Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
La Coalition pour la démocratie et la réconciliation nationale (CODER) a animé une conférence de presse, ce jeudi 4 juin 2020 à Ouagadougou, pour donner sa lecture de la situation nationale qu’elle juge « préoccupante ». Ce regroupement de partis politiques propose « la réconciliation nationale » comme une solution avant les élections couplées de novembre 2020.
« Situation nationale préoccupante ». C’est sous ce thème que les membres fondateurs de la Coalition pour la démocratie et la réconciliation nationale (CODER) ont été face aux hommes de médias. Il s’agit de Le Faso Autrement de Dr Ablassé Ouédraogo ; l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD) de Hermann Yameogo et le Rassemblement pour un sursaut républicain (RSR) de René Emile Kaboré.
Pour ces membres fondateurs de la CODER, les plus grandes et plus vitales préoccupations du peuple sont autres qu’électorales. Ils estiment que le pouvoir doit s’ouvrir à « un échantillon plus conforme aux réalités nationales, aux diverses forces sociales, aux coutumiers et religieux, et aux partis indépendants ».
- Le président du Rassemblement pour un sursaut républicain (RSR), René Émile Kaboré
En ce qui concerne les élections couplées (présidentielle et législatives) de novembre 2020, Dr Ablassé Ouédraogo et ses « frères de la CODER » pensent qu’il faut des préalables avant d’arriver aux échéances. Il s’agit de « la sécurité et la vie des électeurs ». De son avis, cela constitue « le corps électoral ».
Au cours de cette conférence de presse, le président de l’UNDD, Hermann Yaméogo, a indiqué que la démocratie se dégrade au Burkina Faso. « Je n’ai jamais vu un pays qui fait face à des morts au quotidien, des déplacés, mais on est là à penser aux élections », a-t-il affirmé. Pour lui, il faut d’abord résoudre la question nationale. « Si tout est réglé, allons aux élections », a-t-il déclaré.
- Le président de Le Faso Autrement, par ailleurs président de la CODER, Dr Ablassé Ouédraogo
« Allons tout de suite à la réconciliation nationale »
En plus de la question sécuritaire, les conférenciers ont pointé du doigt le dialogue politique au Burkina Faso. Visiblement, le format utilisé par le président du Faso, Roch Kaboré, n’est pas du goût des membres de la CODER, car ils l’ont qualifié « d’apartheid politique ». Selon Hermann Yaméogo : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections ».
Et ce dialogue national va ouvrir, à en croire les convictions de la CODER, la porte à la réconciliation nationale. René Emile Kaboré du RSR, quant à lui trouve qu’il n’y a plus de temps à perdre. « Allons tout de suite à la réconciliation nationale », a-t-il martelé. Il ajoute par ailleurs qu’aujourd’hui, chaque Burkinabè doit se poser la question qu’est-ce qu’il faut pour résoudre le problème actuel ? La réponse à cette question va, pour sa part, permettre au Burkina Faso d’avoir des bases solides pour la réconciliation nationale.
- Le président de l’Union nationale pour la démocratie et le développement (UNDD), Hermann Yameogo (à gauche)
La question de la réconciliation nationale demeure une conviction pour la CODER, qui depuis sa création le 16 octobre 2016, a jugé cela comme étant une « urgence ». Contrairement à certains avis, le président de la CODER, Dr Ablassé Ouédraogo, a fait savoir que cette coalition « n’est pas un club privé ». C’est pourquoi, il dit rester ouvert aux partis politiques qui partagent les aspirations de la CODER.
Dr Ablassé Ouédraogo a profité de l’occasion pour lever les zones d’ombre en ce qui concerne son parti politique. Selon lui, Le Faso Autrement fait partie de l’opposition mais il n’est pas membre de concertation de l’opposition. Et pour la rumeur selon laquelle son parti voulait rejoindre le regroupement de la classe politique dénommé l’Opposition non-affiliée (ONA), il s’est inscrit en faux.
Lire aussi : Classe politique burkinabè : Et voici constituée l’Opposition non-affiliée (ONA), "l’alternative" !?
Cryspin Masneang Laoundiki
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 4 juin 2020 à 17:57, par Ahmed Jamaal En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Réconciliation avec qui ? Qui est contre qui ? Le peuple a chassé Blaise. Vous Ablassé avez contribué à le faire fuir. Vous avez refusé d’aller apaiser la maman de Norbert jusqu’à ce qu’elle quitte ce monde. Faites une délégation au nom de Blaise et François dans les familles meurtries pour demander pardon. Vous pouvez avoir la liste de ceux qu’on a fait et puis il n’y a rien eu. Vous vous moquez de qui ? Notre héros national qu’on a abattu comme un chien et enterré moins qu’ un chien qu’en dites vous ? Meme pas un cercueil. Vous Ablassé et Hermann avez vous fait un tour au conseil de l’entente pour voir la statue de Sankara ? Nous avons un président élu démocratiquement que vous refusez de respecter . Votre problème c’est le retour de l’ivoirien Blaise qui a peur du gourdin. Du reste il peut se présenter aux élections en Côte d’Ivoire. Ablassé était là pendant l’insurrections les enfants qui n’ont pas connu SANKARA criaient son nom. Réhabiliter notre héros et la réconciliation sera faite d’office. Aussi vous oubliez Dieu. Qui pouvait déboulonner votre homme fort Blaise si ce n’est la main de Dieu.
Le 5 juin 2020 à 02:16, par Moi MEME En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Herman est là encore ? Dites lui de rendre service au peuple et quitter la scene politique.
2. Le 4 juin 2020 à 18:13, par Konkona En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Il faut plutot un dialogue national pour dire a Hermann YAMEOGO d avoir pitie du peuple du Burkna et de rentrer chez lui. Le peuple a besoin d hommes et de fils capables de construire ce pays.
3. Le 4 juin 2020 à 18:54, par lewang En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Tous ces trois réunis peuvent même avoir un député tout simplement parce que pour les deux premiers c’est leur passé versatile et pour l’autre il a une mauvaise communication politique.
4. Le 4 juin 2020 à 19:03, par David En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Non Mr. Herman, le 22 Novembre, les Burkinabè iront aux elections !!! Ces élections nous permettront de savoir qui vaut quoi. Les " djandjobas" à l’image de ce que faisait l’ex dictateur Blaise Compaoré sont terminés.
C’est par les élections que les Burkinabé couperont l’herbe sous les pieds de tous extrémistes politiques et ceux tapis dans les OSC. Nous avons une Constitution qui est notre boussole, notre bible, notre coran. Le Conseil Constutionnel est le garant de cette Constitution. Aucune décision en dehors de celle du Conseil Constutionnel n’est valable. Les opinions personnelles ou privées n’engagent que leurs auteurs. Seule la voie du Conseil Constitutionnel compte et est imposable à tous.
Non au braconnage politique !!!
Ce n’est pas parce que vous êtes devenus des lions édentés que vous allez dire aux autres carnivores de ne pas aller a la chasse.
Retenez une bonne fois pour toute que les élections du 22 Novembre 2020 auront lieu sur toute l’étendue du territoire nationale et au niveau de la diaspora. Chaque parti politique est libre de participer ou de ne pas participer. A l’échelle individuelle, chaque Burkinabè est libre d’aller voter ou de na pas voter. Ceux qui rêvent d’un gouvernement d’union comme sous la dictature de Blaise Compaoré, pour se refaire une virginité politique, c’est peine perdue. Ces genres de machins politiques sont dépassés au BF.
Après le 22 Novembre, nous verrons quel parti politique vaut quoi au BF. Autrement dit, nous saurons réellement quels sont les partis politiques qui sont des baobabs, des caïcédrats, ou des kapokiers, quels sont ceux qui sont des acacias sénégal épineux, quels sont ceux qui sont des arbustes sauvages inconnus des botanistes ? Songez a bien vous préparer, parce qu’on ne gagne pas des élections en passant le temps à vociférer à Ouaga, devant des micros, face aux journalistes.
On se donne rendez vous au lendemain du 22 Novembre 2030. Bonne chance à tous et que ceux qui ont les meilleurs projets pour le BF gagnent !!!
Messieurs de la CODER, vous voyez que l’année scolaire 2019/2020 est particulière a cause de la COVID 19. Mais le BF ne va pas se cacher derrière cette CIVID 19 pour dire qu’il n’y aura pas d’examens scolaire cette année. Tous les examens, du primaire au supérieur auront lieu, pour le bonheur des apprenants, des parents des apprenants, des enseignants et donc de tout le BF.
5. Le 4 juin 2020 à 19:05, par Sidpassata Veritas En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Aaah oui, les élections approchent et comme par le passé, les intermittents de la politique font leur apparition sur la scène politique. Ils ne croient pas que "plus rien ne sera comme avant". Mais ils finiront par se rendre compte que ce n’est plus comme avant, quand il suffisait de parler dans la rue pour passer pour un homme politique alors que l’on ne représente rien dans les urnes.
Pour les Burkinabè, les élections font partie de la solutions aux problèmes qu’ils soulèvent : par les urnes, les citoyens vont renvoyer à leur famille et à leur métier d’origine ceux qui n’ont pas la capacité de régler nos vrais problèmes en politique . Avec les élections successives nous allons renouveler la classe politique, pour mettre les hommes qu’il faut aux places qu’il faut. Ceux qui ne sont pas contents les uns des autres peuvent se voir dans les coulisses pour se réconcilier, ou bien se plaindre en justice pour régler définitivement leurs litiges qui ne nous concernent pas.
6. Le 4 juin 2020 à 20:12, par tapsobayassiriki En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Bonsoir chers lecteurs de Le faso.net, c’est Réné Emile Kaboré ?? celui là qui disait qu’il aimait Blaise ? bon ce sont ses oignons. Je crois savoir qu’il est condamné par contumace dans le cadre du putsch maternel manqué. Si c’est lui pourquoi n’est-il pas aux arrêts. Merci de m’éclairer
7. Le 4 juin 2020 à 20:32, par Cheikh En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Si après s’être à présent blanchi, Gilbert veut qu’on le prenne un tant soit peu au sérieux, il a intérêt à se démarquer très rapidement de cette clique de politiciens fantômes et en perte de vitesse, qui n’a que son trouble passé derrière elle ! Certains se sont fait calculer depuis longtemps et ils le savent, tandis que d’autres s’agitent tout seuls sans personne derrière eux. Alors, qui voulez-vous qui les prenne au sérieux ?
8. Le 4 juin 2020 à 20:32, par Jeune Patriote En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Donc la CODER souhaite que l’on modifie la constitution alors ? Sinon on ne comprend pas pourquoi ils s’opposent à la tenue des élections.
Si nous avons opté pour le modèle démocratique, alors respectons les règles du jeu !
L’article 37 est formel : "Le président du Faso est élu pour cinq ans au suffrage universel direct, égal et secret. Il est rééligible une fois."’.
2015 - 2020
Le 5 juin 2020 à 10:08, par Bazèga Fils En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Ce sont des gens qui savent qu’ils vont perdre les élections. Donc maintenant c’est du poids qu’ils cherchent auprès de la population mais elle doit faire son choix. Toute chose a une comme la vie, quand on dit mandat c’est a base des élections. Des milliards ont été débloqués pour que l’ONI et la CENI se mettent à l’organisation pour les 22 novembre. Qu’ils aillent y sensibiliser leurs militants pour l’enrôlement ça ne dépasse pas ça. Les élections c’est par le peuple et pour le peuple.
9. Le 4 juin 2020 à 22:43, par her, En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
au moment des élections n’ y participez pas si vous trouvez que toutes les conditions ne sont pas réunies parce que le dialogue national que vous réclamez n’est pas fait comme vous le souhaitez.
10. Le 5 juin 2020 à 04:22, par Nabiiga En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Si ce n’est que le retour du Capitaine Blaise Compaoré de son exil doré en Côte d’Ivoire que vous aimeriez tenir votre séance de réconciliation, autant aller le chercher car vous connaissez bien la route d’Abidjan à partir de Ouaga. Je suis las de vous poser la question pour savoir sur quoi nous allons nous réconcilier car qui dit réconciliation, dit guerre. Guerre, il n’y en a pas eu au Burkina donc pas besoin de nous réconcilier. On va se rencontrer pour discuter quoi ?
11. Le 5 juin 2020 à 09:24, par Le Pacifiste En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Hermann Yameogo ferrait mieux de se taire car à chaque fois qu’il ouvre la bouche ou parait dans les médias, il se discrédite davantage.
quant a Ablassé, il ne sait plus ce qu’il veut au juste.
12. Le 5 juin 2020 à 09:46, par Yendabri En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Si Ablassé Ouédraogo est contre l’organisation des élections, il n’a qu’à faire appel à la Cour Constitutionnelle. Personne ne l’en empêche !
Des gens qui n’ont aucune base électorale et qui font du bruit !
Les burkinabé en ont ras la patate de ce genre de politiciens !
13. Le 5 juin 2020 à 09:54, par changeons En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Réconciliation, oui, mais justice d’abord. ceux qui ont commis des crimes de sang et des crimes économiques doivent d’abord payer et demander pardon au famille endeuillées et au peuple burkinabé. Si non, c’est très facile et ça va ressembler à une journée nationale de pardon bis. Blaise a organisé cette mascarade de journée en lâchant des pauvres pigeons dans la nature, mais qu’est-ce qui a changé ? C’est malheureux que ces trois souhaitent un report des élections (ce qu’ils veulent en lisant leur déclaration entre les lignes). Ils ont certainement un agenda caché : ne pas tenir les élections et le président devient illégal obligeant le pays à mettre en place une transition et ils (Hermann, Ablassé et Kaboré) auront une place pour "manger". Des calculs malheureux qui ôtent en eux, toute notion de sagesse. Que Dieu bénisse le Burkina !!
14. Le 5 juin 2020 à 10:00, par Fêrkêbougou En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Qu’est-ce qui empêche les élections ? Si en 5 ans le pays n’a pas pu être sécurisé en combien d années sera-t-il stable pour organiser les élections ? Ou-bien le gouvernement actuel va céder sa place à une transition pour le remplacer ? Car avec le gouvernement actuel même 30 ans au pouvoir rien ne pourra changer en matière de sécurité.
15. Le 5 juin 2020 à 10:04, par Volta Noire En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Tout le monde a compris les ambitions de la CODER. Ils veulent simplement intégrer un gouvernement d’union national à la fin du mandat de RMCK . C’est le seul moyen pour eux d’accéder à la gestion du pouvoir d’État. Ils n’ont pas confiance à eux-mêmes, au regard de leur faible potentiel électoral.
16. Le 5 juin 2020 à 10:10, par Mea Culpa En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Est-ce que sans les élections on va s’en sortir ? Puisse que ceux qui sont au pouvoir ont été incapables de gérer les différentes situations qui ne font que s’empirer. Donc un changement rapide est nécessaire. A défaut de démission, seules ces élections peuvent nous sortir de cette mal gouvernance. Comment vouloir un changement sans élections ? Ou bien vous supportez de voir mourir des burkinabé tous les jours ?
17. Le 5 juin 2020 à 12:48, par billy billy En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Mr. Herman doit rejoindre Mr Koassi Koassi pour sa carte d’électeur en C.I, mais pour le BF il n’a qu’a faire pardon. C’est bon maintenant si plus de trente ans de politique l’on pas suffis qu’il sache que ses petits fils ne pourrons pas le comprendre. En outre sa contribution pour le COVID 19 es ou ?
18. Le 5 juin 2020 à 13:38, par Bigbale En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Les éternels mendiants cravatés se signalent encore. Ils n’ont pas encore compris que leur Dieu Blaise Compaoré est parti pour de bon !! Eeh, les pauvres politiciens, vous ne savez pas que vous totalement dépassés et que votre rhétorique vous rend plus ridicules que jamais ! Il est mieux pour certains ( Hermann, Ablassé et autres aveugles politiques ) d’aller se cacher pour mieux aborder leurs vieux jours. Votre disque est définitivement rayé et si vus voulez la preuve, présentez-vous simplement aux élections pour avoir cette preuve que le peuple vous a vomis. De ce fait, n’empestez l’air du peuple !
19. Le 5 juin 2020 à 16:18, par jeunedame seret En réponse à : Burkina : « Il faut un dialogue national ouvert à tout le monde avant d’aller aux élections », recommande Hermann Yaméogo (UNDD)
Ce CODER et sa suite sont même conscients qu’ils n’ont aucune personnalité. Seuls la presse et les internautes exaltent leur orgueil en lecture écriture. Et ils s’en réjouissent bien. À part ça, c’est anxiété totale pour eux.