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Perles du baccalauréat 2005 : Des cas à vous couper le souffle

Publié le mercredi 6 juillet 2005 à 07h26min

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Les examens du baccalauréat 2005 ont débuté le vendredi 1er juillet, avec une centaine de jurys, toutes séries confondues. Ouagadougou en compte 58, soit plus de la moitié des jurys du Burkina.

Quant aux candidats à la conquête de ce premier diplôme universitaire, leur nombre ne fait qu’augmenter d’année en année. Pour cette session, 25 000 candidats sont inscrits. Cependant les résultats sont souvent maigres et le taux de réussite en général faible. On parle de baisse du niveau des élèves et d’une mauvaise préparation de l’année scolaire pour justifier cet état des faits.

On se rappelle, le dimanche 03 juillet à 19h, le ministre des Enseignements secondaire, supérieur et de la Recherche scientifique était l’invité de la TNB. A cette question portant sur la baisse du niveau des élèves, Laya Sawadogo montrera que les écoliers d’avant ne semblaient pas plus intelligents que ceux d’aujourd’hui et qu’il fallait revoir le problème ailleurs. En tout cas, les problèmes d’expression française de quelques candidats nous révèlent qu’il y a lieu de chercher solution à cela.

Dans les jurys de Bac G1 - G2 des centres du lycée technique Gal Yam, du lycée technique Amilcar-Cabral (LTAC) et du lycée Bogodogo, nous avons pu relever quelques bétisiers sur les copies de français.
A préciser que l’essai littéraire, une pensée d’Alfred de Vigny, parlait du travail. Le résumé et la discussion avaient trait à la pauvreté, et le commentaire composé à un texte de Francis Bebey.

  • Dans le film Relwendé, Leve-toi et marche, nous voyons qu’à la fin, le père a fait chasser sa femme de la cours conjuguale. Il a perdu sa dignité et a voté le succide .
  • Le président Amadou Toumani Touré (ATT) a dit : "l’espoir n’ont tenu est source de tout combat et de conflict".
  • Nous remarquons parfois que ceux héréditées sont en péril ou en voie de disparution.
  • L’honneur vient de l’effort personnel, de nos espériances et nos courages.
  • En conclusion nous nous baserons sur ce que disait le président fé Houphet Boygni à la création de l’ONU.
  • Dans le milieu scolaire, aux examens, ce sont les enfants des riches qui gangnent les diplômes par le biais du pétrole que fournissent les parents.
  • Le texte qui nous a été soumis est un texte de 662 mots auquel nous resumons sa longueur.
  • Après avoir dire pourquoi peut-on faire confiance en soi, quant on travail plus que la richesse héréditaire.
  • Le travail nous fait rêvé dans le future, mais ne faisons pas trop confiance en soi.
  • L’avantage d’un héritage est qu’on né trouvé.
  • Nous ne pourrons terminer notre travail sans vous posez la question à savoir : une confiance en soi ne peut donner la richesse héréditaire, cette richesse héréditaire est-il uniquement financière ?
  • Nous les élèves, nous aimons pas l’anglais mais si toute fois nous prenons conscience, notre anglais améliorait.
  • Le travail est une maléduction divine de Dieu.
  • Cette punition est dûe aux pères de la vie humaine Adam et Eve qui ont désobéi à la parole de leur créateur le bon Dieu tout puissant.
  • Quand Adam et Eve ont fini de mangé les fruits défendus, ils ont bu l’eau de source.
  • Les enfants de Oumarou Kanazoé naissent trouvé la richesse. Voilà pourquoi ils pensent àla consommation anarchique, à la gaspille.
  • La récitation de Flavien Ranevo dit : "Travaillé donc, travaillé, car seul le travail fait l’homme".
  • Le Président Sangoulé Lamizana disparait pas très long temps.
  • Le travail est un élément primordial pour satisfaire les besoins sans faire recours sur quelq’un. Le travail peut faire des gens se séparer.
  • La pauvreté est un mal qui vit dans notre société surtout dans Burkina Faso.
  • Si l’on travail donc l’on aura une conscience tranquille sans remaure.
  • Le travail d’aujourd’hui prépare une avenir radieuse.
  • Le maître vit dans l’oisibété et son esclave travaille pour lui au file du temps. Le maître ne savant rien faire devient lui aussi esclave si l’esclave s’enfuit. Il devient esclave de son esclave et de son travail.

Djibril KABORE,
Professeur Tél : 50 30 78 15

Le Pays

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