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Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

Publié le jeudi 14 juin 2018 à 13h09min

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Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

Les parties au dossier Norbert Zongo doivent encore patienter au 3 octobre 2018. Ainsi en a décidé, ce mercredi, 13 juin 2018, la chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris qui était appelée à statuer sur la demande d’extradition du gouvernement burkinabè de François Compaoré, frère cadet de l’ancien président du Faso.

Les parties au dossier Norbert Zongo doivent encore patienter au 3 octobre 2018. Ainsi en a décidé, ce mercredi, 13 juin 2018, la chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris qui était appelée à statuer sur la demande d’extradition du gouvernement burkinabè de François Compaoré, frère cadet de l’ancien président du Faso.

Selon des informations, la juridiction demande des « informations complémentaires de nature à prouver l’implication » de François Compaoré dans le dossier Norbert Zongo. Mis en examen dans l’affaire de l’assassinat en 1998 du journaliste burkinabè d’investigation, Norbert Zongo, François Compaoré, qui vit en France depuis la chute du régime Compaoré, s’est vu interpeller le 29 octobre 2017 par la police française à l’aéroport Roissy Charles-de-Gaulle, suite à un mandat d’arrêt international émis contre lui le 5 mai 2017 par le gouvernement burkinabè.

On se souvient que lors de la dernière audience en mars 2018, les avocats du prévenu ont demandé « l’annulation pure et simple » de cette demande d’extradition qui, selon eux, manquerait de solidité. Du côté de la justice burkinabè, l’on estime que les documents incriminent formellement François Compaoré dans l’assassinat du journaliste.

Cette décision de renvoi arrive, une dizaine de jours, après l’adoption de la loi portant code pénal, qui abolit désormais la peine de mort au Burkina (le conseil de François Compaoré s’étant inquiété de l’existence de la peine de mort dans l’arsenal juridique au Burkina).

Les parties au dossier, qui doivent patienter au 3 octobre 2018, attendent de la justice française une « décision en toute impartialité ».

Lire aussi : Procédure judiciaire contre François Compaoré : Le début du bout du tunnel dans l’affaire Norbert Zongo ?

O.L
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Vos commentaires

  • Le 13 juin 2018 à 16:30, par Zangoté En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Si Roch est malin, qu’il laisse François là où il se trouve. La France a-t-elle vraiment besoin de tant de temps pour comprendre qu’elle doit livrer François COMPAORE à la justice Burkinabè ? Est-ce que le contraire aurait pris tant de temps ? En d’autres termes, est-ce que le Burkina mettrait près d’une année à extrader un ressortissant français à la demande de la justice française ? NON et NON ! Parce que nous sommes encore sous le joug colonial de la France. Et elle s’en sert à merveille pour se foutre de nous ! D’un côté, François COMPAORE dilapidera sa fortune là-bas au profit des Français et de l’autre, c’est le Burkina qui perdra sous ce chantage honteux qui consiste à donner des marchés bidons taillés sur mesure aux entreprises françaises clouées sur notre sol ! Et ces entreprises, on les connaît ! Après les RENAULT TALISMAN, à qui le tour ? S’il y a à juger François COMPAORE, qu’on le fasse par contumace et s’il ne veut pas venir se défendre, qu’on le condamne par contumace et qu’on économise nos maigres ressources pour nous occuper de choses de bien meilleure valeur que celle qui consiste à se faire plumer vif.

  • Le 13 juin 2018 à 16:31 En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    tôt ou tard François Compaoré sera jugé au Burkina Faso et condamné à perpétuité

  • Le 13 juin 2018 à 16:43, par TANGA En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Si nous Burkinabès nous somme malins, nous devons boycotter la France et les français vivant au Burkina ; mais aussi ceux que nous rencontrerons hors du pays. La France comprendra que si elle peut se foutre de nos dirigeants et d notre loi, la population peut la faire fléchir.

  • Le 13 juin 2018 à 17:43, par molotov En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Tanga,

    Boycotter les français pourquoi ?
    Le peuple français n’est égale au gouvernement’ ni à la justice français.
    Oui au jugement de François mais non à son utilisation à des fins démagogiques.
    Certains sont mal placés pour crier au loup dans l’affaire Zongo notamment l’ancien maire traceur de ’’lignes rouges’’..L’histoire ne ment jamais.
    Au lieu de vociférer aller juger ’’Blaise’’ qui est à 1000Km au lieu de chercher son petit frère François à 6000km.
    Oubien gérer ce dossier ’’diplomatiquement’’ aussi
    Vraiment.
    Cette affaire de pseudo-extradition va aller de report en report jusqu’à....sauf si....
    #MOLOTOV

  • Le 13 juin 2018 à 17:45, par ahmed En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Prions et prions pour une justice divine car Dieu est partout mais il dort au BURKNA.

  • Le 13 juin 2018 à 18:09, par G. Jean-Eric Yanna En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Voila des situations qui ne grandissent point la Justice France puisque le celebre Journaliste Norbert Zongo a bel et bien ete assasine’ attrocement. Ca au moins c’est trivial. Et Francois est un element clef dans cette affaire comme le temoignent tant d’elements du dispositif du defunt RSP Comme Naon.

    Bref, la lumiere finira par prendre le dessus sur l’obscurite’ et la verite’ rattrape toujours le mensonge.

    Que Dieu benisse le Burkina Faso !

    G. Jean-Eric Yanna

  • Le 13 juin 2018 à 18:54, par lulu En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    G.Jean-Eric Yanna, Tanga, vous ne savez donc pas comment fonctionne la justice française !! Elle fait les choses sérieusement MAIS elle prend son temps !! On est habitué ici à assister à des jugements pour des affaires vieilles de 4, 5, 6 ans... Les tribunaux sont engorgés par manque de moyens, des moyens qui sont mis dans Barkhane qui défend certains d’entre vous qui la vomissent !
    Boycotter les Français, mais qu’est-ce que cela veut dire ??? Les Burkinabè qui viennent en France dans le cadre d’un des très nombreux jumelages vont-ils venir en France et boycotter ceux qui les invitent ???

  • Le 13 juin 2018 à 19:08, par RV En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Je d’accord avec l’analyse de Zangote.
    J’ajoute !
    Regardons le Benin parce que ça risque d’être la même histoire que l’affaire Patrice Tallon.
    La France va blanchir Francois en refusant son extradition pour absence d’éléments solides.
    Alors, Francois reviendra être le candidat du CDP pour être Président du Faso.
    Et si par extraordinaire, il est extradé, combien de temps pour le juger quant on est incapable de juger l’affaire du putsch où Diendere reconnaît et assume la paternité.
    Bref, encore UN écran de fumée pour distraire les burkinabé !

  • Le 13 juin 2018 à 20:21, par Henriette kouassi En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Héiiii !Burkinabés. Continuez à vous ridiculiser. François Compaore n’est pas militaire et n’a jamais appartenu à la chaîne de commandement. Il ne peut donc donner aucun ordre à un militaire. C’est la faute de l’armée. Le dysfonctionnement de l’armée du Burkina Faso se récent sur le jugement desdits putschistes. Donc attention Marc,vous êtes prévenu.,un sous-officier pourrait jaillir de toute part. Bref .Bonne chance au Burkina Faso.

  • Le 14 juin 2018 à 04:04, par don gormas En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    a Henriette kouassi. que fera ce sous-officier et qui est-il ?

  • Le 14 juin 2018 à 04:48, par G. Jean-Eric Yanna En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Lulu, je n’ai point dit de boycotter quoi que ce soit. Il ne faudrait pas semer la confusion. Mon souhait c’est la lumière et toute la lumière sur ces crimes attroces. Maintenant c’est à la justice Française et Burkinabè de jouer pleinement leurs rôles en toute ame et conscience. Sinon le peuple Burkinabè majoritairement a pris son mal en patience et espère à la verité, à la justice et à la reconciliation pour pouvoir enfin faire une paix sincère et durable.

    C’est la fuite de la verité qui nous retarde inutilement. Et comme vous le dites "l’entassement" des dossiers qui ne sont pas evacués ne nous feront pas non plus progresser. C’est douloureux mais il faudrait passer par la verité et la justice en Route sincèrité er équité pour avancer.

    C’est tout le Burkina Faso qui gagnera y compris vous et même ceux qui sonst pointé du doigt.

    Que Die Bénisse le Burkina Faso.

    G. Jean-Eric Yanna

  • Le 14 juin 2018 à 06:58, par Ka En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Qu’il pleuve ou qu’il neige, sous le régime du président au cœur du Christ qui est Roch Kaboré, les vrais criminels qui se disent malins et puissants ne dormiront pas tranquille. J’ai connu le jeune Banquier a son bureau a la BIB, une personne de type sangsue très maniable par tous, mais quand il décide de piquer, il ne veut laisser aucune goutte de sang échappé de sa gorge. Qu’il soit un Diendéré Gilbert, Un François Compaoré, Un Djibril Bassolé, tous mêlés aux anciens crimes de sang et qui se disent amis a se président mouta mouta y passeront par la justice.

    Pour ce président maniable par tous, Il y a un point qu’il ne badine pas, ‘’’’la promesse et la parole donnée.’’’’ Si je me permets de dire que le régime Roch Kaboré se rattrapera des erreurs du passé, comme les crimes de sang en respectant ses promesses et sa parole donnée, ce n’est pas que je défends ce régime, loin de là : Voilà ce que le président mouta mouta promettait a son peuple, et aussi à celles ou ceux, plus de 50% l’ont voté : ‘’’A l’occasion de célébration du 57e anniversaire de l’indépendance du Burkina Faso dans son discours radiotélévisé, il a dit au peuple ; ‘’Nous devons tout faire pour que la justice soit rendue dans toutes (les) affaires sensibles pour aider notre peuple à se réconcilier avec son histoire, pour ramener la paix des cœurs et créer les conditions propices à la contribution de tous les Burkinabè à l’œuvre de construction nationale."
    "La réconciliation nationale reste un enjeu majeur que nous devons réussir, dans l’intérêt supérieur de la nation", a-t-il dit.

    La justice militaire, une juridiction d’exception, doit solder une longue série de dossiers, dont principalement ceux du putsch manqué de septembre 2015 et de l’assassinat du "père de la révolution" burkinabè, le capitaine Thomas Sankara, tué lors du coup d’Etat qui porta l’ex-président Blaise Compaoré au pouvoir en 1987.

    Également en instance, le dossier du journaliste d’investigation Norbert Zongo, tué en 1998 avec trois compagnons, a connu une évolution avec la mise sous contrôle judiciaire de François Compaoré, frère du président déchu Blaise Compaoré, poursuivi pour "incitation à assassinats".

    Pour finir son discours il a dit "saluer l’avancée des dossiers pendants devant la justice", tout en rappelant aux acteurs chargés de les vider que "la soif légitime de justice des Burkinabè reste intacte."

    Chers internautes, si ce président nommé Roch Kaboré, digne fils de Bila Kaboré et sa clique ne tienne pas leurs paroles et leurs promesses, aucun lecteur du pays des hommes intègres ne s’aventura à voter en 2020 un enfariner menteur et trompeur. Ce qui a fait couler le navire de la famille Compaoré, ce sont les non respects des paroles et des promesses données. Et Roch Kaboré a ça dans sa mémoire.

  • Le 14 juin 2018 à 07:48, par lulu En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    G.Jean-Eric Yanna, j’ai regroupé deux messages en un seul pour ne pas avoir à répondre deux fois.

  • Le 14 juin 2018 à 07:55, par A qui la faute ? En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Du cinéma ! Vous les laisser partir et maintenant vous faites semblant. A la fin il suffira d’accuser la France de refuser l’extradition et c’est encore la faute aux blancs

  • Le 14 juin 2018 à 08:03, par HUG En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    C’est déjà bien que certaines personnes n’ont plus de liberté d’aller et de venir. Tout se paye ici bas et on ne peut jamais échappé au tribunal de Dieu. Il n y a rien d’humiliant que de fuir son pays et ne pas pouvoir y venir. Tot ou tard les assassins, les commanditaires, les complices Bref ceux qui ont contribué à faire taire Norbert ZONGO à jamais payeront car la vie humaine est sacrée.

  • Le 14 juin 2018 à 08:24, par tenga En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Ce qui est certain FRANCOIS COMPAORE est serein car il n’a rien à se reprocher donc il attend que la justice indépendante le blanchisse seulement on va quittez dans ca c’est pour les haineux et les aigri qui est dure.

  • Le 14 juin 2018 à 08:24, par Mousbil Nyantudre En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Tout cela est ridicule et énervant ! François Compaoré est présumé coupable dans ce crime sordide et il doit s’expliquer devant la justice burkinabé comme tous les autres présumés coupables. Même le burkinabé le plus ignorant sait comment fonctionnait le régime Compaoré et qu’elle était l’emprise de François sur le RSP et même le Gouvernement de l’époque. S’il arrive à démontrer son innocence, on l’innocentera. On n’en veut pas à la famille Compaoré pour simplement lui en vouloir car elle n’a pas fait que du mal au Burkina ! Mais elle doit répondre de ses dérives passées ! C’est quoi toute cette histoire à la fin ?!

  • Le 14 juin 2018 à 08:27, par Zemosse En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Je suis triste et incrédule de constater que notre gouvernement, a travers ses juges grassement payés, n’à pas été capable pendant un an, d’apporter les preuves convaincantes sur l’implication de François . C’est idnamissible et ça decribilise le Burkina Faso. Ou alors c’est à dessein : on ne veut pas extrader cet individu, on fait semblant pour contenter l’opinion publique qui va s’en prendre naïvement à la France. Calcul machiavélique.

  • Le 14 juin 2018 à 08:29, par Kaka En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Des preuves, foutaises...

  • Le 14 juin 2018 à 08:33, par Merci En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    la juridiction demande des « informations complémentaires de nature à prouver l’implication » de François Compaoré dans le dossier Norbert Zongo..
    C’est très simple comme demande.. Chaque burkinabé est libre d’apporter des preuves s’ils en existent car c’est cela la justice.

  • Le 14 juin 2018 à 08:56, par SAPO En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Rock, réné bagoro , les dépitiés qui ont voté la convention de collaboration, la convention d’extradition,l’abolition de la peine de mort dans le but de pouvoir extrader François COMPAORE à des fins politiques, et bien vous avez tous échoués ! Vous faites honte au Burkina Faso.Vous pouvez manipuler la justice burkinabé comme bon vous semble, mais la justice française vous ne pourrez jamais l’égratigner. C’est une justice sérieuse et responsable qui dit le droit rien que le droit.
    Vous accusez François COMPAORE d’incitation au meurtre , et pourtant votre "dieu" salif diallo a fait arrêter et torturer des étudiants et DABO Boukary en est mort. Vous n’avez pas ouvert ce dossier et finalement DIEU a solder le compte de salif à 6000 km du burkina loin de sa famille et de vous dans une chambre d’hôtel.
    Vous avez revendiqué la paternité de l’insurrection, des gens sont mort dans les flammes, des biens privés et publics ont été détruits et ou incendiés. Il n’y’ a pas eu la moindre enquête pour situer les responsabilités. Pourtant il y a eu 33 morts , comparé à 3 morts en 1998. Vous pouvez fermé les yeux sur ça, mais sachez que la justice divine vous attends et elle est plus dur que la justice des Hommes.

  • Le 14 juin 2018 à 09:04, par INTEGRE En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Que les paroles de henriette kouassi aillent au diable . francois n est pas militaire mais on sait que son grand frère de soi disant président avait fait de notre pays son patrimoine familial . Et comme il n’y avait que des analphabètes dans sa famille ils croyaient que tout était permis et tout leur appartenait et ils pouvaient disposer de la vie des Burkinabès comme ils veulent .De toute façon les compaoré savent ce qu’ils ont fait .Devant DIEU ,il n’y a pas de me sur, ou je ne sais quoi . DIEU voit tout Il est miséricordieux c’ est vrai mais c’est pas dans le cas des compaoré . Il ont payer et cher ici bas d’abords avant de payer au ciel .Que ceux du cdp qui s’exhibent n’ont qu’à faire attention pour ne pas être sur le même banc de condamnation divine que les compaoré .De toute façon ,un homme droit intègre, qui aime son pays qui a vraiment travaillé pour son pays , qui n’est pas lâche ,ne fuit pas .De toute façon le pire reste à venir pour les compaoré ça ce ne serait pas le jugement des hommes avec à la défense me sur mais celui de DIEU qui voit TOUT.

  • Le 14 juin 2018 à 09:15, par sheiky En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    je suis également d’accord avec Zangoté. L’extradition n’est pas aussi simple que cela et a des subtilités cachées liées intrinsèquement ai droit. En fait, il me semble que le gouvernement ne s’était pas préparé à ce que la procédure soit aussi complexe. Ils avaient pensé que le fait de demander l’extradition suffisait parce que à la base, le pays demandeur pouvait ne pas avoir à fournir des preuves quelconques hormis la recherche d’un ressortissant impliqué dans une affaire de justice. Mais la pression politique et des avocats a entraîné la fait que les juges ont corsé le dossier. En ce moment, il valait combler un tant soit peu les vides juridiques.
    Mais, le problème est que même quand la justice est indépendante, l’extradition reste une question souveraine relevant de la discrétion du pays d’accueil. Donc également une question de rapport de force. En outre, le juge indépendant peu également juger que cela n’est pas opportun...
    On verra la suite...

  • Le 14 juin 2018 à 09:26, par Omer En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Preuve matérielle ? Même si on leur envoie des images video avec Francois entrrain de tirer sur le vehicule ou mettre le feu, il vont dire qu’il y’a des doutes sur l’identité des occupants. La France ne va pas abandonner Blaise en donnant son frère et la justice française est politique quand. Les procès des bien mal acquis sont un exemple concret. Mais il faut continuer de les embêter même si cela nous coute cher. Il doit savoir qu’il sera toujours inquiété.

  • Le 14 juin 2018 à 09:54, par allons seulement En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    c’est triste on dirais pas que nous sommes sur la même planète ; pourquoi vous accusez la justice française ? quand certain commentaire je me pose la question ; est ce que ces gens là ont la matière ; qui doit faire quoi dans cette histoire ? si les avocats burkinabé n’arrivent pas à consolider le dossier et le présenter à la justice française alors nous les payons pour défendre que la lumière soit faite sur la mort de mon Frère et Ami Norbert. mais en regardant comment les choses se passent , je trouve que c’est lamentable que des professionnels travaillent de cette manière. je crois qu’il manque un peu de professionnalisme de la part de ces avocats. on vous demande des preuves et vous rester muet , je demande à l’Etat de ne pas payer les honoraires de gens là qui nous font honte

  • Le 14 juin 2018 à 10:14, par sanda En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Preuves matérielles ! Qu’on leur envoie donc les juges Armand, Kambou et Wend, ça devrait suffire.

    - Le premier a instruit pendant 2 ou 3 ans, voire plus, le dossier David qui est la cause de Norbert Zongo. Pendant la durée de la gestion de son dossier il n’a pas eu le courage d’inculper le donneur d’ordre malgré les gros moyens mis à sa disposition.
    - Le 2ème est le président de la commission d’enquête indépendante chargée d’investiguer sur la mort de Norbert Zongo et qui a identifié des suspects sérieux.
    - Le 3 ème a instruit pendant 3 ou 4 années ou plus, le dossier Norbert Zongo et n’a pas eu non plus le courage d’inculper le suspect sérieux de donneur d’ordre ou auteur intellectuel, malgré les moyens colossaux mis à sa disposition.

    Que ces 2 juges d’instruction ne nous parlent plus de pression puisqu’ils devaient instruire à charge et à décharge puisqu’un inculpé peut être relaxé si son innocence est prouvée en cours d’instruction ou de jugement.

    Ces trois juges qui connaissent mieux cette affaire, s’ils ne constituent pas de preuves matérielles en détiennent sûrement.

  • Le 14 juin 2018 à 10:17, par la loupe En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Bjr. Je constate que la domination sous le label de l’impérialisme est toujours d’actualité pendant que la masse populaire française est ignorante du machiavélisme de leurs gouvernants. Nous ici, c’est un cas d’école que les générations futures devraient en tenir dans les relations bilatérales entre les élites burkinabés et le élites françaises. Pourquoi la France refuse de changer sa politique vis-à-vis de ses anciennes colonies, après plus de 50 ans d’indépendance, qui parlent toujours le français. L’Etat Burkinabé ne devrait pas envoyé des preuves de la culpabilité de François COMPAORE aux juges français. Les conventions d’extradition qui nous liés ne peuvent pas être transformées en subordination d’institution judiciaire. La France ne doit chercher à juger nos compatriotes présumés coupables des faits commis au Faso. Dieu bénisse le Burkina, bonne chance nous tous !

  • Le 14 juin 2018 à 10:21, par Mousbil Nyantudre En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Je suis tout à fait d’accord avec Zemosse. Je pense qu’il y’a anguille sous roche dans cette affaire. Publiquement, on vocifère et on fait semblant de vouloir l’extradition de ce monsieur mais en coulisses, on fait tout pour que cela n’arrive jamais. Pourquoi ? La réponse est simple. Parce que certains de ceux-là même qui sont toujours aux affaires aujourd’hui l’étaient déjà au moment des faits. Et gare aux révélations de François Compaoré ! Qui est fou ? N’gaw !

  • Le 14 juin 2018 à 10:38, par L’Enquêteur En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    De quelle JUSTICE parle-t-on ? Le "soit disant" pusch manqué traine pourquoi ? Je crois que c’est à cause de cette justice dont tous nous voulons voir juger d’autres burkinabè soient dits, coupables !!! Alors, finissons avec ce qui est sur le feu en attendant une autre décision qui n’est pas sure d’être prête maintenant. Notre problème c’est cette incompétence à juger ceux qui veulent se faire entendre et convaincre pour s’innocenter...
    A quoi bon donc chercher ce qui est difficile à avoir quand on peut déjà se donner du boulot avec du concrêt.

    L’Enquêteur

  • Le 14 juin 2018 à 12:28, par warzat En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Quand la justice semble trainer, que celui qui demande justice soit patient. ça ne sera pas bon pour l’accusé. Ce que certains craignent est révolu à jamais. La Françafrique se cherche à tous les niveaux et c’est dans l’intérêt de la France. Le refuge de ceux qui en profitaient est devenu l’Afrique dans des pays de dictature déguisée en démocratie. Le simple fait qu’il se démène avec des avocats pour ne pas être extradé est déjà une victoire pour les victimes. Qui aurait cru en cela il n’ y a pas si longtemps ?

  • Le 14 juin 2018 à 13:06, par Kafando En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    tenga
    "Ce qui est certain FRANCOIS COMPAORE est serein car il n’a rien à se reprocher donc il attend que la justice indépendante le blanchisse seulement on va quittez dans ca c’est pour les haineux et les aigri qui est dure."

    Humm tenga...je pense que si ton père ou ton fils avaient connus le meme sort que Norbert Zongo et ses compagnons d’infortunes, ou meme Salif NEBIE ; j’ose croire que tu résonnerai autrement, haa oui c’est vrai que tu as du faire partie de tous ces commandos de la mort...
    Mais crois moi, vous serez traqués jusqu’aux chiottes...le peuple vous jugera et vous serez condamnés...doù la nette différence entre le pouvoir actuel (droit et justice) et le votre (intimidations assassinats) pour peu que l’on soit pas de votre camp....
    Haaa les malheureux....on vous attends.....la justice passera....

  • Le 14 juin 2018 à 13:33, par Ton yaa ne zirinbedan En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Monsieur KA. Les éloges que vous faites au Président KABORE. Vous oubliez qu’il a été la pièce Maitresse du Régime COMPAORE. Ministre des Finances, Premier Ministre, Président de l’assemblée nationale. Souvenez-vous de cette célèbre phrase de votre mentor. "Toux ceux qui soutiennent que l’article 37 n’est pas modifiable sont des anticonstitutionnalistes" c’est bien Roch perché la-haut à l’Assemblée Nationale du Burkina Faso qui l’avait dit pour enfin de compte demander pardon au peuple. Qui est plus mouton que qui ?. Vous affirmez qu’il est au coeur du Christ, Christ n’a jamais pactise’ avec le diable, ni mangé avec lui., par contre ton mentor Roch a pactise’ pendant plus de 25 ans avec Blaise COMPAORE qu’ils ont qualifié de Diable. DIEU ne se camoufle pas dans du faux, il est lumière et brille pour tous.

  • Le 14 juin 2018 à 14:10, par Kafando En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Oui ZIRINBEDAN....tu na pas vole ton nom...
    Retiens ceci....en politique comme en tout il n’y a que les imbéciles qui ne changes pas.. et ces imbéciles aujourd’hui sont les nostalgiques des brigades de la mort...or, la rupture a eu raison de ce camp de la mort et a rompu avec.....
    Blaise à travaillé avec SANKARA mais il l’a tué....avec ZONGO mais il l’a tué...Avec Lingani mais il l’a tué ...avec Clément Oumarou OUEDRAOGO, mais il l’a tué....
    il est clair que s’i le fallait tuer tous les Burkinabés pour se maintenir au pouvoir ensuite céder le fauteuil au petit président, puis à la belle mère puis à sala & so & so & so......
    Bien entendu ne peuvent le regretter que les pseudos nouveaux devenus riches par les process de ces blanchiment...

  • Le 14 juin 2018 à 14:10, par belmopan En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    De la manière que vos parents et amis vous aiment, sachez que François aussi a ses parents et amis qui l’aiment. C’est aussi un burkinabè comme nous. Personnellement je n’aime pas sa tête mais je souhaite que la justice soit équitable pour lui aussi. Pourquoi cette haine ? Avec ces commentaires qui le condamnent d’office, la justice française n’est pas bête pour l’extrader dans ces conditions sans s’assurer qu’il aura le droit de se défendre. Vraiment depuis le départ de Blaise n’importe qui dit n’importe quoi dans ce pays. J’ai horreur de la haine.

  • Le 14 juin 2018 à 14:12, par nankolenduse Pierre claver En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Nous devons arrêter de politiser ce dossier.c’est une affaire judiciaire et Mr Compaoré connaît le dossier mieux que quiconque. À la justice burkinabè de justifier leur requête.

  • Le 14 juin 2018 à 14:24, par korokié En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    pourquoi sommes nous obligés chaque fois de suivre les humeurs des français ? Pourquoi ne pouvons nous pas dire notre droit coutumier en la matière et qui puni sévèrement les criminels ? tchrrrrrrrr.

  • Le 14 juin 2018 à 14:52, par Sarko En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    La justice française se fabrique des alibis . Aurait elle agi de la même façon face un pays de l’ union européenne ou des USA ? Je crois que non . Il n’ appartient au juge français d’ apprécier la justice burkinabé . Le fonds du dossier ne regarde pas la justice française.

  • Le 14 juin 2018 à 15:11, par s En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Je suis totalement d’accord avec l’internaute la loupe, la justice française veut juger l’affaire Norbert Zongo. on ne peut qu’attendre maintenant le délibéré.

  • Le 14 juin 2018 à 15:17, par Dedegueba Sanon En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Feu Norbert ZONGO déplorait " le silence des gens bons sur les mauvaises actions des gens mauvais...Et il avait plein de métaphores pour décrire " notre lâcheté collective" jusqu’à son autodafébun 13 Decembre.Les COMPAORE ont ( fait peut être) assassiné, disparaître des gens, parfois même presque publiquement, on s’est terré parce qu’on avait peur de se faire faire. Jusqu’à ce qu’un jour, ou trois jours durant, nos enfants et nos petits enfants disent " trop c’est trop". Et ce fut la fuite de ceux qui avaient fini par croire que le pays là était pour eux seuls. Et ils ont fuit pour aller où ? Certains même sont restés et sont encore aux affaires grâce à un " retournement de veste".
    Si nous voulons être vraiment justes, si nous voulons vraiment la vérité, toutes les tête pensantes du MPP, et du CDP ainsi que plusieurs opérateurs économiques, ainsi que certains magistrats qui ont travaillé à étouffer l’affaire NZ, tous ces gens doivent être entendus.
    Vous convenez avec moi donc que trop de gens n’ont pas intérêt à ce que la vérité éclate.
    Et si j’y ajoute que c’est même la France qui a exfiltré les Compaoré hors du pays, je suis plus que pessimiste. En fait, en se focalisant sur le présumé commanditaire, nous faisons fausse route, je suis persuadé que des gens non "inquiétés" en savent autant que François sur ce dossier. En outre en harcelant François, on donne une note politique à un problème pénal, pour moi même sans François, certaines personnes " accessibles " peuvent parler et aider à avancer dans le dossier. Le juge Armand est là, le juge Barry est là, les opérateurs économiques qui ont tenté de corrompre les Zongo pour que l’affaire n’aille pas loin sont là. La belle mère nationale n’a jamais été inquiétée pourquoi ? Feu Marcel KAFANDO avait dit ( même s’il n’avait pas prononcé son nom) au petit ZONGO, que cette dame était beaucoup plus dangereuse que François.

  • Le 14 juin 2018 à 15:42, par Le Roi rouge En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Dans ces conditions, il est mieux de réinstituer la peine de mort pour qu’elle serve au moins de sentence pour les terroristes..

  • Le 14 juin 2018 à 15:46, par RAZOUGOU En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Moi je trouve que ces différents reports constituent en soi un punitions pour François. Il va errer ainsi jusqu’à mourir sans venir dans son pays natal.

  • Le 14 juin 2018 à 16:03, par TANGA En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Cocktail MOLOTOV, on va les boycotter pian !!!
    Ce n’est que ainsi que ces petits français comprendrons.
    Tu parles du peuple français comme si tout ce que les dirigeants français font est pour un autre. C’est pour leur peuple donc on va faire comme ça. Ils ont placé et maintenu Blaise et son frère donc ils n’ont qu’à réparer.
    Tu parles de vociférer, OUI, on vocifère et on formera les générations futures en commençant par nos enfants à la maison que français c’est pas l’homme !!!
    Quand le mari de la vielle là est arrivé à Ouaga et se mettre à dire que...c’est le passé...moi je n’était même pas né... etc.., il ignore qu’il a été écouté par tout un peuple. Il veut prendre qui pour un imbécile ? L’état est une continuation, qu’il s’en rappel. Ils ont créé et il doivent réparer. Point barre.
    wEBMASTER LAISSES PASSER

  • Le 14 juin 2018 à 16:43, par Ka En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    ’’’’A’’’ l’internaute Ton yaa ne Zirinbedan : Avant de dénigrer sur une critique bien fondée, on doit bien la lire et bien l’analyser à fond. Ka n’a aucun mentor, il tire sa vérité sur tout le monde. Qu’il soit Roch Kaboré ou Ton Yaa ne Zirinbedam, ou Ka, ou Paul et pierre, tout le peuple Burkinabé durant les 27 ans des bourdes de l’introverti Blaise Compaoré est coupable à cause des balles du régiment du RSP qui perdaient sur tout ce qui bouge.

    Les plus proches collaborateurs de l’introverti Blaise Compaoré subissaient la répression plus que le peuple. Qui l’aurait cru qu’un médecin qui a attester que la mort de notre idéologue Thomas Sankara est de mort naturelle, se pavanera encore au Burkina ?

    Aujourd’hui qu’il a soutenu le tripatouillage de l’article 37, ou pas, le peuple et sa jeunesse s’est soulevés pour dire que rien ne sera plus comme avant, mais de s’unir pour reconstruire le Burkina dans la paix. Mais pour cela, ceux qui ont commis des crimes doivent payer pour soulager les familles de leurs victimes. Et si Roch Kaboré fait partie de ces criminels il y passera aussi devant les juges. Alors si tu n’as rien à dire, tu la fermes : Car 99% de ceux qui sont au pouvoir, ou prétendaient briguer le fauteuil présidentiel ont soutenus et travailler avec l’introverti Blaise Compaoré.

  • Le 14 juin 2018 à 16:49, par caca En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Le burkinabé est toujours égal en lui-même.Quand tu lis les saletés sur le dossier Zongo, on peut se permettre de poser la question afin de savoir s’il y a réellement quelqu’un de réfléchi dans ce pays. Depuis toujours, le fantasme primaire empêche les gens de comprendre qu’il ne faut jamais confondre l’imaginaire avec la réalité. Le pauvre journaliste Zongo a été sauvagement tué, mais l’orientation de l’enquête a été faussée par la mort de David Ouédraogo. Pour bon nombre de burkinabé c’est facile de rattacher les deux ensembles. Même si on pouvait avoir un soupçon sur les investigations du journaliste avec la mort de Ouédraogo, de même il y a rien de preuve tangible qui permet ce lien. Mais, c’est mal connaître le burkinabé, son l’imaginaire est actif et rationnel. Pour lui, le lien est factuel. Voilà que le juge français qui ne peut jamais se permettre d’une telle erreur vous demande simplement une preuve précise.

  • Le 14 juin 2018 à 17:13, par MOREBALLA En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Il n’y aucun changement sur le plan politico social au Burkina Faso, il y a juste une rotation de personnes aux différents postes de responsabilités, dont la seule motivation de gouvernance est la rancœur et la haine ; or, ces seules motivations n’apporteront rien de tangible à une satiété à la soif de l’adversité de l’ego. La vraie revanche, la seule justificative de l’élévation de la personnalité est la mesure de l’intelligence. Revenons en, comme il y a de nouveaux éléments qui ont concourus à la réouverture du dossier Norbert ZONGO, assurément il n’ y aura aucune difficulté à présenter les preuves matériels à la justice Française.

  • Le 14 juin 2018 à 18:16, par Ka En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Que ceux qui ne connaissent pas leur propre pays qui est le Burkina, et qui ne connaissent pas la France se taisent dans le dossier de notre valeureux Norbert Zongo. ‘’’Depuis la nuit des temps, la France a joué le caméléon dans tous les domaines pour ses intérêts, et garder la main pour montrer aux pays Africains qui est son maitre !

    Voilà pourquoi des ignorants qui ne connaissent pas la France se permettent de jouer son jeu en voulant sur cette analyse nous apprendre qu’est-ce que c’est la loi Française. Que ces personnes la ferme, car la France de Mitterrand, de Chirac, de Sarkozy, d’Hollande, et de Macron, notre valeureux reporter Bruno Jaffré a fait connaitre à cette France pourquoi l’obstination d’un valeureux journaliste qui était Norbert Zongo a payé de sa vie et qui a fait trembler le régime de Blaise et de François Compaoré.

    Ils l’ont tué et bruler avec ses compagnons, par ce que quelques jours avant, Norbert Zongo écrivait dans son journal ceux-ceux : ‘’’’Comment fera le président Blaise Compaoré pour s’imposer aux intellectuels qui appréhendent les dimensions de sa dictature et le drame qu’elle représente pour notre peuple ? Une seule solution s’impose à lui : Emprisonner, tuer, faire disparaitre, Norbert faisait allusion au chauffeur de François Compaoré David Ouédraogo torturé et tué. IL n y a pas d’autre alternative, monsieur le président est bel et bien reparti pour la violence qui fera bientôt de nouvelles veuves et de nouveaux orphelins.’’’

    Et le dimanche 13 dimanche 13 Décembre 1998, on découvre sur la route de Léo- Sapouy les corps calcinés de notre valeureux frère Norbert Zongo et ses compagnons. La France et le peuple Burkinabé connait cette vérité, sauf des bornés qui ne connaissent pas cette vérité se rangent du côté de la France pour demander des preuves.

    Même les élèves et les étudiants qui connaissaient la vérité a l’époque, manifestaient par milliers dans les rues demandant justice. Et comme je le redis, ce sont des supers bornés qui ne connaissent pas leur pays le Burkina qui disent que la France ne joue pas sa comédie pour insulter le peuple Burkinabé. Ce qui est sûr et certain, François Compaoré, fils de Bila Compaoré né à Ziniaré sait au fond de lui-même, qu’il est coupable : Voilà pourquoi il refuse de venir devant la justice de son pays. Mais pour combien de temps ?

  • Le 14 juin 2018 à 22:40, par M.koukav En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Ah ! Si seulement ces avocats de François lisaient nos commentaires pour comprendre la profondeur de notre douleur dans cette affaire. François est-il français ou burkinabè avant tout ? Lui qui disait être prêt à répondre à la justice de son pays. Et ces alliés sont là au Burkina et attendent leur sort qui ne sera sûrement pas la mort. Qui est-ce ce juge qui semble juger notre justice et prendre des décisions à sa place ? Un crime commis sur notre sol et qui nous trouble sommeil ya plus de 20ans et avec de serieux soupçon sur ce François Trop c’est trop ! Il semble construire sa valeur de juge sur sa capacité à défendre l’insoutenable, sans éthique sans moralité digne d’un humain tant qu’il y gagne des milliards. Et le temps passe avec notre processus de reconciliation nationale pris en otage par ce dossier, par juge, par la France. Ces avocats francais ont ils conscience de leur contribution a cultiver la haine contre leur pays et ressortissants ? Faudrait peut-être qu’on organise une journée internationale pour l’extradition de François devant toutes les ambassades de France à travers le monde. Megd’ alor !

  • Le 15 juin 2018 à 04:35, par Henriette kouassi En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Don gormas,je passais

  • Le 15 juin 2018 à 17:29, par lulu En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Quand on voit le temps que met la justice burkinabé à juger les auteurs du coup d’Etat alors qu’elle détient de NOMBREUSES PREUVES de leur implication, ceux qui agressent la justice française devraient quand même se montrer plus discrets, non ?

  • Le 15 juin 2018 à 19:05, par Ka En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    ’’’A’’’ lulu je confirme : Les femmes juges Française très sentimentales qui ont le dossier d’extradition de François Compaoré a Paris, et surtout toute la caisse de l’état Burkinabé vidée par François Compaoré, et qui se trouve dans les comptes de son avocat SUR, l‘Ivoirien Burkinabé François Compaoré ne sera jamais extradé au Burkina.

    Pourtant selon la justice Burkinabé, François Compaoré doit répondre des faits d’incitation à assassinat qui sont prévus et punis par nos lois : Nos juges ont des preuves pour cette incitation a commencer par les menaces que faisait François Compaoré a Norbert Zongo à cause de ses investigations au sujet de la mort du chauffeur de ce dernier. Qu’on oublie ce lâche comme son grand-frère qui a pris la nationalité Ivoirienne pour ne pas répondre a la justice Burkinabé pour le meurtre de son frère d’arme Thomas Sankara. Tel grand-frère tel petit-frère : Ils vont échapper à la justice des hommes, mais il y a aussi une certitude divine qui dit que l’on récolte toujours sur terre ce que l’on a semé, malgré la miséricorde de Dieu, et la foi après le pardon de Dieu. Si tu as semé la mort, attends-toi à la récolter aussi.

  • Le 16 juin 2018 à 14:51, par Bantchandi En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    L’indépendance de la justice même sous d’autres cieux est un leurre ; "la France si belle et si propre" peut-être souillée. Il y a des réalités que les burkinabè ignorent :
    - la franc maçonnerie dont les deux frères Compaoré sont membres et la loge du Burkina Faso est affiliée à celle de Paris mettra tout en œuvre pour sauver un ami un membre ;
    - les amis de la Droite française (les gaullistes radicaux) de Blaise Compaoré qui ont mis et maintenu pendant 27 ans ce dernier au pouvoir se battent au côté des frères Compaoré.
    - les amis dans le monde des affaires ne resteront pas les bras croisées : d’après Jeune Afrique (JA) les bénéfices de Blaise Compaoré à travers les entreprises de part le monde se chiffrent à une cinquantaine de milliards.
    Que ce soit les amis franc-maçons, les amis gaullistes ou les amis du monde des affaires des frères Compaoré ils agiront contre vents et marées pour influencer la justice "indépendante" de la France.
    Cherchez à savoir les avocats de François-Paul Compaoré sont issus de quelle milieu pour ce qui ne me croient pas et qui sont septiques.

  • Le 16 juin 2018 à 16:32, par Bantchandi En réponse à : Demande d’extradition de François Compaoré : Le délibéré renvoyé au 3 octobre 2018

    Je crois qu’à un moment il va falloir agir comme Kagamé le président rwandais pour obliger la France à avoir plus d’égard et de respect envers nous.

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