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Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

Publié le samedi 5 janvier 2019 à 13h55min

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Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

Le président du Faso Roch Marc Christian Kaboré s’est rendu samedi à Yirgou, village situé à 200 km de Ouagadougou, dans le centre-nord du Burkina Faso, où une attaque terroriste suivie de représailles contre la communauté peulh, ont fait 46 morts, selon un dernier bilan officiel.

Le président Kaboré, vêtu d’un boubou marron aux rayures blanches, est arrivé à Yirgou aux environs de 12h, à bord d’un hélicoptère de l’armée de l’air.

Le ministre en charge de l’Administration territoriale Siméon Sawxadogo et celle en charge de la Solidarité Laurence Marshall, ont accompagné le chef de l’Etat au cours de cette visite surprise.

Agence d’Information du Burkina
Armel Oscar Bayili, Envoyé spécial
NB : photo d’illustration

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Vos commentaires

  • Le 5 janvier 2019 à 14:20, par Le fils du pauvre En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Très bonne démarche, sage décision, mais si c’est un peu du "médecin après la mort". IL était grand temps Président d’aller sur le terrain depuis que le pays est attaqué de tous parts et par diverses sources !!!

    Que Dieu essuie les larmes des familles endeuillées par ce très triste incident qui doit être la dernière dans notre chère patrie !!!

    • Le 6 janvier 2019 à 07:24, par mytibketa En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

      La confusion est le propre de ceux qui attisent la haine entre burkinabe a des fin inavouées.Nous sommes dans une situation ou suite à des assassinats du chef et ses 2 enfants, des représailles ont été menées par des populations outrées par cet acte. Tout en condamnant sans détours ces actes et l’émotion passée l’on doit se demander pourquoi cela est arrivé en dépit des aspects visibles de la cause Au burkina l’incivisme c’est aussi le refus d’aller au fond des choses, d’analyser froidement les causes afin de les éviter..L’incivisme c’est de croire que ça n’arrive qu’aux autres. L’incivisme c’est de croire qu’il y a un burkina pour l’un et un burkina pour l’autre. L’incivisme c’est une juxtaposition mal comprise des ethnies..L’incivisme c’est de croire qu’on peut poser des actes et s’en tirer à bon compte. Personne n’est gagnant dans cette situation pas même ceux qui ont importé le mal dans ce pays.. Aussi c’est en extirpant de nos villages ,nos hameaux ceux qui veulent quelque chose et son contraire que nous arriverons à bout du terrorisme.

  • Le 5 janvier 2019 à 14:25, par Thom Sank En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Médecin après la mort ! Le scénario continue son cours, mais nous ne tomberons plus dans vos magouilles déguisées.

  • Le 5 janvier 2019 à 14:36, par KIENOU En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Je parie que c’est IBK du mali qui lui en a donné l’idée..

  • Le 5 janvier 2019 à 14:40, par caca En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Quelle visite surprise, je n’en crois pas. Disons au moins une première visite après une attaque terroriste en province. Mr le président, Combien coûte un avion de transport et de chars blindés anti-mine pour les FDS ? Je crois à la solidarité des opérateurs économiques burkinabé pourront aider l’armée dans ce sens. Mr le président, à quel moment allez vous prendre le taureau du terrorisme par les cornes ? Étant donné les échecs de vos décisions. Bon courage à vous, car la gestion d’un pays n’est pas comme la gestion d’une entreprise.

  • Le 5 janvier 2019 à 14:45, par Daniel gouba En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    C’est

    bien son déplacement mais nous demandons une tolérance zéro pour tous ceux qui se sont rendus responsables des crimes contre une communauté qu’ils ont retenu coupable sans preuve. Justice pour les victimes de la barbarie des kolweogo. Je condanne t’attaque terroriste, mes condoléances aux parents des victimes et prompt établissements aux blessés. Vive le Burkina vive l’état de droit et non à la justice populaire

  • Le 5 janvier 2019 à 14:45, par Thom Sank En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Démarche sage mais tardive. De ’’ Médecin après la mort ’’ devons nous vous qualifier ? Votre déplacement va peut-être limiter les attroceries à Yirgou mais et ailleurs ? Il est temps d’agir monsieur Kabore , car nous sommes un pays pacifiste mais pas mouton. Nous ne voulons plus compter de cadavres au Burkina Faso en 2019. Mes condoléances les plus attristées aux familles des victimes, Dieu bénisse abondamment mon cher pays.

  • Le 5 janvier 2019 à 15:16, par Jacques En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    "Visite surprise ",quelle visite surprise ? Et ça je dirais que c’est le minimum en tant que chef d’Etat qu’il puisse poser comme acte.Il aurait même dû la faire très avant dès les premiers instants ca aurait pu eviter le carnage.c’est d’ailleurs cette nonchalance des autorités imédiates qui a expliqué ce vendetta ethnocidaire.c’est ainsi on prend son temps on laisse faire et après on vient jouer au compatissants.L’Autorité imediate est à condanner,oú se trouve votre autorité pendant qu’un massacre de ce genre puisse se derouler sur ce territoire où sa gestion vous est confiée ?PAIX AUX Âmes DES DISPARUS

  • Le 5 janvier 2019 à 15:30, par Ahmed En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Soutien fils du pauvre. Tout est politique au Faso. Même Noël de l’ADF a réagi comme si c’était maîtrisable à 100/100. Prions. Rien d’autre.

  • Le 5 janvier 2019 à 15:49, par savadogo abdoul En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Mr le président il est temps que vous vous réveiller maintenant le pays est en danger

  • Le 5 janvier 2019 à 16:16, par Digne ky En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    symbolique on espère que cette visite portera fruits

  • Le 5 janvier 2019 à 16:40, par Timothe Nikiema En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Je Pense Bien Que Les Burkinabes Doivent Eviter Ces Actes De Barbarie Et S Engager Pour Un Burkina Paisible . Vive Le Burkina

  • Le 5 janvier 2019 à 16:42, par Indjaba En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Il aurait demandé pardon aux kolgweogo. Enfin... Demain c’est la messe et le curé prône le pardon. ... Wende wende sauve nous. Moi qui croyais bêtement qu’avec ces genres d’accidents, on allait autoriser nos FDS à ouvrir le feu sur tout groupe de kolgweogo ou De trafiquants qui traverserait nos ville en arme ou sur des engins suspects. RMCK, je suis déçu de ce manque de fermeté. Mais je comprends, simon tient à ses kolgweogo. Retenez néanmoins que ces kolweogo seront à la base de conflit religieux et ou ou ethnique . Que ça soit maintenant ou dans 10 ans. RMCK. Ne soyez pas égoïstes. Le Faso appartient aussi aux burkinabè qui naîtront dans 50 ans donc ne leur préparons pas des bombes aujourd’hui.

  • Le 5 janvier 2019 à 16:43, par merci En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Monsieur le président, vous êtes sage, calme et intelligent. Vous avez un ministre d’État, travailleur et pleines d’idée dans le tête.Mais au niveau de la défense, de la sécurité, de la communication ; de la fonction publique et des finances, il faut vraiment prendre votre courage à deux mains et procéder à un recadrage. Je dirai même de remanier votre gouvernement à plus de 75% pour remettre les burkinabés au travail

  • Le 5 janvier 2019 à 17:07, par DIANDA ABDOUL GOUDOUS En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    MR LE PRESIDENT,ALLEZ-VOUS PASSÉ TOUT VOTRE TEMPS À VISITÉ LES CHOSES EN ACTIONS TERMINÉ.C’EST N’EST PAS LE BON MOMENT.POURQUOI À 14 MORTS VOUS N’ÊTES PAS ALLÉ MAINTENANT À 46 MORTS QUE VOUS DEBAQUEZ LÀBAS,VRAIMENT VOTRE VISITE N’APPORTE RIEN IL FAUT PLÛTOT ENVOYER DES FORCES DE DEFENSES AVEC DES ARMES EFFICACES.

    • Le 6 janvier 2019 à 12:40, par mytibketa En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

      une telle r&action ne fend le coeur car émanant de quelqu’un qui n’a pas tout dit car comme on dit ce n’st pas avec un marteau qu’on tue un moustique.Nous avons à faire à une guerre non conventionnelle avec des gens lâches et qui ne se battent pas à visage découvert sauf dans le cas ou le foulard par mégarde tombe pour dévoiler le fils de Hassane ou Ibrahim..Ils n’acceptent se découvrir que lorsqu’ils sont drogués à mort donc déjà morts.Et ceux qui les y conduisent se prélassent sous des tantes devant un thé chaud et au milieu de cuisses de femmes aussi rondelettes l’une que l’autre..Ni la religion ni le bon sens tout court ne justifient qe tels comportements. Je suggère que dans chaque village et hameau on forme et arme conséquemment les koglweogos et qu’ils soient sur le qui-vive pour ne pas se tromper d’ennemie pour qu’en lieu et place des voleurs de poulets ils s’attaquent aux voleurs de vies.

  • Le 5 janvier 2019 à 17:35, par caca En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Vous jugez rapidement les kolgweogo sans réellement savoir sur ce qui s’est passé à Yirgou. Quelqu’un disait qu’il fallait attendre une enquête pour savoir qui a fait quoi ? La réaction rapide des kolgweogo mossis méritent un grand respect même si dans leur zèle ils sont aller trop loin. Mais c’est ça aussi l’armée. Dans ma formation de sécurité,le formateur nous disaient en qu’à d’attaque l’arrivée des premiers policiers ne sont pas là pour porter un secours aux survivants, mais pour tuer le terroriste. C’est sûr que les terroristes dans leurs fuites se sont assimilés avec la population peulhs qui peut-être n’a non plus compris vite ce qui se passait. Le fait que les terroristes parlaient la langue peulh, et il semble qu’ils ont identifiés dans le village avant le forceps. C’est dur, mais gardons le calme, les kolgweogo ne sont pas les ennemis du peuple. En plus, il convient de parler chaque kolgweogo avec sa réaction car ce mouvement est comme les gilets jaunes en france. Un kolgweogo d’un village est différent d’autre village. C’est le gouvernement la responsabilité de sécuriser la population. Sinon on sait tous la réaction mossi face mal comme les voleurs. Mieux vaut un voleur de demander l’intervention de la police que le vindicatif populaire. Cette réaction des mossis est connu au Burkina. C’est une communauté qui pratique la loi du talion et ne recule jamais devant un fait de société qu’elle estime injuste.

    • Le 6 janvier 2019 à 06:28, par NZ En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

      Mon cher ami ne verse pas de l’huile sur le feu en parlant de réaction des mossis. Nous sommes dans un Etat de droit et tous les citoyens se valent et doivent avoir les mêmes comportements vis à vis des règles de la république. Si la population de l’ouest avait réagi pareillement lorsque le chef d’un des villages et son fils ont été assassinés par tes kolgwéogos, on serait présentement toujours dans une guerre civil. Alors de grâce si vous n’avez pas d’idée pour un vivre ensemble des Burkinabé, ne venez pas justifier l’injustifiable.

  • Le 5 janvier 2019 à 17:51, par Le Burkinabé En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Mobilisons nous pour que chaque burkinabé face une contribution pour l’achat de drone militaires nous en somme capable ne comptont pas sur la G5 sahel ou les français qui utilisent leur drones depuis leur base du Niger et ont les infos et les positions des terroriste . infos qu’il qu’il ne mette pas a la disposition de nos FDS que quand les leur multinationaux sont menacé s

  • Le 5 janvier 2019 à 18:07, par Paul KERE En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Mes Chers Compatriotes,

    Je suis l’un des rares internautes à intervenir sur le forum à visage découvert parce que j’ai toujours assumé mes convictions personnelles et je n’ai jamais, depuis ma tendre enfance, "tourné autour du pot", surtout lorsqu’il s’agit de la défense de l’intérêt général et, en l’espèce, des vies de nos compatriotes qu’ils soient FDS ou civils.

    Il est d’un constat affligeant : Ce n’est qu’après le carnage et le génocide des peulh (qui sont parfaitement nos compatriotes) que le Président du Faso a cru bon de se rendre à Yirgou. C’est une excellente idée, mais cela ne résoudra pas le problème récurrent ni du terrorisme, ni des assassinats sauvagement perpétrés. Hélas ! Cher Frère Rock. Je signe et je persiste : Les autorités politiques actuelles du Mpp n’ont pas encore pris la juste mesure de la GRAVITE de la situation sécuritaire dans notre pays et il convient de le regretter profondément en tant que citoyen burkinabè et pas syndicaliste partisan. Et si vous n’y prenez garde, cette situation impactera durablement le Faso et même du pouvoir du Mpp.

    En préambule, je voudrais m’incliner respectueusement sur la dépouille mortelle à la fois des 6 concitoyens assassinés par les terroristes que devant celles de nos nombreux concitoyens burkinabè sauvagement abattus en pseudo représailles par les kolgl-wéogo (alors qu’en général, le rôle des "kogl-wéogo" est de protéger en police de proximité les populations burkinabè et non faire une quelconque vengeance aveugle). En tout cas, les kogl-Wéogo de mon village assume correctement cette mission sans aucun débordement et il faudrait les féliciter. On ne peut donc pas se contenter à ce stade de demander aux kogl-wéogo de faire pardon, mais de situer les responsabilités ne serait que pour la vertu pédagogique du vivre ensemble...et tout le reste...

    Voici de manière patriotique ce que m’inspire ce génocide que les autorités politiques actuelles de notre pays auraient pu éviter au lieu de faire le "Médecin après la mort" comme les internautes ont bien mis en exergue à travers leur post respectif.

    1. D’une part, tant que le Président du Faso et ses conseillers occultes ou avérés n’auront pas compris qu’il n’y a qu’une SEULE solution à savoir la Réconciliation Nationale ICI et MAINTENANT sans AUCUNE condition, malheureusement, j’ai une grande crainte que cette spirale de la violence aveugle à travers cette guerre asymétrique qui est imposée à notre peuple continuera de le décimer pitoyablement. Exemple : le procès du coup de force de certains militaires du RSP a fait 14 morts. Les suppliciés de Yigou Foulbé sont au nombre de 46 officiellement. Y a pas photo, sans compter le nombre de victimes qui dépasse le chiffre de 200 depuis que le Mpp est au pouvoir.

    2. La responsabilité politique est à ce niveau et à partir de ce génocide, tant que les autorités politiques du Mpp n’organiseront pas une Réconciliation Nationale, toutes victimes, toutes atteintes à l’intégrité de notre territoire seront imputables juridiquement à ce pouvoir du Mpp. C’est une simple logique juridique en application de la responsabilité politique de ceux qui sont sensés protéger le territoire et les citoyens.

    En conclusion, à quand CETTE RECONCILIATION NATIONALE AVEC LERETOUR DE TOUS LES EXILES POLITIQUES QUI NE SE SONT JAMAIS EXILES TOUS SEULS ? Paul KERE, Citoyen indigné du Faso.

    • Le 5 janvier 2019 à 20:22, par jeunedame seret En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

      Merci patron KÉRÉ. Réconciliation, un mot très à la mode !Vous êtes ouvert je crois ; mais en tant que politicien vous parlez avec une apparente diplomatie. Et nous les profanes, la grande masse d’ailleurs, multiplions les préjugés et les frustrations. Et je souhaite que les hommes comme vous KÉRÉ, parlent du mot réconciliation avec sa définition ouverte ; citent clairement les noms des personnes et parties à réconcilier ; affichent les causes et raisons de cette quête ; définissent les méthodes et résultats. Tout ça, juste pour nous garder la bougie mieux éclairée que celle de ROCK. C’est préventif.

    • Le 6 janvier 2019 à 09:19, par Mousso Massa En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

      Les bras m’en tombent. Mais pourquoi ? et en même temps cela ne devrait pas nous étonner ?
      Un homme de droit tel que vous quasi sûr de ses compétences et avec votre réputation cautionne l’existence d’un groupe d’autodéfense et en fait même référence !!!
      A vous lire, Je tombe de haut, de très haut. Pardon, Ôtez votre toge de juriste.
      Mais que diantre vous fait-on tous boire dans ce pays qui va à reculons avec un président et son premier ministre qui déambulent en garibou fani à longueur de temps ?
      Mais vous êtes tous qui ou quoi ? Notre pays est il encore un pays ? la risée de la sous région ? Et vous vous levez le matin vous faite quoi jusqu’au soir ? Vous rentrez chez vous et vous trouvez le sommeil ?
      J’oubliais, vous passez par le bar où autour de plusieurs verres vous refaite le monde pardon le Burkina vu par les mossis ?
      Ras le bol et honte à vous, honte à vous et à vos idées à la con.
      Mais Vous n’êtes pas des hommes. Mais où sont les hommes, les vrais ? ????
      Pauvre Burkina !!!
      Moi je suis une femme, j’ai mal dans tout mon être quand je tourne la tête vers mon pays d’origine, quand je me couche j’entends raisonner dans mes tympans, "ça suffit on ne peut plus laisser ce pays entre leurs mains".
      Mais ne vous en faites pas , "Wakaty serra" et on arrive, tel un rouleau compresseur contre lequel toute votre bande d’égocentriques, piailleurs, crabes dans un panier et incapables notoires ne pourra rien.
      ça n’est plus qu’une question de temps.
      "Digui dan yé dandan yé".

      • Le 6 janvier 2019 à 15:13, par Paul KERE En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

        Madame Mousso Massa, j’ai parfaitement reçu 5/5 votre message.
        Effectivement dans un Etat de droit les groupes de défense n’ont pas leur place.
        Cependant, pensez-vous que le Burkina Faso actuel est un Etat de droit ? Au moment où les braquages étaient légions, les groupes de défense dits kogl-wéogo ont contribué significativement et localement à baisser le nombre de ces braquages. Objectivement, c’est en cela qu’il fallait saluer leurs combats. Leurs combats et leurs existences seraient davantage salués s’ils luttaient efficacement contre les terroristes et non ce qu’ils ont fait à YIRGOU-FOULBE.
        Ce qui s’est passé à YIRGOU est totalement condamnable avec la dernière énergie comme le Président du Faso l’a dit lui-même.
        Ne faites-donc pas une interprétation singulièrement erronée de mes écrits et ne leur donnez pas la teneur qu’ils ne contiennent pas. Ce qui s’est passé à YIRGOU-FOULBE n’est pas seulement une atteinte à l’intégrité physique des peulh, mais de l’humanité toute entière. Croyez-moi.

  • Le 5 janvier 2019 à 18:54, par citoyen LAMBDA En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Tant que le président RMCK ne comprendra pas qu’une de ses faiblesses réside dans son équipe gouvernementale ,la situation ira en s’empirant . Une équipe gouvernementale est formée en tenant compte et du contexte du moment , des défis et enjeux à affronter . Il y a des contextes dans lesquels les fonctions de ministre doivent être confiées à des personnes de devoir, ayant une haute idée de leurs mission et responsabilités N’importe qui ne peut pas conduire une action gouvernementale efficace dans les situations difficiles et délicates telle que celle que le BURKINA FASO vit actuellement . Il existe des hommes aptes à affronter des situations difficiles et à pouvoir les surmonter
    A mon avis ,il urge que le président du FASO, pour être en phase avec la Nation et marquer une rupture radicale avec ce qui se fait jusqu’à présent comme gouvernance , dissolve dans un premier temps tout le gouvernement . Il laisse planer le suspense pendant une semaine à dix jours .Charge les SG de gérer les affaires courantes .Pendant ce temps , comme certains le lui ont suggéré, plonge dans une profonde méditation pour analyser à tête reposée , avec lucidité , courage en dehors de toute influence de courtisans, les gros risques que court notre pays . Cette méditation du président doit aussi concerner les chefs militaires et paramilitaires ,l’organisation de la couverture militaire du territoire national . Le président doit aussi passer en revue ses collaborateurs directs à la présidence du Faso . Du directeur de cabinet ,jusqu’au directeurs techniques en passant par les conseillers spéciaux ,conseillers ,chargés de mission et autres obscurs conseillers . Tout ce monde qui l’entoure est-il vraiment constitué par des femmes et hommes qu’il faut d’un point de vue compétence , expérience ,intégrité ,connaissance des fonctions de l’Etat etc. Il nomme un premier ministre combatif dont le leadership s’imposera à tous les futurs ministres, car objectivement l’actuel PMPKT ne peut plus faire mieux à tous égards . Le président change sans état d’âme au moins 75% des ministres par des femmes et hommes sachant allier sens de l’Etat ,combativité ,expérience et dynamisme . Après le gouvernement ,changer aussi les chefs militaires et paramilitaires par de jeunes officiers plus combatifs . A coup sur ,une telle action redonnera espoir au peuple qui a le moral au talon et rehaussera l’image du président auprès de l’opinion nationale

    • Le 5 janvier 2019 à 22:10, par Seydou sangare En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

      mieux vaut tard gué jamais, je pense la visite est venue, je propose la dissolution de kolgweogo car depuis sa création ils ne vont gué s’en prendre à la population au-lieu d’aller combattre les terroriste.

      • Le 6 janvier 2019 à 13:34, par mytibketa En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

        Face au déficit en hommes de tenues je préconise qu’on encourage la création de koglweogo dans tous les villages et hameaux du pays , qu’une formation militaire leur soit donnée afin d’en faire des supplétifs des FDS. Prévoir une prime d’encouragement pour toute action avérée anti-terroriste Tout pays en guerre en font des éléments pour recueillir des informations et ils sont les premiers à intervenir. Toute personne étrangère dans un village devra montrer patte blanche et les chevauchées à moto doivent être signalées aux FDS de la zone . On voit pointer à l’horizon le nez des faux humanistes et les commanditaires de ce bordel auquel on assiste. Si celà est fait on évitera et les débordements et les règlements de compte.

  • Le 5 janvier 2019 à 19:23, par Adakalan En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Nous osons croire que ce sera la dernière visite sur des scènes de ce genre.

  • Le 5 janvier 2019 à 20:00, par Popo En réponse à : Burkina : visite surprise du pr\xe9sident Kabor\xe9 \xe0 Yirgou, th\xe9\xe2tre d\u2019attaques meurtri\xe8res

    Mr le Président svp prenez un décret pour supprimer les kolweogo celui qui les a crée s conduira le Bf à une guerre ethnique civile et même rébellion le cas de la RCI doit être une leçon apprise les ethnies du Burkina sont très soudées et solidaire il serait plus sage de préserver ce ciment social en supprimant les kolweogo ou en interdisant leur actions abusives

  • Le 5 janvier 2019 à 20:01, par Levis En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    C’est triste de voir un pays comme le nôtre se dégrader de la sorte.

  • Le 5 janvier 2019 à 23:29, par Beou En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Visite surprise ?
    c son devoir avant tout !
    nous l avons voté pour protéger le Burkina,
    gare à lui, s il n y était pas allé !
    encore un discours creux,
    depite je suis,

  • Le 5 janvier 2019 à 23:53, par Ka En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Cette visite est une bonne initiative pour une solidarité nationale contre le mal. Mais dans une situation pareille, je demande aux imposteurs du net de ne pas en profiter pour faire chanter l’exécutif Burkinabé avec la réconciliation sans justice. Par le passé nous avons vu des demandes de pardons a l’stade du 4 Aout avec des larmes de crocodile pour la réconciliation nationale : Mais tuer qui on veut là où on veut dans l’imputé a continué jusqu’à ce qu’ils soient chassés par le peuple. Le Web est un défouloir ou des pyromanes avec des visages découverts, pourtant par derrière avec des autres pseudos, se permettent de manipuler et de dénigrer les internautes de bonne foi. On se connait dans ce site.

    Je suis en contradiction avec des internautes qui veulent parler de la réconciliation nationale à la légère avec des solutions qui les arrangent, en oubliant la justice qui est la base de tout qui nous divise : Car, La première cause qui mine le développement d’un pays, c’est sa JUSTICE ! La première cause qui crée des crises sociales dans un pays, c’est sa JUSTICE. Il faut quitter ce face-à-face mortel pour explorer d’autres voies profitables aux citoyens et non à ceux qui veulent sauver leurs amis exilés, et qui doivent la justice du Burkina et sa société. Le Burkina n’appartient pas à un seul individu, mais a toutes ses filles et a ses fils. Ces exilés sont libres de rentrer chez eux s’ils n’ont rien à se reprocher.

    Les faire revenir ne demande pas de faire chanter un gouvernement avec une réconciliation nationale virtuelle. Revenir au Burkina pour eux c’est simple et possible, pourvu que les assassins payent leurs crimes selon les lois de notre constitution pour apaiser les cœurs des familles des victimes et tout le peuple.

    A notre avocat qui parle a la légère et avec chantage de la réconciliation nationale pour la soudure sociale sachent une chose : ‘’’’La réconciliation est l’œuvre de tous, elle n’est pas l’apanage ni l’exclusivité du microcosme politique ou des lois, qu’il soit ou non représentatif. S’il y a une volonté ferme et clairement revendiquée du peuple à se réconcilier, la réconciliation s’imposera d’emblée aux décideurs et il leur suffira d’en prendre acte.

    Mais tant qu’il subsistera des foyers de haine profonde et viscérale comme on en voit encore, surtout des criminels a la salle des banquets devant les juges en rigolant, et narguant les familles de victimes, la réconciliation ne pourra avoir lieu, surtout si certains de ces abcès purulents comme un avocat avec des chantages au peuple pour sauver ses amis. La réconciliation d’accords, mais la justice d’abords.

  • Le 6 janvier 2019 à 00:00, par ILBOUDO En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Merçi mon Président pour cet acte courageux ;mais je vous demande de ne pas vouloir partir dans des endroits de trouble pour votre propre sécurité parçeque vous n’avez qu’une vie aussi ;alors qu’on a toujours besoin de vous comme Président pour votre courrage ,votre sagesse,votre indulgence.

  • Le 6 janvier 2019 à 01:33, par Denis En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Mes condoléances aux familles des victimes. Que la terre de nos ancetre les recoivent aisement.
    L’heure est grave.
    Êtes vous aussi tombés dans le piège ??
    De grâce ayez un esprit plus ouvert. Pourquoi condamné les kogl weogo ? Avez vous la certitude des faits réels ? Qui est vraiment à la base de quoi ? Si quelqu’un a ses preuves qu’ils les montre. Le kogl weogo est nécessaire pour la tranquillité dans les villages où il n’y a pas de FDS. Vous condamné tout l’ensemble des koglweogo sans preuves. Des paroles raportés vous suffisent ? Cette parole vient elle de qui ? Un peul ou un kogl weogo ? Si tel est le cas en quoi êtes vous mieux que c’est koglweogo qui on réagit de la même manière(c’est à dire sans preuves concrètes)
    Ayons tous la patience d’attendre,de bien s’informer avant de condamner. Si après enquêtes les kogl weogo sont coupable que la loi soit appliquée mais avant évitons de donner la raison à qui ce soit. Que Dieu protège notre chers pays.

  • Le 6 janvier 2019 à 07:42, par wenda ye la faanda En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Moi, je n’ai pas de conseils à donner à quiconque, par contre je dis et je répète en jurant sur les deux livres saints (coran et bible), Ne sera pardonné que celui qui pardonne. Le Burkina est devenu un pays ou le pardon a laissé place à la haine et à la vengeance, le pardon n’est plus le maître mot, ni des autorités politiques même parfois celles religieuses et coutumières. Ils ont tous opté pour deux mots fétiches dont elles seules connaissent les bienfaits : la vérité et la justice. Pourtant tous reconnaissent que seul Dieu connait et fait la vraie vérité et la vraie justice. Nous nous mettons donc à la place de Dieu pour dire la verite et un semblant de justice. La base de la foi est l’amour, mais les outils visibles de mesure de l’amour sont le pardon, la compassion et le partage sous toutes ses formes. L’amour ne connait pas la haine, la vengeance, le règlement par la force et par le sang des différents qui opposent les hommes d’amour. Ceux qui ont initié cette haine collective, cette courroue collective, cette vindicte collective, se trouvent eux même rattrapés par les actes ignobles. On me dira que je suis contre le pouvoir en place, que je suis contre les insurgés ceux qui ont vu juste, qui ont apporté le vrai changement, ceux qui ont pour credo " rien ne sera plus comme avant". Les choses sont pourtant claires. Tout acte pris, surtout collectif qui ne suit pas les commandements de Dieu finit par rattraper le poseur ou les poseurs de cet acte. N’allons pas loin. Beaucoup relativons, certains surtout les insurgés reconnaissent que rien ne va plus au Faso. Ils oublient qu’ils ont posé des actes contraires aux écritures saintes, aux coutumes. Alors qu’ils ne soient pas étonnés de ce qui nous arrive. Vous avez beau fermer les yeux, fermer les oreilles, fermer même les nez pour ne pas humer les odeurs nauséabondes des pourritures de leur acte, malheureusement, ils sont tous poursuivis dans leur âme et conscience comme l’oeil de Caen. Plus jamais ils ne seront tranquilles, ils souffriront tous du mal de la haine, de la vengeance. Les terroristes sont des diables, prêts à tuer sans une cause juste. Ils agissent sur ordre du diable, sans pitié ni compassion. Mais nous qui avions la foi, nous qui nous considérons des bien aimés de Dieu, pouvons-nous poser des actes comme eux, les diables ? La barrière de Dieu est nette, soit tu es avec Dieu, soit tu es avec Satan. Au Burkina Faso, nous avions et la plupart ont choisi d’être du mauvais côté. L’arme pour lutter contre ce fléau reste celui de l’amour qui accepte le pardon, la compassion et la réconciliation. Nulle part vous n’aurez cette vérité tant recherchée, nulle part vous n’aurez cette justice tant attendue. Seules celles de Dieu, miséricordieux sont réelles. C’est pour cela nous souffrons. Car là où le pardon, la compassion et la réconciliation ont foutou le camp, il se trouve que Dieu a foutou le camp dans cette contrée, cette cité, cette région , cette province, cette commune, ce village, ce secteur ou quartier, cette concession et même cette famille. Nous avions la responsabilité de faire revenir notre Dieu parmi nous. Mais il ne reviendra que lorsque nous nous aurons pardonné, réconcilié, il n’existe pas d’autres solutions pour qu’il revienne. Même nos prières ne monteront pas vers lui, tant que ce préalable ne sera pas levé. Alors chers frères burkinabés, le défi à relever c’est de faire revenir DIEU dans notre maison commune. Pardonnez-moi, si je vous ai offensé, offusqué, meurtri mais ce que je dis est une ferme conviction que seule la mort peut m’arrêter mais sans me l’enlever dans mon âme.

  • Le 6 janvier 2019 à 07:57, par Le Forgeron En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    Bonjour,

    C’est déplorable ces attaques mais nous, burkinabè, devons être forts, solidaires pour combattre ces terroristes. Comme le problème religieux du terrorisme a été résolu de manière claire, il faut aussi de la même façon résoudre le problème ethnique de ce terrorisme afin d’éviter de tomber dans le piège des terroristes qui est de mettre les Burkinabè en conflit entre eux. De la manière dont les responsables musulmans se sont démarqués des terroristes il faudrait aussi que les responsables de la communauté décriée se démarquent de ces terroristes et collaborent avec les autorités afin de mettre fin aux soupçons de complicité avec les terroristes.
    Nous sommes tous burkinabè et nous ne devons pas faire la guerre entre nous mais avec les terroristes.

    Que l’esprit de la Paix règne dans les cœurs de tous les Burkinabè.

  • Le 6 janvier 2019 à 17:11, par ouahabou En réponse à : Burkina : visite surprise du président Kaboré à Yirgou, théâtre d’attaques meurtrières

    mr le prési,j’apprecie votre initiative.mais vous manquez de fermeté ds vos dicisions.il faudra railler ces kolgwégos là !ces genres d’incidents arrivent là ou ils y sont.mais regardez vers l’ouest,ça va.

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