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Assemblée générale de l’Union de la Presse Francophone à Bobo

Publié le lundi 15 août 2005 à 09h08min

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L’Union internationale de la Presse Francophone (UPF) a tenu son assemblée générale ordinaire le samedi 30 juillet à la Chambre de commerce, d’industrie et de l’artisanat de Bobo-Dioulasso.

Les cérémonies d’ouverture et de clôture des travaux ont été présidées par le président de l’Union M. Edouard Ouédraogo, directeur de publication de l’Observateur Paalga. Il avait à ses côtés Mme Mafarma Sanogo, M. Noël Dah tous membres du bureau et M. Paul Ismaël Ouédraogo secrétaire général de la commission nationale de la Francophonie. L’ordre du jour de cette assemblée générale était la présentation de l’Union aux nouveaux venus, le bilan des activités de l’union pour l’année 2004 -2005, le rôle qu’a joué l’Union lors du Xe sommet de la Francophonie tenu à Ouagadougou et les perspectives pour l’année 2005-2006.

D’entrée de jeu, le responsable à l’organisation de l’Union M. Alexandre Bakary Sanou a pris la parole pour souhaiter la bienvenue à tous les participants dans la ville de Sya, surtout ceux venus de Ouagadougou et d’ailleurs.

M. Sanou a souhaité que d’autres rencontres comme celle-là qui est la première du genre dans la ville de Sya soient initiées afin de mieux faire connaître l’UPF à ses membres de Bobo-Dioulasso et participer à leur formation continue.

La parole fut ensuite donnée à chaque participant pour se présenter. L’Union internationale de la Presse Francophone (UPF) existe depuis une trentaine d’années. Son siège est à Paris. En ce qui concerne le Burkina Faso, l’Union s’est formalisée d’un bureau qui a été reconnu en mars 1997.

L’Union a souhaité à plusieurs reprises venir à Bobo-Dioulasso car après Ouagadougou, c’est à Bobo-Dioulasso qu’il y a le plus grand nombre de journalistes et de correspondants provinciaux. Le déplacement à Bobo-Dioulasso était prévu depuis les 36es assises de la Presse francophone. Mais cela n’a pas été possible à cause de plusieurs contraintes. Problèmes de véhicule, d’hébergement, de moyens. C’est un peu en compensation de cela que le bureau national de l’Union a fait le déplacement de Bobo-Dioulasso.

Echanger ensemble, faire connaître l’Union et prendre l’engagement pour que dans un avenir proche, l’Union puisse organiser à Bobo-Dioulasso une manifestation ouverte à l’ensemble des professionnels burkinabè, sous régionaux, voire internationaux, tel est le pari des premiers responsables de l’organisation.

L’Union pense, organiser un séminaire pour évaluer l’appui de la Francophonie à la Presse du Sud qui va regrouper des participants venus de pays membres. Ce séminaire, l’Union envisage l’organiser à Bobo-Dioulasso en cas d’obtention des moyens.

L’assemblée générale de Bobo-Dioulasso a permis aux journalistes de mieux se connaître et fraterniser. Les critères pour être membre de l’Union sont : payer régulièrement ses cotisations qui sont de 10 000 FCFA par an, être journaliste et travailler dans un organe de presse.

N.B : Des cartes d’adhésion sont disponibles à Ouagadougou, contacter le directeur de publication du Journal l’Opinion.

A Bobo-Dioulasso, Madame Sita Kam, chef de service à radio Bobo et monsieur Alexandre Bakary Sanou premier adjoint du maire de Bobo-Dioulasso.

Félix Ouédraogo(Correspondant de Bobo)
L’Hebdo

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