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Bassinko : La cité des espoirs déchus

Publié le vendredi 27 juillet 2018 à 07h50min

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Bassinko : La cité des espoirs déchus

De l’illusion au dépit ! Les veinards qui ont été tirés au sort pour bénéficier des logements sociaux et économiques à Bassinko sont désemparés. Depuis la remise des clés en 2014, certains n’ont toujours pas rejoint leurs « chez-soi » ; les autres, qui ont franchi le pas, vivent un calvaire depuis des années. Pas d’eau, ni d’électricité pour la plupart, encore moins de voies d’accès. Plutôt qu’une cité, certains locataires, réunis au sein d’une fédération, que nous avons rencontrés ce 26 juillet 2018, parlent de « village moderne ».

De hautes herbes sauvages règnent en maîtres sur certains sites du vaste territoire des cités. Des mares devant des logements inoccupés. Des murs qui menacent de céder, des portails au sol. C’est la triste image qu’offre la cité de Bassinko à certains endroits. Pourtant, après un long processus, les plus chanceux, qui avaient bénéficié de cette aubaine à l’issue d’un tirage au sort, se frottaient les mains, pensant rejoindre enfin leurs « chez-soi », tout enthousiastes et fiers.

« Grande fut leur déception de constater que les promesses du gouvernement et de ses partenaires ne sont pas respectées », regrette le président de la Fédération des associations des cités de Bassinko (FAC/BA), Basile Yaméogo. Lasse d’attendre, la fédération a convié les journalistes à venir constater leur calvaire.

Les membres regrettent que les règles fondamentales en matière de promotion immobilière, édictées par la loi N°017-2006/AN portant code de l’urbanisme et de la construction au Burkina Faso, n’aient pas été respectées. Manque d’eau courante sur les sites des promoteurs immobiliers privés (APIB, CGE, Wend-Panga, CBH, PNBF, etc.), manque d’électricité, voiries inexistantes, manque de services sociaux de base. Une seule école primaire de six classes avec en moyenne 90 élèves par classe. En cette saison pluvieuse, les habitants de la cité sont pratiquement sur une île dont l’accessibilité relève d’un parcours de combattant.

Certains « promoteurs privés foulent aux pieds le schéma directeur d’aménagement et d’urbanisme, en exploitant à d’autres fins les espaces destinés à la construction d’infrastructures sociales telles que les écoles, les terrains de sport, les casernes de sapeurs-pompiers », ajoute Basile Yaméogo. Il explique que face à cette situation, des milliers de propriétaires ayant pourtant la clé de leur logement en main, se voient obligés, en plus des coupures dues aux prêts bancaires, de louer d’autres maisons en ville, dans l’attente d’une amélioration des conditions de vie dans la cité, avant d’aménager dans leur maison.

Fabrice Ouédraogo, membre de la Fédération des associations des cités de Bassinko (FAC/BA), note que de multiples rencontres ont eu lieu avec le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme dont il salue la disponibilité. Seulement, ces rencontres ont toujours été creuses. Par exemple sur la question de l’eau et de l’électricité, le ministre leur aurait fait savoir que l’Etat ne peut pas décaisser de l’argent pour que des sociétés, en retour, encaissent les bénéfices.

Pourtant, rappelle Basile Yaméogo, le 14 août 2015, au cours d’une rencontre entre les résidents et le secrétaire général du ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme assisté des responsables de l’ONEA et de la SONABEL, des promesses de viabilisation avaient été faites : l’implantation de quatre bornes-fontaines, l’adduction d’eau potable pour les ménages et l’électrification de la cité en 2016.
Nous sommes le 26 juillet 2018, et de ces promesses, seulement deux bornes-fontaines ont été construites.

« Je réside dans la cité depuis octobre 2016. Nous n’avons pas d’eau. Nous avons été à l’ONEA en vain. Ils nous ont savoir qu’il n’y a pas de tuyaux qui passent dans notre six-mètres. D’office, on ne peut pas avoir de l’eau. Ils disent de patienter et d’attendre Ziga II en 2017. Ce que nous avons fait. On a poursuivi après. Quand on va en janvier, on dit que ça sera fait en mars, jusqu’au aujourd’hui, rien n’est fait », relate une habitante de la cité.

Plus de la moitié des 500 ménages qui ont déjà emménagé dans la cité n’ont pas d’eau, foi des membres de la fédération. À qui s’adresser alors ? « C’est l’Etat qui devrait assurer la viabilisation du site », estime Fabrice Ouédraogo, puisque, dit-il, les promoteurs privés soulignent qu’ils ont déjà rempli leur part de contrat consignée dans le cahier de charges.

Tiga Cheick Sawadogo (tigacheick@hotmail.fr)
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 26 juillet 2018 à 18:15, par molotov En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Des logements sociaux qui n’ont de sociaux que le nom et l’escroquerie politique fumeuse des pouvoirs publics.
    Toujours les mêmes gondwaneries !!!!
    Pourquoi diantre, ça marche ailleurs et non chez nous ?
    C’est quoi le problème au juste ? Regardez en Cote d’Ivoire comment ça marche relativement bien les programme de logements sociaux.
    Si le ministre de l’habitat et le gouvernement n’arrête le laxisme ave. Les spéculateurs voraces fonciers appelés de mauvaise foi ’’promoteurs immobiliers’’, la suite sera désastreux pour eux si la frustration contenu des laissés pour compte de ces programmes foireux fait ’’BOUM’’.
    A Bon entendeur...

    #MOLOTOV

  • Le 26 juillet 2018 à 18:27, par BADRA En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Il n’y a pas que la cité de bassinko. Allez voir au village de bassinko loti 2007, chaque année des décès par suite de noyade à chaque grande pluie. Cette année déjà il y a eu 5 morts. A bassinko village, les populations pensent qu’on les a oublié car en cas de pluie, si vous y êtes vous ne pouvez pas aller au service et si vous êtes au service avec une pluie, il faut trainer en ville avant de rentrer.

  • Le 26 juillet 2018 à 18:39, par brahima En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    je me demande pourquoi ces problèmes ne sont pas encore réglés. ça coute quoi à l’état d’aménager une voie d’un kilometre et demi pour permettre l’accès à la cité. ils ne demandent meme pas une voie bitumée mais une voie bien aménagée avec deux ou trois petits ponts. si c’était une histoire de lotissement, on allait voir toutes les osc de lutte pour le droit au logement venir se mettre au devant des choses, mais là, comme il n’y a pas de parcelle à obtenir… courage à vous !

  • Le 26 juillet 2018 à 19:43, par Sidbewindin SOMANDE En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Que l’État joue sa partition . C’est pas la mer a boire !

  • Le 27 juillet 2018 à 00:32, par Cequejenpense En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Et c’est dans ça ils veulent attribuer encore plus de 1000 logement par tirage au sort à payer en 6 mois maximum ? Bonne chance à ceux qui se sont inscrit. Espérant que la situation s’améliore d’ici là.

  • Le 27 juillet 2018 à 08:14, par La paix En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Franchement, cette affaire devient purement une démagogie politique et populiste à la sauce MPP. Comment comprendre qu’une politique gouvernementale pour remédier à la cherté de la vie et à la promotion du logement se retourne devenir un bisness juteux pour certains ? Pourquoi obliger les gens à se faire escroquer par cette merde de banque Pourrie appelée sournoisement banque de l’habitat dont vous avez refusé de donner les subventions comme convenues ? de 5% comme taux d’intérêt, on est passé à 7% sans même l’avis des concernés. Pour 7,500 Millions vous payerez 13 millions et en plus ; pas d’eau courante, pas de voirie urbaine et même pas d’électricité. Qu’à cela ne tienne, on va encore engager d’autres sentiers (logements des burkinabé de l’extérieurs etc.) alors que les problèmes pour Bassinko ne sont pas réglés et on en appelle même à d’autres souscriptions pour pouvoir juste nous escroquer et spolier d’avantage.
    Papa ROCK, ouvrez l’œil et surtout le bon en réglant une bonne fois pour toute cette affaire infrastructurelle de Bassinko, car vos programmes en faveur des burkinabé sont monnayer par des chasseurs de primes que sont certains Ministres. J’étais parmi les premiers à défendre ce projet mais ma déception est totale mes détracteurs avaient raison. C’est comme si ce ministère ne savait même pas ou, il allait.
    Et quand on les approche, la réponse de leurs initiés c’est : il faut voire avec l’ONEA et la SONABEL c’est à eux leur faute, comme s’ils ne savaient pas que ce sont des sociétés d’Etat et qu’elles devraient être impliquées dans la réalisation de cette politique de logement.
    Vivement, papa KABORE, ayez pitié de ses parents qui se sont sacrifiés pour ces logements et ces vies qui y sont perdues parce que quelqu’un ne fait pas son travail par égoïsme. Ayez enfin pitié des familles qui doivent dormir à ailleurs que dans leur logis parce qu’il a plu ou qui doivent payer 2500f d’eau chaque semaine pour leurs besoins élémentaires. Pour la crédibilité de vos actions mon Prési, faites quelque chose vite et bien.
    C’est un cri d’amertume d’un défenseur de votre programme politique.

  • Le 27 juillet 2018 à 08:30, par wo En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    vous voulez quoi vous donnez les citées a des femmes mariées qui sont avec leur mari a waga 2000 à la zone du bois ou don les maris ont les moyens sauvages et vous faite semblant d’être étonné de leur inoccupation aussi beaucoup de maison ont leur propriétaire en province qui n en ont pas besoin ils les ont prise seulement pour se faire plaisir alors que des familles sont coincées dans des chambres salon elles cherchent seulement une occasion pour s’épanouire

  • Le 27 juillet 2018 à 08:42, par HUG En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Courage à vous car ce n’est pas facile. Moi j’ai une proposition à faire cotiser entre vous et même si c’est 10000 que vous gagnez, faites une délégation pour aller voir le maire central et remettez lui l’argent en disant que c’est votre contribution pour qu’on puisse arranger votre voie pour mettre fin à votre calvaire.

    • Le 27 juillet 2018 à 13:46, par Raogo En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Pourquoi pour la route de FADA et les autres routes vous n’aviez pas demander aux populations de contribuer 10 000 dix mille mais parce que eux ils sont dans les cités ils doivent payer. C’est du raquette pur et simple. Pour quoi dans un même pays on ne traite pas les gens de la même façon ?

  • Le 27 juillet 2018 à 09:16, par Astrid En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Il semble que les propriétaires et résidents de la dite cité se soient mis en association juste pour revendiquer et attendre que l’Etat par exemple fasse les choses pour eux. Ca va attendre longtemps, très longtemps : je suis entrain de construire une maison à Tanghin. La vérité est que j’ai acheté ce terrain par procuration et n’y ai jamais mis le pied. En son temps on m’avait assuré que la zone était viabilisée. À ce que moi je comprends services onea et onatel disponibles. Ma surprise fut grande quand au moment de lancer les travaux on me dit qu’il n’y a pas d’eau dans la zone et que la borne ONEA la plus proche est à moins de 100m. Eh bien faites faire la connection. A l’ONEA, on explique que la borne étant à plus de 50m, il faut une demande spéciale pour le recordement. Démarches kafkaïennes ! On nous dit donc qu’il faut répertorier les propriétaires de parcelles adjacentes et nous mettre en association pour formuler la demande. Travail fastidieux ! Ou alors la seule alternative restante était que je paie 1,2 millions cfa pour le raccordement et qu’à mesure que les voisins feront la connection l’ONEA me remboursera cette somme. Je n’ai pas eu d’autre choix que de payer les 1,2 millions. Le pompon est qu’apres versement de cette somme, nous avons attendu presque deux mois pour que les techniciens de l’ONEA passent installer les toyauteries. Après ils ont disparu 6 autres semaines sans avoir connecté l’eau. Quand on a rappelé pour comprendre ils ont expliqué que nous avons certes payé 1,2 millions mais que c’était juste pour rapprocher la tuyauterie sur notre lot, c’est à dire pour le raccordement seulement. Et qu’on devait en plus payer 122,000 pour la connection elle-meme. Une farce ? Non ils sont sérieux. Pourquoi 122,000 au lieu de 32,000 ? Parce que disent-ils ce sont les frais pour les terrains nus sans maisonnettes. Inacceptable ! Révoltant ! On se déplace à l’ONEA ou on insiste pour payer seulement 32,000. Ce qui fut accepté et reçu délivré. Après le pompon ! que ne fut pas notre surprise quand deux techniciens de l’ONEA en charge de faire la connection reclament a un de mes hommes en cash pour leur poche la somme de 80,000 autrement ils ne se déplaceraient pas ? On demande a comprendre. Ils expliquent que notre connection devant coûter 122,000 parce que le terrain n’a pas de maisonnette, ils se sont arrangés pour faire payer seulement 32,000 au guichet avec l’arrangenent de récupérer le reste en cash sur le chantier. Et que si nous refusons de leur donner les 80,000 ils ne passeront pas. Il faudrait alors qu’on rapasse au guichet payer la différence. Et ils ont eu l’outrecuidance de menacer et de faire du chantage. Bonnes gens, ces petits fonctionnaires ne savaient pas à qui ils avaient affaire. Non seulement j’ai payé 1,2 millions pour la connection. Ils ont mis près de deux mois avant de passer. Et quand ils sont passés ils ne m’ont pas donné l’eau. Il a fallu attendre 6 semaines pour entendre dire qu’il faut que je paie pour ça. Ce que je fais. Et deux quidams se mettent en tête de m’escroquer 80,000 pour leur poche ? Fissa on prend les contacts des deux delinquants qui nient au téléphone avoir formulé une telle demande. Ils se vengent en faisant traîner la connection de deux semaines supplémentaires. Long story short, aujourshui j’ai l’eau. Ce que je ne comprends pas c’est Pourquoi les résidents et propriétaires de la dite cité bassinko ne cotisent pas pour faire faire le raccordement ? Ils sont des centaines et ça ne serait pas la mer à boire. À attendre que l’Etat vienne tout faire pour eux, ils attendront jusqu’aux calendes grecques.

    • Le 27 juillet 2018 à 11:22, par Kaka En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Astrid, tu vois la longueur de ton post, certainement liée à l’étalage des péripéties que tu as dû endurées pour avoir l’eau. Si le terrain est viabilisé, on a pas besoin de tout ça. Et L’état a dit que le terrain est viabilisé, et surtout pas de terrains nus à ce que je sache. Que chacun assume ses responsabilités.... Merci pour la contribution.

      • Le 27 juillet 2018 à 14:56, par Astrid En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

        Hello Contributeur...
        Je comprends que certaines frustrations se tournent contre l’Etat et en appellent a la conscience de ses responsabilites. Car ultimement au bout de la chaine, il y a l’Etat garant de la legalite, du respect de tout contrat social et des droits du consommateur. Les promoteurs immobiliers ont du soumettre leurs projets aux structures etatiques appropriees pour avalisation et approbation. La question que l’on est en droit de se poser est : est-ce que ces services etatiques qui ont approuve le projet se sont assures de la presence du minimum vital, c’est a dire eau et electricite avant que le premier locataire n’amenage sur le site ? Que dit le plan d’offre du promoteur ? Ici ce document s’appelle "offering plan" ou plan d’offre pour une traduction litterale. L’offering Plan est un document tres detaille d’un promoteur immobilier explicitant dans les moindres details ce qu’il offre. Il est d’abord soumis aux services publics competents qui l’epluchent dans les moindres details, font corriger ceci ou cela avant d’autoriser les travaux de construction. Et il est mis a disposition de tout prospect et tout acquerreur qui le fait aussi eplucher en detail par son avocat ou huissier avant signature du contrat d’achat.
        Concernant la cite Bassinko, que dit l’Offering Plan du promoteur ? On suppose que des services etatiques competents l’ont eu, etudie et avalise et autorise les constructions. Ont-ils promis que quand le premier resident amenagera il y aura l’eau et l’ectricite ? Si oui alors le commissaire du gouvernement en charge de la supervision de ce type de projet doit forcer les promoteurs a rendre ces services disponibles et sans delai. Ca ne se negocie pas. Il y a rupture grave de contrat. Les proprietaires en association doivent aussi attaquer en justice le promoteur.
        Si les services etatiques n’ont pas fait leur travail et ont avalise a la hate des projets sans meme prendre le soin de s’assurer que le promoteur mettra a disposition le minimum vital, c’est a dire l’eau et l’electricite avant ou des les premieres occupations, alors l’Etat est laxiste et partage une grande responsabilite dans ce debacle.
        Ceci etant dit, on comprend la frustration des residents et proprietaires. Surtout quand on prend en compte les sommes colossales qu’il faut debourser au Guichet Unique et aux impots pour assurer un titre de propriete. On prefere payer des douzaines de milliards en fond commun a des fonctionnaires alors que certains n’ont meme pas l’eau.
        Sans compter ce qu’il faut comme depenses annexes pour obtenir le permis de construire a Ouaga : j’ai paye 600,000 au labo National pour juste le prelevement et l’etude du sol, des centaines de milliers de francs aux ingenieurs de ceci ou de cela, plan incendie, plan de x ou y. Oui c’est frustrant que l’Etat ne fasse rien et c’est un droit que d’en appeler a sa prise de responsabilite.
        Mais en attendant qui souffre ? Les ministres et autres responsables ont le goudron de leur maison a leurs bureaux, ils ont l’eau et l’electricite avec meme des back-ups qui sont les forages et les panneaux solaires. Ce sont les residents de la cite qui souffrent. Raison pour laquelle ils feraient mieux de cotiser pour faire installer ses services assez rapidement quitte a se retourner contre le promoteur et/ou l’Etat pour remboursement. Ici, gare a un promoteur qui dans son offering plan a promis une piscine, des jardins fleuris, un terrain de basket dans une residence et qui ne tient pas sa promesse. Mal lui en prendrait car la penalite qu’il paiera suite aux proces que lui intenteront les residents lui couterait parfois 10 fois plus que le cout du projet initial non acheve.

        • Le 27 juillet 2018 à 17:23, par Raogo En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

          Le gouvernement doit revoir le circuit des autorisations et des permis de construire pour les maisons à usage d’habitation. s’il faut prendre au moins trois crédits de trois ans pour pouvoir achever sa villa et les frais de dossiers sont compris entre 500 000 et 1 000 000 avec le premier crédit de trois ans le fonctionnaire ne pourra que construire uniquement la fondation.
          Tous le dossier ne doit pas dépasser 200 000 maximum.

    • Le 27 juillet 2018 à 11:31, par Coulibaly Naro Alain En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Votre message confirme les tristes réalités que traverse le pays . Je pense que les habitants de Bassinko vont devoir s’assumer en déballant le dossier et assumer leur responsabilité pour réduire leur difficultés. Croyez vous bien que dans ce pays il y a quelque chose sans rien ?!!
      Je pense qu’il faut arrêter de crier au cité de désespoir. Les habitants de la cité n’ont pas formulé un contrat clair et solide au départ avec les différents acteurs. Chacun était pressé d’obtenir un chez soi en comptant sur un état sur lequel il ne faut jamais compter. A présent le vin est tiré , il faut le boire. Dans ce pays les gens s’attendent trop aux facilités et dès lors qu’il a obstacle chacun commence les dénonciations et ce sont les mêmes personnes qui votent en se fondant sur des promesses électorales.

      • Le 27 juillet 2018 à 14:49, par La paix En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

        ""Dans ce pays les gens s’attendent trop aux facilités et dès lors qu’il a obstacle chacun commence les dénonciations et ce sont les mêmes personnes qui votent en se fondant sur des promesses électorales".Monsieur Coulibaly Naro Alain, vous savez combien ça coute cers maisons avec les tralala de la banque de l’habitat ? ils ne t’ont rien demandé. Si tu ne peux pas les aider comme les autres par les contributions, tu n’es pas obligé de transposer ta aigreur et ta haine pathétique. C’est pas au Burkina seulement qu’on construit des logements sociaux allez-y voire en Guinée, en Cote D’Ivoire etc. Les responsables politiques ont pris un engagements envers le peuple et ils ont assumé. C’est parce que tu n’as pas eu que tu dis des inepties. Le sort du monde est le tien, nous dit la bible.

    • Le 27 juillet 2018 à 14:38, par La paix En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Astrid, il faut savoir que c’est l’Etat qui a menti au peuple en promettant des cités viabilisées à des couts sociaux et c’est le même Etat qui a retenu les promoteurs immobiliers pour l’exécution des travaux. Pourquoi est-ce que c’est le pauvre salarié qui devra payer ? Personnellement, je propose une action en justice contre l’Etat et ses affairistes pour les obliger à non seulement rembourser les frais exposés et à des dommages et intérêts pour non exécution de ses obligations bien sur avec la résiliation de tous les contrats immobiliers des bénéficiaires..
      Ces pauvres gens qui n’ont eu le choix que je confier à l’Etat ne doivent pas souffrir de l’incompétence et de l’égoïsme pertinents des initiateurs de ce projet. On les hache à la fin du mois et vous voulez qu’il cotisent quoi pour quoi ?
      C’est quoi notre problème au Burkina, pourquoi ça marche ailleurs mais quand c’est au Faso, c’est du merdier ? Le président est encore une fois de plus interpelé pour agir de façon efficiente compte tenu de la sensibilité du problème t
      Attention, car trop de merde emmerde.
      Le MPP doit prendre cette question à bras le corps et le résoudre urgemment car c’est un feu de coton qui brule.

  • Le 27 juillet 2018 à 10:33, par BO En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Subitement on découvre qu’il existe une fédération à Bassinko. Quelle honte !. La semaine dernière seulement, ARICBA a fait parler de Bassinko en mobilisant les résidents sans tambour ni trompette pour résoudre le problème de la voie d’accès. Et vous les fédéralistes, citez moi une seule action que vous avez posé comme votre part dans la résolution des problèmes de BASSINKO ? C’est un raccourci que d’organiser une conférence de presse pour camoufler votre désir de sabotage de la lutte citoyenne en cours dans le poel urbain de Bassinko. J’ai eu mon abonnement à l’ONEA et SONABEL en moins de 3 semaines avec 69 000 FCFA pour le courant et 30500 FCFA pour l’eau à BASSINKO, dans la partie CEGECI. La cause des problèmes que vous posez sont bien connus. Pourquoi ne commencez vous pas à demandez à vos promoteurs immobiliers (APIB, Wend-panga, CGE etc.) de respecter d’abord les cahiers de charges ? c’est par là qu’il faut commencer. Pourquoi vouloir toujours être la tête de rat dans ce pays ? .

    • Le 27 juillet 2018 à 12:45, par Prudence En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Je ne sais pas ce qui existe entre vous et cette fédération, mais je pense qu’il serait bien de travailler en synergie pour que les problèmes soit réglés. Dans des revendications, si vous vous combattez entre vous, celui à qui vos problèmes sont destinés réellement, celui-ci vous regardera désormais en plaisantins, et lui il devient spectateur et peut même contribuer à semer la zizanie. Il attendra d’abord que vous finissez vos bagarres inutiles.
      Vous avez réussi pour vous, féliticios, est-ce que vous n’avez pas un problème d’accès ? Pensez-vous que tous y peuvent comme vous ? etc.
      Deux (02) cités qui se regardent face à face, l’une il y a l’électricité (cegeci), l’autre (cge) n’en a pas, pouvez-vous expliquer ? ARICBA est au courant ?, Qu’a-t-elle fait dans ce sens ?
      Ces habitants de ces cités sont tous des enfants de la même patrie, aidez-vous à trouver des solutions.
      Juste ma contribution.

      PP.

      • Le 27 juillet 2018 à 20:19, par BO En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

        Merci beaucoup Prudence, pour ces questions très intelligentes. ARCIBA est avant tout l’association des cités de Bassinko et tous les problèmes sans exception sont prise en compte dans la plateforme d’ARCIBA. Maintenant des individus se disant fédéralistes au lieu de se battre dans les sections pour faire avancer les choses préfèrent pour être la tête d’un rat, c’est à eux qu’il faut demander ’ils savent ce que c’est que la synergie. Bref, je ne voudrais pas m’étaler sur ce non événement mais je reste convaincu que seule l’union sacrée des résidents de Bassinko fera notre force.

        • Le 27 juillet 2018 à 22:17, par Tendem En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

          Mon cher BO, je suis à CGECI mais je reconnais le caractère utile de cette fédération. ARCIBA est en passe de devenir une association à caractère unitil. Apparemment ARCIBA mendie son existence. Sinon pourquoi venir faire de pareil commentaire sur des actions qui contribuent à nous arranger tous ? Excuse moi mais je crains que notre base ne se desokidarise à cause de tes posts. Créer une association est un principe fondamental de la démocratie et si ARCIBA est contre cela, les autres doivent réclamer sa dissolution car c’est contre les règles élémentaires d’une vie harmonieuse. Je suis dans le bloc À si tu veux qu’on en échange.

        • Le 27 juillet 2018 à 22:31, par Salamata En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

          BO, ç’est belle et bien d’ARCIBA créer grâce à un détournement de l’argent des résidents dont tu parles ? N’gaw !!! Ne fais pas dire certaines choses ici.

        • Le 28 juillet 2018 à 07:10, par Résident En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

          BO, soit intelligent un seul jour. Penses-tu qu’une seule association puisse gérer toutes les préoccupations de cette vaste cité ? Du reste, d’où vient que tu renie le droit d’association aux autres ? Il faut voir les choses plus loin que le bout de ton nez !

    • Le 27 juillet 2018 à 16:38, par Oueder En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Pourquoi tant d’ aigreur dans vos propos comme une personne qu’on a envoyé sabotterrain les actions d’un groupe organisé. Vous n’avez rien dis dans votre commentaires car : 1) les résidences sont sortis sur le chantier du cassis sans coloration associative.
      2) personnes ne ni que vous (CGCI) avez accès à l’eau et l’électricité (relisez bien le reportage)
      Arrêtonsde de tout politicien et luttons ensemble pour améliorer notre cadre de vie. Les politiciens passent mais nous sommes condamné à vivre ensemble laba.

    • Le 27 juillet 2018 à 17:26, par Raogo En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      au départ on nous a parler de cegeci mais à l’arrivée on nous a donné Wend-penga

    • Le 27 juillet 2018 à 18:02, par Rambo En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Tu veux qu’on te poste ici les correspondances échangées entre ARCIBA et La Fédération ? Reponds vite on va quitter ici.

    • Le 27 juillet 2018 à 18:05, par Christophe En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      ARCIBA est un rassemblement de franc-maçonnerie maçon et de Rose croix. C’est ceux qui ne savent pas cela qui sont dedans.

  • Le 27 juillet 2018 à 10:40, par Traore Salifou En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Le problème de cette cité est plus complexe qu’on ne le pense.En fait, l’Etat ne peut pratiquement rien faire parce que comme l’a dit Basile Yaméogo, certains « promoteurs privés ont foulé aux pieds le schéma directeur d’aménagement et d’urbanisme, en exploitant à d’autres fins les espaces destinés à la construction d’infrastructures sociales telles que les écoles, les terrains de sport, les casernes de sapeurs-pompiers » d’où la difficulté qu’éprouve la SONABEL, L’ONEA ......pour les travaux d’aménagement. Selon les informations, si toutefois ces entreprises doivent intervenir, des poteaux d’électricité ou des bornes fontaines vont se retrouvés à être implantés soit dans les cours ou dans des chambres à coucher de certains habitats. Voila un peu le problème. Que faire ?

    • Le 27 juillet 2018 à 17:03, par Oueder En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Trop facile comme argument :
      1. L’Info n’est pas fondée
      2. C’ était à l’États de les contrôler et de les empêcher de violer les conventions qui le lient à ces promoteurs
      3. Les plants de ravitaillement( eau électricite) peuvent être revu pour tenir compte de l’existant. Mème des non lotis ont été ravitaillé.

  • Le 27 juillet 2018 à 11:58, par samm En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    reconnaissons qd même que certaines zones à la cité sont électrifiées et disposent d’eau courante.Enfin, même s’il faut se lever à 4h du matin pour faire une provision ou parfois attendre 3 ou 4 jours pour voir les robinets jouer leur rôle. Pour ce qui est des routes, c’est la catastrophe. J’en connais qui ne vont pas au travail quand il pleut car pas de routes et cela contribue aussi à affaiblir notre économie.
    L’état a enterré un cadavre tout en laissant les pieds dehors comme on dit. MUH, ayez de la volonté et terminez votre travail avant de commencer ailleurs. Autorités, ayez du respect pour le peuple qui vous a placé là car ce même peuple vous déplacera si vs revoyez pas votre copie. bref !
    Et ils se permettent de se la couler douce et d’acheter des véhicules à 3 milliards pendant qu’un jeune futur médecin avec 5 autres ont perdu la vie emportés par les eaux. J’ai mal à mon burkina !!!

  • Le 27 juillet 2018 à 12:45, par nebié En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Cinq immeubles sur un hectare en ville pouvaient contenir tout ce monde qui réside actuellement sur le site de Bassinko, mais comme chacun veut attaché sa voiture France aurevoir avec son lit dans sa cour , on va faire comment ?

    • Le 27 juillet 2018 à 13:21, par tino En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

      Tout à fait mon frère, des politiciens de ce pays, on dirait des bidons.Aucune anticipation,continuer à créer la pauvreté en spoliant les paysans de leur terre. Ministre de l’habitat réfléchisse comment même. Bande de charognard !

  • Le 27 juillet 2018 à 18:08, par RAMA En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    ARCIBA est mort et enterré. Vive la fédération.une association de prostituées

  • Le 27 juillet 2018 à 19:04, par Kaka En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Bonanet est un menteur. Depuis la rectification il ment. Pendant Blaise il mentait. Pendant la transition il mentait. Sous MPP, il ment. Même dans sa tombe il mentira.

  • Le 27 juillet 2018 à 19:55, par tampès En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Bassinko n’est que le dessus de l’iceberg. Toutes les cités annoncées en fanfare ne sont que des poudres aux yeux. Vous allez payer les frais de viabilisation mais je vous assure que rien de sérieux ne sera réalisé dans ce sens. Que ce soit Bassinko, Zagtouli, Cité relais de Dapelgo, de Bobo-dioulasso et je ne sais où, c’est la même chose. Tantôt ce sont les promoteurs qui ont fait ci ou qui ont fait ça. C’est du laxisme pur et simple. Des contrats sous-traités avec des sociétés acquises à la solde de je ne sais qui. Sinon comment comprendre qu e dans des cités annoncées en pompe comme à Bassinko, à Bobo-Dioulasso et à Dapelgo aucune route digne de ce nom n’est aménagée ? L’eau, domaine dans lequel le PF et son MPP se vantent d’avoir engrangé des acquis n’est pas accessible même dans les cités ? Qu’on arrête de sucer le peuple. S’il y a un domaine où l’echec est visible c’est Au Ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme.

  • Le 27 juillet 2018 à 21:14, par ILBOUDO pascal En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Merci à tous ceux qui sont sensibles au cri de cœur et des résidents des cités de Basseko qui se sont regroupés en Fédération (FACBA).La liberté d’association est garantie par la loi 064-2015/CNT du 20 octobre 2015. Si une entité pour une raison ou une autre décide de ne pas faire partie de la fédération,c’est un choix qu’il faut respecter ;Moi personnellement je suis sorti samedi passé avec plusieurs autre résidents pour réhabiliter la voie car il y va de notre intérêt à tous , même les non résidents qui empruntent cette route ;y profiteront ;Si ce n’est pas pire méchanceté ,en quoi soutenir ces résidents qui ont souscrit au même nom que toi,qui subissent les mêmes coupures bancaires que toi,mais qui n’ont pas eu la chance d’être attributaire dans un bloc viabilisé que toi et qui demandent tout simplement que leurs droits vitaux soient respectés te posent problème.Quelle honneur et quel plaisir trouves tu a voir ton voisin du 6m d,en face souffrir alors que tu peux l’aider à plaider sa cause au lieu d’affichervune hostilité regrettable ;Héiiiiii. !!!!! Le malheureux commentaire se reconnaîtra mais je n’ai pas dit nom de quelqu’un.Sachons promouvoir ce qui nous grandit et nou uni au lieu de cultiver une haine préjudiciable à notre vivre ensemble ;Vraiment si certains n’ont pas un agenda caché et égoïste je ne vois pas comment un résident de ces cités peut-il mépriser ces conférenciers qui ne recherchent qu’un mieux être commun.NOTRE NOMBRE DEMEURERA NOTRE FORCE ;L’Adversité est un non sens pour toute structure qui se réclamerait de la promotion du bien être social dans les cités de Bassinko aujourd’hui où demain,cités de Bassinko où ailleurs Unicité dans la diversité ,je plaide pour le bien être de tous les résidents sans distinction aucune

  • Le 27 juillet 2018 à 22:28, par Salamata En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Je vois que la fédération empêche certains de dormir. C’est le début du commencement. Le meilleur reste à venir.

  • Le 27 juillet 2018 à 22:37, par Le guide En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Si c’est au Burkina qu’on voit une association réclamer la paternité d’une localité. Je veux parler d’ARCIBA. Connaissez-vous la définition d’une association ?

  • Le 27 juillet 2018 à 23:37, par Evelyne En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Vivement que le PF se saisisse de la question. Rock y faire un tour et laisser ses sbires qui lui racontent des salades.

  • Le 28 juillet 2018 à 00:10, par Habaaa En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    L’ennemi de l’Afrique ce sont les Africains. Je m’adresse au monsieur d’arciba là. Avez vous le monopole de la liberté d’association ? Même si c’était le cas,pour une cause aussi noble,le Bon Sens veut que toute personne intelligentes adhére. Moi je ne suis pas à Bassinko mais je félicite cette FACBA. Je demande même leur contact pour leur faire un don en tant que sympathisant. Je souhaite que tout le monde prennent leurs exemples. Je suis prêt à financer un documentaire télévisé sur la situation.

  • Le 28 juillet 2018 à 00:16, par Parent En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Ma fille a été attributaire début 2014. Elle est veuve depuis 5 ans. mais la situation ne lui permet pas de déménager. Il n’y a pas d’électricité , pas d’eau pas de route. Des serpents partout.devant sa cour il ya 2 tombes. Ses recours auprès du MUH sont vains. Je propose qu’avec la fédération on prenne un avocat. Je connais des partenaires qui pourraient payer les honoraires de l’avocat. Si je peux avoir un contact avec la FACBA.

  • Le 28 juillet 2018 à 08:00, par Ablassé En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    La situation de cette cité n’honore pas le président du Faso et son gouvernement. J’y ai fait un tour et j’en étais dégouté. Des tombes devant les maisons,des voies impatriquables. Je salue cette fédération qui a décidé de dénoncer cette situation. Il faut que Bonanet arrête les calculs politiques. D’ailleurs, L’électorat que cette fédération regroupant 5 associations est plus possible que l’association en place qui réclame la paternité et le monopole de la liberté d’association. Bon courage à cette fédération FACBA

  • Le 30 avril 2019 à 13:46, par Ki En réponse à : Bassinko : La cité des espoirs déchus

    Chambre salon dans une parcelle de 240 mètres carré a 9500.000 f CFA c’est trop chère,et on appel ça logements sociaux.heee ! Burkina faso

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