LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Soyez un repère de qualité. Certaines personnes ne sont pas habituées à un environnement où on s’attend à l’excellence.” Steve jobs

CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

Publié le mercredi 3 octobre 2018 à 23h35min

PARTAGER :                          
CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

L’association Compétences électorales africaines (CEA) a appelé les parties à la Commission électorale nationale indépendante (CENI) à œuvrer à sauver l’institution pour garantir des élections paisibles, transparentes et équitables. Créée en janvier 2016 pour apporter sa contribution à la consolidation des acquis démocratiques, CEA, qui suit de près la crise que traverse l’institution en charge des élections au Burkina, a donné de la voix à travers une conférence de presse animée ce mercredi, 3 octobre 2018, à Ouagadougou.

CEA est une organisation qui regroupe des professionnels intervenant dans le domaine électoral. Il s’agit donc d’un cadre d’experts d’Afrique qui ont, dans une volonté commune, jugé nécessaire de fédérer leurs connaissances, leurs expériences et de travailler ensemble pour la réussite des processus électoraux au niveau du continent.

« Au Burkina Faso particulièrement, la CENI est au cœur d’une polémique interne qui fait objet de débats tous azimuts. (…). Véritablement, nous sommes face à une situation critique de notre processus électoral et il faut aider la CENI à jouer sa partition où les acteurs assument franchement leurs rôles sans confusion de cadres et sous un serment solennel proclamé et intériorisé », a présenté le président de CEA, Adam Régis Zougmoré, ancien commissaire à la CENI.

C’est pourquoi, après une analyse de la situation, les responsables de CEA ont lancé un appel à l’ensemble des parties à la CENI à œuvrer à faire en sorte qu’en 2020, le Burkina ne reparte pas en arrière à travers son processus électoral.
« Nous avons confiance à l’ensemble des quinze commissaires de la CENI. S’il y a des difficultés, c’est d’interpeller toute la communauté nationale, les personnes ressources, pour trouver une solution », a exhorté en substance le premier responsable des CEA, Adam Régis Zougmoré.

Adam Régis Zougmoré, entouré du vice-président, Prosper Wilfried Bako (à sa gauche) et de la trésorière adjointen Florence Ouattara

Selon les responsables de l’organisation, une démarche sera initiée à l’issue de la conférence de presse, pour aller à la rencontre des parties (majorité, société civile et opposition) aux fins de voir dans quel cadre chacune peut mettre un peu d’eau dans son vin. De façon claire, il s’agit de prospecter l’éventualité d’une mise en place d’un Conseil consultatif pour accompagner la CENI à conduire à bien sa mission. « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », avertissent les conférenciers.

Sur le point relatif au vote des Burkinabè de l’extérieur, M. Zougmoré estime qu’au-delà des débats sur la qualité des documents d’identification, il sied, pour les parties, d’œuvrer à créer les conditions pour des votes apaisés.

Tout en saluant les efforts déjà déployés par l’actuelle équipe de la CENI, l’organisation a exprimé sa disponibilité à apporter sa contribution sous quelque forme que ce soit, notamment dans le domaine de la formation.

Représentée dans huit pays (Bénin, Burkina Faso, Sénégal, Tunisie, République Démocratique du Congo, Guinée-Conakry, Côte d’Ivoire, Togo), l’association CEA a pour missions de former les personnels électoraux à toutes les étapes des processus électoraux (Bridge-Lead), recruter l’expertise nécessaire pour des études dans le domaine électoral, recruter les personnels en charge de l’administration des élections, faire le monitoring des étapes des processus électoraux.
Elle vise aussi à renforcer les capacités des OGE, mettre à disposition un fichier permanent d’experts, partager les bonnes pratiques des pays pour garantir la réussite de l’organisation des élections, assister les OGE qui coopèrent avec l’association et promouvoir l’éducation citoyenne par la formation et la sensibilisation, promouvoir la paix et la justice sociale.


Lefaso.net

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 4 octobre 2018 à 05:12, par Ahmed En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Encore des savants pour jouer au one mens. Dites nous en quoi la ceni n’est pas sur les rails. Les documents de votation sont ils bons ? Faut il L’unanimité des commissaires avant tout ou a une majorité. Dignostiquer franchement la situation que vit la ceni. La formation n’était pas prévue dans l’actuelle ceni ? Et la partie de la classe politique qui crie déjà a la fraude comment les rassurer ? Avec votre experience il faut scruter de fond en comble pour faire éviter ce que vous redoutez

  • Le 4 octobre 2018 à 05:52, par Zapson En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Chapeau à vous. On a comme l’impression que c’est la majorité et l’opposition qui ont des problèmes entre eux. Mais le Burkina Faso ne vous appartient pas pauvres commissaires. Arrêtez ce ping pong pour vous occuper de l’organisation des élections. Si non le pueple vous attend.
    Beaucoup de courage à l’association CEA.

  • Le 4 octobre 2018 à 06:44, par PAK En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Je pense qu’il vous faudra absolument une audience avec le Président de la CENI et les commissaires.
    Le Président Newton Ahmed Barry a de bonnes idées mais la CENI est gouverné par le principe sacerdotal du consensus. Cela veut dire que quelle que soit la pertinence de ses idées, il faudrait en seconde position qu’il travaille à obtenir le consensus des 14 autres commissaires et c’est là toute la faiblesse de NAB. S’il y a, par exemple, certaines innovations moins coûteuses que vous voudriez bien introduire dans les modes opératoires de l’institution, encore faut-il que toutes les sensibilités à vos côtés l’admettent car le terrain sur lequel vous évoluez est politique et très stratégique pour la vie nationale. Jamais des dissensions au sein de la CENI ne sont arrivées à ce point alors qu’on se disait qu’avec l’arrivée de NAB, la CENI pouvait davantage consolider sa maturité acquise après l’élection présidentielle de 2015 qui n’a pas subi de contestation. Dommage qu’on en soit là !

    • Le 4 octobre 2018 à 12:25, par Mafoi En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

      Dans consensus,il y a cons en sus.Explique-moi comment est-il possible que dans une équipe avec des individus aux intérêts tellement divergents,il peut y avoir consensus.En plus ce mot me déplaît trop car à force de le rechercher,on fait toujours du sur place.Comme dans mon précédent post sur le dernier article de ces 5 fumistes sont en mission commandée,si le nouveau code électoral permettait à chaque individu de voter avec du n’importe quoi,ils ne seraient pas sortis du bois mais là,ils sont tous crocs dehors entrain de s’acharner sur une proie trop facile en la personne de leur président.Donc ces 5 crapules font ou feront du Damana Pickass.Wait and see comme disent les Anglais

      • Le 4 octobre 2018 à 18:08, par PAK En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

        Mafoi, c’est dans le contexte qu’on recherche le consensus. Le même consensus a prévalu à l’élection de NAB à la présidence de la structure. Obtenir un consensus nécessite de disposer d’excellentes qualités managériales. Et c’est là tout le problème actuel que vit la CENI.

        • Le 4 octobre 2018 à 19:58, par Mafoi En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

          Il faut arrêter de raconter des âneries car l’élection de NAB à la tête de cette CENI était écrite d’avance en ce sens que la présidence devait revenir d’office aux musulmans après l’épisode de Me Kéré Barthélemy qui était coopté par les catholiques.Tu verras qu’après la parenthèse NAB,on aura sûrement un protestant sinon quelqu’un des bonnets rouges ou des OSC ou je ne sais quoi encore.Alors si c’est ce que tu appelles CONSENSUS,laisse-moi rigoler de l’arnaque

          • Le 5 octobre 2018 à 04:11, par PAK En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

            Mai foi, quand on ne comprend rien d’un mot, on prend l’humilité et la décence morale de discerner ce qu’on vous informe. On ne parle pas d’"âneries" à l’endroit de personnes qui apportent juste des contributions à des débats. La composition de la CENI est l’objet d’un consensus. La rotation dans sa direction a fait également l’objet d’un consensus ; c’est qui permet à tous de dire que le profil religieux du prochain président est déjà connu. Ce consensus se passe entre les acteurs à tous les niveaux et selon l’objet. J’ai cru naïvement cru que vous étiez à la hauteur du débat ; c’est pour cela je n’ai pas eu besoin de vous dire à quel niveau se dégageait chacun des consensus qui ont prévalu a telle ou telle option. Beaucoup de ces accords ont été par la suite transformer en règles de droit. ça ne vous coûte rien de respecter les autres dans le débat. Les réseaux sociaux ne sont pas une zone de non droit.

  • Le 4 octobre 2018 à 07:59, par nignan En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    bonjours à tous.très bonne initiative.il faut sauver le pays à temps avant 2020.cultivons la paix
    merci

  • Le 4 octobre 2018 à 08:02, par nignan En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Bonjour à tous.très bonne initiative.il faut sauver le pays avant 2020.cultivons la paix merci

  • Le 4 octobre 2018 à 08:06, par wadal En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Je me pose la question de savoir qu’Est-ce qui fonctionne correctement dans ce pays-là ? Et on fait semblant de gouverner ce pays ! Si ces gouvernants ne se ressaisissent pas à commencer par le premier responsable de ce pays, je pense qu’il n’y aura rien de sérieux dans ce pays. On n’a toujours pas eu de bons gouvernants depuis la fin de l’insurrection. Il faut qu’on se ressaisisse dès maintenant sinon il sera trop tard. Notre révolution, notre insurrection était à mi-chemin et il nous incombe, patriotes intègres de la parachever car le pays est dans l’abîme totale. Pensez-vous qu’on mérite des gouvernants de cette trempe ? Je ne le pense pas. Tout est improvisation, tout est dilettantisme ! Non, non, on n’en a pas besoin !

  • Le 4 octobre 2018 à 08:18, par ngoonga En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Qui vs a dit que l’institutin a déraillé. Préparer vs seulement à conquerir le pouvoir si vs êtes capables. Je ne suis pas du MPP mais pour le moment avec ses positions c’est pas évident. le pouvoir c’est dans les urnes

  • Le 4 octobre 2018 à 08:19, par LE VILAIN En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Nous sommes dans un pays où chacun fait ce qu’il veut et le plait. Actuel Président de la CENI est le plus mauvais que depuis la colonisation notre pays n’a jamais eu.

  • Le 4 octobre 2018 à 08:23, par walai En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    C’est bien Mme et Mrs de CEA. Seulement votre démarche d’aller vers les parties pour demander de mettre de l’eau dans leur vin ne devrait pas être la première approche. La premiére devrait consister à discuter avec les autres parties (il n’y a que 4 ou 5 commissaires qui officiellement se plaignent) pour avor leur version sur ce qui est dit. je souhaite que ces autres commissaires s’expriment impartialment dans l’intérêt général du pays, car c’est cela qui manque dans nos pays. Rien d’autre. On est déliberemment prêt à mentir pour supporter un ami, un parent ou son parti etc, au détriement de l’intérêt général de la naition. C’est le mal le plus profond de notre.
    Si la majorité des autres commissaires confirme les problèmes soulevés, alors il faut voir NAB pour qu’il revoit sa copie. Toujours "mettre de l’eau dans son vin" juste pour passer sur les problème... C’est ça qui fait que l’on a souvent l’impression qu’un problème est résolu, et pourtant il resurgit quelque tps après. Soyons honnêtes entre nous. Discuter avec tout le monde pour voir si les difficultés sont effectivenment établies. Puisque les problèmes évoqués par les quelque 4 ou 5 commissaires sont techniquement vérifiables. Et, alors, pourquoi tourner autour du pot. Si oui les accusations tiennent, mettons chacun/chacune face à ses responsabiltés et face à la mémoire historique de toute la nation.

  • Le 4 octobre 2018 à 10:05, par Soungalo En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    A dire que Walai ne connaît rien de l’histoire politique du Burkina ou du problème qui est posé. La crise actuelle ne convient pas aux commissaires de la majorité. Ces commissaires auraient préférés voir ceux de l’opposition se taire. Quand aux commissaires de la société civile, ils évitent de se mêler d’un débat qui est purement politique. La personnalité de Newton Ahmed Barry pose problème. Son refus de discuter, de dialoguer et de retenir ce qui fait le consensus est un signe d’une personne à ego surdimensionné. Newton Ahmed Barry n’est ni un Saint, ni un Dieu. Pour rappel, le journal L’évènement a été financé par feu Salifou Diallo. Ce journal à partir duquel avec son acolyte Germain Nana ( qui soupe à l’ASCE), ils ont contribué à animer le débat politique n’a jamais été un journal neutre. Alors, il est à la tête pour servir le Burkina, s’il ne peut pas qu’il remette son mandat

  • Le 4 octobre 2018 à 10:34, par Economiste En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Je suis maintenant convaincu que ce qui se passe au Burkina Faso est une opération de déstabilisation totale du Pays ; mais ce que je ne comprend pas c’est QUI a autant de moyens pour faire ça ?
    Je peux me trompé mais cette crise en gestation au sein de la CENI n’est rien d’autre qu’une préparation de l’opinion à accepter un éventuel rejet des résultats des futures élections en 2020 (si non des canaux moins médiatiques existent pour résoudre les différents administratives).
    Ce que je propose : que tout ceux qui sont contre une déstabilisation du Burkina Faso analysent froidement la situation pour qu’on ne permettent pas à quiconque de discréditer la CENI qui est un model de réussite en matière d’organisation des élection au Burkina Faso.
    J’irai jusqu’à dire que si les innovations du présidents de la CENI ne sont pas acceptées, qu’il laisse tombé ; pas parce qu’il n’a pas raison mais parce qu’il aurait compris que des gens cherchent des prétextes pour légitimer leur rejet des résultats à venir.

    Vraiment tous les Burkinabé doivent mesurer les enjeux et se mettre ensemble pour barrer cette opération de déstabilisation totale du Pays. Malheureusement la grande masse se rend toujours compte après les faits.

    Ne donnons pas la chance à quiconque au Burkina de rejeter les résultats d’une élection présidentielle surtout quand cette personne a autant de moyens.

    QUE DIEU SAUVE LE BURKINA FASO

  • Le 4 octobre 2018 à 10:36, par sidwaya Gomis En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Messieurs du CEA, en pareille circonstance, je crois que la sagesse recommande qu’on travaille en toute discrétion. Il me semble qu’une médiation en toute discrétion ait plus de chances d’aboutir que la démarche que vous êtes entrain d’adopter, à savoir sonner la cloche avant de rentrer en contact avec les protagonistes. C’est juste un avis de profane des questions électorales.

  • Le 4 octobre 2018 à 11:03, par Salif En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Cette façon de procéder de ces messieurs va à mon avis compliquer davantage la situation à la CENI. quand on veut arranger , on ne fait pas autant de bruit.
    Chers messieurs changer votre démarche.

  • Le 4 octobre 2018 à 12:23, par Marie Chantal En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Le mal revient toujours à celui qui le fait. Newton Hamed Bary avait sali le nom de Chérif SY en le traitant d’un "sankariste qui aime les feuilles ou d’un sankariste feuillis". Aujourd’hui plus que jamais il doit être le plus transparent possible. Dans la situation actuelle de la CENI, le combat est politique mais si les financiers ont démissionné, il faut regarder car je doute fort que NAB ne prenne de l’argent plus sale que le Fonds commun.

  • Le 4 octobre 2018 à 15:29, par Isidore En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    Vous deux de l’équipe KERE vous n’avez pas honte, Newton dit que vous êtes Gabegique,vous avez gaspillé l’argent avec un système non efficient selon lui, un fichier électoral squelettique, ROCH mal élu en 2015 avec un fichier illégitime, vous sortez ensemble au lieu de dire la vérité, vous cherchez des points.
    Vous n’aurez rien. Médiateur partisan avec beaucoup de bruit.
    De la sortie de Newton on retient que ROCH est illégitime parce que élu avec un fichier électoral non légitime et squelettique .Au Président de tirer les conséquences de sa non légitimité constaté par le Président de la CENI.
    Le peuple aussi sait qu’il est mal élu !

  • Le 4 octobre 2018 à 16:04, par Koaka Yameogo En réponse à : CENI : « Si on ne ramène pas l’institution sur les rails, ça va être compliqué en 2020 », (anciens commissaires à la CENI)

    On vous voit venir. Ça vous coûte quoi d’attendre la fin du mandat actuel pour retenter votre chance ?

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique