Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Réunis devant le gouvernorat de la région des Hauts-Bassins, des élèves de la ville de Bobo-Dioulasso ont observé, ce mardi 9 janvier 2018, un mouvement d’humeur pour exiger la reprise des cours et les évaluations dans les salles de classe. Ils ont été reçus à cet effet par le secrétaire général du gouverneur, M. Bernard Béba.
La majorité des manifestants sont des élèves du Lycée Ouézzin Coulibaly (LOC) et du Lycée Municipal. En effet, à l’instar d’autres localités du Burkina Faso, ces élèves ont observé ce mouvement d’humeur pour soutenir leurs professeurs qui revendiquent de meilleures conditions de vie et de travail. En plus des préoccupations de leurs enseignants, ces élèves exigent des autorités burkinabè, la reprise des cours et surtout des évaluations dans les salles de classe.
Selon Sanou Romuald Faiçal, délégué général du LOC, cela fait pratiquement plus de deux mois que les élèves ne font plus cours normalement dans les établissements publics. Pour cause, ce « bras de fer » qui oppose l’État burkinabè à travers son ministère de l’éducation nationale et de l’alphabétisation aux enseignants.
Ce dernier qui a confié que les élèves n’ont pas été évalués pour le premier trimestre, s’est inquiété pour la suite de cette année scolaire 2017-2018. C’est pourquoi, ils se sont mobilisés, ce mardi 9 janvier 2018, devant le gouvernorat de la région, pour soutenir les enseignants dans leur lutte afin « qu’ils reviennent dans les classes pour le bien- être de tous ». Lire la suite sur jeunedufaso.net
Vos commentaires
1. Le 9 janvier 2018 à 16:03, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Par Kôrô Yamyélé
Le 9 janvier 2018 à 16:32, par SIDNABA En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
En quoi le Ministre est incapable ? C’est des propos inutilement méchants. Comme si on lui confiait ce ministère il ferait mieux en résolvant d’un coup de baguette magique les revendications des enseignants. Les gens parlement au hasard sans aucune connaissance de la gestion budgétaire et financière de l’Etat. C’est piteux et déplorable. Le budget de l’Etat géré par le gouvernement est un panier commun et un ministre ne peut seul résoudre des problèmes de revendications avec des conséquences au plan financier sans impacte sur les autres départements voir sur l’ensemble du pays. Le MENA ne peut tout seul résoudre ce problème de statut des enseignants à conséquence financière énorme et du reste avec quel argent dans ce pauvre pays ? C’est Jacques Chirac qui avait raison car les africains ne sont vraiment pas murs pour la démocratie. Ils sont bons pour être dirigé par des dictateurs comme le Président déchu qui a régné 27ans durant sans qu’aucun de ces syndicat n’ont fait ce bruit. Cette manière de parler sans discernement au sujet de ce ministre qu’il est incapable en est une preuve.
Le 9 janvier 2018 à 18:11, par Yako En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Oh mon Koro-Yam,moi j’ai de la compassion pour ce ministre victime de la perennite de la tactique utilisee pour renverser l’ancien regime.Tactique qui risque de les emporter eux meme aujd.Comme dit l’adage Bobolais "NI YI DHEN KE COMMANDAN YE, I BA LIMPO FOLO SARRA" Litterallement : Si tu fais de ton fils commandant de cercle, alors prepares-toi a etre le 1er a qui il demandera impot ! La rue a ete utilisee pour renverser le gouvernement legal en 2014 par le mpp et cie,que l’on ne soit pas surpris du retour du baton.
Bonne et heureuse annee a tous et a toutes.
Le 9 janvier 2018 à 22:53, par SOMANDE En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Que ce monsieur laisse tranquillema les élèves à concerter avec le ministre.
2. Le 9 janvier 2018 à 21:55, par sidbala En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Même les enfants se sont mobilisés pour les enseignants, c’est vraiment encourageant continués ainsi, çà va aller.
Le 10 janvier 2018 à 12:12, par Yentéma TINDANO En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Disons que les élèves ont joué leur rôle parceque la greve des enseignants est celle de tous ceux qui se soucient pays
3. Le 9 janvier 2018 à 22:42, par zila En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
M. Sidnaba j sai pa si l ministre coulibaly est ton papa ou ton idole. mais il faut apeler l chat par son nom qu’il sorte faire son bilan aussi. l monde d l’education connait une crise profonde qui ne date pas d’aujourd’hui et il faut une reforme profonde du systeme et tout burkinabe honnete et sincere l reconait. pour cela il faut des decisions politiques courageuses pour le bien etre de l’ecole burkinabe et d nos enfants car comme le disait un irresponsable leurs enfants sont a l’exterieur. ls notres sont ici donc travaillons a leur offrir un cadre d’etude meilleur a travers un enseignement d qualite, adapte et accessible a tous
4. Le 10 janvier 2018 à 03:41, par Konkobo Zakaria En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Bien dit mon frère, mais le Mr le président dit qu’il va voir notre cas février, pourquoi les profs ne le comprend pas ?
5. Le 10 janvier 2018 à 04:11, par Roi de Kaboul En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Si on pense qu’à l’université on ne sait plus à quelle année académique on se trouve, on ne peut qu’avoir un pincement au 5 pour ce qui arrive aux élèves (grèves, risque d’année blanche,etc) qui, eux, ne font pas partie des fils des élites !
6. Le 10 janvier 2018 à 09:59, par Omso En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
VRAIMENT JE NE COMPREND + RIEN DANS CE PAYS ; SOUVENT JE ME DEMANDE CE QUI SE PASSE REELEMENT CAR TOUT EST DEVENU DU DESORDRE. N-Y-A T- IL PLUS DE DIRIGEANTS DANS CE PAYS ? CE KI EST INTERESSANT DANS TOUT CELA C’EST DE SUIVRE CELA DE TRES PRES.
7. Le 10 janvier 2018 à 13:28, par FPP En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
appelle a tout les élèves et parents d’élève de se mettre ensemble pour une lutte solide contre le gouvernement Burkinabé qui ne craint point l’année blanc des burkinabé pars qu’ils n’ont pas là leurs au Burkina. l’union fait la force dont t’elle est la devise du FPP de la Jeunesse du burkinabé pour un réel changement . faite passé le message rassemblement le Lundi 15 janvier devant le premier ministère . et fermeture de toute les école sans exception national et internationale a fin que le gouvernement burkinabé prend acte et tienne compte de nos douleurs. S’ils ont des milliards d’argent pour ce partager et payé des matériels de second nécessité pour le ministère des transport qu’ils trouvent cette argent aussi pour réglé le problèmes des enseignants, et qu’ils prennent le peuple burkinabé au sérieux . Donc de ce faite tous sans exception, sont appelé ce jours 15 janvier 2018 qui sera le jours de la vérité devant le premiers ministère . pour une décision concrète . ne dite pas que ça ne vous concerner pas, nous somme tous enfant de ce pays. faite passer le message.
8. Le 10 janvier 2018 à 14:01, par BIGBANG En réponse à : Éducation nationale : Des élèves de Bobo-Dioulasso de nouveau dans la rue
Cher enseignants soyons responsables et dialoguons pour trouver des solutions à nos problèmes. Nous sommes tous d’accord que L’enseignement est incontournable pour une société moderne appelée à se développer. Une chose aussi est évidente le niveau ou la qualité de l’enseignement est à l’image de l’économie de chaque communauté : ce sont ceux qui produisent qui financent L’éducation pour conserver ou même accroître en terme de qualité et quantité les ressources humaines. Si toutefois nous connaissons une ou deux années blanches même jusqu’à fermer totalement les salles de classes sans faire cours pendant deux ans les conséquences ne seront pas immédiates mais dans 10 ans ou 20 ans. C’ est dire que ce n’est pas le régime actuel qui va résoudre les problèmes qui en découlerons mais ceux qui seront au sommet de l’Etat à cette période et aussi la jeunesse qui paiera le lourde tribut. les premières victimes sont les pauvres donc la majeur partie des burkinabè verra leur niveau de vie considérablement baissé. J’en appelle au sens de responsabilité de tout un chacun.