Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Le service régional de la police judiciaire de la ville de Ouagadougou, au cours d’une conférence de presse animée ce mardi 24 juillet 2018 dans ses locaux, a présenté un groupe de présumés malfrats dont la plupart sont des repris de justice. Huit pistolets automatiques, 62 munitions, trois cagoules, un véhicule de marque Toyota modèle Highlander, huit vélomoteurs, quatre postes téléviseurs et un appareil de musique sont les biens saisis et présentés.
Employés de commerce, ménagères, élève ; d’une tranche d’âge comprise entre 27 et 77 ans, ont été présentés comme étant les membres constitutifs d’un réseau de malfrats spécialisés dans les vols à main armée dans les domiciles, les auberges et dans les artères de la ville de Ouagadougou. En effet, selon le chef du service régional de la police judiciaire de Ouagadougou, le commissaire Honoré Kientéga, ledit gang, composé de quatorze personnes (dix hommes et 4 femmes), est « très bien connu » des services de la police judiciaire. Dit autrement, la plus grande partie des membres sont des « repris de justice ».
Modus operandi du gang
« Tous armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés, ils ciblent les domiciles et les auberges où ils font irruption, tiennent en respect les occupants, procèdent aux fouilles et s’emparent de tout numéraire, des armes et souvent des vélomoteurs. Ils font usage de leurs armes à feu selon le degré de résistance de leurs victimes », a expliqué le commissaire de police Honoré Kientéga. Quant à la destinée du butin saisi chez leurs victimes, notamment les engins à deux roues, ils « sont remis à des receleurs dont la spécialité est de procéder à la falsification des numéros de série et à l’établissement de fausses cartes grises, avant d’être écoulés sur le marché », a-t-il poursuivi.
Alertés, les éléments de la Brigade de recherches et d’intervention du service régional de la police judiciaire et la Brigade de recherches du commissariat central de police de Ouagadougou, avec la collaboration de la population, ont pu mettre à nu l’identité des délinquants et se saisir des biens ci-après : huit pistolets automatiques, 62 munitions, trois cagoules, un véhicule de marque Toyota modèle Highlander, huit vélomoteurs, quatre postes téléviseurs, un appareil de musique.
Cette conférence de presse a également permis au chef du service régional de la police judiciaire de revenir sur le parcours du gang démantelé. Partant alors de mars 2012 à mai 2018, huit braquages à domicile et en entreprise sont cités. Le plus important de ces braquages est celui perpétré au domicile de Noufou Ouédraogo, commerçant domicilié au secteur 16 de Ouagadougou, dans la nuit du 23 février 2014. Dans cette opération, les bandits avaient emporté une somme de 100 millions de F CFA, 14 Kg d’or d’une valeur de 300 millions de F CFA, sept téléphones et un pistolet de marque « Fathis ».
L’enquête actuellement achevée, les délinquants mis aux arrêts seront conduits devant le procureur du Faso près le Tribunal de grande instance de Ouagadougou pour les suites judiciaires. Notons que le chef du gang, Hamado Compaoré, est toujours en fuite. Selon la police, il est né le 1er janvier 1978 à Manga et est employé de commerce.
Rappel des faits ayant conduit à la diligence de l’enquête
« Dans la nuit du 23 au 24 mai 2018, aux environs de 22h, l’assistant de police Stéphane Tiemtoré et l’un de ses collègues, tous en service à l’Unité d’intervention polyvalente de la Police nationale (UIP/PN) ont été agressés par des individus armés, se déplaçant sur deux motocyclettes de marques Yamaha 150 et 135, dans le quartier Sinyiri de Ouagadougou.
Suite à cette agression, l’assistant de police Stéphane Tiemtoré a été mortellement atteint par trois balles et a perdu la vie lors de son évacuation au CMA du secteur 30 de Ouagadougou », a rappelé Honoré Kientéga. C’est alors, si l’on en croit le propos du commissaire Kientéga, qu’une enquête a été ouverte et a permis de mettre aux arrêts les membres du gang.
Tambi Serge Pacôme Zongo
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 24 juillet 2018 à 23:30, par the upright En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Bravo, « SRPJ »vous êtes à féliciter. Une épine, si minimum soit-elle d’ôtée des pieds des citoyens. Le vieux Noufou Ouédraogo est à mon avis celui que même les malfrats devraient protéger avec ses biens dans ce Faso. Hélas ! Nous vendrions même nos Mamans pour obtenir le superflu que nous désirons. Plus incivique que ça, tu meurs. A voir tout le monde arborer des T-Shirt "Burkinbila", je suis ému. L’intégrité commande que l’on ne fasse pas de mal à ses alentours. Aller très loin de chez soi et revenir avec le magots, ni vu, ni connu.
2. Le 25 juillet 2018 à 01:55, par Alino En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Depuis belle lurette le gang courait sans être appréhender. Il a fallu la mort d’un policier pour qu’une enquête soit ouverte. En tout cas c’est ma compréhension des choses après lecture de ce article. Et si tel est le cas,c’est suffisamment grave
3. Le 25 juillet 2018 à 06:34, par Mafoi En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Il aurait donc fallu la mort d’un de vos collègues pour que brusquement en moins de 2 mois,vous arriviez à neutraliser ces malfrats qui sévissaient depuis des années si je me réfère bien sûr à votre narration.En effet en 2014,vous affirmez que le même gang aurait dépouillé le sieur Noufou Ouédraogo à hauteur de plus de 400 millions plus 7 téléphones et un pistolet.Dommage car si vous aviez mis la même dextérité à les rechercher,il est plus que probable que votre collègue serait actuellement en vie.Mille fois,dommage
Le 25 juillet 2018 à 11:59, par Kaka En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Voilà, par exemple. Je valide. C’est vraiment dommage !!!
4. Le 25 juillet 2018 à 08:37, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Mes amis et frères policiers, ne vous encombrez pas avec cette pègre que nos impôts vont engraisser en prison. Il faut les éliminer en silence et un à un (one by one). Et je vous donne une astuce : enfermez-les en prison, puis posez un sceau à côté du mur d’enceinte de la prison, et envoyez un d’entre eux pour prendre le sceau et vous l’amener, quand il va arriver au niveau du sceau donc près du mur d’enceinte, rafalez-le et prenez le sceau. Vous direz qu’on l’a abattu pour tentative d’évasion et on n’en parle plus, la preuve est qu’il est près du mur d’enceinte. Commencez par le plus ancien et mêmes les femmes il ne faut pas les épargner.
Par Kôrô Yamyélé
5. Le 25 juillet 2018 à 09:05, par soway En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Vous nous présentez des malfrats, sans nous montrer leurs visages et vous voulez qu’à partir de leur nom et leur date de naissance que nous vous aidons à les retrouver. Je trouve que ça fait bizarre, car nous ne disposons pas de leur identité complète à savoir leur photo,...... Déjà ceux que vous présentez à la presse peuvent manger et dormir avec nous au quotidien mais ne pouvant cependant pas mettre un visage sur chaque nom, nous ne saurions vous être d’une quelconque utilité. Nous nous expliquons, à supposer que nous reconnaissions (par sa photo) un des malfrats, toute suite il nous vient dans la tête les personnes, les amis que ce dernier fréquente et cela pourrait nous amener à comprendre beaucoup de choses dans leurs vécus et toute suite vous interpeller sur leur cas. Nous pouvons dîner et dormir ensemble sans pour autant bien nous connaitre. Nous vous invitons donc à revoir votre copie dans ce sens, car si vous n’êtes pas sûr de vous même, il ne sert à rien de faire une conférence de presse ou bien c’est juste pour faire parler de vous même, pour que nous ne disons pas que telle brigade travaille plus que telle autre. C’est donc à vous seule que ça profite chers limiers.
6. Le 25 juillet 2018 à 09:16, par A qui la faute ? En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Même les mamies sont des gangsters. On n’arrête pas d’accuser la jeune génération de tous les maux de ce pays à cause de "l’occidentalisation" des moeurs. Toutes les méchancétés que nous connaissons sont MADE IN Burkina mais c’est un héritage qu’il faut savoir rejetter
7. Le 25 juillet 2018 à 09:18, par coalusion En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
C’est ça le problème de la police : quand les bandits volent et tuent les civiles vous tardez les enquêtes. Pourquoi aucune trace depuis des années et après avoir touché votre collègue même pas 6 mois, ils sont aux arrêts. Mes félicitations.
8. Le 25 juillet 2018 à 09:30, par HAKIKA En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Bon travail. Félicitations aux agents de police.
C’est à vous on doit donner les fonds communs.
Le 25 juillet 2018 à 11:08, par Razambia En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
On ne leur donnera meme pas un copeck.Si vous aviez mouille le maillot votre collegue serait tjrs en vie.On a remarque que chaque fois qu un homme de tenue est victime les grands moyens sont immediatement deployes pour arreter les faussaires. Alors apprenons a etre juste et efficace en tout temps,c est ce qu on vous demande.
9. Le 25 juillet 2018 à 09:58, par dambol En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Des repris de justice tout le temps qui s’en prennent aux honnêtes citoyens !!! C’est à cela que doit s’atteler notre justice pour proportionner les sanctions et faire en sorte à éviter les récidivistes qui reviennent avec des infractions plus graves !!!
10. Le 25 juillet 2018 à 10:37, par tiibo En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Dommage pourkoi envoyé des gens armés en prison ? Restaurez la peine de mort comme il se doit et debarrassons nous des mauvaises graines de la société une bonne fois.
11. Le 25 juillet 2018 à 10:40, par edouard le fort En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
c’est dans les quartiers périphériques que vie les malfrats de tout genre et les receleurs en plein marché de la ville, des qu’ils récupèrent leur butin , ils les écoulent à ses malhonnêtes personnes,je vous encourage d’avoir démantelé une telle bandes de malfrats, continuez ainsi et n’écoutez pas les on dit ,soyez toujours vigilants pour votre propre vie et ne risquent trop votre vie. il est vrai qu’un homme de tenu se sacrifie toujours pour sa nation.vous perdez votre vie.et les gens pensent mal de cela ,ils osent dire des paroles insensés pour la mort de votre collègue,les gens n’apprécient jamais surtout le burkinabé.au revoir bon travail et bon journée à vous.
12. Le 25 juillet 2018 à 11:25, par Rata beogneeré En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Félicitation au SRPJ pour le travail abattu. Mais je souhaite que ces délinquants repris de justice n’aient plus de chance de vie. Comme la peine de mort vient d’être abolie, chargée les escadrons de la mort de faire leur travail comme ils l’ont bien fait dans les années 1994 et 2002. Débarrasser nous de ces malfaiteurs. c’est assez !
S’il vous plaît Monsieur le modérateur, laisser passer mon cri de coeur.
13. Le 25 juillet 2018 à 11:46, par pibaore payimdi En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Cela prouve que la police a des capacités pour lutter contre le banditisme, malheureusement les problèmes des citoyens ordinaires ne sont pas leurs préoccupations. Vous êtes victimes d’un cambriolage, d’un vol, faites votre déclaration et circuler, de tel sorte que beaucoup n’en prennent même plus la peine. Le défie du métier n’existe plus, quand je dois mouillé le maillot c’est que les retombées doivent être financières. Le patriotisme, l’amour du métier sont relégués au second rang. Je fréquente une cour, habitée également par un policier ou les voleurs en font une zone d’entrainement, à tous les coups qu’ils sont passés pour une visite de courtoisie, c’est le matin que mon ami policier l’apprend. L’avantage du métier, c’est d’être d’abord le premier bénéficiaire de ce qu’on a appris, mais hélas.
Le 25 juillet 2018 à 12:03, par Kaka En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Ha ha, et si ton policier est partenaire de "ces visiteurs" ? Il ne voit rien, il n’entend rien, il ne sent rien....
14. Le 25 juillet 2018 à 12:34, par Suzanne En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Quelle sera le verdict pour ces délinquants ? la prison ! Hélas. Ils vont ressortir et recommencer les mêmes : piller et tuer les citoyens honnêtes. C’est ce que veut les droits de l’homme.
Dommage car il est temps qu’il est une punition exemplaire qui permet à ces gens de changer de vie.
Chaque homme a besoin d’être éduqué pour être un homme utile à la société. Alors il faut donner une correction à ces gens n’a plaise aux droits de l’homme. On n’amadoue pas un délinquant, il faut lui apprendre les bonnes manières.
En temps que mère je suis contre la peine de mort mais il faut trouver une formule pour les récidivistes.
Donnez leur aux kogle wéogo, ils ne voleront plus jamais.
15. Le 25 juillet 2018 à 12:41, par le paysan En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Allez-y poser une plainte à la police, c’est la vous vous demandez comment ces gens travaillent. Ils vont vous remettre le petit bout de papier, prendre vos numéros et dire que c’est tel agent qui s’occupe de l’affaire. Quand l’agent va t’appeler, c’est soit vous demander des unités, soit du carburant pour aller en patrouille en disant que leurs infos, le malfrat est dans tel secteur et comme la police n’est pas de dotée de carburant, il se voit obliger de voir avec toi. La police doit revoir sa façon de faire et ça devient récurant. Si vous ne montrez pas les visages expliquez à la population pour qu’elle comprenne pourquoi c’est comme cela (présomption d’innocence ???? histoire à faire dormir debout). Si vous montrez les visages, vous pourrez avoir certains de leurs complices qui circulent librement dans les quartiers. Néanmoins félicitation à la police, continuez, certainement la bonne formule viendra par la grâce du Tout Puissant. Que Dieu vous bénisse tous.
16. Le 25 juillet 2018 à 12:52, par Mimamtiri En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Bravo aux à nos forces de défenses et de sécurité. Bravo, Bravo ! j’interviens ici cependant pour attirer votre attention sur autre chose. j’ai lu dans le journal LE PAYS des détails qui ne figurent pas dans cet écrit et qui me font tiquer. tous les quatre cas de personnes braquées relatés dans le journal on remarque que tous avaient chacun un pistolet en sa possession (commerçant, délégué médical, comptable, directeur de la société de BTP). De quoi faire aussi froid dans le dos.
17. Le 25 juillet 2018 à 13:17, par Le DOZO En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
BRAVO à la police. Dommage que ces politicards de dépités viennent d’abroger la peine de mort sans l’avis du peuple souverain.
18. Le 25 juillet 2018 à 14:14, par HUG En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Sur net africa parmi ces présumés malfrats figurent quatre femmes dont une qui semble être vieille. Une semble porter au dos un enfant Je suis très très découragé. Ou va notre monde ? Merci à la police pour le travail abattu. Mais il faudra que les travailleurs sociaux affectés dans les maisons d’arrêt travaillent davantage à ce qu’un détenu sortit de la prison devienne un model dans la société. Nous savons que vous manquer cruellement de moyens pour travailler.
19. Le 25 juillet 2018 à 21:57, par Ghana Man En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Bravo a nos FDS et surtout longue vie a vous ! Vous vous avez fait votre travail alors que l’autre maillon fasse le sien.On est en droit de se poser la question suivante : pourquoi au Ghana il n’ya pas de voleur mais des escrocs.Parcequ’ils ont été couragé, il ya des gens que l’on ne pourra jamais recupérer surtout les récidivistes. A bon entendeur salut !!!!!!!
20. Le 26 juillet 2018 à 00:00, par jeunedame seret En réponse à : Grand banditisme : « Armés de pistolets automatiques, souvent cagoulés », ils marquaient leurs victimes puis passaient à l’acte
Félicitations aussi. Même si vous avez le plaisir de réconforter les mêmes gangs, pour les reconduire aux mêmes péchés, et engager les mêmes enquêtes, pour l’affichage des mêmes images et exploits, avant de vous excuser et nous endormir jusqu’aux événements. Vive le voisinage du voleur ! Vive la victimisation des autres.