Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
La deuxième conférence de presse du gouvernement s’est tenue ce vendredi 25 mai 2018. Une occasion pour le ministre de la Communication, Rémis Fulgance Dandjinou, de se prononcer sur les questions d’actualité nationale.
« Ils n’ont pas été révoqués, ils ont été relevés de leur fonction. La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre. S’il ne veut pas de quelqu’un, il l’enlève, il n’a pas de justification à donner. Il le dira en Conseil des ministres, à ses collaborateurs », a noté le ministre de la Communication, au sujet des deux cadres du ministère de l’Économie qui ont été déchargés de leur fonction, au cours du Conseil des ministres du 24 mai 2018.
De l’avis du Conseil d’Etat sur l’illégalité du sit-in, le ministre de la Communication estime qu’il ne revient pas au gouvernement de commenter les décisions de justice. Et si des organisations syndicales n’approuvent pas cet avis et que des sit-in se tiennent toujours au Burkina, Rémis Fulgance Dandjinou soutient : « Le Conseil d’Etat, la plus haute juridiction au plan administratif, a pris une décision et nous allons l’appliquer. Après le renvoi des réquisitions, on fait des constats. Ce n’est pas une bagarre avec quelqu’un. Ceux qui doivent être sanctionnés, le seront.
Il n’y a pas de privilège pour qui que ce soit ». Aussi, face aux multiples grèves qui paralysent le monde du travail, le ministre de la Communication dit espérer que la conférence sur les rémunérations pourra apporter des réponses dans les mois à venir.
« Ça fait deux ans et demi que nous sommes en grève.
À un moment donné, il faut qu’on se demande ce que nous recherchons au final, car comme le dit le chef de l’Etat, on ne peut partager que ce que nous avons produit. Nous espérons que la conférence sur les rémunérations pourra apaiser ou calmer la situation dans les prochains mois », a-t-il ajouté.
Actualité oblige, la rupture des relations diplomatiques entre le Burkina et la Chine Taïwan a été de nouveau évoquée. Le ministre de la Communication a rappelé que cette décision s’inscrit dans la volonté de notre pays de nouer « des partenariats qui puissent être utiles et structurants ».
Reconnaissant les multiples investissements de Taïwan au profit du Burkina, Rémis Fulgance Dandjinou rassure : « Les programmes qui sont en cours continueront sous une autre forme. (…) On a toujours eu des relations commerciales avec la Chine. Les Etats sont suffisamment matures pour voir les choses au-delà des questions d’ego. Les questions économiques n’ont pas d’entité politique (…) ».
Faut-il s’attendre à un renouement avec la Chine populaire ? À ce propos, le porte-parole du gouvernement note : « Jusque qu’à l’heure où je vous parle, il n’y a pas eu de signature. Nous sommes toujours dans les spéculations. Attendons qu’on établisse des relations diplomatiques (…) ».
Nicole Ouédraogo
Lefaso.net
Vos commentaires
1. Le 25 mai 2018 à 21:21, par vérité no1 En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Le Burkina Faso est gouverné avant tout par des Burkinabé et non par l’OIT, point barre !
C’est ça qui est la vérité !
Celui qui n’est pas content des sanctions, eh bien, qu’il déménage à Genève ou à New York !
À bas les grèves sauvages et vive la nation prospère !
On ne peut pas continuer dans le bordel !
Le 26 mai 2018 à 06:58, par Bijou En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Bien dit il est temps de mettre les points sur les i. Trop de libertinage dans ce pays. Il faut prendre des sanctions fermes et de taille. On ne peut pas passrr tout sont temps a faire des greves sans cesse. Dieu bénisse mon Fado
Le 26 mai 2018 à 12:48, par caca En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Les syndicats revendiquent aussi pour les burkinabé. leurs luttes n’a commencé avec ce gouvernement. A la place, ce sont les ministres qui doivent aller se faire respecter.
2. Le 25 mai 2018 à 21:41, par Étudiant commerçant à 10 yaar. En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
La fin du régime de Rock s’annonce. Allons seulement Rémi. Tu sera surpris en plein jour de fuite ce pays.
Le 26 mai 2018 à 08:15, par Un fils de Solenzo En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Soyons objectif et constructif ; pourquoi voyez vous la fin du pouvoir de Rock ? À cause de 2 fonctionnaires relevés de leur fonction ? À cause des grèves ? Évitons à notre pays un retour en arrière. 2020 c’est dans 30 mois et les urnes décideront. Le forum est fait pour critiquer et aussi proposer ; se plaindre et aussi apprécier les actions de nos dirigeants et tout autre Burkinabé ; éduquer et enfin lancer les sonnettes d’alarme. Évitons les commentaires insensés et haineux.
Le 26 mai 2018 à 10:28, par Loofo En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
A bas les grève sauvage. Coupe leur salaire pendant 2mois
3. Le 25 mai 2018 à 22:23, par ms En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Quelle suffisance de la part de ce gouvernement. Une arrogance démesurée. Ils ont déjà oublié comment ils sont venus. Mais on va les rappeler bientôt.
Le 26 mai 2018 à 06:12, par Mogo En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
C’est toi qui n’a pas compris. Ce n’est pas de la suffisance, c’est l’autorité de l’Etat qui doit s’appliquer. Si quelqu’un n’est pas content de son traitement salarial, qu’il démissionne. Y a combien de diplômés qui chôment ? Ces messieurs et dames du Minefid sont des millionnaires voire des milliardaires qui ont tiré leur fortune sur le dos du peuple. Vous parlez de comment ce gouvernement est arrivé. Il a été voté par les burkinabé et on a tous contribué à l’insurrection populaire. Ces menaces ne tiennent pas. Il faut construire ce pays et non le détruire. On a quelles ressources ? Les sanctions sont normales comme les grèves le sont. Donc il faut assumer
Le 26 mai 2018 à 07:26, par Nongasida paguiligdi En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Vous allez les rappeler. Vous ne les avez pas voté afin de pouvoir semer la merde ou du bordel. et vous à vous seul n’êtes rien et ne pouvez rien. Laissez les gouvernement travailler. le silence sera votre réconfort.
Le 26 mai 2018 à 08:28, par kwiliga En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Moi, je ne suis pas pro-MPP. Après avoir chassé Blaise, j’aurais souhaité un réel changement pour le pays.
Néanmoins, il faut vous rappeler :
Qu’ils sont venus par le vote, par la démocratie, qui vaut ce qu’elle vaut au Burkina, mais pour l’instant, on n’a pas trouvé mieux.
Que si, au lieu de manifester, chacun de son coté, pour ses petits intérêts égoïstes, chaque "intellectuel" burkinabé, faisait sa part de formation politique (au sens noble du terme), dans son village, dans son canton, la démocratie ne s’en porterait que mieux.
Que quand Rock (que je n’apprécie pas de manière générale) nous dit : "on ne peut partager que ce que nous avons produit.", il est bien gentil de ne pas préciser que : Les grévistes sont perpétuellement des fonctionnaires (je ne vois pas le privé rentrer en grève, mais à l’inverse, je les vois travailler dimanches et fériés) et les fonctionnaires du Faso, dans leur grande majorité, ne produisent rien !
Donc, partagez vous le rien que vous produisez.
Tachez de faire preuve d’un peu de compassion, d’un peu d’empathie à l’égard de la population de votre pays, qui vit en dessous du seuil de pauvreté.
Tachez de faire preuve d’un peu de patriotisme en ces temps difficiles.
Quand les islamistes seront vainqueurs, on en reparlera de vos grèves.
Le 26 mai 2018 à 10:34, par Sawad En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Mon ami, on ne construit pas un pays en étant éternellement insurgé. Le Burkina Faso est un concentré de tous les malheurs et souffrance du monde (l’expression est de Thom Sank ), c’est un pays avec très peu de ressources. Travaillons à son développement au lieu de passer le temps à nous insurger permanement. Depuis quand, c’est la rue qui doit gouverner un pays, soyons serieux ?
Mettons un peu d’eau dans notre vin !
Sawadogo
Le 26 mai 2018 à 22:54, par Bravo En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Tu es fâché alors démissionner et tu crée ton entreprise.
4. Le 25 mai 2018 à 22:36, par joel En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Merci monsieur le ministre. Rigueur et fermeté absolue. On vous soutient. Pas de clémence pour ces fossoyeurs de la République.
Le 26 mai 2018 à 08:04, par Res Publica En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
"joel",
Tu peux être content (je ne sais d’ailleurs pas pourquoi) qu’on les démette de leurs fonctions, mais à les traiter de "fossoyeurs de la République", cela montre que c’est toi qui ne comprend pas la "République".
Comme d’ailleurs beaucoup de gouvernants burkinabè et africains qui pensent que dès lors qu’ils détiennent une parcelle de pouvoir public tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont contre eux et donc contre la "République".
La gestion de la République se transforme rapidement en clientélisme, népotisme, exclusion, médiocratie. Si toi-même est dans la Fonction Publique, tu devrais savoir (si tu en es intellectuellement capable) que depuis plus d’une vingtaine d’années, les responsables de nos vies sont sélectionnés plus par leur soumission que leur capacité à faire avancer leur domaine, et donc le pays tout entier.
Tu ne te rends pas compte que pour ceux qui veulent l’avancement de la "République" la nomination à un poste de responsabilité est plus une charge qu’une récompense et quand on les "démet", c’est plus un soulagement qu’une vexation.
Les "fossoyeurs de la République", ce sont donc des gens comme toi et certains de nos "dirigeants" qui ne comprennent pas le fonctionnement de la "République" et qui pensent qu’ils peuvent instrumentaliser les Institutions de la République selon leur intérêts propres.
Le 26 mai 2018 à 09:04, par Le Duc du Yatenga Nouveau En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Joel, pourquoi es-tu contre le Gouvernement ? Veux-tu le pousser dans la fosse ? Il vaudrait mieux l’aider à arrêter la dérive repressive car il le paiera cache et tu vas certainement rire sous cap. Ce n’est pas bien ça, nom d’un Duc !
5. Le 26 mai 2018 à 00:03, par Le bon analyste En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Cher Remis, tu es trop arrogant. C’est comme ça Alain Édouard Traoré aussi parlait. On connaît la suite. En 2014, un avis technique a été demandé à l’OIT, dites qu’en vérité vous n’avez jamais su que cet avis existait. Tout un gouverne-et-ment qui se comporte comme un gouverne-et-ment voyou. La vie est basée sur des règles. Si vous même, vous ne respectes pas les règles, on vivra dans le désordre. Remis je te donne un carton rouge. Le Conseil d’Etat a été laxiste avec un avis partial, dans le sens satisfaire le gouverne-et-ment. Le président de ce Conseil doit démissionner. Point barre. Le désordre continue. ROCH dort toujours, malgré les interpellations de Tahirou Barry. Si il engage un bras de fer avec les syndicats, ça sera la fin de son pouvoir.
Le 26 mai 2018 à 12:25, par HESIRO En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Tu es vraiment un bon analyste. Tu as de l’avenir. Que Dieu continu de d’illuminer pour avertir.
Le 27 mai 2018 à 13:01, par Ka En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Je demande à tous ceux qui en veulent au ministre porte-parole du gouvernement, de s’abstenir leur aigreur : Car, Un porte-parole n’est pas là pour porter sa propre parole, mais celle de ses patrons. C’est "la voix de son maître". Il n’existe pas en tant que lui-même. Et tout ce que dit le porte-parole Dandjinou, viennent de ses maîtres qui sont le président du Faso et le premier ministre. Il n’y a rien d’étonnant à ça, c’est la même chose quand on lit un article signé "service de communication". Sans parti pris, pour ce porte-parole du gouvernement, tous les internautes contre l’écartement des deux cadres du ministère des finances doivent s’en prendre à ces deux personnes dont ‘’’’un adage populaire dit : "Les enfants savent monter mais ils ne savent pas descendre.’’
Des avertissements contre les non disciplines pour les grèves qui paralysent l’économie du pays qu’on peut éviter avec le dialogue, n’ont pas été suivis par ces personnes. Pourtant dans toute lutte de classe qui est légitime, le dialogue passe avant les actes. Et je crois qu’avec tous ces cafouillages des grèves par manipulations des responsables syndicaux qui pensent à leurs profits et non la situation nationale des opprimés, l’état a eu assez de patience pour agir et sanctionner pour que l’ordre revienne. Si nous revenons au régime déçu, c’était le RSP d’en faire revenir l’ordre avec ‘’’’tu fais on te fait sans problème, même
sans te dégager de ta fonction.’’’
Le 27 mai 2018 à 22:55, par La patrie ou la mort nous vaincrons En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
MR KA que DIEU te bénisse bénisse bénisse bénisse. Je n’ai pas de mots. Longue vie à toi mon frère, qui a des analyses très pertinentes et des conseils de sage. Je crois que l’autorité c’est l’ETAT, comme dans une salle de classe il y’a un maître qui doit se faire autorité pour la discipline. Soutient total au Gouvernement, s’ils(grévistes) insistent nous commerçants on va descendre dans la rue pour exiger le licenciement de tous les grévistes au gros ventre qui ne savent même pas que y’a des malades, des écoles à construire , des routes à réaliser etc. Nous commerçants nous savons maintenant que le fond de la gréve c’est le fond commun. Et nous exigeons sa suppression pure et simple, sinon nous n’allons plus payer l’Impôt. Que Dieu bénisse le Burkina Longue vie à ROCK
Le 28 mai 2018 à 08:30, par Ka En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Au camarade ‘’’’La patrie ou la mort nous vaincrons.’’’’ Je ne suis pas contre les syndicalistes, ni pour un gouvernement mouta mouta. Simplement je dis aux deux partis opposés que ça suffit.
Au gouvernement, je dis que la balle est dans son camp pour rétablir l’ordre, car la démocratie et l’état de droit vont de pair. Donc l’impunité et la démocratie sont incompatibles. L’alternance politique voulu par le peuple n’est pas une fin en soi et encore moins un projet de société ou un programme de gouvernement, pas plus pour les syndicalistes qui en profitent pour serrer l’étau, mais une volonté à tous, car il y a des règles à suivre pour tous, ‘’’’qui est la discipline et le respect de l’un et de l’autre.’’’’
Aux responsables syndicaux qui se radicalisent en voulant utiliser les opprimés syndiqués, ‘’’’’ je leur dit qu’un pays profondément corrompu depuis plus de 60 ans n’est pas transformable en un modèle de démocratie et de justice en deux ans de pouvoir mouta mouta, surtout pas un président qui mets ses sentiments en avant en oubliant qu’il est le capitaine de plus de 19 millions d’âmes.’’’’
Et je conclu en disant : ‘’’’A part quelques nouveaux venus a ailleurs dans l’actuel gouvernement, et même dans la direction syndicale de notre pays, tous sont issus de l’école de la corruption et des ruses du régime Blaise Compaoré. Alors que chacun, qu’il soit du gouvernement ou du syndicat, mette de l’eau dans son vin, pour qu’ensemble nous puissions faire avancer le pays que nous aimons tous. Merci de me lire cher camarade.
6. Le 26 mai 2018 à 00:06, par Le bon analyste En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Aucun agent ne doit accepter ces postes à pourvoir. Si tel n’est pas le cas, ils seront traités comme des traîtres, des gâteaux. Et nous les traiterons comme tel.
7. Le 26 mai 2018 à 05:38, par lefils En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
C’est vraiment incomprehensible de voir comment un pays peut etre dirige de la sorte. Beaucoup d’erreurs de gouvernance. ON NE RETIRE PAS LES ACQUIS DE TRAVAILLEURS DU JOUR AU LENDEMAIN TOUT EN VOULANT PLUS D’ENGAGEMENTS DE LEUR PART. Le context actuel ne se prete pas a de tels egarements de la part du gouvernement. Il faut plutot proposer quelque chose aux travailleurs et discuter avec eux. Le President doit se departir maintenant des mauvais conseils et tactctics politiciens de Salif et Simon. La reforme que vous engager de facon BANALISEE sera tres dangeureuse pour l’avenir de la nation. Vous allez juste enfouillir des mines dans le sol et fuir les laisser. Mr le President, ce quevotre ministre de l’Economie fait avec les travailleurs du Ministere est dangeureux socialement, economiquement et politiquement. J’ai l’impression que son premier ministre ne peut brocher sur ce qu’elle fait. CHERCHER PLUTOT DES SOLUTION A PLUS DE PRODUCTIVITE DANS L’ADMINISTRATION, ET LUTTER CONTRE LA CORRUPTION MEME A VOTRE NIVEAU PERSONNEL.
Le 26 mai 2018 à 12:35, par HESIRO En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Belle inspiration le fils. Bien vu. Il faut des illuminés comme vous dans les réseaux sociaux, impartial et réaliste, pour faire avancer les choses dans ce pays. Bon vent..
8. Le 26 mai 2018 à 08:10, par Tamk En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
En effet, mais je pense que cette notion est mal interprétée par nos autorités. C’est ainsi que dans certaines institutions les nominations ont porté sur des parents amis et membres de même confession religieuse, sans aucune considération de compétences. Résultats : aucune initiative, pas d’avancée ni de sauvegarde des acquis, développement du clientélisme,etc...
9. Le 26 mai 2018 à 08:37, par songdo En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Mes frères et soeurs respectons la loi. car la loi nous protège tous.Le président est venu par les urnes, il ne suffit etre derrière son hp ou son telephone pour dire des sotisses.Mr ms vous ne représentez pas les 18 millions burkina ,sans rancune.
10. Le 26 mai 2018 à 08:42, par bouba En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Au contraire je vois que c’est maintenant que l’Etat manifeste son existence, vous jouez aux dangereux et vous allez créer des dangereux contre vous. Face à la rupture et sans raison gardée on risque de perdre beaucoup parce que la force publique à défaut de pouvoir s’imposer court à son peril. Et il est dans l’intérêt de tout le monde que cette force se maintienne. Quelque soit la légitimité de la revendication, s’elle prend une proportion qui nuit à l’intérêt supérieur de la nation, sa defense devient indécente. Seule la cure peut calmer les ardeurs de beaucoup qui n’ont que des droits et jamais des devoirs. Félicitations aux dirigeants qui osent et qui assument pour enrayer le phénomène de l’insoumission et de l’intolerance. Des citoyens qui refusent impunément de déférer à des réquisitions ( s’elles st légales) on n’en veut plus.
11. Le 26 mai 2018 à 08:52, par sa fait pitié... En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
C’est comme ça tu seras relevé ...tu t crois le premier ministre de la communication.... Honte à toi..
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12. Le 26 mai 2018 à 09:37, par TICO En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
C’est clair Mr le ministre ! Les grévistes déchargés de leur fonction doivent assumer leur choix. Ils n’ont pas fait de concours pour être a ces postes de responsabilité. ils y ont été nommés sur la base de la confiance de la hiérarchie. Si vous décidez de mettre cette hiérarchie en difficulté (qui est déloyal) il faut être prêt a accepter votre éviction.
Voici des comportements d’anarcho-syndicalisme qui apportent de l’eau au moulin de ceux qui prônent la nomination de cadres MPP aux postes de responsabilités.
Félicitation au Ministre des finances et surtout n’oubliez pas les retenus sur les salaires de ces égoïstes pour arrêt de travail.
13. Le 26 mai 2018 à 10:16, par Made En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Étudiant commerçant ! Ne jette pas ton dévolu sur les autres ! Si tu es en train d’échouer, c’est la faute à tes parents.
Ce n’est pas une arrogance ! Le fonctionnaire burkinabé se croit au centre de l’univers, alors qu’il n’est rien !
14. Le 26 mai 2018 à 10:27, par Fan club Rémi Dandjounou En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Je suis énormément déçu de toi .Est ce que vs avez une personnalité et une intégrité ?Tu ne fais que la promotion du privé dans ton département. Vaux mieux privatisée ton département. Honte a toi Honte a toi.Je te donne pas un carton rouge car tu ne le mérités pas mais un carton rempli de sang des travailleurs burkinabé.Honte a toi .Talisman de la Honte.
15. Le 26 mai 2018 à 18:05, par Étudiant commerçant à 10 yaar. En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Je pense que les burkinabes n’ont rien compris. Pensez vous que le ministre de l’économie peut prendre environs 5millionscomme salaires et demander aux aux autres fonctionnaires de faire des sacrifices ? Soyons sérieux là.
16. Le 26 mai 2018 à 22:09, par SAINT LASS En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Merci au Gouvernement pour cette sanction. Il faut continuer a sanctionner tous ceux qui ne respecteront pas les textes. Sonnez la fin de la recréation pour les fonctionnaires pourris.
17. Le 26 mai 2018 à 22:47, par Bravo D’urgence Dandjnou En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Je pense que celui qui n’est pas satisfait de salaire peut démissionner et créer son entreprise. On ne vient pas à la fonction publique pour s’enMP4richir. On fera appel à des compétences extérieurs pour travailler au ministère des finances s’il le faut . C’est unee prise en otage. De l’enseigant à l’infirmier.... chacun joue un rôle dans la société.
18. Le 27 mai 2018 à 13:57, par Nikiema sebastien En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
Moi je n’encourage rock a geré son premier mandat comme Daniel bokassa. L’enaref appartient à tous les filles et fils du burkina. Et les magistrats les statuts particuliers gerer par les memes financiers ? Reponder
19. Le 27 mai 2018 à 14:07, par Nebula Manzere En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
« Le Conseil d’Etat, la plus haute juridiction au plan administratif, a pris une décision et nous allons l’appliquer. Après le renvoi des réquisitions, on fait des constats. Ce n’est pas une bagarre avec quelqu’un. Ceux qui doivent être sanctionnés, le seront."
Mr. Le Ministre, un Avis n’ est pas une Decision. Vous avez fait francais, n’est-ce pas ? La propriete des termes, c’est tres important !
20. Le 29 mai 2018 à 17:05, par Youth En réponse à : Sanction de deux cadres du ministère de l’Économie : « La nomination reste le pouvoir discrétionnaire du ministre », selon Rémis Fulgance Dandjinou
C’est ainsi bien pour des gens à qui le gouvernement porte confiance et qui pensent qu’ils sont en marge quand il s’agit d’intérêts égoïstes. Ça devrait suivre pour les chefs de sévices qui vont en grève. Merci au gouvernement.