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Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

Publié le vendredi 30 novembre 2018 à 12h25min

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Putsch du CND :

A la barre ce vendredi 30 novembre 2018, le parquet est revenu sur le document de la hiérarchie militaire qui demandait au général Diendéré de rendre le pouvoir et reconnaître l’autorité du Chef d’État major général des armées (CEMGA).

Selon le parquet, cette note laissait croire que la hiérarchie militaire n’était pas d’accord avec le putsch. "Quand un homme n’est pas d’accord, il dit NON", a répliqué le général.

Pour lui, il n’y a pas de raison d’écrire quelque chose dans un papier et lui demander d’insinuer.

Pour l’accusé, "dès le 16 septembre, il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer". C’est à partir du 21 septembre 2015 que la hiérarchie militaire lui a retiré le soutien qu’elle lui avait déjà accordé dès le 16 septembre, a expliqué Diendéré.

Golf indique par ailleurs qu’il avait manifesté sa volonté de rendre le pouvoir à la transition dès le 19 septembre 2015.

Revenant sur la cause du coup d’État de septembre 2015, le parquet a demandé à savoir si la dissolution du RSP était le "réel mobile". Le général Diendéré répond : "Je pense que c’est le mobile principal du mouvement d’humeur qui a conduit à l’interruption au Conseil des ministres [du 16 septembre 2015]".

Le parquet dit ne pas comprendre comment les éléments du RSP ont appris la nouvelle de la dissolution du corps du moment où le Conseil des ministres était en cours. " Il y a des moments où les décisions des Conseils des ministres sont connues à l’avance", a répliqué Gilbert Diendéré.

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Vos commentaires

  • Le 30 novembre 2018 à 13:07, par le paysan En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Si la hiérarchie avait dit non, aujourd’hui GOLF allait dire qu’il n’a pas été informé officiellement par une note. Quand un homme ou une femme cultive la crainte et mite autour de soit, c’est de cette manière qu’il récolte les pots cassés. Tu es victime de ta propre "puissance". En son temps, certainement si un militaire disait non au putsch, les soldats de GOLF te faisait certainement et il n’y aura rien. Surtout que tu avais à faire à tes propres promotionnaires qui te connaisse mieux que quiconque surtout avec les évènements passés (des Lingani, Zongo, etc....). Que Dieu inspire et bénisse les juges afin que la vérité jaillisse pour le bien des Burkinabè.

  • Le 30 novembre 2018 à 13:11, par propul En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Lui a eu la chance que lui n a pas donnée á henri Zongo et lingani , il doit remercier la Justice militaire burkinabe qui lui donner la parole , parole qu il refusa a henri Zongo et a Lingani ,

  • Le 30 novembre 2018 à 13:15, par Le convaincu En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volont\xe9 manifeste de la hi\xe9rarchie de s’opposer" (Diend\xe9r\xe9)

    Convaincu que les déballages du général fera mouche dans les quartiers généraux de certains partis politiques et aussi de certains OSC et même l’armée dont les sous vêtements sont en train d’être laves au palais des congrès de Ouaga2000.
    Quelque soit l’issu de ce procès la pente sera difficile à remonter..
    Le général en s’assumant mais a genoux d’autres.

  • Le 30 novembre 2018 à 13:29, par HUG En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Nul n’est au dessus de la loi, quel que soit son rang on peut venir répondre devant la justice. Dans les pays normaux c’est comme cela car pourquoi l’hélicoptère de l’armée est allé chercher du matériel ? qui a donné l’ordre ?

  • Le 30 novembre 2018 à 13:39, par LoiseauDeMinerve En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Pas étonnant si le putsch est qualifié "à la maternelle" avec tel raisonnement venant d’un Gl 2**. Tout le monde savait qu’au burkina le pouvoir était aux mains du trumvirat "Blaise 1, Golf 2, Moukila le tueur 3). Le premier réfugié devenu ivoirien, le deuxième citoyen hybride bénini-ivoiro-français, il ne reste que que le gendre des Diallo, Qui peut te contrarier ici au Faso sans rejoindre aussitôt le monde de l’ombre ou du silence. Bref c’est tout simplement lamentable cette façon de se débattre à travers des raisonnement à la maternelle pour échapper à son destin.

  • Le 30 novembre 2018 à 14:14, par SOME En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Je m’attendais a ce genre de raisonnement et de demarche defensive, mais je me disais qu’il adopterait une certaine stature qui tende vers la hauteur, mais helas, qu’est-ce qu’il vole bas ! A entendre ces gens on comprend mieux comment tout cela a pu se passer dans l’histoire du burkina faso
    SOME

  • Le 30 novembre 2018 à 14:19, par Sanon Karim En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Pour avoir la verité il faut faire venir tout ceux dont les noms ont été cité. Nul n’est est au dessus de la loi

  • Le 30 novembre 2018 à 14:19, par sidbala En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Propul il m’a tout l’ère que tu n’aimes pas l’État de droit. Quand tu parles des défunts nous regrettons tous leur sort. Ce qu’il savoir si c’était toujours l’État d’exception le général n’en serait pas a OA barre pour justifier quoi que ce soit il allait certainement subir le même sort que ceux dont tu parles. Mais nous dans un état de droit qui a ses règles.
    Il faut toujours avoir a l’esprit que ce n’était pas un coup d’État au départ pour moi c’est seulement une bagarre entre ZIDA et son corps d’origine qui aboutit a cette bataille rangée que mal heureusement la politique s’est invitée. Si c’était un vrai coup d’État tel que nous connaissons ha là je pense que ceux qui peuvent aujourd’hui témoigner ne seront pas nombreux.
    Ne comparons pas ce qui n’est pas comparable et prions que le pays se stabilise parce que on ne souhaite pas que pire que le coup d’État nous arrive.

  • Le 30 novembre 2018 à 14:21, par Indjaba En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Son couturier aussi devait répondre car il a assuré le general que son haut était à sa mesure pour que plutard l’on se rend compte que les 2/3 des doigts du général étaient camouflés dans les manches.

  • Le 30 novembre 2018 à 14:32, par Ka En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Comme je le dis très souvent dans mes critiques fondées, ‘’’quand l’incapacité frappe à la porte de ceux qui se disent grand, il jette l’anathème sur les autres.’’’ Le système appliqué par la Hiérarchie militaire au moment du coup d’état le 15 et le16 Septembre 2015, est la réplique des ordres donné au moment de l’assassinat du capitaine Thomas Sankara par Blaise Compaoré maître et chef des armées. L’agissement de la hiérarchie les 15 et 16 Septembre 2015 est la réplique du système instauré par Compaoré et de Diendéré Gilbert dans l’armé de gueux. Le jeu joué par la hiérarchie militaire est légitime même si ça profiter a d’autres d’être aujourd’hui des ambassadeurs hors du pays, cette hiérarchie de l’armée a fait ce qu’il fallait pour amener ces mercenaires a rendre le pouvoir. Je permets a mon petit Ch.... ’’’’le Profane’’’’ de mettre son museau sur ma critique fondée. Merci

  • Le 30 novembre 2018 à 14:38, par Le réaliste En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Messieurs les juges, Est-ce que ce Général vous a remis un document émanant des chefs militaires lui indiquant qu’ils sont d’avis pour son accompagnement ?????????????????? Je pense que non. Croyez-vous si ces derniers avaient donné leur accord, ce fin stratège de Général n’allait pas leur faire signer un écrit y relatif ??????????????????????????????? Je pense que oui. Après son entêtement suivi de l’échec de la médiation, les chefs militaires l’ont maintenant signifié par écrit de remettre le pouvoir et c’est ce document qui est disponible. S’il prétend avoir l’assentiment des chefs militaires pour l’accompagner, qu’il montre la preuve matérielle car c’est ce qui est valable à procès, surtout en matière de coup d’Etat.

  • Le 30 novembre 2018 à 14:40, par Baroudeur En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    C’est normal que le général tienne un tel langage devant le tribunal. Aucun haut grade ne pouvait s’opposer du fait que le général était plus craint que respecté. Il s’est illustré de la mauvaise manière pendant toute sa carrière. Combien de personnes souffrent aujourd’hui ou sont morts pour s’être opposé au "golf". L’Intendant PODA en sait quelque chose. Pour avoir osé dénoncer les malversations qui se sont produites au niveau de l’Intendance, il s’est retrouvé en prison et chassé de l’armé comme un malfrat. Alors qu’il fait partie des cadres honnêtes de l’armée et de la République.

  • Le 30 novembre 2018 à 14:59, par Iphone X En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Trop decevant monsieur General de Blaise Kouassi Kouadio Compaore, Tu as raisonnement plat incoherent pas digne d’un vrai General. Tu ne merites pas ce titre de General de l’arme Burkinabe. Les officiers superieurs de l’arme ton blaguer. Qui pouvait s’opposer au RSP avec sa milice de tueur a gage.
    C’est maintenant que tout le monde peut s’exprimer.
    Regarder les hommes que vous avez tuer a commencer par les Lingani, Henri Zongo…………………...et dernierement le juge Nebie.
    Remercie Dieu que tu nas pas ete empoisonner en Prison ou abattu le jour de l’attaque du camp Naaba Koom
    N’importe quoi

  • Le 30 novembre 2018 à 15:34, par Gwandba En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    une chose me vient en tête depuis le début de la fin de cette bande de nazes qui qui avait prisent le Burkina en otage.
    Plusieurs choses d’ailleurs.
    c’est la preuve que si toutes ces personnes qui sont : Kouakou Blaise le le naze en chef, Diéndéré le cancre en chef, François Kidjo l’idiot et drogué, Achille Tapsoba le mounafica du village des cons en puissance, Salif Diallo le plagieur des idées politique au village des aveugles qui le Burkina, RMCK le poltron fils à papa etc... pour ne cité qu’eux, n’avait pas rencontrer sur leurs chemins le camarade Sankara, il ne seraient pas ce qu’ils sont devenus malheureusement ce qu’ils ont été pour le Burkina.
    c’est sous nos yeux aujourd’hui. leurs médiocrités sautent aux yeux des burkinabès qui se demandent comment ils ont puent se laissés diriger par des médiocres de ce genre ???
    Mais heureusement pour eux, tout a une fin dans ce monde.
    avec une telle manière de se défendre ce général qui mérite plutôt le grade lacrou montre aux yeux des burkinabès et du monde qu’ils ne savaient même pas pourquoi ils étaient là. la seule chose c’est qu’ils ont été là simplement parce que les impérialistes les ont misent pour empêcher le camarade Sankara de libérer son peuple. Eux ne savent pas ce que ça veut dire. comme certains des impérialistes ne son plus de monde, les voilà orphelins de ceux dirigeaient le Burkina à travers eux. tous le monde sera déçu le jour, où celui de Kouakou Blaise va venir car, c’est le plus nul de toute cette bande de nazes.
    cordialement.

  • Le 30 novembre 2018 à 15:58, par Nabiiga En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Dans plusieurs de mes interventions sur ce procès de notre brave général sans colonne vertébrale, je n’ai pas eu cesse d’affirmer que dans tout cela, ce sont les familles de Henrie et Lingani qui sont sorties gagnantes. Dieu on le dit, ne s’endette pas, mais il paie honorablement des dettes. Pourquoi suis-je de cet avis ? C’est bien parce que son arrestation lui a donné la chance de penser à ce qu’il a orchestré contre ces frères d’armes en l’occurrence Henrie et Lingani. Quand il a été jeté sans ménage aucun comme un vilain criminel dans sa cellule, il se serait assis sur son petit lit et se serait dit `’Moi, Gilbert, en prison’, il aurait été dépassé par la réalité et aurait pensé à tous ces forfaits en commençant par le rôle qu’il a joué dans l’assassinat de Sankara, son role dans l’exécution sommaire pourtant de ceux avec qui il se collaborait , (Lingani et Henrie), son role dans l’assassinat de Norbert, son role dans l’assassinat de Oumarou Clément le brillant intellectuel que nous respectons tous, à ne pas mentionner ce que ceux-ci. Enfin, la chance lui aurait été donné de penser à tous cela. Tout ce qui tourne en rond vient en rond. Aujourd’hui, géant de sa physique, il se pose devant ces juges pour se défendre et même, cherche à se dédouaner en voulant, malencontreusement, impliquer d’autres. Henrie, ne vous (toi et Blaise) a-t-il demandé de leur donner la chance de s’exprimer et tu as refusé car pressés pour les éliminer afin que toi et Blaise vous soyez les maitres de notre pays. Maîtres, en effet, vous aviez été ; et aujourd’hui ? Chaque chose en son temps !!!

  • Le 30 novembre 2018 à 16:14, par sheiky En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Internaute 14 Gwandba, que Dieu te bénisse. Tu as tout dis...
    Leurs niveaus et valeurs ne mérite même la déchéance actuelle dans laquelle ils sont. C’est trop d’honneur pour eux.

  • Le 30 novembre 2018 à 16:30, par EPICURE En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Lui au moins a eu le courage de rester au pays et d’assumer ses actes contrairement à d’autres qui ont falsifié les textes pour se faire nommer GENERAL 4 étoiles au mépris des textes qui régissent l’armée et prendre ensuite des semblants de congé pour se réfugier au canada. Depuis le départ de blaise, il etait constant que la présence de ZIDA dans le gouvernement de la transition causait au peuple insurgé plus de tort et une non finalisation de révolution tant souhaitée, PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT alors qu’on a profité de la naïveté d’un peuple pour se remplir les poches avec des OSC qui se proclamment aujourd’hui défenseurs des droits des victimes ; si ZIDA est un vrai garcon qu’il revienne au pays car personne ne l’a chassé

    • Le 30 novembre 2018 à 17:00, par Razambia En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

      Quel drole de raisonnement Epicure.Si tu as un probleme avec Zida attend une meilleure occasion.Aujourd hui on parle de coup d etat avec le Gal.La haine envers Zida et ses anciens amis est tellement grande que tout les sujets se terminent par son nom.Pardon aujourd hui "La" le sujet c est ton Gal et son coup.Le jour du jugement de Zida on pourra en parler."met ton coeur au frigo".Yakooooo....,..

  • Le 30 novembre 2018 à 16:48, par caca En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Le paquet veut se moquer du général. Quelqu’un qui a passé tout son temps dans les palais, et vous voulez l’interroger comme un vaurien. Ce n’est pas parce que la direction du vent a changé de destination qu’il faut oublier son origine. Jusqu’à présent le général ne parle pas pour parler. Il sait ce qui l’attend, peut-être une erreur de sa part, mais il demeure quand même intègre. Le général veut montrer le malaise burkinabé. Ces gens qui courent dernières les régimes. Il a également raison de dire que la hiérarchie les a accompagnés depuis le 16, et à partir du 21 il savez également que le coup était perdu pour le RSP. On peut avoir plusieurs réactions sur ce point, mais la vérité jaillir pour permettre la génération future de se positionner.

    • Le 30 novembre 2018 à 18:15, par pauvre diendéré amnésique ! En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

      Quand vous parlez d’intègre, on peut en douter car Golf est milliardaire et ce n’est pas avec sa solde de simple militaire qu’il l’a eu ! Quand on est dans les tous les sales coups de la république bananière à la sauce compaoré depuis 30 ans, cela n’a rien d’étonnant, d’avoir un général de pacotille qui ne veut pas s’assumer tout comme son mentor Blaise devenu ivoirien par l’opération du saint Esprit. Je résume ce général d’opérette est un peureux, un couard et un poltron comme son mentor ivoirien qui n’assume pas leurs actes. S’il avait un peu d’honneur comme d’autres dans le passé, il se serait fait hara kiri !

  • Le 30 novembre 2018 à 17:15, par SOME En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Epicure on te comprend ce que tu veux mais sache que zida est un heros et c’est ce qui t’enerve Il reviendra au pays mais pour te gouverner en vrai fils patriote qui a su sortir le pays d’une mauvaise situation catastrophique ; vous cherchez par tous les moyens de le faire, mais sachez que le peuple l’a maintenant compris ce qui s’est passé et le vrai role qu’il a joué. Alors cessez votre plan de vengeance : le peuple est derriere son sauveur
    SOME

  • Le 30 novembre 2018 à 17:32, par Neekre En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Indjaba, tu ne manques pas d’humour.
    "Son couturier aussi devait répondre car il a assuré le general que son haut était à sa mesure pour que plutard l’on se rend compte que les 2/3 des doigts du général étaient camouflés dans les manches."

  • Le 30 novembre 2018 à 18:04, par Sidwaya Sorgho Gomis En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Chers internautes, n’avez vous pas l’impression que le parquet est entrain de déplacer subtilement le débat ?

    Peu importe que la hiérarchie militaire se soit opposée ou non au putsch. Le problème est qu’il y a eu putsch et c’est de cela que Diendéré est appelé à répondre. Que la hiérarchie militaire se soit opposée ou non, Diendéré n’avait pas le droit de perpétrer un putsch. Après si la justice estime que la hiérarchie militaire ne s’est pas opposée au putsch, c’est un autre problème qui peut et doit également être jugé.

    Mais il ne faut surtout pas nous dire que Diendéré aurait eu raison de faire son putsch parce que la hiérarchie militaire ne s’était pas opposé frontalement. Non et non monsieur du parquet ; nous savons tous que très peu d’officiers supérieurs de ce pays ne doivent pas leurs grades à Diendéré. Mais enfin tirez leçon des faux calculs de la hiérarchie militaire pendant le coup d’Etat, sinon en cas de révolution, c’est des civils qui vous jugeraient et là vous saurez ce que c’est que de juger un général qui se proclame président à la place du président légitime.

  • Le 30 novembre 2018 à 18:28, par Astrid En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Donnez-moi cet homme a epouser. A-t-il une epouse ?
    Car voici un homme, un vrai. Celui qui s’assume, integre et responsable.
    Absolument rien a voir avec les bras casses qui nous gouvernent en ce moment, encore moins les brasseurs de vent que sont les Ka, les Some et consorts, si imbus de la pertinence de leurs petites opinions.
    Qu’avez-vous fait pour le Faso ? Citez vos grandes oeuvres.

    • Le 30 novembre 2018 à 21:18, par Ka En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

      Astrid : Mon œuvre à moi, c’est mon idéal de développement mon pays, et surtout de lutter contre l’impunité et les criminels comme Diendéré et son Complice Blaise Compaoré. Connaissant mon camarade SOME, il a toujours le même idéal que le mien, même si nous avons des différences qui font la richesse de forum. Et Toi Astrid, a part d’écarté tes cuisses pour les criminels pour leur argent sale argent, qu’as-tu fait pour le Burkina ?

    • Le 30 novembre 2018 à 22:05, par Ka En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

      Astrid : On ne provoque pas le vieux Ka par plaisir, sinon tu me trouves : j’ai oublié de te dire que Gilbert Diendéré s’est marié avec une de mes pionnières de la révolution. Policière comme sa meilleure amie Saly, elle est terminé comme secrétaire a la direction du CDR de notre révolution : Je me rappelle les avoir vu attristé a BOBO parmi les pionniers et les pionnière à cause de Thomas Sankara : C’était une grande battante comme fut les Rita Sawadogo, Josephine Ouedraogo, Berndette Palé : elle est allé jusqu’à être député et première dame d’un moment de notre pays. Si tu t’approches de l’homme qui la donnée des beaux enfants, n’importe où elle se trouve, elle viendra te manger cru. C’était une de mes pionnières qui était une vraie libre voué a la révolution, et ce n’est pas son honorable le capitaine Pierre Ouédraogo qui me dira le contraire.

  • Le 30 novembre 2018 à 18:38, par Lefou En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Bonjour
    Je ne comprend pas pourquoi les gens s’attaquent à ZIDA. lui qui a oser risquer sa vie en s’opposant au RSP ?

  • Le 30 novembre 2018 à 19:16, par Nina Poukame En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Razambia, tu as donné une réponse juste a EPICURE qui veut nous embrouiller avec ses histoires fallacieuses de 3
    "Lui (Gilbert Diendéré) au moins a eu le courage de rester au pays et d’assumer ses actes", feignant ignorer que ce faux Général - par ailleurs félon, n’avait pas la possibilité de fuir comme son dieu-sur-terre.
    Comme l’ont dit d’autres internautes, loin de vouloir s’assumer, le faux Général - félon ne veut nullement s’assumer. si non il ne passerait pas son temps à divertir le tribunal avec ses histoires de Zida a fait ceci, les OSC, les hommes politiques, la hiérarchie de l’armée, les dignitaires ayant tenté la médiation ont fait cela et j’en oublie.
    Quant à ceux qui s’indignent de l’absence devant les barreaux de ceux que le faux Général - félon a cités, ils ne perdent rien à garder patience, car les intéressés seront certainement appelés à la barre pour être entendus en tant que témoins et s’il s’avèrent qu’ils ont effectivement une quelconque responsabilité dans le coup, il seront inculpés et jugés comme il se doit.

  • Le 30 novembre 2018 à 19:54, par Par la star en reponse a:putsch du CND:il n’y avait pas une manifeste volonte de la hierarchie de s’opposer(diendere) En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    golf,un homme dit non quand il n’est pas d’accord.et c’est une femme elle dit quoi ?oui,je crois.et toi comme tu es une femme c’est pourquoi tu as dit oui a un coup de d’etat q les jeune soldat ont fait sans au prealable au courant.si tu etais un hoe tu aurais dit non.ou bien tu avais peur d te fair dja par les voyous q tu as allaite.si c’est la la peur sach q l CEMGA a aussi a cett peur.s’il disait ouvertement non n’allais tu pa envoyer tes voyous la aller regler sn cas ?le geste du CEMGA ON APPELL CA LA STRATEGIE D LA TERRE BRULEE.

  • Le 30 novembre 2018 à 20:16, par le courageux En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volont\xe9 manifeste de la hi\xe9rarchie de s’opposer" (Diend\xe9r\xe9)

    Au regard de la situation du pays dans son ensemble où personne n’a le sens d’une bonne lecture des choses je reste persuadé que nous allons désenchanter.
    Terrorisme vie chère banditisme viols ect....
    Le MPP et son gouvernement ont leur jour qui son compté. 2019 sera une année de débandade générale.
    Plus de la moitié du pays n’est plus sous contrôle. Les FDS ont le moral aux talons. Pendant qu’on les tue comme des mouches les gouvernants trouvent des raisons pas du tout catholique pour dire qu’ils savent qui organise les terroristes.
    Du président du ministre de la sécurité du premier vice president de l’assemblée nationales et bien d’autres personnalités ont osé dire des balivernes de la sorte.
    Tous ceux qui alimentent les réseaux sociaux de mensonges de haine de l’autre n’ont qu’à bien se tenir parceque le vent va bientôt tourner de sens et chacun va répondre avec beaucoup plus de lucidité de ses propos.
    L’État de droit ne saurait se comparer à l’État d’exception.
    La recomposition sociale du pays reste la clé de succès pour les générations a venir.
    Le peuple a été chapeauté depuis la nuit des temps par les pouvoirs traditionnels religieux et bien d’autres qui finalement avec le temps n’ont pas su jouer le rôle qui le leur.
    Résultat le régionalisme pointé son nez à travers les milices d’auto défense qui aujourd’hui sera le diable qui rentrera dans la maison entretenu et alimenté par le gouvernement du MPP et ses alliés. Que chacun se tienne près parce que les mouvements sociaux vont emporter ce régime en plus d’autres paramètres qu’ils ne sied pas d’en parler en 2019.

    • Le 30 novembre 2018 à 20:45, par Razambia En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volont\xe9 manifeste de la hi\xe9rarchie de s’opposer" (Diend\xe9r\xe9)

      Le courageux on comprend ton amertume.Tu as tout perdu comme avantages indus et tu enrages.Pauvre de toi.Ton souhait aujourd hui que tout le Burkina brule,mais comme tu n es pas Dieu......Comme quoi quand on perd ses privileges on peut devinir fou.Si le vent tourne met le Burkina dans une bouteille et jette a la mer.C est cette meme betise qui vous pousser a faire le coup d Etat le plus bete du monde.Pour toi si tu fais un coup d etat et echoue qu est ce que l on doit faire de toi ???Va a l ecole de la Democratie pour gagner les election en 2020.Et surtout bonne chance.

  • Le 30 novembre 2018 à 20:30, par pauvre diendéré amnésique ! En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Le costume de président était trop grand pour lui comme si le tailleur avait anticiper le fiasco prévisible avec ce félon de général !

  • Le 30 novembre 2018 à 20:42, par Tiibo En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    K’ils viennent tous repondre a la barre ces laches enfoui dans des tenues même les civils ont lancé un mot dordre invitant les SG de ministeres a refuser l’invite de ce general.

  • Le 30 novembre 2018 à 20:56, par Ka En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Le monde est petit, comme le Burkina est un village avec une seule famille. On se Connait toutes et tous. Même ceux qui se prenaient comme des Dieux sur terre comme Gilbert Diendéré, Blaise Compaoré, ou François Compaoré qui quémandait des 100 francs CFA pour son P50. Et qui l’aura cru ? Un Gilbert Diendéré minablement devant des juges qu’il piétinait a sa guise. Et d’autre se permettent de dire qu’on se moque de lui !

    Ces personnes peuvent aller se faire foutre ! Gilbert Diendéré et Djibril Bassolé doivent savoir que le vent a tourné. Ils doivent se rappeler le traitement humiliant qu’ils nous ont fait subir, nous les responsables du collectif contre l’impunité de David Ouédraogo, Norbert Zongo et autres. Habituellement seuls les criminels et les bandits de grands chemins sont présentés a la télévision la tête rasée. Mais Djibril Bassolé et Gilbert Diendéré, pour faire plaisir à François Compaoré et son Frère Blaise Compaoré, ont rasé les têtes de quelques responsables du collectif et les présenter au journal de 20h. L’effet psychologique escompté d’un tel traitement étant de nous dissuader. Mais c’était sans compter de notre détermination de lutter contre ces criminels en puissance.

    Djibril bassolé et Diendéré Gilbert ont cru frapper fort, mais la détermination du collectif les a obliger de siffler un mi-temps dans cette humiliation. Si je me permets de remuer ce souvenir que le peuple n’a pas oublié en 2000, c’est qu’un borné internaute se permette d’insulter nos honorables juges en les accusant de se moquer d’un accusé nommé Gilbert Diendéré.

    Et si on les rasait ces deux généraux comme ils ont fait aux responsables du collectif ? Ce borné d’internaute aveugle, allait se pendre. Quand on n’est a l’extérieur et on ne connait pas la réalité de son pays, on la ferme : les juges font leur travail. Halidou Ouédraogo est vivant,, il peut confirmer de ce que j’avance.

  • Le 30 novembre 2018 à 21:12, par segue En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Le realiste, je suis daccord avec toi. quil montre les preuves ecrites quil avait le soutien de la hierarchie militaire. Pour bouziller LINGANI, HENRI ZONGO,il AVAIT MONTRE des bouts de papiers quaurait griffonne LINGANI

  • Le 30 novembre 2018 à 23:59, par Brahima Sanou En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    La hiérarchie militaire n’existait que de nom au Burkina Faso. Le RSP détenait tout le pouvoir militaire au détriment des Forces Armées Nationales. toute chose qui plaçait même le simple soldat du RSP au dessus des gradés en service à l’État Major et dans les autres camps militaires. Sinon, comment le Lieutenant Zida a pu écarter le Général Nabéré TRAORE pendant l’insurrection ? C’est pour signifier tout simplement que le Général P. ZAGRE n’avait d’autres choix que de suivre Diendéré pour protéger sa tête et sauver sa peau. Mais s’il avait été convaincu que le PEUPLE ne faillirait jamais dans sa résistance,il aurait, dès les premières heures du coup d’état, instruit toutes les garnisons du pays à s’y opposer....je ne suis très inspiré cette nuit donc je m’arrête là

  • Le 1er décembre 2018 à 08:57, par ragnangué En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Morceau choisi : « il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer » (Diendéré)
    SÉRIEUX !!! Mon général, vous rêvez ? Qui était « MORT VIVANT » pour manifester sa volonté de s’opposer à votre milice ? « Sa mère n’était même pas encore née » pour parler comme l’autre.
    Il a manqué trois (3) conditions pour que le coup d’Etat le plus bête du monde réussisse. Je reconnais ce que la mobilisation de la jeunesse, des OSC et des centrales syndicales, …
    1- L’accompagnement de l’armée,
    2- L’accompagnement de la Police,
    3- L’accompagnement de la Gendarmerie.
    Je dis et je persiste que si la Hiérarchie militaire, la Gendarmerie nationale et la Police nationale avaient accompagné ce coup d’Etat, comme le prétendent le général DIENDERE ou d’autres personnes, ce coup n’allait jamais fouarer. Les raisons sont simples, aucun de ceux que j’ai cités (Armée, Police et Gendarmerie) n’avait participé au couvre-feu. S’ils avaient assuré le couvre-feu, il n’y a pas de raisons que ça ne marche pas.
    Parce que les éléments de l’Ex-RSP étaient tous seuls assurer le couvre-feu, ils étaient au four et au moulin, jours et nuits. Donc à un moment donné ; ils étaient tous épuisés (puisqu’ils ne pouvaient même pas se reposer) et en manque de carburant, puisque les Stations service aussi ont refusé à un moment de leur vendre le carburant, ils ne pouvaient pas non plus avoir le carburant avec l’Armée régulière. Ces bandits étaient donc dos au mur.
    Si les premiers responsables de ces trois institutions militaires et paramilitaires avaient manifesté leurs volonté de s’opposer au coup, ils étaient morts et enterrés en catimini et le coup d’Etat allait réussir. Dieu nous aime, et dort au Burkina Faso !

  • Le 3 décembre 2018 à 09:55, par Bougoumbarga En réponse à : Putsch du CND : "il n’y avait pas une volonté manifeste de la hiérarchie de s’opposer" (Diendéré)

    Certains camarades internautes, en suite des évolutions de ce procès ont commencé à bien voir et comprendre les choses dans leur réalité. Les évènements tels que déroulés ne pouvaient se réaliser sans l’intervention de certaines personnes, surtout politiques qui ont l’art des magouilles et des machinations. Le montage de cette tentative de « putsch » est si grossier que le commun des mortels a fini par le qualifier « d’infantile » en comparaison aux coups antérieurs vécus dans notre pays et dont les justifications furent, on ne peut, claires et bien compréhensibles.
    Ce furent :
    • La mise à profit des « Luttes syndicales » orchestrées par un parti (RDA) contre l’Opposition d’alors composé du parti du Lion (PRA) le 06Janvier 1966 ;

    • Puis, ce fut la Lutte menée par le MLN, le PAI et le PCRV pour exclure de la chose, le RDA en faisant partir le Régime Lamizana au profit de celui du Président Saye Zerbo après le refus du Général Zagré, à l’époque Commandant des Forces Armées

    • Ensuite, ce fut la Lutte interne entre le MLN, le PAI et le PCRV qui a vu l’écartement du MLN et du PCRV par le PAI à travers les mésententes entre les jeunes Officiers et les doyens d’âge sciemment orchestrées par les politico-civils d’alors qui a amené au renversement du Colonel Saye Zerbo et son Régime au profit des plus jeunes Officiers dirigés par Mr. J.B. Ouédraogo (CSP 1 & CSP 2)

    • Suivi du coup réalisé par l’aile dur des Jeunes Officiers (Thomas Sankara, Blaise Compaoré, Henry Zongo, Lingani et autres) qui a vu le départ du Régime de JBO au profit de celui du CNR dirigé par le Président Thomas Sankara qui a été le premier Régime à verser du sang sur notre Territoire National ;

    • Et enfin, ce fut une lutte entre frères d’armes et camarades de lutte qui, intervenue en 1983, a vu l’élimination de ThomSank (04 Août 1983), de Henry Zongo et Lingani au profit de Blaise Compaoré qui, par des exécutions à tour de bras a pu et su rester aux Commandes 27 années durant en se reposant sur cette milice déguisée que fut le RSP qui terrorisait le peuple. Le peuple, désabusé et excédé a fini par mettre à la porte, ce Régime en Octobre 2014.
    Les modes d’exécution de tous ces Coups d’Etat furent clairement compris par la population quand bien même, bon nombre de personnes d’entre elle (population), n’ont pas ce qui s’est déroulé.

    Cette tentative de putsch du 15/09/2015, de par ce qu’on a su à ses moment, tout portait à croire que celui-là ou ceux-là qui l’ont réalisé ont été limités dans leur réflexion, sinon ont manqué de jugeote dans sa réflexion. Et pourtant ?
    Les plus analystes et les plus avertis avaient soupçonné la présence dans cette affaire de « personnes insoupçonnables » (jusqu’à preuve du contraire). Les vieux briscards de la politique nationale et les bonzes des 27 ans de la gouvernance du CDP, les opportunistes leaders qui ont su savamment exploiter la nécrophagie qui a amené à la mort du Président du CNR, les opportunistes militaro-civiles qui ne peuvent exceller que dans les milieux/systèmes de répression et les enfants d’anciens responsables qui par manque de capacités propres, estiment que seules leurs familles sont élues pour diriger le pays etc. etc. par exemple que le présent procès est entrain de porter à la lumière des gens.

    Très avertis, tous ces lascars ont su rechercher et trouver la personne la plus indiquée pour cette tâche. Personne lunatique et rêveuse, une certaine personne (YIZ) se voyant Président du pays, peut-être à lui prodigué par son Pasteur, n’a pas hésité à : i)-créer la zizanie au sein de son Corps d’origine parce que, connaissant que les éléments qui le compose sont faits de drogués et d’assassins capables de tout, puis en face, celui-là qui est à la base de leur création et qui, orgueilleux ne saurait accepter qu’on lui fasse ombrage ou brûler sa politesse ; ii)-se jouer de ses supérieurs couards et pas assez décisifs pour usurper ce qu’il n’a pas droit (la Présidence du pays) ; iii)-les preuves dont on n’a besoin d’aller loin pour chercher des faits qu’on dans le box des accusés, bon nombre d’entre eux, puis, l’exfiltration (constatée) de certains de ceux-là qui parmi les Officiers Supérieurs au moment des faits ont été cités pour des faits et déclarations pour lesquels ils doivent donner des explications simplement parce qu’ils sont « protégés ». Pourquoi ne doivent-ils pas parler ?

    Cette absence confirmée des personnes-clés citées dans cette affaire vient appuyer la thèse que le Régime en place (MPP) doit être impliqué dans ce montage idiot du pusch râté. Sinon, comment expliquera-t-on ces exfiltrations et autres mises à l’abri qui visent à tenir les concernés à l’écart du procès alors que « l’Accusé principal » après avoir accepté la responsabilité de l’Acte réclame à cors et à cris leur présence pour la manifestation de la vérité ? Par finir, nous sommes convaincus que, pour calmer, sinon écarter les « soupçons dans ce sens », il se pourrait qu’au finish, on accepte leur (Zagré, Tarpaga et autres) présence excepté ce « Déserteur (YIZ) » mais sous d’autres casquettes (témoins par exemple) alors que le demandeur les souhaite dans le box des accusés au regard de ce qu’il sait réellement de leur implication dans la mise en œuvre et la réalisation du forfait. Ce qui au bout viendra embrouiller davantage les choses.
    Tout comme il (YIZ) l’a fait avec ses Supérieurs hiérarchiques (tromperies), il a su également embarquer beaucoup de personnes ignorantes de la chose politique et militaire telles ses soi-disant alliés multiformes et civiles (OSC’s) dans des stratagèmes pour accéder au Pouvoir avec en conscience que ses Camarades du RSP, le connaissant, ne le laisseront pas faire. D’où les embrouillages en leur sein qu’il a engagé et surtout su mené. La suppression de ce Corps quoique réclamée par la population tenait plus de ses pratiques inciviques d’alors parce que, puissante et sans véritable contrôle. Mais vu et présenté comme on le découvre à présent, ce ne fut ni la bonne manière, ni la méthodologie qu’il sied. Les conséquences en effet, nous le constatons et constatons surtout toutes les pertes (financières et de compétences) que notre pays a enregistrées. Oui. La Nation a décaissé beaucoup d’argent pour les formations de ces personnes qui auraient pu être déployées sur d’autres fronts de lutte quand on sait que « le Militaire doit être prompte et prêt à servir partout où on l’envoie surtout pout défendre la Patrie ».

    La finalité de tout cela fut de piéger ce Général (Diendéré) dont la peau si l’on poursuit les analyses, était fortement recherchée. Comme on le dit dans un des jargons africains, « lorsqu’on dit qu’un gris-gris est efficace, c’est une hache qui a coupé le bois qui a servi produire le charbon utilisé pour sa préparation ». Mieux, il est dit « Que quand vous vous imaginez fort, la logique recommande de calmer votre ardeur car vous rencontrerez un plus fort que vous un jour ». Donc, observer plus d’humilité.

    C’est dire que le Gl Diendéré s’est retrouvé piégé dans ce jeu macabre parce qu’il a sous-estimé son protégé, son neveu que fut Zida. Pis, lui et son protégé se sont retrouvés dans le piège des « politico-politiciens » qui de nature, sont plus patients et plus tenaces. Il (Gl Diendéré) s’est retrouvé en « bouc émissaire » dans un traquenard savamment tissé par YIZ son protégé qui lui aussi a été piégé par les personnes ci-dessus citées. Et voilà les résultats. Traqué de toutes parts et ce depuis belle lurette, il se retrouve en effet dans sa position actuelle, « d’Agneau sacrificiel » comme quoi, en tant que mères, maman Souris et maman Chatte ont les mêmes soucis de sécurité pour leurs progénitures.

    Pour se dédouaner en effet, le MPP devra expliquer comment et pourquoi de toutes les personnes ayant géré le putsch, c’est le Gl Diendéré qui se retrouve seul au banc des accusés en tant que seul auteur principal du putsch ? Les autres sont passés où car on sait qu’un coup d’état ne saurait être mené seul ?
    Le peuple veut et attend la vérité et toute la vérité ; vérité que le Gl Diendéré (à l’écouter) entend déballer avec la seule condition que toutes les personnes, pour ne pas dire, tous les co-responsables par lui citées soient présentes.
    Plus de Justice « mouta-mouta » où ce sont les innocents qui sont derrière les barreaux alors que les vrais coupables sont libres et vaquent à leurs occupations.
    On veut et on doit tout savoir.

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