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Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

Publié le mercredi 13 juin 2018 à 12h04min

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Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

Depuis un certain temps, le Burkina Faso enregistre le plus grand nombre de grèves de son histoire. Du ministère de la Santé à celui de l’Économie, en passant par l’Agriculture et l’Éducation, les mouvements d’humeur se font de plus en plus ressentir. Une situation qui, d’une manière à une autre, a des répercussions sur la population. Une équipe des Éditions LeFaso.net a tendu son micro à quelques riverains pour recueillir leurs avis sur la situation.

Apollinaire Kaboré, enseignant à la retraite

Ce gouvernement que nous avons actuellement ne tient pas parole. Depuis longtemps, les grèves ne font que se succéder. À chaque fois, on nous dit qu’il y a de signatures d’accord mais après, les syndicats ressortent pour dire qu’ils ne sont pas satisfaits. Par exemple, la récente grève des agents des Finances là, j’ai suivi à la télévision que sur les points de revendications, aucun point n’a été respecté. Comment voulez-vous qu’il y ait entente ?

Il faut satisfaire au moins deux ou trois points et trouver un terrain d’entente pour le bonheur du peuple. Ce n’est pas le cas. Surtout la grève des agents de l’Économie et des Finances, c’est grave pour le pays. Les commerçants se plaignent que leurs marchandises sont stockées à la douane, donc imaginez que ce qu’ils vendent actuellement finit un jour, on ne pourra plus acheter quelque chose. Je crois que ce gouvernement n’est pas honnête. Il promet mais il ne l’accomplit pas.

Ousmane Baguian, commerçant

Le fait de grever est un droit pour les travailleurs mais s’ils peuvent modérer, je pense que c’est mieux pour qu’on puisse aller de l’avant. Sinon, on ne dit pas qu’il ne faut pas grever mais il faut qu’ils essaient de trouver une solution avec le gouvernement. Ce que je peux proposer, c’est que les grévistes d’aujourd’hui et leurs ministres de tutelle puissent s’asseoir ensemble et trouver une solution.

Kadiata Boureima, étudiante en 4e année de Droit

Kadiata Boureima

D’abord, je dirai que lorsqu’il y a plusieurs grèves, c’est que quelque part, quelque chose ne va pas. Peut-être que le gouvernement n’arrive pas à satisfaire tous les besoins des syndicats, donc cela fait que chacun de son côté essaie de grever pour une amélioration de ses conditions. Il revient au gouvernement de savoir gérer cela, bien vrai qu’on ne peut pas satisfaire tout le monde à la fois. Il faut qu’il commence par les côtés sensibles.

Kamou Malou

Je trouve que cette fronde sociale montre au vu de tout le monde qu’il y a un malaise social et ça, on ne peut pas le cacher. Il faut dire aussi que cela prend ses racines dans la gouvernance passée. Aujourd’hui, je ne pense pas que tout peut être rose par un coup de bâton magique. Je pense que ce soit les syndicats, ils ont raison parce que c’est dans la lutte qu’on acquiert des avantages.

On dit que la plus belle femme au monde ne peut donner que ce qu’elle a, donc je pense que tout ce qu’on peut dire en tant que citoyens, c’est de demander aux syndicats de mettre de l’eau dans leur vin parce que demain, l’histoire va les rattraper. Si jamais le Burkina tombe dans une situation ingouvernable, l’histoire retiendra que les syndicats ont fait chavirer le pays-là. Nous tenons tous à la paix sociale et que les négociations continuent parce que nous, les citoyens lambda, nous recherchons un environnement de paix afin de vaquer à nos occupations et gagner notre pain quotidien.

Il y a beaucoup de Burkinabè qui ne mangent pas grâce au gouvernement mais ils contribuent à payer ces fonctionnaires-là. Il y a la grève partout dans le monde mais nous déplorons chez nous quand même que ce ne soit de luttes déguisées ou politiques parce que nous retenons que les syndicats ont été utilisés à plusieurs reprises dans ce pays au service du politique. Nous sommes tous parents d’enfants donc chacun doit faire en sorte que nous puissions léguer à la jeunesse future, un pays en entier et non morcelé.

Marthe Kambiré, étudiante en 2e année de Droit

Marthe Kambiré

Je trouve que grever, c’est normal, mais il ne faut pas abuser de son pouvoir de grève parce qu’on constate une paralysie au niveau des administrations. On dit qu’il n’y a pas assez d’argent dans les caisses de l’État. Mais si on ne travaille pas, comment on veut à ce que l’argent entre dans les caisses de l’État pour qu’on les paie. On ne peut pas passer tout notre temps à grever.

Mahamadi Yameogo, courtier

Mahamadi Yameogo

Pour moi, il y a beaucoup de fuites de responsabilités parce que le monde intellectuel doit prendre au sérieux l’avenir de ce pays. Si on doit faire un recul, il y a beaucoup de choses qui se sont passées dans ce pays, donc je pense qu’il est temps que nous changions nos façons de faire et il faut comprendre que le Burkina, c’est aussi l’avenir. Et cette responsabilité repose à tous les niveaux. Il faut s’asseoir, discuter, se comprendre et faire les choses de manière équitable. Je me dis que le pourcentage des fonctionnaires n’a rien à voir avec celui de ceux qui travaillent nuit et jour pour faire quelque chose dans le domaine du contribuable afin ce pays puisse fonctionner.

Ce que je veux dire à ceux qui ont eu la chance d’aller loin dans leurs études, c’est qu’il faut qu’ils aient vraiment l’amour de ce pays et se donnent entièrement à ce que nous puissions vivre dans un Burkina où il fait bon vivre. Aujourd’hui, si nous sommes bloqués dans des querelles, c’est parce que certains veulent qu’on prenne soin d’eux seuls et laisser les autres mourir de faim. Un tel comportement n’est pas Burkinabè.

Halidou Kaboré, commerçant

Avec les grèves-là, franchement, cela ne nous arrange pas. À chaque fois, les gens grèvent par-ci, par-là, donc je trouve que ce n’est pas bon. Ce qu’ils veulent au juste même on ne sait pas, donc il revient au président du Faso de les voir et résoudre leurs problèmes. Tout ce qu’on veut, c’est la paix au Burkina Faso.

Moussa Ilboudo, vendeur d’habits

Parlant des grèves, je ne comprends pas ce que ces gens veulent au gouvernement. Toutefois, selon moi, ils peuvent s’entendre autrement au lieu de passer leur temps à grever car cela ne nous arrange pas. Je vois que les policiers, les douaniers, les fonctionnaires et même les médecins grèvent. Je ne trouve pas l’importance dans ça. Par exemple, le cas des médecins, ils peuvent résoudre leurs problèmes parce que si un médecin part en grève, même si c’est 10 minutes, on peut avoir beaucoup de morts à l’hôpital.

Alissiata Kaboré, commerçante

Actuellement, il y a plusieurs grèves donc nous les commerçants, nous ne savons plus quoi dire parce que le marché est au ralenti et ça met le pays en arrière. Je ne sais pas si c’est à cause de ce président mais avant, il n’y avait pas assez de grèves comme cela. Nous souhaitons que les grèves-là finissent maintenant afin que le pays soit en paix. Les syndicats n’ont qu’à s’entendre avec leurs responsables, c’est mieux.

Fanta Bandé, commerçante

En tout cas, on n’est pas du tout content des grèves-là parce que cela fait que le pays n’avance pas. Le marché même devient de plus en plus dur sur nous donc c’est mieux qu’ils trouvent une solution. En plus des syndicats, il faut que le président Roch se lève et voie aussi d’autres problèmes des Burkinabè tels que la faim.

Moussa Tiemtoré, étudiant en 1re année de Droit

Moussa Tiemtoré

Le citoyen burkinabè a compris que pour atteindre ses objectifs, il faut passer par des grèves. Mais là n’est pas la question, car il faut voir la manière. Par exemple, le cas des agents du ministère de l’Économie et des Finances, il faut demander quelque chose de social. Je suis contre les grèves pour les intérêts individuels. Je pense que le président du Faso doit arrêter la communion, enlever la tunique et frapper fort. Ils sont dans leur plein droit mais pour un pays en développement comme le Burkina Faso, il faut revoir cette manière de grever. Imaginez si les agriculteurs qui nourrissent tout le Burkina Faso doivent partir en grève aussi.

Propos receuillis par Cryspin Masneang Laoundiki
LeFaso.net

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Vos commentaires

  • Le 13 juin 2018 à 12:23, par HUG En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Pour taper fort, il faut être juste envers tous. Quand on choisit des corps et on leur donne des avantages on laisse les autres cela n’est pas normal.

  • Le 13 juin 2018 à 12:48, par la verité En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    vous n aviez meme pas pitié de vous meme au lieu de demande au gouvernement pourquoi il a réduit de 40 pourcent de le notre de poste des concours vous étés entrait de parler de ce qui ne vous regarde pas je m adresse surtout aux étudiants au lieu de penser a votre avenir.

  • Le 13 juin 2018 à 12:52, par SAA En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Monsieur Moussa Tiemtoré, étudiant en 1re année de Droit, je comprend et la jeunesse de ton raisonnement et ta courte vision de la lutte syndicale. je comprend aussi que tu ne puisses pas comprendre comment tes parents ont saigné pour que tu sois à l’université. Bon, c’est pas de ta faute car tu n’es pas responsable de ta venue au monde. les meilleurs condition de vie et de travail que les fonctionnaires réclament c’est pour vous, mon jeune frère. Tu n’as pas compris qu’il vous sera difficile de vous offrir même un non-loti avec la cherté de la vie en cours ? bref tu es trop jeune pour comprendre. Concentres -toi sur la théorie et on se donne rendez-vous dans 4 ans pour un débat franc et constructif. Enfin, si ton gouvernement règle la question du chevauchement des années.

  • Le 13 juin 2018 à 13:15, par lino En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    donc sur tout le campus la, vous n’avez pas vu autre étudiant qui puisse donner son point de vue si ce n’est les étudiants de droit quoi ?? c’est quoi ce complexe ?

  • Le 13 juin 2018 à 13:19, par demain n’est pas loin En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    cher frère moussa tiemtoré j’espère que dans 4 ans tu finiras tes études et tu intégreras le monde du travail et on en reparlera. Attention le langage que l’on tient aujourd’hui peut être un obstacle demain. Ensuite, le juriste doit avoir une analyse en connaissant les faits.

  • Le 13 juin 2018 à 13:43, par philo En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Moi, je m’adresse à bassolma bazié qui pense être plus intègre que tout le monde. Pourquoi il n’a jamais critiqué un syndicaliste même si celui-ci est en erreur. A chaque fois, les syndicats ont raison et le gouvernement a tord. Faites pardon, si vous êtes aussi important que vous le pensez, présentez votre candidature en 2020 aux élections présidentielles. On verra si vous aurez 1%. ou bien créer votre parti politique pour concurrencer les autres partis, comme ça, on verra si vous êtes vraiment populaire.

  • Le 13 juin 2018 à 14:01, par Ka En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Moussa Tiemtoré je confirme : La lutte des classes est une lutte légitime et politique, couverte et protégé par des conventions de l’OIT et de Bit pris en compte et signés par plusieurs pays à travers le monde dont le Burkina fait partie. Dans notre pays la lutte des classes pour des intérêts naturels ont toujours excité. Depuis l’introduction de la Haute-Volta avec le capitalisme, la lutte des classes a commencé à être très vive jusqu’à nos jours : c’est pourquoi notre pays est cité en exemple du continent pour sa vitalité de son syndicalisme qui est l’avant-garde de la lutte des classes, et qui n’est rien d’autre qu’une lutte politique. Quand les syndicats disent qu’ils sont apolitiques, ils veulent simplement tromper l’opinion public : Car là il y a conflit d’intérêt, il y a forcément de la politique. Et comme tu l’as bien dit, ‘’’les grèves individuelles pour des intérêts personnels ne sont pas légitimes.’’’ Et ce qui se passe en ce moment dans notre pays, les responsables syndicaux utilisent la force motrice du syndicat qui sont les règles et les conventions, pour manipuler les syndiqués et faire chanter un pouvoir mouta mouta pourri jusqu’à la tête dont les responsables sont complices dans des crimes et la corruption à ciel ouvert. Roch Kaboré doit se réveiller, ou il passera dans la casserole des responsables syndicaux très futés.

  • Le 13 juin 2018 à 14:01, par action sociale En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Vous avez compris, lefaso.net, dites aux ministres que le peuple entier veut que tous fils et filles se parlent sincèrement. Commencez par le ministère de la Femme (Ex-Action sociale).

  • Le 13 juin 2018 à 14:15, par heremougou En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Moussa TIemtore, je me pose la question sur votre niveau scolaire. Est ce que réellement tu es en 1ere année ? Avec une telle platitude dans le raisonnement, il est fort à parier que vous n’allez pas aller loin. Tu penses que c’est la production agricole nationale qui nourrit le Burkina ? C’est pas parce qu’on dit tous les jours, que le Burkina est constitué à majorité par des agriculteurs, qu’il faille croire que ce sont d’eux qui nourrissent tout le Burkina.

  • Le 13 juin 2018 à 14:29, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    - ’’Il y a beaucoup de Burkinabè qui ne mangent pas grâce au gouvernement mais ils contribuent à payer ces fonctionnaires-là’’. Cher Kamou Malou, si toi tu contribues à faire payer les fonctionnaires, tu peux arrêter si tu veux ! Et personne ne t’oblige d’ailleurs. Ton enfant qui est l’école, c’est pas quelqu’un qui l’enseigne ? Tu peux aller le sortir de la classe et l’enseigner toi-même si tu veux ! Tu n’as rien compris du débat dont il s’agit ici !

    ’’.....le président du Faso doit arrêter la communion, enlever la tunique et frapper fort’’. Mon cher Moussa Tiemtoré, toi tu n’es qu’un étudiant en 1ère Année de Droit et donc probablement un futur chômeur et tu recommandes de frapper fort ? Pleure d’abord et avant tout sur ton sort dans le futur. Ces fonctionnaires luttent pour que les gouvernants tiennent parole. Et tu vois qu’au contraire de leurs déclarations lors des campagnes électorales, le nombre de postes aux recrutements de la fonction publique a drastiquement diminué sous leur gouvernance depuis les 2 ans passés !? Ils ont promit de créer des emplois pour vous les jeunes, mais on ne voit que les emploiis HIMO (Curer les caniveaux, faire des travaux de nettoyage, etc.) et tu fais donc Droit à l’UO pour faire ce type de travail demain ? Ben, toi-même tu peux décider de ’’frapper fort’’ les syndicats si tu veux, et il te suffit de refuser d’aller en classe car c’est seulement celà que tu peux faire d’abord car étant étudiant, donc chômeur pour le moment, tu ne payes pas d’impôts pour qu’on paye les fonctionnaires. Et demain est aussi incertain pour toi à cette allure là. Mon fils ne raconte pas des bêtises et voit tous les autres qui ont été diplomatiques dans leurs réponses, mêmes les commerçants qui souffrent le plus et le courtier.

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 13 juin 2018 à 14:31, par ouedraogo yamwekkre En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Tous ce QUI SE PASSA AU BURKINA FASO EST LE CUMUL DES TARES DE 27 ANNEES DE BLAISE COMPAORE. LES GENS ETAIENT MENACES OPPRIMES DEPUIS CE TEMPS. DONC CE QUI SE PASSE EST LE FRUIT DU MECONTEMENT DES 27 ANNES DE REGE DE BLAISE.
    - Blaise ne tardait pas a tirer,
    - Blaise vendait la drogue,
    - Blaise vendait des pichups aux rebelles et aux intégristes musummans (AL KAIDA, AL MOUARABITOUNE, ANSARDINE),
    - Blaise avit envahi la sieera leone, la RCI ; le liberia,
    - Blaise liberait les otages,
    Toutes ces actions malsaines et déshonorantes ont rapporté de l’argent sale à blaise et aux CDP.
    A l’opposé ROCK ne peut se comporter comme ce Mr.
    Les fonctionnaires doivent bien analyser la situation du pays.
    BASSOLMAN n’est pas un bon leader, quand quelqu’un refusede negocier c’est bon. Pourtant ce sont les syndicats qui ont demandé la mise à plat des salaires ?
    En outre les syndicats sont contre la présence de la société civile, les syndicats ont mal agit. Je vous rappelle que rien ne peut se décider sans ce pan de la communauté, meme pendant les situations difficiles de notre pays la société a toujours un mot à dire.

  • Le 13 juin 2018 à 14:37, par Ka En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    ‘’’A mon ami SAA :’’’ Comme j’ai souvent dis, ce qui fait la richesse de Lefaso.net, ce sont nos différences. Oui, toi qui connait bien les manœuvres syndicaux de notre pays, tu es bien avancé que le jeune étudiant Moussa Tiemtoré en première de droit, et qui commence à roder autour de ce qu’il voit réellement. Et je confirme que de ce qu’il voit, ’’’’de ce qui se passe en ce moment pour un jeune qui veut appliquer la loi plus tard, n’est pas catholique.’’’’

    Je confirme ta pensé d’une personne mûre qui lutte pour ses intérêts personnels, mais sache qu’actuellement la lutte de classes individuelle de nos responsables syndicaux n’est plus une vraie lutte vive pour des intérêts de toute la classe opprimée. Si je dis que cette lutte n’est plus vive, c’est l’exemple du silence de notre Bassolma BAZIE national, et qui signifie qu’une partie des exploités ignorent complètement qu’ils sont l’objet d’une exploitation éhontée de leurs propres responsables syndicaux. Heureux de te lire mon ami SAA.

  • Le 13 juin 2018 à 15:04, par Enfant benis du BAM En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Bien dit papa Apollinaire Kabore ! vraiment ce gouvernement ne tient pas compte du passé et la vérité est la moins partagée. Je pense que les conclusions de ce forum de mise a plat des salaires des certaines fonctionnaires débouchera inévitablement sur une grise que ce gouvernement ne pourra gérer. Que DIEU veille sur notre pays. Merci encore papa pour ta clairvoyance.

  • Le 13 juin 2018 à 15:04, par IB En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    A mon humble avis, les responsabilités sont partagées entre les gouvernements du regime Compaoré, sous la transition et celui de M. Paul Kaba Tiéba et les syndicats surtout du MINEFID. les Ministres des finances ont signé des arrêtés pour enclencher des paiements des Fonds communs tout en sachant que les sources d’approvisionnement de ces fonds ne sont pas réaliste et soutenable à longs terme. Le taux d’indexation d’un avantage (Fonds communs) qui s’applique entres autre sur le niveau du budget de l’Etat est inadmissible dans un pays pauvre très endetté. Un Fonds commun qui est basé sur les penalités et amendes des contribuables on peut comprendre un peu par contre si ça porte sur autre chose c’est du vol et de l’égoisme de la part des bénéficiaires. Les syndicats bénéficiaires de ces fonds, dans leur égoisme ont profité de cela pour toujours reclamer une amélioration du Fonds Communs nonobstant le ratio de la masse salariale sur les recettes fiscales qui depasse les 50% alors que la norme de l’UEMOA se situe environ 32%. Dans cette allure nous courrons droit au mûr on a pas besoin d’avoir des b-a ba en économie pour comprendre cela. La mise à plat des salaires des fonctionnaires, peu importe le format, est la bienvenue si toutefois les objectifs affichés sont le retablissement de l’équité, l’égalités entre les fonctionnaires. Après cette conférence il faudra inéluctablement attaquer aux salaires des membres du gouvernement, des présidents d’institutions et autres, des magistrats et des militaires. Dans cette affaire, personne ne sera épargner si toutefois le pays ambitionne booster l’économie du pays et retablir la justice économique et sociale envers les 18 millions de Burkinabè.

  • Le 13 juin 2018 à 15:20, par Enfant benis du BAM En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Mon frère moussa Tiendrebeogo même si on t’envoie faudra savoir t’envoyer je suis déçu de te voir réagir ainsi. As tu vraiment le BAC ? Saches qu’après tes études tu aura pas la chance de postuler le concours le l,ENAREF car les régies (impôt et le trésor public ainsi que les marchés publics) seront privatiser .C’est l’objectif du Ministre de la fonction publics et celui chargé des finances .Merci pour ta compréhension jeune frère du quartier. Courage

  • Le 13 juin 2018 à 15:26, par changeons En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Le sieur AA semble être un donneur de leçons, mais à bien lire le message Moussa Tiemtoré, il parle bien de la grève des agents du Ministère des Finances et les appelle à plus de réalisme. Je connais bien le sieur AA qui change de véhicule chaque année et possède pas mal de parcelles. Ce sont des biens individuels et la lutte actuelles des agents du Ministère des Finances est d’en avoir plus. Sont-ils les seuls fonctionnaires ou les seuls burkinabé ? Sieur AA, ta lutte n’est pas pour l’intérêt général, mais pour tes propres intérêts. Allons seulement !!!

  • Le 13 juin 2018 à 15:36, par Le juste En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Le CDP a tout dernierement proclamer que quand ils étaient au pouvoir cela veut dire sous Blaise, il y avait une bonne attente entre eux et le syndicat. Je trouve cela tres intérréssant.

  • Le 13 juin 2018 à 16:05, par vision En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Que chacun continu de penser qu’il est le plus utile de tous, des gens violent la loi pour atteindre leurs objectifs syndicaux, on verra si chacun des burkinabè devait violer la loi pour maintenir sa position, personne ne pourra commander l’autre, bientôt, on se retrouvera tous dans l’Etat de nature où il n’y a plus de loi que celle du plus fort. Violer la loi et obtenez vos avantages, demain, les contribuables aussi vont violer la même loi pour refuser de payer l’impôt et on verra avec quelle loi les redresser. Nous observons tous l’évolution de la situation...

  • Le 13 juin 2018 à 16:22, par ça fait pitié En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Haye l’internaute philo, tu as quel problème avec Bassolma Bazié ? Tu penses que le gouvernement a besoin d’être defendu par Balssoma, il a des gens qui sont payés pour ça et qui font bien leur travail, parfois même à l’excès.
    Bassolma a choisi de faire du syndicalisme, pourquoi veux-tu l’obliger à faire la politique politicienne ? Chacun de nous est important, c’est pas seulement ceux qui se déclarent candidat aux élections présidentielles qui sont importants, même toi tu es très important où tu es et dans ce que tu fais. Il ne faut pas te sous-estimer, valorise toi mon frère.

  • Le 13 juin 2018 à 16:24, par Bamos En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    BJ les gens ne doivent pas oublier hier c est la grève qui a fait que le coup d état a échoué sinon on en sera mas là faisons attention le président a convoqué une conférence et le président sait ce qui il fait vous allez l induire en erreur et fuite après le laisser le premier ministre est en train de faire un bon boulot vous dite de taper si on tape tu sera dedans est ce que un commerçant acheté un produit d un autre commerçant c est les fonctionnaires qui achetent vos marchandises c est les fonctionnaires qui résolvent vos problème Dans les services attention on se connait

  • Le 13 juin 2018 à 16:37, par L’Homme Intègre En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Moussa Tiemtoré, c’est comment ça vous avez gâté le nom du pays devant Macron, le Président Français !
    Fanta Bandé qu’ Allah fasse prospérer ton commence.
    Tonton Apollinaire KABORE, tu as compris que ce gouvernement est irresponsable et mais spécialisé dans la calomnie, le dilatoire. Il font référence à la loi 081 quand ça les arrange et la réfute quand ça les condamne. Il n’est pas rare d’ entendre qu’ il faut les décrets d’ application de la loi 081 avant sa mise en œuvre quand il s’ agit d’ empêcher le nomadisme professionnel.

  • Le 13 juin 2018 à 16:46, par YAAM SOBA En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Des étudiants au lieu de revndiquer des meilleures conditions d’études avec ce calendrier universitaire décalé, vous vous mêlez des affaires qui vous dépasse ! Les étudiants d’aujourd’hui ne sont plus les mêmes que nous avions connu dans les années 80 et 90. raison pour laquelle ils se feront piétiner !

  • Le 13 juin 2018 à 16:49, par Nonga Sida En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Moussa Tiemtoré n’est pas un bachelier ! Ses propos aberrants m’ont fait tomber des nues : "Imaginez si les agriculteurs qui nourrissent tout le Burkina Faso doivent partir en grève aussi." C’est pathétique pour un futur juriste.

  • Le 13 juin 2018 à 17:31, par Ka En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    ‘’’A’’’’ moussa Tiemtoré : La lutte des classes est une lutte légitime et politique, couverte et protégé par des conventions de l’OIT et de Bit pris en compte et signés par plusieurs pays à travers le monde dont le Burkina fait partie. Dans notre pays la lutte des classes pour des intérêts naturels ont toujours excité. Depuis l’introduction de la Haute-Volta avec le capitalisme, la lutte des classes a commencé à être très vive jusqu’à nos jours : c’est pourquoi notre pays est cité en exemple du continent pour sa vitalité de son syndicalisme qui est l’avant-garde de la lutte des classes, et qui n’est rien d’autre qu’une lutte politique. Quand les syndicats disent qu’ils sont apolitiques, ils veulent simplement tromper l’opinion public : Car là il y a conflit d’intérêt, il y a forcément de la politique. Et comme tu l’as bien dit, ‘’’les grèves individuelles pour des intérêts personnels ne sont pas légitimes.’’’ Et ce qui se passe en ce moment dans notre pays, les responsables syndicaux utilisent la force motrice du syndicat qui sont les règles et les conventions, pour manipuler les syndiqués et faire chanter un pouvoir mouta mouta pourri jusqu’à la tête dont les responsables sont complices dans des crimes et la corruption à ciel ouvert. Roch Kaboré doit se réveiller ou il passera dans la casserole des responsables syndicaux très futés.

  • Le 13 juin 2018 à 17:37, par Ka En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    ‘’’A mon ami SAA :’’’ Comme j’ai souvent dis, ce qui fait la richesse de Lefaso.net, ce sont nos différences. Oui, toi qui est un vieux routier des manœuvres syndicaux de notre pays, tu es bien avancé que le jeune étudiant Moussa Tiemtoré en première de droit, et qui commence à roder autour de ce qu’il voit réellement. Et je confirme que de ce qu’il voit, de ce qui se passe en ce moment pour un jeune qui veut appliquer la loi plus tard, n’est pas catholique. Je confirme ta pensé d’une personne mûre qui lutte pour ses intérêts personnels, mais sache qu’actuellement la lutte de classes individuelle de nos responsables syndicaux n’est plus une vraie lutte vive pour des intérêts de toute la classe opprimé. Si je dis que cette lutte n’est plus vive, c’est l’exemple du silence de notre Bassolma BAZIE national, et qui signifie qu’une partie des exploités ignorent complètement qu’ils sont l’objet d’une exploitation éhontée de leurs propres responsables syndicaux. Heureux de te lire mon ami SAA.

  • Le 13 juin 2018 à 19:14, par ENSEIGNANTS DU NORD En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Qu’on est le courage de se dire les choses au lieu de se divertir : quand une corporation de 8000 personnes dont les catégories E touchent plus que les catégories A des autres corporations fait grèves c’est que le pays va s’enflammer à cause des grèves. Le président doit frapper fort ; on a pas vaincu le RSP en négociant : il y a eu des morts ! Et quand une catégorie E touche plus qu’une catégorie A, il est prêt à mourir pour défendre ces acquis. Alors monsieur ROCH, frappez fort ou vous allez le regretter. Notre économie a été confisquée par Blaise et remise entre les mains d’appatrides. Frapper fort car nul n’est indispensable à ce pays. Vous n’avez pas construit des Universités avec des milliers de chomeurs en science de gestion sans oublier les nombreux BAC G2 pour que des gens de niveau BEPC ET CEP prennent en otage notre économie. Si des niveaux BEPC ont compris quelque chose en deux ans de formation, les niveaux maitrise et licence en gestion peuvent le comprendre en deux semaines. Qu’on arrête de faire croire aux burkinabè qu’on est des super fonctionnaires avec un niveau BEPC. Tout le monde sait ou se trouve le poison, coupez la tête du serpent pendant qu’il est temps.

  • Le 13 juin 2018 à 20:07, par Bamos En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Mo’ frère tu te trompe tu es la tu parle de niveau le niveau aujourd’hui c est quoi c est dans le système français les gens se cachent dernière les diplôme le système anglais on te dit de faire on va voir .j ai reçu un élevé de d une écoles supérieure qui aspire cadre A mais c est catastrophique ne parlons pas de niveau .le niveau c est comme les s en vont prier a la mosquées ou a l église.. Ils ne fond pas ce qui ils disent c est le jour et la nuit c est la même les diplômes demande a dieu de te donner a manger c est simple si tu te mets a comparer le temps de se rendre compte tu es en retard je ne sais pas quel niveau vous avez mais ça ne regarde que vous

  • Le 13 juin 2018 à 20:37, par alibi En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Je sais que la greve est un droit, mais a voir tout ce ui se passe, sincerement, je suis ecoeure. Quel genre de syndicats avons aujd’hui au BF. Apres qu’on ai tous constaté que l’economie ne tourne pas, On greve à tue-tete. Greves, greves et greves. Certaines greves semblent tellement bizarres que je me demande si ce sont vraiemnt les syndicats du BF, des fils de ce pays.
    On s’en fout, on greve, on greve, et on greve. Ya t-il des economistes planificateurs dans ce pays pour aider a montrer nos capacités reelles ? Vous avez juste qq lingots d’or au cours de ces dernieres années, et vous pensez que ca va continuer ???!!!
    Apres l’incivisme dans la rue, il y a l’incivisme dans les building. La gouvernance capitaliste a ses travers, et il faut que l’on fasse attention pour un pays comme le BF.
    Je ne sais ce qui se passe et j’ai tres peur pour ce pays. La greve est un droit, ajoutons de l’intelligence, de la prudence, du realisme et du patriotisme. Ou sont les anfants de Sankara ? Quelque chose peut sembler juste, mais si le auteurs peuvent etre à l’origine d’une tres grande pagaille de ce niveau, cela fait peur, car la grande derive n’est pas loin. Une bagarre peut sembler banale au debut, mais si les auteurs ne font pas attention, cela peut entrainer de la catastrophe. Meme si tout n’est pas comparaison, Mr Koffi Konan Yao dit Blé Gnaore, Brou Ouattata peut te le temoigner.
    Bien a vous

  • Le 13 juin 2018 à 21:24, par Zitai En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Un enseignant du nord !
    Vous en êtes au point où vous appelez de vos vœux un président au meutre et aux assassinats ? Combien de cadavres vous conviendraient pour assouvir, que di-je, pour compenser "votre manque à gagner" tout aussi financier ? Votre cupidité congénitale auto révélée est certainement la plus morbide qui puisse se concevoir car pour que vous puissiez jouir aussi du FC, il faut assassiner les bénéficiaires ? T’aurais déjà des projets dans ce sens ? Tu fais bien d’impliquer ouvertement le président à tes projets : maintenant, la vie de milliers de personnes se trouvent entre tes mains et les siennes. Et le net n’est pas aussi anonyme que tu le croit. Les enquêteurs de la police et de la gendarmerie sauront te retrouver le jour q’un financier sera assassiné.
    Autre chose, si les license et maîtrise peuvent comprendre les finances publiques en 2 semaine, pourquoi t’a pas fait de concours de ces niveaux ? Zut, t’as PAS de niveau ? Ben pas de chance aussi.
    INFO : Les catégories E, sans niveau viennent tout juste de recevoir leur virement de FC, et toi ?

    Quelle merde.

  • Le 14 juin 2018 à 01:45, par Le bon analyste En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    La dernière fois, j’ai écrit et ça n’a pas été publié, c’est votre droit. Mais si ce qu’on dit n’enfreind pas à la déontologie, il faut publier le post.
    Le titre de l’article ne sied pas
    Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort ».
    Il fallait donner un titre conciliant :
    Par exemple : Le Président doit prôner le dialogue pour une sortie de crise bénéfique pour tous.
    Mais on prend les paroles va t’en guerre d’un innoncent, futur demandeur d’emploi pour le titre de l’article. Sur les 11 intervievés, 10 sont modérés sauf 1 pour Moussa Tiemtoré.

  • Le 14 juin 2018 à 06:01, par Seydou TRAORE En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Koro yamlèlè, i gnan tougouni lo i ti foyi yera. sabari ka i gnan lèlè. ( Koro yamlèlè, tu dois avoir compris ce que j’ai dit)

  • Le 14 juin 2018 à 07:23, par indiga En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Je voudrais être très sincère avec nos chers amis fonctionnaires :

    - Un mot appelé " Salaire " ne sauve jamais et ne peut contribuer à développer un pays,

    - Un mot appelé " Syndicat " ne sauve jamais car n’ayant aucune réflexion pertinente à mesure de créer de la valeur ajoutée ;

    - Un mot appelé " Grève " ne sauve jamais et ne peut contribuer à développer un pays,

    Chers frères et sœurs, c’est notre défaut de créativité, défaut de courage, défaut d’initiative qui nous poussent à aller et espérer une vie meilleure dans la fonction publique. Une fonction publique ne peut créer de l’emploi et n’a jamais développé un pays.

    Cessons de penser " fonction publique, fonctionnaire " si nous voulons amorcer le développement. Si nos étudiants pensaient " FONCTION PRIVÉE " il y a seulement dix (10) ans, notre BURKINA FASO ne serait pas dans cette misère morale (misère d’esprit).

    La véritable différence qui existe entre les deux (02) mots " FONCTION PRIVÉE " et " fonction publique " est :

    - Deux (02) étudiants formés l’un (Esprit FONCTION PRIVÉE) et l’autre (Esprit fonction publique) ne serviront jamais le monde professionnel de la même manière : l’un passera toute sa vie à une remise en cause permanente (quête de l’amélioration) et l’autre passera toute sa vie à revendiquer (quête de la destruction).

    Malheur à tout celui ou celle qui a manqué de créativité d’un apport significatif au monde professionnel durant son séjour sur terre

  • Le 14 juin 2018 à 07:50, par Dédé le Révolté En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Les grèves sont plus politiques que syndicales. Les travailleurs doivent se convaincre que leurs responsables abusent de leur foi au syndicalisme, mais ces gens ont un autre agenda. Ils rêvent de prendre le pourvoir par le seul soulèvement des travailleurs comme le polonais Lech Welesa ... Erreur, ils n’ont ni l’étoffe ni opportunité. Alors les syndicalistes politicards gagneraient à arrêter les graffitis sur les murs et créer un parti politique, qu’il s’appelle PCRV ou autres...
    Dédé

  • Le 14 juin 2018 à 07:53, par HUG En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Ceux qui critiquent les syndicats ne comprennent pas certaines situation. Savez vous qu’il y a des ministres qui minimise les travailleurs de leurs départements. Sinon comment comprendre qu’après plusieurs gréves et siting on ne cherche pas à rencontrer les syndicats ne serais pour les écouter. Non on a opter pour la manière forte à travers des réquisitions illégales sur lesquelles on se base pour écrire des lettres d’explication aux agnets tout en déclarant que la procédure administrative suivra son cours sans même donner son point de vue sur les réponses des lettres d’explication. Ou vous avez vu çà si ce n’est pas au gouvernement du MPP et acolytes. C’est le cas au ministère de la femme. Donc avant de critiquer les syndicats il faut avoir toutes les informations car les syndicats sont des enfants de ce pays. Ils ont intérêts à ce que tout marche.

  • Le 14 juin 2018 à 08:29, par Déçu des burkinabé En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Non, c’est vous qui n’avez pas compris le jeune Moussa Tiemtoré. Lui, il a tout compris. La grève des gens du MINEFID est injuste, immoral et amoral parce qu’ils ont fait un hold-up sur les finances publiques, prélèvent un gros gros fonds commun et ils se le partagent honteusement. C’est difficile à comprendre ça ? Ou bien les gens sont tous devenus des dealers, tricheurs aimant les gains faciles, voleurs, pervers, injustes, amoraux Cautionner cette grève, c’est cautionner les braqueurs de route. Leur revendication est démesurée. Avant, quand les syndicats grevaient sous Tolé Sagnon, on ne pouvait rien avoir à en redire parce que c’était trop clean. On avait même envie de dire qu’ils étaient trop mous dans leur façon de faire parce que leurs luttes étaient trop justes et touchaient directement et positivement les intérêts des grandes masses. On les soutenait. Maintenant, c’est du brigandisme, des luttes intempestives hors-la loi. C’est de la vomissure. Votre fils a tout compris et il dénonce cette lutte asociale. Accompagnez-le parce que si les finances publiques sont ainsi prises en otage, son avenir sera compromis. Que ceux qui ont des oreilles entendent et que ceux qui ont une tête comprennent.

  • Le 14 juin 2018 à 09:15, par Patarbtaalé En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    l’idée de ce travail est bonne mais il y a manque de professionnalisme dans sa réalisation en ce sens que les acteurs de l’interview sont composé d’un retraité, trois étudiants en faculté de droit (et les autres facultés ???), commerçants et courtiers. Ce travail n’est pas objectif et présente pas de résultante de bonne analyse économique, financière, sociologique, juridique, fiscale.
    Webmaster laisse passer, pour une meilleure amélioration.

  • Le 14 juin 2018 à 10:27 En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Pourquoi un tel déchainement de haine sur des citoyens qui ne font que donner leurs avis particulièrement sur ce jeune étudiant ?

  • Le 14 juin 2018 à 10:49, par L’Enquêteur En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    "Le citoyen burkinabè a compris que pour atteindre ses objectifs, il faut passer par des grèves" Moussa Tiemtoré.
    Mon petit je crois que l’année prochaine tu feras bon d’être utile au champ au village, je ne crois pas que ton titre te va bien. Avoir une telle reflexion quand on se dit étudiant en droit, pffff !!! que nenni !!! Tu n’as rien compris "la lutte de ces messieurs, peut être tes papas, ce n’est pas pour eux, c’est pour vous autres ; déjà dans ton domaine d’études tu ne sortirais pas en tant que fruit de droit, non tu vas aller brouter ailleurs parce que ton domaine sera saturé et que tu n’auras pas de niveau.
    La prochaine fois quand un journaliste te tendra son micro tu refléchiras pas quatre fois avant de donner ton pointde vue. Autant ton "frapper fort" est abêtissant autant le journaliste qui a décidé de choisir le titre de cet écrit n’a rien compris de ce que tu as dit. J’aurai préféré un autre titre intelligemment choisi que cette carence titrale !!!

    L’Enquêteur

  • Le 14 juin 2018 à 12:13, par Damien En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Bonjour,
    Pourquoi ne pas lutter contre la vie chère. cela va profiter à tout le monde.
    demander au gouvernement de trouver des solutions pour diminuer le prix de l’essence, des denrées, du ciment,...j’en passe.

    Je passais seulement...

  • Le 14 juin 2018 à 16:44, par youth En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Je me dis que beaucoup cherche la courte échelle pour ascencer sinon il n y a pas que la fonction publique. Qui se sent mal traité qu’il aille monnayer talents ailleurs. Ou qu’il utilise le concours professionnel. Tous ne connaissons que nous sommes en savane on se voie tous. Dieu nous discipliner !

  • Le 14 juin 2018 à 19:35, par Grondeur En réponse à : Fronde sociale au Burkina : « Je pense que le président du Faso doit frapper fort »

    Les syndicats déconnen’y à mon humble avis. Ils vont tous le regreter . Tout peuple réussi à eu à se sacrifier dans le temps. Ici les gars veulent tout aujourd’hui et oublient que les enfants qu ils forment vont les gare payer demain. Quant ils seront vieux il vont se suicider parce-que leurs enfants adultes en ce moment ne connaissent que les avantages et profit. Ces enfants n iront pas dans les églises ni à la mosquée par conséquent ils n auront ni loi ni foi et tout commencera dans sa propre familles. Évitons la gourmandise et soyons patriotes vous verrai le bonheur dans les familles et la nation.

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