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Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

Publié le vendredi 7 décembre 2018 à 16h30min

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Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

Ce vendredi 7 décembre 2018, l’audition du général de brigade Gilbert Diendéré se poursuit. Les échanges entre l’avocat de la partie civile, Me Pierre Yanogo et l’accusé ont longuement porté sur les événements du 16 septembre 2015.

L’avocat de la parie civile, Me Pierre Yanogo est revenu sur la légitimité du Régiment de sécurité présidentielle (RSP), à faire un coup d’État.

Selon l’accusé, le président de la Transition, Michel Kafando pouvait prendre la décision de dissoudre toute l’armée si possible, mais du moment où il a promis de ne pas dissoudre le RSP sous son règne, il devrait respecter cette parole donnée.

Toujours selon le général Diendéré, le RSP se battait pour sa survie, car il y avait quelqu’un en face qui voulait dissoudre le corps afin de "mieux les taper". Pour lui, "c’est ça le problème du RSP".

Donc en cas de problème, le RSP peut faire un coup d’État ? A cette question du Me Yanogo, l’accusé a fait savoir que le RSP était en légitime défense. "Peut-être la manière utilisée ne sied pas", a-t-il affirmé.

Me Yanogo a également demandé à l’accusé si le fait d’arrêter les autorités de la Transition était une mission militaire. A cette question, le général Gilbert Diendéré a répondu par la négative.

Selon Me Yanogo, le président Michel Kafando a considéré Gilbert Diendéré comme une personne ressource en faisant appel à lui en cas de besoin. "Lorsque vous avez appris qu’il a été arrêté, avez-vous cherché à le rencontrer ?" "Non, je n’ai pas cherché à le rencontrer", a-t-il répondu, avant d’ajouter que même la hiérarchie militaire et les médiateurs n’ont pas cherché à le rencontrer.

Me Yanogo a poursuivi pour demander que les médiateurs ont tout de même demandé sa libération. "Ce n’est pas suffisant", réplique l’accusé, avant de préciser qu’il fallait d’abord s’enquérir de ses nouvelles.

Selon Gilbert Diendéré, le président Michel Kafando était déjà arrêté donc la solution était ailleurs, c’est pourquoi, il n’ont pas cherché à le rencontrer et à l’entendre.

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Vos commentaires

  • Le 7 décembre 2018 à 13:40, par caca En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    De mon point de vue, ce procès ne ressemble pas du tout à du professionnalisme. On cherche les aveux dans l’amalgame, et Mr François a raison de ne vouloir se faire extrader vers le Burkina.

    • Le 7 décembre 2018 à 21:24, par ciceron IIeme En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

      M. ou MME caca. Qu"est-ce que tu entends par professionaisme et amalgame . Il faut savoir que le procès tel qu’il se passe fait plutot la part belle a ton idole qu’au peuple meurtri. En ce sens que ce voyou, bandit de grands chemins frauduleusement General fait un a front inoui au peuple par devant ce tribunal auquel il fait obstruction ; s’offrant meme le luxe non seulement de ne pas repondre aux qusetions mais d’en posant. Vous autres devriez etre combles car votre saint Général a cette chance (qu’il n’a donne a aucune de ses victimes) de se defendre devant Juge. Taisez-vous si tant est que vous avez une cervelle dans la boite cranienne.
      Amicalement CICERON IIEME

  • Le 7 décembre 2018 à 13:50, par kapre Miguel En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    Donc c’est pour ne pas perdre ses privilège que le rsp a fait le coup sinon que ceux qui ont rejoint leur régiments d’affection continuent de percevoir leur salaires dus .

  • Le 7 décembre 2018 à 14:57, par ciceron IIeme En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    Sapristi. ..!. Sacre felon ! Bravo de rester comme tu es ne, c’est à dire mechant garcon...OGRE !..Mon general "sainte nitouche",ce que te demandent ces innombrables veufs,veuves et orphelins, c’est que tu leur disent ce que leurs epouses,epoux,meres et peres t’ont fait comme offenses qui aient valu que tu leur voues une telle cruaute. Je ne suis pas a même de comprendre cette attitude de suffisance desinvolte que tu affiches devant la face du peuple meurti. Pour le faire il faut etre inhumain double de malade mental. Mais saches que ta haine pour ce pays et ses habitants ne prosperera pas. Tu penses qu’en mentant et en calomniant tous azimuts, tu peux continuer a satisfaire ton vampirisme . Tu peux garder ce que tu detiens comme verite, le vaillant Burkina saura transcender pour sauvrgarder son vivre ensemble dans la divergence des opinions et ce,dans la diversite.

  • Le 7 décembre 2018 à 15:09, par Jo Bleck En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    Définition de coup d’Etat en français facile.

    Un coup d’Etat est la prise du pouvoir dans un Etat par une minorité grâce à des moyens non constitutionnels, imposée par surprise et utilisant la force. Les auteurs d’un coup d’État, ou putschistes, s’appuient en général sur tout ou partie de l’armée et bénéficient du soutien d’au moins une partie de la classe politique et de la société civile.

    Le coup d’Etat, qui est réalisé par un petit groupe, se distingue de la révolution qui a un caractère populaire et massif.
    Les caractéristiques et étapes des coups d’Etat :
    Le secret de la préparation,
    La conquête ou la neutralisation des organes centraux de l’Etat et des moyens de communication,
    L’arrestation des gouvernants,
    La légitimation du coup d’Etat par un l’approbation d’une nouvelle Constitution, par un plébiscite ou des élections.

    Une des conditions de réussite d’un coup d’Etat est qu’il corresponde aux souhaits de la majorité de l’opinion publique ou qu’il soit compatible avec le contexte international.
    Si ces conditions sont remplis eh bien que la justice face son travail.
    Le pardon appartient au comité de réconciliation.

  • Le 7 décembre 2018 à 15:11, par Jo Bleck En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    Quelques exemples de coups d’Etat :
    1799 : France. Coup d’État du 18 brumaire (An VIII, 9 novembre 1799) de Napoléon Bonaparte
    1851 : France. Coup d’État du 2 décembre, par Louis-Napoléon Bonaparte
    1922 : Italie. Coup d’État de Benito Mussolini (marche sur Rome)
    1923 : Allemagne. Coup d’État manqué d’Adolf Hitler
    1928 : Portugal. Coup d’État du général Carmona
    1936 : Espagne. Coup d’État du général Francisco Franco
    1942 : Algérie française. Putsch d’Alger du 8 novembre 1942 contre le gouvernement pétainiste
    1961 : Algérie putsch manqué d’Alger pour garder l’Algérie française
    1967 : Grèce. Dictature des colonels
    1973 : Chili. Augusto Pinochet renverse Salvador Allende
    1987 : Burkina Faso. Blaise Compaoré renverse Thomas Sankara.

    • Le 7 décembre 2018 à 21:59, par zebasson En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

      Par honnêteté intellectuelle il faut reconnaitre qu’au Burkina Faso il a eu plusieurs coups d"états ont on parle peu :
      - Seiye Zerbo (1980)
      - Jean Baptiste Ouédraogo, CSP-I 1982
      - Jean Basptiste Ouédraogo, CSP-II, 1983
      - La Révolution dirigée par Thomas Sankara , Blaise Compaoré, JB Boukari Lingani, Henri Zongo ; 1983
      - Blaise Compaoré 1987,
      - Blaise Compaoré 1988, assassinat de JB Boukari Lingani, Henri Zongo ;
      - L’insurrection dirigée par le MPP, le balais citoyen, etc...

  • Le 7 décembre 2018 à 16:43, par le courageux En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    En attendant que les pédants étalent toutes leurs connaissances et analyses sur ce qu’ils prétendent savoir. Il faut que le balaie citoyen assure la sécurité du pays. Il faut que le balaie citoyen fasse revenir leur lâche général de deux jours seulement pour qu’ils nous dise où es ce qu’il a mis les armes du RSP les a t il vendu avec ceux qui nous attaquent actuellement ou bien il compte en faire quoi parce que nous sommes inquiets.

  • Le 7 décembre 2018 à 17:56, par Gnongre paré En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    Mon Général ! Avec tout le respect que nous vous devons, nous vous manifesterons notre étonnement quant à votre sortie sur ce terrain. Comme et bien de vos devanciers (Officiers Supérieurs aussi) devant ce Tribunal, chacun de vous observait une certaine prudence au regard des Rapports de force qui ne vous étaient pas favorables, à savoir, que votre fervent adversaire dans cette guéguerre de famille (Zida), de par ses éléments par vous dits incontrôlés semblait être en meilleure position de force qui pouvait lui permettre de vous liquider, tous autant que vous êtes. Alors si vous militaires aguerris, aviez ce genre de ressentiment, que pourrait alors avoir comme inquiétude un civil, Président du Faso fusse-t-il dans des positions similaires quand on sait que votre « Drogué » qu’est Zida était capable du pire pour atteindre ses objectifs ? Nous ne saurons admettre la façon, cette façon dont vous voulez traiter le Président Kafando. Mort et tué par Zida à travers ses hommes (incontrôlés), il ne serait qu’un martyr et cela, pour rien.
    La légitime défense du RSP que vous défendez n’est pas à notre sens avérée car, le RSP n’est qu’un Corps dans une Armée tout comme l’Armée de l’Air et les autres Corps. Cette idée que le RSP s’est faite en se croyant et en faisant croire au burkinabé que c’est lui seul qui fait l’Armée du pays a été par vous organisée. La dépossession des autres Corps d’armes conséquentes au profit du RSP a été faite dans cet esprit. Et, le vrai organisateur ne peut être que vous et vous seul. Blaise Compaoré n’a été qu’un suiviste dans cette affaire. Mieux ! Nous nous posons la question de savoir si Blaise Compaoré n’était pas votre Otage et le Pouvoir, votre jouet depuis l’assassinat de Thomas Sankara qui vous a permis de prendre la tête des choses.
    L’homme en face qui voulait dissoudre le RSP pour mieux taper après sur ses éléments, apparemment vous le connaissiez bien et tout le monde connait que vous êtes un « vrai stratège militaire ». Pourquoi ne vous en êtes-vous pas pris à lui seul, mais plutôt au Président Kafando et ses Ministres pour ne pas dire la plus haute Autorité de la Nation qui vous avait pourtant signifié que durant son règne, il ne dissoudrait pas votre Corps. Vous devriez avoir compris que c’est cette personne par vous dite « en face » qui lui a forcé la main pour arriver à cette semblente contrariété qui vous rebuté.
    Mon Général, depuis le début du procès nous faisions tous les efforts pour vous trouver des circonstances atténuantes vu les négations qu’a multipliées ZIDA en une Année de Transition pour tromper tout le peuple. Mais, plus on avance dans les choses, constat se fait que bons nombre de personnes avaient bien raisons sur nous quand ils concluent de façon anticipée « Que vous être vraiment fautif et auteur de ce qu’on vous reproche, de ce que le pays a connu comme désolations ». Vous décevez beaucoup et nous demandons jusqu’où ira votre cynisme. Dommage quand même.

  • Le 7 décembre 2018 à 19:04, par Kouda En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    le courageux,
    de la part d’un pédant, votre réaction n’est point surprenante.
    Amicalement votre.

  • Le 7 décembre 2018 à 23:16, par SOME En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    « …le RSP était en légitime défense ». Parce qu’il faut maintenant que dans une armée, chaque corps se batte pour sa survie a lui en faisant fi de ce que le chef d’etat major decide ou pire de ce que le chef supreme des armees (le chef de l’etat) decide !!!! quelle conception de l’armee !

    « Michel Kafando pouvait prendre la décision de dissoudre toute l’armée si possible, mais du moment où il a promis de ne pas dissoudre le RSP sous son règne, il devrait respecter cette parole donnée » alors comme il ne l’a pas « respectée » vous decidez de prendre le pouvoir et imposer ce que vous voulez ; vous « oubliez » qu’il est le chef supreme des armees et que c’est lui qui decide, donc vous entrez en rebellion contre lui et vous le destituez pour faire ce que vous voulez
    SOME

    • Le 8 décembre 2018 à 10:10, par Ka En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

      Merci mon ami SOME : Gilbert Diendéré vient de confirmer qu’il a préparé minutieusement son coup d’état a la maternelle dont l’objectif était de mettre un coup d’arrêt à la Transition dirigée par le président Michel Kafando. Il n’y a plus de doute là-dessus, et toi SOME tu as tout dit. Car, son excellence Mr. Michel Kafando étant a l’époque chef suprême des armées, et était maître de dissoudre un régiment criminel qui était le RSP, Diendéré Gilbert n’avait aucun choix de sauver son régiment que d’utiliser les règles criminelles de tous le faiseurs des coups d’états dont la première chose est de dissoudre la constitution pour que le pays devienne une jungle de Bogota, ou on tue qui on veut, là où on veut.
      S’il y a une vraie justice au Burkina, Gilbert Diendéré et tous ses complices meritent la sanction la plus haute de l’histoire des coups d’états de notre pays pas les fusillés comme eux ont fait a Henri Zongo et J.B. Boukary Lingani, mais la perpétuité, car ces criminels ont été pris les mains dans le sac dit flagrant délit.

      • Le 8 décembre 2018 à 19:31, par SOME En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

        Mon ami ka, heureux de te lire J’ai suivi (tu t"en doutes) ces auditions de notre fameux general et tes arguments massues comme tu sais les assener aux pauvres idiots qui croient que le forum est un defouloir pour leur petit ego frustré. J
        Je m’attendais a cette tactique de defense de ce pauvre monsieur qui se dit general, mais pas a voler tellement si bas qu’il se traine par terre. Et dire que c’est eux là qui nous ont terrorisés pendant des decennies. c’est plus qu’un coup d’etat a la maternelle. Heureusement pour nous !
        Oui il y en qui viennent ici sur ce forum sans aucun argument pour semer la confusion dans les esprits alors que djendere ne fait que s’enfoncer tout seul
        J’ai gueté mais vainement la reaction d’un certain avocat emargeant au barreau du burkina et de Navarre mais helas. Il est devenu subitement muet, quand bien meme son nom est cité dans le dossier...
        SOME

        • Le 9 décembre 2018 à 10:26, par Ka En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

          Oui mon ami SOME, avec ce procès nous voyons qu’autrefois il y avait des personnes comme Gilbert Diendéré, était bien étiquettés par leur parcours minable avec des ruses suivis des crimes, surtout soutenus par un avocat qui se croyait plus malin que toutes et tous les intellectuels de notre société. C’est aujourd’hui devant les juges militaires qu’on constate que ces personnes ne sont pas des modèles contrairement à ce qu’on veut nous faire croire avec des grades de général ou avocat a la cour. Ce que ces minables ne savent pas, c’est qu’un criminel demeure toujours un criminel pour le peuple Burkinabé : Comme se réunir un 18 Septembre 1989 a six, parmi, un Gilbert Diendéré, Hermann Yaméogo, et le lendemain Blaise Compaoré a pris sa distance avec ses frères d’armes Henri Zongo, J.B. Lingani en les accusant d’un faut coup d’état, et les fusillés lâchement par un jugement expéditive. En rappelle de tous ceux-ci, nous les internautes de bonne foi, comme font les chasseurs des nazis, nous disons à ces criminels, que nous sommes là pour les rappeler qu’ils ne sont pas des anges, et méritent d’être sanctionner à la hauteur de leurs actes.

          Ces gueux devant les juges doivent être heureux : Car, ni le valeureux Thomas Sankara, ni Henri Zongo ou J.B Lingani n’ont pas eu cette chance d’avoir un jugement pour se défendre. A voir comment ce félon ment devant ces juges en attendant l’autre faut et peureux gradé de la gendarmerie, je ne suis pas convaincu que ce jugement aboutira à ce que le peuple attend. Pour moi, la première chose que ces criminels méritent, c’était de les dégrader et les radiés immédiatement de l’armée pour leur conduite indigne des vrais soldats professionnels. Dans l’armée, on ne peut tolérer l’indiscipline... sauf si elle est encouragée par des minables dits des faux gradés. Un coup d’état qui a causé des morts et des blessés reste un acte criminel, et les auteurs doivent être sanctionnés sévèrement malgré leurs ruses de sauver leur peau. Car, Avec une telle armée de godillots, le Burkina est en grand danger. Mon ami SOME, continuons à apporter nos critiques fondées sur la vérité pour éclairer le peuple, et faire avancer le pays que nous aimons tous. Merci de me lire, Que Dieu te bénisse avec ta famille.

  • Le 7 décembre 2018 à 23:52, par YIRMOAGA En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    Pendant que son RSP avait les armes, le reste de l’armee Se voyait dépossédé de son armement et munition ? Qui détenait les clés de la poudrière ? Pendant que le RSP MAssacrait les mutins à BOBO, voyez vous les conséquences de leur mutinerie ?
    le GAL a mis en place un monstre qui a dessiné des fils valeureux ? Et tous les OFF. valeureux du CNEC, la vraie moule commando, tels que les O. Ousseni, Sere Yaya , BATIONO Jules ETC, sont partis par la faute de GAL qui ne voulait pas des gens intégrés à côté de sa structure ?
    le même monstre allait le dévorer ? On assiste à un mensonge démesuré ?

  • Le 8 décembre 2018 à 01:00, par Le Kolgweogho En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    Après le coup d’Etat le plus bête du monde, voilà le Général dans la défense la plus bête du monde. Très triste pour son généralissime GOLF. Accusant tout le monde à tous vents : c’est ZIDA, c’est la hiérarchie militaire, c’est le général ZAGRE, C’est Mgr Paul OUEDRAOGO. C’est le collège des Sage, ....c’est le Pdt KAFANDO. Faut-il en rire ou en pleurer ? DONC, AINSI, FINALEMENT, CE N’ETAIT PAS LE GENERAL DIENDERE QUI PROTEGEAIT BLAISE COMPAORE, MAIS PLUTOT BLAISE COMPAORE QUI PROTEGEAIT LE GENERAL DIENDERE ?!!!! MAINTENANT je comprends :
    1. le Général DIENDERE est en déclin depuis la fuite de BLAISE COMPAORE
    2. pourquoi le Général DIENDERE n’a pas vu l’insurrection venir
    3. pourquoi ZIDA a pris le Pouvoir
    4. pourquoi le coup d’Etat a échoué
    5. que les capacités du Général DIENDERE n’étaient qu’un mythe
    6. que la toute-puissance du Pouvoir de Blaise COMPAORE n’était qu’un leurre.
    Malheureusement, à travers ce procès, tout est su aujourd’hui. Et cela n’honore point le Burkina Faso installé dans le burkilim.
    Général DIENDERE, …. DOMMAGE …… !!!

  • Le 8 décembre 2018 à 15:37, par Ka En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    Le Kolweogo je confirme : Et tu oublies qu’il voulait accuser son honorable le Moogo Naaba et son excellence le président Roch Kaboré. C’est pourquoi je ne cesse de dire dans mes critiques fondées que ‘’’’quand l’incapacité frappe à la porte de ceux qui se disent grand, il jette l’anathème sur leur entourage : Et ce faut général n’est qu’un manipulateur né, et le peuple Burkinabé le découvre de jour en jour avec ce procès dont il mérite de payer ses crimes dans la ruse.

  • Le 9 décembre 2018 à 16:13, par douteux En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    En tant que homme de droit, Me Kam devrait poursuivre Diendjere en justice pour diffamation. Mais que neni il se contente de dire que c’est parce que Diendjere est un mauvais generale raison pour laquelle il n’a pas pu proteger Blaise contre l’insurrection. Voyez vous bonne gens Me Kam a quelque chose a cacher. Quand on vous accuse d’avoir empocher 100 millions, le minimum c’est de dire que c’est faux si vous etes innoncent. Mais Me Kam fait dans le dilatoire. ; il noye le poisson.

  • Le 10 décembre 2018 à 15:19, par KIRIKOU En réponse à : Dissolution du RSP : Le président Kafando devait respecter sa parole donnée, reproche Gilbert Diendéré

    J’ai bien dit dès le début de l’interrogatoire du général Diendere ,vu sa longue dissertation qui s’apparente à de l’auto défense qu’il allait se mélanger les pédales.On a pas besoin d’être juriste pour voir les décousus dans les récits du général qui ne font que l’enfoncer.

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