Je m’inquiète gravement de la gabegie qu’un pays pauvre très endetté se permet de faire. Tout un employé de maison pour des gens qui ne travaillent même pas 10 heures par jour. Et imaginez que le Burkina a des diplomate dans presque tous les pays du monde, plus que des pays riches comme l’Italie ou le Luxembourg. Vous prenez les maigres ressources et les impôts des pauvres pour vivre comme des princes héritiers ? Que ça cesse !!!!!!!!!!
Le 28 août 2020 à 10:30, par Allo En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Vous croyez que c’est l’etat burkinabè qui paye ces employés a domicile de cette catégorie de fonctionnaires ????
10. Le 28 août 2020 à 09:29, par Paco En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
C’est très triste la réalité du pays. Le BF est un pays qui vit au dessus de ces moyens !!! comment malgré la modestie de nos ressources assurer la prise en charge de ménagère pour tous nos diplomates ? ça me rapelle celui qui est à Tripoli qui avait déclarée sa fille en lieu et place d’une menagère !! vous comprenez comment le vers ronge le fruit.
Tant que nous allons assurer des véhicules des services à tous les directeurs etc dans nos services, assurer leur dotation en carburant, au lieu de centraliser le parc automobile par ministère et ne permettre la sortie des véhicules que par necessité de service, le développement sera utopique pour le BF.
Meme les pays dit riches n’en font pas autant, on est dans sur une autre planète et on prétend au développement
11. Le 28 août 2020 à 10:22, par Kabré En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Regarde les commentaires de certains. Rien que des pires égoïstes. Quel rapport entre avoir une servante et être accusé par cette dernière. Le Burkinabé est mauvais et méchant.
Le 30 août 2020 à 08:16, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Problème de logique : internaute Kabré,comment aussi se faire accuser par une servante qu on a pas ?
12. Le 28 août 2020 à 11:04, par Soulèvement En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Ce qui n’est pas dit ici, c’est que l’employée de maison est payée aux frais du contribuable burkinabè. Ce diplômate en plus de son salaire payé par l’Etat burkina, béficicie d’une prise en charge pour sa femme, ses enfants et même pour l’employé de maison. Il faut simplement que ca cesse.
13. Le 28 août 2020 à 11:30, par Lom-Lom En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Mon frère, si vous et votre épouse ; vous etes sûrs et certains de n’avoir jamais agressé cette fille, tenez-vous tranquilles, elle boira sa honte toute seule ! Ce n’est pas la première fois que nous voyons ces formes d’ingratitude ! Quoiqu’on fasse, la vérité éclatera un jour ! Quand aux jaloux qui ont lrs moyens dembaucher un personnel de maison et qui ne le font sous prétexte que ce n’est pas nécessaire, je leur dirai que c’est leur problème car chacun sait quoi faire de sa vie et de ses ressources. Arrêtons donc de vouloir donner n’importe quelle leçon à tous vents !
14. Le 28 août 2020 à 11:41, par David En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Mr. Compaoré, soyez fier de vous même, parce que vous ne l’avez fait que du bien. Elle croit pouvoir vous souiller, mais ça ne marchera pas. Laissez là avec Dieu dans son immoralité.
Nous sommes de coeur avec vous et vitre famille.
15. Le 28 août 2020 à 15:12, par Marie En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Mon frere, le seul et definitif moyen de laver votre nom et de lever tout soupcon c’est d’attaquer ce rag qu’est le New York Post. Si vous avez raison sur toute la ligne, vous ferez d’une pierre deux bons coups : laver votre nom et encaisser des millions de dollars avant de rentrer au pays. 20 ou 100 millions de dollars de dommage et interet en moins de la fortune de Murdoch, c’est peanut pour lui. Et vous, vous rentrez au Faso riche comme Cresus. Cherchez-vous un bon avocat a New York. Et vu le gabari du defendant, ma foi, vous en ramasserez a la pelle de bon avocats pro bono. Votre droit de reponse ici et maintenant ne servira a rien. Il y aura toujours des suspicions et ce sera votre parole contre celle de l’employee de maison. Or dans ce type de confrontrations, le public, Per SE, donne toujours raison au plus faible, comme si la faiblesse etait une garantie de verite et d’honnete. Beaucoup vous ont deja juge et condamne. Remportez d’abord contre le New York Post et l’empire de Murdoch, puis revenez ecrire ici avec vos millions de dollars sur votre compte bancaire. Plus personne ne trouvera a en redire
16. Le 30 août 2020 à 18:19, par SOME En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
C’est bien de démentir ce que New York Post dit, mais si ce qui est dit dans ce poste est vrai et surtout s’il n’y a pas de précédent qui pourrait justifier le comportement de la bonne, il serait mieux d’attaquer le Poste en justice pour atteinte à votre réputation ainsi que celle de votre famille. Si vous êtes vraiment innocent, les dommages et intérêts que le Poste paiera suffiraient largement pour votre réinsertion au Burkina ☺️.
Toutefois, si effectivement vous avez employé cette fille comme bonne à l’âge de 15 ans, vous risquez beaucoup si elle rassemble ses supposées « histoires montées » pour vous affronter en justice aux USA là-bas. Ils ne badinent pas avec le travail des enfants ou l’exploitation des enfants. A lire entre les ligne, elle ne serait pas n’importe quelle bonne, mais probablement une parente d’une de vos relations. L’un dans l’autre, vous êtes dans les viseurs de la justice Américaine : start getting your story straight and stop writing and talking much on this unless asked. Préparez-vous parce que ce journal d’investigation lève rarement un lièvre sans le poursuivre. Soit vous le poursuivez ou il vous poursuit.
17. Le 31 août 2020 à 02:26, par Dans Pain En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Employee de maison ? L’ Etat va tuer ce pays- la. Pourqyuoi un employe de maison ? Ici, meme les CEO, les PDG, n’ ont pas ca. C’est du gaspillage. En plus, l’ Etat recrute des mineures pour travailler ? Cette fille, la, va gagner. Nos diplomates, quand ils viennent ici, refusent de changer. Vous pouvez dire si vous payiez cette pauvre fille au moins 10 dollars l’ heure de 6h du matin a 20heures le soit soit un minimum de 16h par jour, soit 112h par jour ( dont 33 heures de overtime(heure supplementaires puis que le travail, c’st 8h par jour ? Vous etes diplomate, vous vous etes mis dans pain. Ici aux USA, on n’ aime pas le travail esclavagiste. Qu’ importe meme si vous l’ avez amenee ici, vous payiez sa caisse retraite ? Vous ne pourrez meme pas gagner dans cette affaire. Ici, la loi, c’est la loi. Si elle dit meme que vous la violiez depuis ses 15 ans, vous pouvez vous en sortir ? Ce sera votre parole contre la sienne. Et etant femme, c’ est elle on ecoute. Puisque en position de victime et vous en position de predateur presume. Ko employee de maison. AAretez ces pratiques colonialistes francaises, la.
18. Le 31 août 2020 à 02:37, par Dans Pain En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
SOME, vous vivez en france mais vous connaissez tres bien la culture du pays de l’ Oncle SAM. Je vois que votre anglais est propre aussi comme votre francais. Nos diplomates, ils vont la- bas, vivent toujours comme aux village ou a Ouagadougou, se font les petites jalousies de burkinabe, et repartent avec tres peu de connaissance du pays. Sinon, vous vous etes au USA et vous oser dire que vous avez employe un enfant de 15 ans ? Deja, vous mettez en difficulte votre defense. Si la fille , la, veut, elle va vous enfoncer. Vous etes dans pain. Ceux qui vous conseilent d’ ataquer ce canard, c’ est pas un bon conseil. C’ est pas l’ Ouragan Ouagalais, hein ! Je passais.
19. Le 2 septembre 2020 à 01:57, par jeunedame seret En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Employée de maison à New York ? Bel emploi ; en plus d’un logement gratuit. Je lui envie cela ! Dans les Amériques, même un gardien de chien n’est pas un sot métier. Elle a raison de monter scénario pour y rester. Car il y a des espoirs et des identités. Quelle créativité ! Sauf que ça risque de ne pas bien tourner. Comprenez-la, monsieur Compaoré ; et pardonnez-la. Car elle lutte pour sa promotion. Et les fake news, c’est le propre des journaux de ce siècle.
Le 3 septembre 2020 à 14:37, par Koro Achimata En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
Jeune dame sereine, vous etes hors sujet. Si la dame la dit qu’ elle etait abusee, votre diplomate va en tole demain seulement. Un diplomate burkinabe peut avoir l’ argent ou pour payer une bonne aux USA ? Arreter moi ces conories, la ! Eux ils ne peuvent pas faire leur menage ?
20. Le 28 octobre 2020 à 19:54, par Samuel En réponse à : Affaire employée de maison battue à New York : « Il ne s’agit ni plus ni moins que d’un scénario ourdi pour pouvoir rester dans ce pays », Sylvestre Compaoré, diplomate
HYPPOCRESIE ET MECHANCHETE
Il y a veritablement de l’yhppocresie et de la mechanchete’ de beaucoup de parents et familles qui viennent pour travailler ou qui envoient leurs enfants soit disant pour etudier aux Etats Unis. Une fois sur place, nos freres et soeurs clandestins et nos jeunes enfants sont desorientes du mode de vie au pays de l’oncle sam et deviennent des problemes pour leur famille d’acceuille d’opportune. Ils deviennent des drogues et tombent surtout dans le plaisire de la vie facile. Mais non, L’Amerique n’est pas l’Afrique en general et encore moins le Burkina . C’est une triste realite’ et nous devons denoncer pour que nos parents comprennent qu’ils sont malhonnetes et hyppocrites de mentire pour avoir du visa ou la carte grise en accusant quelqu’un to t’acceuille, te nourrit et te loge gratuitement pour des annees. C’est vraimment mallhonnettte et mechant.
Le cas de New York est un exemple typpique and quotidien mais je ne condamne pas la soeur a’ Newyork. C’est une pensee en genrale qui ne la designe pas. Je vous en pris de ne pas recuperer cela autrement.
Je suis Africain et Burkinabe’ et j’ai mal au coeur de voir mes compatriotes, mes jeunes freres et soeures dans ce genre de condition aux Etats Unis. J’y reside depuis vingt ans et je suis mieu place’ pour donner des conseils en famille et je ne connais pas Sylvestre COMPAORE,Premier Secrétaire a’ la representation du Burkina a’ New york.
Par ailleurs, sans se rejouir de la condition de ma compatriote, ma soeur que je respecte et que je partage la souffrance, je voudrai dire qu’il y a de la malhonnetete pour la plupart
des parents que je connais , soit Africains et Burkinabe’ vivant ici au pays de l’oncle Sam.
Moi meme, J’ai ete aussi victime.
J’avai acceuillie des enfants des parents du Burkina qui sont devenus nos ennemies par la mechanchete et l’hypprocresie de leurs parents restes au pays.C’est vraiment criminel.
Enfin, nous les Africains, On ne s’aime pas. On est mechant , jaloux des uns et des autres entre nous meme Africains , on se designe etranger. OUI, "toi tu es etranger".Dans mon propre pays, Je suis etranger, discrimine. C’est les raisons pour lesquelles, on ne s’affranchira jamais du joug de nos propres discriminations, mechanchetes’. Je suis un patriote and Panafrican et mes opinions sont sans rancunes auncune envers mes propres parents, familles(African). Merci beaucoup de me lire et veuillez donner vos poins de vue et ensemble proposons une solution a’ la famille au lieu de critiquer seulement. Merci
Samuel.
( il a des fautes a’ corriger. Merci)
maintenant sesous le coup de l’expulsion,