LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Soyez un repère de qualité. Certaines personnes ne sont pas habituées à un environnement où on s’attend à l’excellence.” Steve jobs

Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

Publié le dimanche 18 février 2018 à 08h30min

PARTAGER :                          
Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

Dans la nuit du 15 au 16 Février 2018, mon parquet était informé de ce qu’une vidéo mettant en scène une jeune fille subissant des violences sexuelles de la part de plusieurs personnes, circulerait sur les réseaux sociaux. Nous avons eu accès à ladite vidéo et dès la matinée du 16 février, avons confié au Commandant du Groupement de Gendarmerie de Ouagadougou la charge de mener une enquête circonstanciée sur les faits tels qu’ils ressortent de la vidéo.

L’officier de police Judiciaire avait pour mission d’identifier la victime et les auteurs de la violence sexuelle, puis de procéder à l’arrestation de ces derniers. Dès le Vendredi 16 Février, la Brigade de Recherches de la Gendarmerie de Ouagadougou parvenait à identifier et à procéder à l’arrestation de trois personnes mises en cause. Il s’agit de Y.M.A.L, D.F, et S.M, mineurs respectivement âgés de quinze (15) et dix-sept (17) ans, domiciliés à Ouagadougou. Nous rassurons l’opinion publique que ces personnes sont en garde à vue et les auditions sont en cours pour situer les responsabilités et Procès-Verbal d’enquête sera établi. Les mis en causes seront ensuite transférés à notre parquet pour la suite de la procédure conformément aux textes en vigueur.

Ouagadougou, le 17 Février 2018
Le Procureur du Faso SEREME Maïza

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 18 février 2018 à 01:15, par Biata En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Madame le procureur du Faso, pour une fois, est-ce que notre justice sera-t-elle digne de la confiance des burkinabè ? Si vous pensez que oui, faites en sorte d’ôter aux burkinabè l’envie de persister dans de tels crimes en punissant les auteurs de ce viol étalé sur les réseaux sociaux avec la plus grande sévérité qui sied à leur crime. Nous ne voulons pas de la banalisation de ces crimes à la mode ailleurs ici au Faso. Madame le procureur, nous attendons de voir les suites judiciaires données à cette affaire.

    • Le 18 février 2018 à 09:11, par kabore En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

      l acte est ignoble 3jeunes font ca leur esprit est pourri pourquoi combien de familles burkinabe peuvent payer des smarphones ou autre a des enfants de 15 ans leurs familles est nanti ils se croyent au dessus des autres ils sont eleves comme cela attendont de voir ce que leurs parents vont pouvoir faire pour peser sur la justice

    • Le 18 février 2018 à 17:20, par Passakziri En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

      Ce serait vraiment très souhaitable qu’un exemple soit statué pour dissuader d’autres aggresseurs sexuels. On n’a pas besoin d’être majeur pour savoir que de tels actes sont ignobles. J’ose espérer que notre législation est assez sévère la dessus , si ce n’est pas le cas, il faudra bien que le gouvernement et les parlementaires s’y penchent sinon les juges ne sauraient statuer que dans le cadre des lois en vigueur. Vivement que la victime soit assez forte pour se relever et qu’elle soit bien accompagnée psychologiquement . Si elle me lisait un jour , je lui dirait de ne point éprouver un sentiment de honte . Non , ce sentiment est du côté des aggresseurs qui sont vomis par la société aujourd’hui , pendant qu’elle a le soutient de la grande masse .

      Passakziri

      • Le 23 février 2018 à 10:59, par OUEDRAOGO ALI En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

        XLT. SELON MOI LA FILLE MEME VOULAI CE QUON LA FAI . LES GARCON ON FAI LEUR TRAVAILLE CES TRES BIEN . IPHONE

        • Le 24 février 2018 à 07:59, par Aïma En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

          Tu te moques du monde ? Face à ce crime odieux, ne vient pas essayer de faire l’intéressant sur le forum en étalant ta bassesse d’esprit et ta tendance pour le viol. Ces discours archaïques et imbéciles du genre "la fille a cherché"... n’honorent personne et nous rabaissent à la face du monde. Si un homme doit se laisser aller à ses pulsions sexuelles au prétexte qu’il a une fille vulnérable à sa portée ou au prétexte que la fille serait vêtue comme ci ou comme ça, c’est que lui-même est sans éducation, malade et est pire qu’un animal et devrait aller se faire soigner. Ce n’est pas du tout une gloriole que d’étaler ce genre de postures ridiculissimes, rétrogrades et criminelles qui doivent cesser en Afrique et ici au Faso.
          La femme n’est pas un objet à la merci des pulsions sexuelles de l’homme. Un homme éduqué et qui se respecte vraiment, peut aussi se contrôler et passer son chemin, même devant une femme nue qui n’est pas la sienne ! Qu’on arrête de nous dire qu’un homme ne peut pas se contrôler du fait de sa nature "tellement faible" face au sexe. Et pourquoi pas donc ? Cette conception réductrice et avilissante de l’homme ne vous interpelle pas et ne vous fait pas honte ?
          On parle toujours d’éduquer les filles. Je suis d’accord. Qu’attend-on pour aussi éduquer les garçons. Si une fille doit avoir de la retenue, un garçon aussi doit avoir de la retenue. Ainsi la société se portera mieux. Tout est une question de mentalité et d’éducation.
          Nous ne sommes pas des animaux. D’ailleurs, les animaux ne font pas ça. Nous les humains sommes même pires que les animaux.
          Ta réaction fait penser que tu n’es qu’un vulgaire prédateur sexuel et si c’est le cas, tes agissements te rattraperons tôt ou tard. Assez !!

  • Le 18 février 2018 à 03:45, par Nabiga 1er En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Vivement retour à nos bonnes moeurs... L’education doit être rigoureuse... Garçon ou fille éduquons nos enfants. C’est triste de voir ces comportements chez nos enfants... Ms remettons nous en cause... Car cette génération de parents actuels risque sa mission. Courage à la pauvre jeune fille...

  • Le 18 février 2018 à 04:57, par verité no1 En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Félicitations à la justice et aux forces de l’ordre !
    Que les auteurs de cet acte barbare et humiliant soient sévèrement punis !
    Plus jamais ça !
    Que les parents de leur côté, essaient de veiller à l’éducation de leurs enfants pour que nous puissions avoir des cadres responsables pour l’avenir de notre cher pays !
    J’accuse également les mères qui ne veulent pas qu’on frappe les enfants !!!!!!!!
    Il faut souvent les corriger !
    Quel monde ! Quel changement !
    A 17 ans, les jeunes de notre génération n’avaient pas ce courage de même "draguer" facilement une fille !!!!!!!

  • Le 18 février 2018 à 05:45, par Yiriba En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Merci M. Sereme, avec tout votre département, pour une réaction prompte vis à vis de ce genre de crime. Que justice soit rendu est important et constitue une règle de base. Cependant à long terme, les autorités nationales, surtout du côté de l’éducation, doivent se rendre compte qu’il faut éduquer les jeunes. Avec l’Internet de nos jours, il y a un accès à des sites qui propagent une présentation erronée et dégradante de la sexualité qui est totalement fausse et dangereuse pour des personnes qui sont en phase d’apprentissage dans ce domaine. Seuls, des cours d’éducation sexuelle aux filles comme aux garçons, tôt dans le curriculum du programme des études secondaires, permettront d’informer ces jeunes que sans consentement sexuel, du début à la fin de l’acte sexuel, c’est un viol et c’est un crime. Arrêter de culpabiliser les filles. À l’âge rapporté pour les jeunes dans le présent cas, il est fort possible que l’ignorance et la banalisation puissent justifier leur comportement, et ce, à cause des informations et des images sur l’Internet. Les informations sur l’Internet sont là pour y rester. La répression judiciaire seule ne pourra pas venir à bout de ces crimes commis dans des cas d’ignorance.

  • Le 18 février 2018 à 07:24, par Citoyen En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Vus les actes posés, il ne convient pas de les considérer comme des mineurs. Punissez les pour l’exemple. Cela dissuaderait ĺes éventuels délinquants.

  • Le 18 février 2018 à 09:09, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Auto-saisine suite à un crime supposé, enquête rapide, arrestations dans la foulée, le tout en 48h à peine !?! Sérieux, efficacité, célérité...

    Bravo à tous les acteurs !!!

    Si seulement notre justice pouvait toujours fonctionner ainsi...

  • Le 18 février 2018 à 09:52, par MI En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Voyez notre société est malade. A qui la faute ? L’action sociale qui a rôle essentiel d’éduquer la société en général et les familles en particulier manque des ressources pour le faire. Le budget que l’Etat octroie à ce secteur ne dépasse pas les 1%,. On mise sur la santé et l’éducation. Je n’ai rien contre ces secteurs mais il faut repense sa manière de faire. J’ai mal quand j’ai appris qu’au BURKINA FASO, on a violé une fille et poster l’image sur les réseaux sociaux. C’est très très très dommage mais il faut que ces prétendus criminels soient punis à la hauteur de leur forfait pour non seulement rendre justice à cette fille, à sa famille et à tous les burkinabés sincères et dissuader d’éventuels cas. Encore une fois, la justice le peuple vous regarde.

    • Le 18 février 2018 à 17:37, par Icare En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

      Il serait temps d’arrêter avec ta rengaine au sujet des 1%. De notre temps, on avait pas de ministère d’action sociale mais ces bestialités n’existaient pas. Les parents s’occupaient correctement de l’éducation de leurs progénitures et la société se faisait un devoir d’apporter sa contribution. Aujourd’hui les parents ont démissionné, c’est la réalité. Même si l’action sociale recevait 90% du budget, cela ne changerait rien du tout parce que vous ne pouvez pas vous imposez dans le concessions des gens, ni se substituer aux parents. Si tu estimes que tes revendications sont légitimes, merci de sortir du bois et le faire honnêtement. Profiter de cette actualité pour le faire ne t’honore guère. Si tu le souhaites aussi, tu peux changer de ministère, donc d’emploi, et rejoindre ceux qui captent un pourcentage conséquent du budget par exemple !

      • Le 18 février 2018 à 20:17, par zongs En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

        Ceci n’est ni la faute de l’action sociale ni de l’éducation classique ; mais un phénomène de l’accroissement. aujourd’hui vous verrez des grands concepts de l’éducation aux médias et de promotions des libertés individuelles qui sont louables mais qui laissent des dérives comme telles. Le Burkina n’arrive pas à bien expérimenter ces concepts parmi tant d’autres avant de changer ou d’intégrer d’autres concepts ; c’est pourquoi je l’appelle accroissement. Il nous faut non seulement des mécanismes juridiques et un certain nombre de ressources pour pouvoir assurer une parfaite régulation de ces concepts. A défaut ça ne peut qu’entrainer des défaillances. Comptons maintenant sur la justice pour une sanction à la hauteur de celle d’une association de malfaiteurs pour servir d’exemple sur ces crimes abominables. Courage à la justice du peuple

      • Le 19 février 2018 à 05:33, par Lapaz En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

        Tout à fait d’accord avec toi, la cellule familiale n’existe pratiquement plus au Faso

  • Le 18 février 2018 à 10:32, par Sidpasata-Veritas En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Je suis d’accord avec vous, mais il faut savoir si dans notre code pénal ce genre de crime qu’on ne voyait pas dans nos contrée est suffisamment puni par la loi. Si nous voulons que la justice sois sévère pour dissuader d’autres criminels éventuels, il faut reconnaitre que le juge ne peut pas donner une sanction qui n’est pas prévue par la loi !
    Il faut que nos députés à l’Assemblée nationale soient vigilent pour adapter continuellement nos lois à l’évolution de notre société. Comment sont punis les crimes graves commis par de mineur ? Si nécessaire, il faut adapler le code pénal pour donner aux juges des outils efficaces de repression des crimes de toutes sortes. l’État de droit c’est aussi une exigence de cohérence dans l’exercice des pouvoir et aussi un principe de veille permanente pour adapter le droit aux droits des uns et des autres !

  • Le 18 février 2018 à 11:31, par Yamsoaba En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Dites moi s’il vous plait ce que dit le code concernant l’anonymat des violeurs.
    Pour que ça ne répète pas je crois qu’il y aller de l’avant. Publier visage et Noms.

  • Le 18 février 2018 à 12:22, par madi En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    ces jeunes gens sont surement condamnables, seulement avaient-ils pleinement conscience de la gravité de l’acte qu’ils posaient ? notre société l’est plus, elle qui laisse circuler des images d’obsénité à travers le Net et que peut-être ces jeunes ont pris pour repère ; les parents sont aussi comptables de cet état de fait, eux qui souvent n’hésitent pas à satisfaire les caprices de leurs progénitures en leur achetant des Hi-tech, soit disant pour faire modernes : moi particulièrement je plains ces jeunes qui n’ont certainement mesuré la portée de leur acte, mais je pleure surtout la jeune fille dont la vie risque à jamais d’être ainsi gâchée ; la société doit agir à travers l’éducation pour que de telles choses ne se produisent plus

  • Le 18 février 2018 à 14:19, par Sayouba En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Bravo à la justice mais nous attendons la suite. De toute façon, si vous ne pouvez pas, on va gérer ce problème avec les kogolweogo. On les coupe les zizis. C’est simple, rapide et efficace. Pas de peine de prison.
    Attendons de voir !

  • Le 18 février 2018 à 17:23, par Sarko En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Procureur, il faut donner leur identité afin que nous puissions savoir qui sont ces diablotins.

  • Le 18 février 2018 à 19:26, par ollo En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Et oui ! C’est tout ça qu’ils appellent démocratie ! Sinon, en quoi la censure des films pornographiques, publicités à caractère pornographique, films de violence et tout ce qui détruit à terme la société est-elle anti démocratique et privative de liberté ?!?!? Comment les gouvernants arrivent à manger, boire et dormir tranquille face à de telles images de leur société !!!!!!!!!!!!!!!!!! Même à la seule journée de la femme dans l’année, on est plus préoccupé aux pagnes et Janguioba qu’à dénoncer tout ce qui est attentatoire à la dignité de la femme ! Et dès qu’il y a quelque chose du genre on crie au scandale, on rentre dans tous ses états, on veut des sanctions à la hauteur.......pure hypocrisie !!! Parcourez les rues de Ouaga et Bobo, et jugez vous- mêmes des images pornographiques sur les murs des dancing, des gamins qui se promènent avec des produits de la rues comportant des images de sexes.....

  • Le 18 février 2018 à 20:48, par Mogo En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Félicitations à Madame le Procureur, Madame le Ministre de la Promotion des Femmes et aux gendarmes pour cette première étape. Je souhaite que l’émotion ne l’emporte pas sur le reste. Les identités de ces bandits, même mineurs, devraient être dévoilées avec photos à l’appui, une fois leur culpabilité établie. La peine maximale devra être requise, même si c’est des fils a papa et d’enfants de bonzes. Sinon la rue va gronder. Face à cette ignominie aucune tolérance ne doit être faite. S’il vous plait, écoutez le peuple pour éviter des règlements de compte

  • Le 18 février 2018 à 21:38, par Sabine En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    En attendant le jugement de ces morpions, que les gendarmes chicotent tous les jours leurs kikis pour leur ôter à jamais l’envie de prendre de force une fille. Bande de grands pervers !

  • Le 18 février 2018 à 23:38, par Nabayouré En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Que les forumistes m’excuse d’avance de ma digression. Je suis un bel étalon Mossi de sang royale fou amoureux de cette samo esclave au regard à la fois sauvage et innocente. Aidez moi parce que je constate que dans son nom il n’y a pas de épouse X ou née Y donc apparement elle est en solo . Son statut d’esclave n’est pas un handicape selon l’avis du conseiller culturel et des affaires traditionnelles de notre famille qui a bien précisé qu’ il ne faut pas qu’elle ait été déjà mariée. Est-ce que mon rêve peut il se réaliser ?.

  • Le 19 février 2018 à 06:31, par Kotigui En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Bravo Madame le procureur et bravo aux gendarmes qui ont arreter ces delinquants je commence a reconnaitre notre justice il faut bien les matter le Faso ne connaissait pas ces cochonnerie depuis l,insurection ces delinquants ce croyaient tout permis pour un oui un non ils s,attaquaient sauvagement aux gens comme ils aimaient le dire qu,il y,a plus t,autorites au Burkina la ils vont donner l,exemple aux autres etant a la MACO pas de reglement a amiable on est fatigue de l,incivisme le Faso c,est pas la jungle non ils faut les detruire ces semeurs de horreur quand a nous parents heure est grave encadront nos enfants pronons nos responsabilite l,education d,un enfant commence a la Maison avec ces propres parents d,abord ne laissons plus la tele. ou la rue eduquer nos enfants pour nous la victime courage surtout concentre toi sur tes etudes et ses parents aidons la a surmonter tout ca la vie est devant Elle et Elle doit reussir quand a ces delinquants la justice de dieu et des hommes seront vos compagnons a vie maudit a vous

  • Le 19 février 2018 à 07:51, par Monsieur le duc En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    ces enfants sont à l’image de leurs parents actuels. si les parents sont capables de tenir les armes de guerre pour tourner dans les domiciles de gent sans crène et que la justice ne pas capable de condamné fermement ne soit pas étonné que les enfants emboitent les mêmes pas. il faut que la justice burkinabé soit une justice responsable e(t condamné des actes ignobles qui ne respectent aucun droit.

  • Le 19 février 2018 à 08:16, par Vrai En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    IMPOSSIBLE CE QUI SE PASSE DANS OUAGADOUGOU. COMMENT CA ?
    RÉPRESSION SANS PITIÉ LES GARS.
    SANS PITIÉ !!!

  • Le 19 février 2018 à 08:36, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    - Ne cherchons pas loin ! Il faut simplement les castrer et qu’on en finisse. Ils ont goûté ? Ils risquent de recommencer encore un jour ! Alors il faut en finir en les castrant. On ne doit pas laisser ces petits serpents grandir avec leurs boulettes. Mesdames, vous aussi conseillez vos filles et surtout ne les laissez pas s’habiller n’importe comment pour faire lever ces petits dans leurs culottes !!

    Par Kôrô Yamyélé

  • Le 19 février 2018 à 09:46, par faber En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Vraiment !!! il faut absolument fouetter publiquement ces morpions et les soumettre aux travaux d’intérêt générale, le tout de dédommagement (médical, psychologique et financier).
    Il faut que nous revoyons notre système d’encadrement social( système éducatif et le système judiciaire). Car, nous savons tous que l’éducation familiale fait défaut, les rôles entre parents et enfants sont inversés..... Aussi, le système de judiciaire est très mal adapté à nos réalités. Je ne pense pas que la prison soit encore un moyen de dissuasion pour ceux qui commettent ces genre d’actes surtout quand on se rend compte que ce sont de jeunes gens.
    Réfléchissons à un autre système d’encadrement social, c’est possible !

  • Le 19 février 2018 à 10:07, par senadja En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    La situation est grave. aujourd’hui dans notre société, on ne sait plus qui est femme mariée qui est fille qui est pute etc.... car tout le monde porte les mêmes habits. comme le disait un vieux au village. En ville, les femmes et les filles sont habillées lorsqu’elles sont a la maison , pour sortir elles se déshabillent. ou allons nous avec cela. ’’ tout ce qui est dépassé, démodé, et rejeté en occident, devient valeurs et civilisation en Afrique’’.

  • Le 19 février 2018 à 10:22, par Jerkilo En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Si ces agresseurs, violeurs sexuels sont considérés irresponsables à cause de leurs âges, il faut que les parents répondent et soient punis à la hauteur de leur démission de leurs responsabilités morale et éducative. Que ces parents soient punis dans toute la rigueur de la loi relative au viol et à la pudeur : c’est ignoble que des enfants se permettent de commettre un tel forfait et se permettent de le diffuser dans les réseaux sociaux. Mme le Procureur, attrapez aussi les parents de ces délinquants et enfermez les comme leurs enfants !

  • Le 19 février 2018 à 10:24, par Nabiga 1er En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Kôrô Yamyélé ... vous voyez... Vous dites de conseiller les filles c’est vrai.et les garçons ? On doit les éduquer tous dans le respect de l’autre et du corps surtout...Avant on disait "kissan mê"...et on respectait sans comprendre... L’habillement n’a rien n’a voir même si elle est dégradante aujourd’hui... Que chacun prenne ces responsabilité...

  • Le 19 février 2018 à 10:31, par Juste le Justicier En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Bravo aux autorités pour leur prompt réactivité face à cette salle besogne commis par d’individus ignobles. Je voudrais dire ici que tout le monde doit être responsable pas que les jeunes ADOS, meme les adultes doivent être responsable, t’être que nous faisons semblant mais nous ne devons pas oublier que ce cas est semblable à d’autres cas déjà vécu au BF mais rester dans l’impunité car Mr LEGURU a l’argent et connait beaucoup de personnes dans l’administration du coup l’affaire n’ira pas loin. L’intimidation fait des ravages dans mon pauvre pays donc soit soyons tous responsables et aillons des attitudes decentes et irréprochables.

    God Bless Burkina Faso

  • Le 19 février 2018 à 10:45, par La 3VFT En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Merci Madame. Certainement des cas similaires ont eu lieu. Vivement que l’enquête soit plus approfondie...et que la masse silencieuse de filles victimes de ces genres de barbaries puisse se dévoiler.

  • Le 19 février 2018 à 11:08, par xavier En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Ou est l’événement dans tout ça la ?
    Est-ce une <>

  • Le 19 février 2018 à 12:07, par LE KONKIS En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    L’acte posé par les mineurs est condamnable à tout point de vue. Cependant je voudrais poser quelques questions à la justice et au ministre de la femme. Pourquoi la même justice ne s’est pas signalée quand quelqu’un a commis un acte de la même nature dans les environs de ouaga 2000 dans un véhicule ? Doit-on comprendre par là qu’il y a deux sortes de citoyens ? Madame le ministre de la femme, la fille ou la femme qui a fait ça avec l’autre dans la voiture vous a fait quoi ?
    Comme il y a eu un précédent qui n’a fait l’objet d’aucune sanction, les enfants ont estimé qu’ils ont aussi le droit de le faire. Jugez les enfants et condamnez-les au besoin mais appliquez aussi les mêmes dispositions aux deux luxueux amoureux de la voiture de ouaga 2000. Pour rappel cette partie de plaisir avait valu le départ de quelqu’un du gouvernement sous B.C

  • Le 19 février 2018 à 12:16, par ouedraogo souleymane(souloueder ) En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    nos parents nous disaient que si lenfant pose un acte qui nest pas bon ou a un comportement nuisible et quon refuse de sanctionné pour servir lenfant parcequon veux pas le voir pleuré ou on veux pas voir coulé ses larmes cest une compromission et cet enfant a son tour te fera pleuré te faire coulé des larmes quant tu sera vieux parcequil va avoir des comportements contraire aux regles de la famille et de la societe en ce moment tu ne peu plus lapliquer la rigueur quil faut et cest la que ta responsabilité défaillante timpose et bonjour les larmes de la compromission. que dieu nous aides. toutes mes excuses car mon ecole nest pas allé loin

  • Le 19 février 2018 à 17:08, par kabore En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    l’acte est vraiment ignoble et condamnable dans la mesure ou nous sommes dans mon beau pays ,le pays des hommes intègres. c’est vraiment tristes. Il faut punir les fautifs a la hauteur de leurs actes. Mais suivez bien la vidéo et surtout écoutez ce que la victime a déclaré : "attendez je vais bien me couchée". en langue mooeé. Pour ma part je pense que la victime y est pour responsable : c’est une voulu par elle

  • Le 19 février 2018 à 21:06, par societe civile En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    n27hei...........................hei. kesk les enseignants d ces faux eleves ont a avoir dans 7 affaire ?n’espa eux ki sequestrent. frapent.humilient les enseignants pr dire kils conaissent ?

  • Le 20 février 2018 à 09:32, par Etoile filante En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Aucun enseignant ne peut être tenu pour responsable,l’éducation est d’abord à la maison,à l’école et la rue.Seul leurs parents peuvent être responsables.Il faut punis ses ados,je suis sur qu’ils connaissent déjà le sexe c’est pourquoi un tel acte.SVP,chers parents investissez vous dans l’éducation de vos enfants parce que c’est un grand devoir !

  • Le 20 février 2018 à 11:04, par PUAL04 En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    trop de liberté tue la liberté s’il vous plait corrigez vos tenues

  • Le 20 février 2018 à 13:03, par HAMA En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Vous avez voulu l’indépendance de la justice et vous l’avez eue. Alors à vous de faire votre preuve. Mais faites attention car la population et les OSC vous ont à l’œil. On ne veut plus de favoritisme dans ce pays, la Loi doit s’appliquer impérativement si tous les Burkinabè sont sur le même pied d’égalité (la LOI). Personne ne doit se foutre des autres à cause de sa fortune (quelle fortune même !). Tout le monde aime son enfant de tout son cœur et n’aimerait jamais que quelque chose lui arrive. LA SANCTION DOIT ÊTRE EXEMPLAIRE sinon la population se fera justice elle-même désormais et vous serez responsable de cela. A BON ENTENDEUR, SALUT !

  • Le 23 février 2018 à 20:01, par AN En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Madame, le procureur je ne suis pas sûre qu’il y ait eu viol dans le cas de l’espèce, car il y a eu consentement des acteurs et surtout de la fille au début de l’acte posé.
    De ce fait, en prenant en compte les partis au début de l’acte posé et souligné aussi qu’il y a eu consentement de la fille, il n ya donc pas lieu de viol. Mais néanmoins cette vidéo ayant un caractère pornographique, il s’agit là d’une atteinte a la pudeur publique en mon sens.

  • Le 7 mars 2018 à 08:56, par Sam En réponse à : Viol d’une lycéenne à Ouagadougou : Les présumés coupables en garde à vue selon le procureur du Faso, Maïza SEREME

    Slt. A mon avis, dire que la fille a été violée n’est pas sûr. Selon les dits, l’acte à été commis longtemps avant d’être rendu public suite à la publication de la vidéo. Je pense aussi qu’il y’a eu consentement de la fille. Suc ce dire que les jeunes garçons sont les seuls coupable dans cet affaire n’est pas juste. Madame le procureur, s’il y’a lieu de condamnation, eux tous, la fille y compris, devraient être condamnés.

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique