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Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

Publié le samedi 30 décembre 2017 à 01h19min

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Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

Quel est le bilan politique, économique et social que l’on peut faire de l’année 2017 au Burkina ? Ce à quoi s’est attelé Safiatou LOPEZ née ZONGO dans les lignes suivantes. Découverte…

Chers Frères et sœurs
Les fêtes de fin d’année sont l’occasion pour chacun de nous de se souvenir de ce qui a marqué l’année qui s’achève, que ce soit positivement ou négativement, et aussi de porter son attention vers l’année qui va commencer avec espoir et optimisme. Cette année 2017 qui s’achève me donne l’occasion de dresser un bilan sur le plan politique, économique et social de notre pays.
Ceci dit, examinons un peu la situation économique et sociale de notre pays, au regard de la gouvernance actuelle du parti au pouvoir et ses alliés. Mais auparavant, accordons-nous sur le fait que, politiquement, le Burkina Faso peine à adopter la nouvelle constitution pour tendre véritablement vers un Etat démocratique où les institutions seront véritablement au service du citoyen.

En effet, il y a actuellement des institutions de régulation de la vie démocratique, qui sont transformées en instruments de marketing politique au service de nos hommes politiques. Tous ceux qui, au nom de l’intérêt général, critiquent la gouvernance politique actuelle, sont ciblés et considérés à tort comme des ennemis qu’il ne s’agit pas d’affronter dans la contradiction et le fair-play démocratique, mais d’anéantir par tous les moyens. Comme quoi la fin justifie les moyens dit-on. Et enfin la dépolitisation de nos institutions et administrations est un leurre.

Les honnêtes citoyens surtout ceux qui critiquent afin de voir une amélioration conséquente de nos conditions de vie et d’existence, vivent dans la peur et la hantise. Mais, le pouvoir également n’est pas en reste. Car à force de vouloir épouvanter et traquer les ennemis comme le rappellent très souvent ses notables du second cercle politique par leurs comportements, le Mouvement du Peuple pour le Progrès(le MPP) et ses alliés sont arrivés paradoxalement à créer un climat malsain, dans lequel ses propres dirigeants vivent constamment dans une sorte d’angoisse et de paranoïa véritable de la perte du pouvoir et de tous avantages qui vont avec.

La démocratie burkinabè est donc bel et bien en danger. Notre devoir à tous, membres de la société civile comme citoyens ordinaires, est donc de se mobiliser afin d’imposer au MPP le retour aux vraies valeurs de la démocratie, et cela le plus rapidement possible.

Au plan social, en 2017, le désastre est consommé. L’étau de la pauvreté s’est progressivement resserré autour de notre peuple, déjà victime et impuissante d’une nature à l’hostilité insoutenable. La majorité des politiques sociales annoncée en grande pompe pendant les campagnes électorales est restée lettre morte. Et pour le toucher de visu, il suffit de faire un tour en milieu rural pour constater les corvées d’eau, les écoles sous paillottes et j’en passe.

La croissance économique tant chantée, se révèle un leurre seulement brandi pour épater les partenaires techniques et financiers et insulter l’intelligence des Burkinabè. Tout ce que les Burkinabè attendent au-delà des chiffres, c’est la concrétisation de leurs attentes principalement celles de pouvoir se nourrir, se soigner, se loger décemment et s’éduquer choses qui ne sont pas à leur portée.

Les emplois promis à la jeunesse burkinabè se révèlent, comme une sorte de marché de dupe, sinon une tromperie malveillante sciemment montée afin de davantage illusionner la jeunesse surtout. Les projets de financement des jeunes diplômés tant chantés se révèlent être en réalité un échec sur le terrain lors de la mise en application. Jusqu’à ce jour, aucun bilan fiable n’est présenté au peuple sur la mise en œuvre du programme piloté par les différents fonds de financement public. Pendant ce temps, les jeunes diplômés, tous niveaux confondus, qui sont abandonnés à eux-mêmes, se morfondent dans les villes et campagnes, abusés par les promesses illusoires d’un régime qui n’est pas à un mensonge près, puisque les mêmes rêves fallacieux sont servis avec profusion aux cadres de l’administration.

Chers frères et sœurs,

Pour nous, la solution n’est pas celle que propose le parti au pouvoir. Ces mêmes projets ont été expérimentés à son temps par le Congrès pour la Démocratie et le Progrès (CDP) l’ancien parti au pouvoir, avec des résultats très mitigés voire mêmes catastrophiques. Il faut juste changer le paradigme de la question de la formation et de la lutte contre le chômage pour trouver les solutions innovantes face à ce phénomène qui du reste est une bombe à retardement.

Les étudiants, non plus, ne sont pas épargnés par la hargne aveugle de ce régime, qui, pour survivre, joue avec les ombres de la terreur et de la manipulation. Les crises à répétition à l’université, le temple du savoir, sont là pour nous donner raison.

Chers frères et sœurs

En cette année 2017, le tandem gouvernement/Syndicat a continué dans un dialogue de sourd occasionnant de nombreux jours d’arrêt de travail. Â qui la faute ? Comme vous le constater, le gouvernement actuel manque de leadership et de management face aux nombreuses revendications des travailleurs, qui nous semblent légitimes par leur pertinence et méritent donc une attention particulière. Plus grave encore, le gouvernement ne respecte pas ses engagements et promesses et mène une politique de fuite en avant en rejetant à chaque fois la faute de l’échec du dialogue sur les syndicats que de voir sa propre responsabilité.

Sur le plan de la paix sociale, est-il besoin de rappeler que l’insécurité règne maintenant partout en maître absolu dans notre pays surtout dans les endroits les plus reculés.

Nos populations vivent dans une angoisse permanente, en raison notamment des attaques répétées des terroristes contre les localités Burkinabè qui sont frontalières au Mali et au Niger.

Ces terroristes vont et viennent impunément, semant à leur passage la mort et la désolation dans les villages, pendant que les autorités, tranquillement installées dans des bunkers à Ouagadougou n’arrivent toujours pas à trouver une solution idoine à ces attaques lâches et odieuses que nous condamnons avec la dernière énergie.

Au plan économique, la gouvernance du MPP est dominée par l’improvisation et l’art de l’illusion.
Ainsi, les lancements des travaux de construction des infrastructures socio-sanitaires et routières sont nombreux, mais, pour la plupart, sans lendemain. Cela n’empêche toutefois pas le régime du MPP de comptabiliser chaque lancement dans le registre des actions concrètes menées par le Président du Faso Rock Marc Christian KABORE.

C’est le sinistre jeu de fiction auquel se livre le gouvernement, produisant ainsi des statistiques fantaisistes prioritairement destinées à la mystification des observateurs politiques étrangers, et dans une certaine mesure, à minimaliser la clairvoyance du peuple Burkinabè.

Sinon, comment est-il encore possible de croire que de tels artifices peuvent tromper nos concitoyens dont aucun homme d’État Burkinabè sain d’esprit n’ignore désormais la solide et claire conscience politique. C’est que désormais notre peuple sait parfaitement discerner le vrai du faux et faire la différence entre la promesse tenue et les tours de magie.

Au total, l’économie du Burkina, elle aussi, est en réalité au plus mal toujours aux mains d’un groupe de personnes, toujours les mêmes, amis ou alliés au pouvoir en place qui ne pensent qu’à leurs propres intérêts. L’agriculture s’enlise dans l’archaïsme et les pratiques de survie. Le secteur secondaire est plombé par la corruption, et les délits d’initiés.

Le secteur tertiaire s’enfonce complètement dans l’informel. L’administration fiscale, harcelée par le pouvoir en vue de mobiliser davantage de ressources internes supplémentaires toujours un peu plus accrues mais malheureusement inexistantes, se trouve traire les entreprises survivantes, jusqu’au sang. Car à l’évidence, l’économie d’une nation ne peut s’épanouir dans la magouille, les trafics illicites de tout genre, la fraude douanière, l’évasion fiscale ou elle se fera au détriment du plus grand nombre de citoyens qui paye de force leurs impôts plus qu’il en faut. Pendant que les plus nantis ne sont point inquiétés. Le Programme National de Développent Economique et Social (Le PNDES), qui n’est plus l’ombre de lui-même tarde à se matérialiser concrètement sur le terrain.

Chers frères et sœurs,
Voilà en résumé un tableau pas reluisant de la situation de notre pays en cette fin d’année 2017. Cette situation catastrophique créée par le régime MPP est une preuve de son tâtonnement et de ses hésitations. Cette situation a pour conséquence la note de 4,79/10 sur l’action globale du président, un sondage réalisé par le Centre pour la Gouvernance Démocratique dans le cadre du Présimètre. Cette note doit interpeller le président du Faso à plus d’abnégation pour la réussite de son programme présidentiel, qui constitue le contrat social entre lui et le peuple.

C’est donc avec reconnaissance et confiance que je souhaite une bonne et heureuse année 2018 à tous les burkinabè d’ici et d’ailleurs. Que cette année soit une année de bonne gouvernance, de justice sociale et de prise de conscience de nos dirigeants actuels.
Que Dieu vous bénisse en ce nouvel an 2018.

LOPEZ Safiatou/ZONGO

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Vos commentaires

  • Le 30 décembre 2017 à 02:07, par L’Ancêtre En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Ma soeur c’est du blabla. Tu propose quoi ?
    Ce qui est sûr ce n’est pas en deux ans que toutes les écoles sous paillotes disparaîtront.
    Il y a sans doute des ratés dans la gouvernance actuelle, mais souvenez vous nous venons de loin et il faut du temps pour satisfaire tous les points clés de la vie des burkinabè.
    Mais bon il fallait que vous parliez. Vous n’êtes pas seule, c’est plutôt vous qui cherchez à déstabiliser le pays juste pour vos intérêts.

    • Le 3 janvier 2018 à 11:21, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

      - L’Ancêtre, tu es illettré ou quoi ? Lit bien son écrit et analyse-le. Ses propositions transpire de l’écrit. Et puis que vaut ton école qui est en dur et non plus en paillote si aucun enseignant n’y plane pour enseigner, et avec un MENA qui se fait dur alors qu’il n’a montré aucun résultat palpable dans son passé ? Va demander aux habitants du Sahel si tous leurs enfants vont à l’école ! A croire que certains s’expriment avec leurs fesses après avoir lu les articles !!

      ‘’….pendant que les autorités, tranquillement installées dans des bunkers à Ouagadougou n’arrivent toujours pas à trouver une solution idoine…’’.

      - Oui Safiatou, et j’aimerais compléter ton discours : ‘’….pendant que les autorités, tranquillement installées dans des bunkers à Ouagadougou ET GARDÉS PAR DES AGENTS DE SÉCURITÉ MUNIS D’ARMES PAYÉES PAR NOS IMPÔTS, GARDES EUX-MÊMES PAYÉS ET HABILLÉS PAR CES IMPÔTS. ET EUX, PAYENT LES ÉTUDES DE LEURS ENFANTS À L’EXTÉRIEUR COMME NOUS L’A CONFIRMÉ ALASSANNE BALA SAKANDÉ, et n’arrivent toujours pas à trouver une solution idoine…’’.

      Par Kôrô Yamyélé

  • Le 30 décembre 2017 à 11:03, par Me Paul Kéré, Avocat au Barreau de Nancy et de Ouagadougou En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Madame LOPEZ-ZONGO, Félicitations pour cette "diatribe", un pamphlet digne d’une princesse à l’image de Yennega (fille de Zoungran’tenga de Tenkodogo) qui a un franc parlé comme moi, néanmoins dans le sens du bien. Vous avez, en tant que "Médecin" avant la mort, posé un très bon diagnostic juste. Il reste au pouvoir Mpp et ses alliées de circonstances de trouver soigneusement la thérapie idoine pour soigner le malade en espérant que 2018 sera une année de convalescence pour nos populations déshéritées, et, notamment sa frange la plus fragile. Notre pays est un pays riche. Malheureusement, la répartition des richesses se fait de manière inégale, comme d’ailleurs dans la majorité de tous les pays. Mais comme le peuple burkinabè a une longueur d’avance sur tous les autres peuples par son éveil actuel, 2020 n’est plus loin. C’est à ce moment que chaque citoyen burkinabè aura l’occasion de mesurer la vraie maturité politique avérée ou non de notre peuple. "Zoang land ka tabgrr noora yiib yé". Traduction pour les non-mooréphones. "Les testicules de l’aveugle ne se piétinent pas une seconde fois" pour dire que " le peuple burkinabè ne se laissera pas abuser une seconde fois".
    C’est donc aux résultats concrets du Mpp que l’on reconnaîtra le maçon au pied du mur. A bon entendeur, bonne chance ! Me Kéré.

  • Le 30 décembre 2017 à 11:11, par Nongbara En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Mme Lopez ! On sent la rancœur. Vous êtes un parti d’opposition ou une OSC ?
    Tout n’est pas noir dans leur action. Il fallait aussi faire ressortir quelques aspects positifs de leurs actions.
    Sachez que vous êtes vaincue car aucun citoyen lucide ne vous suivra dans votre ambition diabolique qui est de mettre en péril la cohésion sociale déjà fragile.
    Le chien aboie, la caravane passe

  • Le 30 décembre 2017 à 11:21, par Tous les paltoquets ont droit à la Parole En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Vraiment le BURKINA FASO est un vrai état démocratique où l’expression plurielle n’est plus une simple vue de l’esprit . Ne voilà t-il pas que toutes les farfelues comme cette Safiatou Lopez ,parce que mariée à un blanc se prennent au sérieux . Regardez avec quelle outrecuidance elle s’adresse à l’opinion nationale,elle qui, hier ne jurait que par le régime de Blaise COMPAORE qui l’inondait de marché malgré l’incapacité de son entreprise à les exécuter .Comme l’a dit le président Maurice Yaméogo ,le Burkina Faso est une savane . Comme l’a dit quelqu’un également , l’espèce humaine est la pire des ordures que Dieu a créé sur terre au regard du comportement de certaines personnes . Parce que Madame n’a plus les mêmes avantages que sous Blaise COMPAORE et sous la transition ,elle et sa bande de maitre chanteurs passent tout le temps à verser leur bile sur le président du Faso dans l’espoir d’avoir parait-il elle aussi un poste de ministre pour faire concurrence avec Madame SARAN SEREME ,Médiateur du Faso ,que Dame LOPEZ ne veut pas voir, même en peinture .Mais tout ça, c’est la faute du président du Faso qui s’amuse avec les hautes fonctions de l’Etat en nommant ou en laissant nommer n’importe qui dans les hautes sphères de l’administration publique ,même sans expérience minimum en tant que serviteur de l’ETAT .Comme entendu lors de la présentation des vœux de nouvel an des Corps constitués le 29 décembre ,il est à espérer que le président du Faso va réellement se réveiller pour assumer pleinement ses responsabilités en arrêtant de se soumettre aux divers chantages que certaines brandissent à tout bout de champ .

  • Le 30 décembre 2017 à 11:25, par PIONG YANG En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    C’est qui SAFIATOU LOPEZ ? Moi aussi j’ai une déclaration pour la fin d’année que souhaite que vous publiez. Je vous l’envoie.

  • Le 30 décembre 2017 à 11:58, par Nina Poukame En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Encore elle !!!
    On était heureux de ne plus entendre ses élucubrations, et la voilà qui revient avec des histoires à dormir debout et, comme d’habitude, dans un discours décousu passant souvent du coq à l’âne. Elle dénonce une gouvernance actuelle qui ne serait pas vertueuse et sans nous dire sur quoi elle fonde ses convictions. Elle déclare que « l’économie du Burkina, elle aussi, est en réalité au plus mal toujours aux mains d’un groupe de personnes, toujours les mêmes, amis ou alliés au pouvoir en place qui ne pensent qu’à leurs propres intérêts ». C’est tout simplement parce qu’on a enlevé ses mains de la bassine de riz gras qu’elle s’agite ainsi. En effet, c’est son activisme dans la FEDABC qui lui valait les marchés juteux quand ses anciens amis étaient tout puissants. Comme elle s’est rendue compte qu’avec le pouvoir actuel, c’est plus le mérite qui fait la réussite dans la sphère économique et non plus les amitiés avec les puissants du moment, elle l’accuse de tous les péchés d’Israël et d’être responsable de tous les échecs qu’elle a essuyés depuis la fin du règne des Compaoré.
    Elle soutient que l’administration publique est politisée et ce, dans une déclaration visiblement politique et, à la limite même, politicienne alors qu’elle n’est connue que pour son activisme débordant dans les ONC.

  • Le 30 décembre 2017 à 12:29, par Zombie En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Dommage, pauvre madame Lopez ! Ce sont les périodes d’effervescence (2013-2014) qui vous ont fait sortir de l’ombre. Avant ça, personne ne vous connaissait ici au Burkina (à part vos petits copains et petites copines). Ces périodes d’effervescence passées, vous voilà dans votre "vrai" : complètement perdue, désillusionnée et sans repère, parlant au hasard, créant des "coalitions"sans véritable plan ni objectifs précis. Du coup, tout ce que vous avez écrit là, très peu de gens le prendront au sérieux. En plus, vous signez cet écrit de votre nom (Safiatou LOPEZ), même pas au nom d’une des multiples OSC que vous prétendez diriger. Vraiment ça fait pitié ! Bon courage quand même !

  • Le 30 décembre 2017 à 12:52, par MAXWELL En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Waï, cette femme là se prend dèh ! Ce message là c’est à quel titre ? C’est le message de fin d’année à la nation ou bien ?(Rires) Si au moins elle avait mis un titre sous son nom en fin de page, on aurait compris ce qui nous vaut ce message ’’officiel’’. Madame Lopez vous êtes une opératrice économique et si j’ai un conseil à vous donner gérez vos affaires et laissez la politique ce n’est franchement pas votre truc. Il y a par exemple une autre grande dame dans les BTP qui sous l’ancien régime a eu les plus gros marchés d’immeubles dans ce pays là. S’il y a une personne qui en principe en a gros sur le cœur contre ce régime c’est bien elle car ces affaires tournent moins qu’avant. Mais cette dame a choisi la voie de la raison. Elle fait tranquillement son boulot, rarement de sortie médiatique et force même l’admiration dans le milieu des affaires, notamment à la Chambre du Commerce. Certains disent que vous aspirez un jour à gérer la Chambre de Commerce, donc il faut vous donner une image et une envergure qui inspire le respect. En 2018, pardon il faut quittez dans ça. Utilisez cette énergie débordante que vous avez pour aider d’autres femmes à réussir dans le domaine de l’entreprise. Nous vous préférons femme battante qui a lutté pour s’imposer dans le milieu de l’entreprise dominé jusque là par les hommes. Ceux qui vous applaudissent là sont ceux qui n’ont pas le courage de dire ce que vous vous dites haut et fort. C’est ce même manque de courage là qui va faire qu’ils ne lèveront pas même le petit doigt pour vous soutenir en cas de problème. Mieux c’est les mêmes qui vous poignardent dans le dos et vous ne dires pas le contraire. Bien évidemment, ce n’est qu’un conseil à suivre ou à ne pas suivre. Meilleurs vœux 2018

    • Le 31 décembre 2017 à 10:15, par Zemosse En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

      Tout citoyen lambda peut s’adresser à sa Nation car il fait partie de cette Nation. Vous pouvez , vous aussi , le faire. La preuve ,votre écrit s’adresse à qui ? Pas à Lopez seule ,mais’aussi à tous ceux de la Nation qui ont la chance de vous lire. Donc Dame Lopez est bien dans son ecrit.Croire que seuls les personnalités ont l’insigne honneur’de s’adresser à la Nation est une erreur.

      • Le 31 décembre 2017 à 13:31, par MAXWELL En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

        Zemosse, je réagissais à un message de Safiatou Lopez dont la présentation qui faisait penser à un message adressé à la nation m’a beaucoup amusée. Si vous n’étiez pas aussi pressé pour me clasher, vous aurez pris le temps de bien me lire et de voir que j’ai mis entre parenthèses RIRES. Je suis même peiné que dans tout ce que j’ai écris ce ne soit que cette phrase qui a retenu votre attention. C’est vrai que tout le monde a la chance de me lire comme vous dites vu que l’espace des internautes est fait pour cela. Mais si vous ne voyez pas que les suggestions que je fais sur la possibilité de mieux canaliser son dynamisme et son charisme vers des causes profitables à ses sœurs burkinabé, s’adressent directement et principalement à Safiatou Lopez, cela me laisse sans voix. Bonne et heureuse année 2018.

  • Le 30 décembre 2017 à 15:19, par moi En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    encore elle !!!si le ridicule tuait certains auraient perdus meme leur âme,tu as cherché la chambre de commerce tu n’as pas eu,tu as cherchée un poste avec le mpp tu n’as pas eu,donc maintenant tu passe tout ton temps a craché ton venin,bref quand tes miettes la vont finir tu vas rester tranquille,n’en déplaise a tes soutiens comme maitre Kéré au barreau de je ne sais ou

  • Le 30 décembre 2017 à 16:26, par Juste En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Le Burkina est vraiment agréable ; on sort du néant et hop !!! c’est un message à la nation. Ce sont les angrais des putchistes comme ça. Après c’est pour dire :" j’avais prédit, au rythme où le pays avançait il fallait ça" et on réclame des postes pour son clan. Si ça ne marche pas, retour à la case départ pour les intrigues et le dénigrement. Il faut chercher un autre job MADAME.

    • Le 3 janvier 2018 à 11:28, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

      - Juste j’ai vraiment pitié de toi ! On sort du néant et hop !! Ah oui ! Que de gens ont la mémoire courte ! Moi je te rappelle que Safiatou a été un acteur principal de l’insurrection transformée plus tard en gigantesque ’’Insurescroquerie’’ par le MPP et ses alliés mangecrates fourmis-magnats et autres oiseaux granivores manges-mils piou piou piou, sans oublier les serpents à sonnettes et les crotales !

      Par Kôrô Yamyélé

  • Le 30 décembre 2017 à 18:09, par Silowé En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Pour l’amour de DIEU, proposez au lieu de critiquer sans cesse. "Critiquer de manière saine, c’est bien. Proposer de manière significative, c’est mieux." Vous ne contribuez pas à la construction du pays par votre démarche. C’est lourd et destructeur de votre part.

  • Le 31 décembre 2017 à 08:40, par warba En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Le tir groupe pour terrasser le pouvoir mpp est en marche .Apres l’arrestation de DAB, certains activistes vont suivre dans les arrestations pour complot. Sui vez mon regard.Je pense qu’ il faut aller rapidement a la vraie reconciliation pour eviter un ultime coup d’etat dans un contexte d’echec du pouvoir mouta mouta , maada maada et pada:insecurite,economie vraiment a plat, famine en vue,revendication de tous les syndicats en meme temps avec des solutions insuffisantes au coup par coup,ministres notoirement incompetents ,corruption plus forte que sous blaise...Ce regime ne tiendra pas longtemps et fait meme pitie devant la determination syndicale.2018 sera charniere ca passe ou ca casse.Comme le disent les nouveaux idiots " je vous reviendrai"

  • Le 31 décembre 2017 à 08:50, par Radio koulouba En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Madame créer votre parti politique et soyez candidate à la prochaine présidentielle. N’oubliez pas de présenter des candidats aux législatives. Ainsi vous pourriez gouverner ou bien ? Dans notre Burkina, chacun est expert dans coin.
    Allons seulement

  • Le 31 décembre 2017 à 08:52, par sergy En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Dame Lopez n’a aucune capacité de proposition.Tout ce qui préoccupe cette quidam,c’est sa rancœur tenace pour avoir lamentablement échoué aux élections consulaires.
    Dame Lopez si elle était démocrate devrait en toute humilité accepter ces résultats.Mais non,la dame avait voulu être parachutée à la tête de la chambre de commerce comme l’autre dame là,comme si le petit frère de Rock avait épousé sa fille.Même si c’était la cas,la donne a changé et Dame Safiatou est mieux placée que quiconque pour le comprendre.
    Au total,Madame Lopez,votre disque est rayé et il va falloir le changé.Mieux une dame de votre acabit qui utilise des méthodes dignes de la Mafia calabraise contre ses adversaires ne saurait donner des leçons même à un régime fasciste,n’en parlons pas à un régime démocratiquement élu, qui fait de son mieux(même s’il y a des ratées) pour améliorer le quotidien de tous les Burkinabé.

  • Le 31 décembre 2017 à 09:39, par Laurent Bauchau En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Bonjour à tous, et surtout aux commentateurs éclairés. Comme je ne connais pas bien la situation au Burkina et que je n’y vis pas je n’ai rien à dire sur le fond. Mais une chose m’impressionne : la qualité des commentaires et de leurs auteurs ! Chez moi, en Belgique, les commentaires sont en général terriblement stupides et montrent des lecteurs qui sont complètements perdus et sans aucun recul par rapport à la situation de leur pays. Mais pas au Burkina. J’admire l’humour, le calme, le fair-play et la pertinence des réactions et réponses qui sont, la plupart du temps, bien plus intéressants que les articles.

    On ne raconte pas d’histoires aux burkinabè et on ne les déstabilise pas aisément.

    Une très bonne et heureuse année 2018 à tous !

    • Le 1er janvier 2018 à 22:27, par gohoga En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

      Merci à Mr Laurent Bauchau. Les Internautes sont pas nombreux. Mais leurs interventions sont beaucoup engagés. On peut le classer en 3 camps : Oppositions (UPC,CDP,PCRV, NAFA, FA) 70 pour cent ; MPP et ses alliés au pouvoir 20 pour cent et neutre 10 pour cent. Le 1er groupe cherche à faire tomber le régime en place, le second le défend et le 3eme veux le bien du Burkina.

      • Le 3 janvier 2018 à 12:08, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

        - gohoga, pardon et n’induit pas notre ami et frère belge Laurent Bauchau dans l’erreur. Sur quoi et sur quels paramètres tu te bases pour ainsi catégoriser les intervenants ? Et si moi Kôrô Yamyélé, au lieu de me baser sur les catégories que tu cites (Opposition, MPP etc.), je te dis que beaucoup sont plutôt répartis en des oisillons aux jabots gigantesques, des oiseaux granivores, des moineaux aux gros jabots, des fourmis-magnats, et voire des serpents à sonnettes et des crotales, serais-tu de mon avis ?

        Par Kôrô Yamyélé

    • Le 3 janvier 2018 à 12:02, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

      Mon frère belge Laurent Bauchau, merci pour le constat que vous faites, même si je ne le partage pas en entier. Le Kôrô Yamyélé que je suis aimerait que vous relisiez les commentaires de ces individus que je cite ci-dessous, et que je veux choquer afin qu’ils soient désormais plus raisonnables et sachent qu’on ne peut pas forcément être de leurs avis. Ce sont :

      - L’Ancêtre
      - Nongbara
      - Tous les paltoquets ont droit à la Parole
      - PIONG YANG
      - Nina Poukame
      - Zombie
      - moi
      - Juste
      - sergy
      - y en a marre de ces ... !
      - yaako
      - ouedraogo
      - On est fatigué
      - clair
      - Fidele

      Ils ont des commentaires les plus plats du système solaire ! Allez-y comprendre qu’ils insultent, dénigrent sans faire une analyse de contenu de l’écrit de Dame Lopez. Ils ne voient que la figure de la Dame sans faire référence à sa qualité de membre et leader d’OSC, donc ayant un rôle de veille et d’interpellation qu’elle exerce à travers son écrit ici. Donc mon frère Laurent Bauchau, comprenez que moi je qualifie ceux que je cite ici de jeunes de la rue. Je ne m’étonnerai pas que parmi eux, il y ait des gens pistonnés par le MPP pour insulter cette dame contre un plat de riz ou de benga (haricots secs bouillis et assaisonnés d’un peu d’huile de basse qualité et de sel) ou un 500 FCFA (0,76 €). Certains doivent certainement être des abonnés au Tramazol, au Chivas ou au ’’Tchrr-Tchrr’’. Connaissez-vous le ’’Tchrr-Tchrr’’ ? Eh bien, ce sont des liqueurs frelatées très prisées par de nombreux jeunes désœuvrés ici, ce qui les détruisent petit-à-petit. Ce terme ’’Tchr-Tchrr’’ dérive du bruit que fait la boule fixée sur la bouteille quand on verse le contenu dans le verre, et comme c’est deux fois ’’Tchrr’’, celà veut dire 2 boules car une seule ne suffit pour envoyer le consommateur au tapis. A un moment donné tu les vois et ils ont des cheveux défrisés et non crépus comme d’habitude chez les nègres, alors qu’ils ne sont ni blancs, ni arabes, ni peuls ou Touaregs ! Ils sont presque tous des inciviques qui ne respectent pas les feux de STOP qu’ils brûlent et créent quotidiennement des accidents dans la circulation ! Voilà ce que sont la plupart d’entre eux.

      CONCLUSON : Je vous le dis et tout net, pour moi la majorité de ces individus est composée de manipulés, de vendus et d’achetés, d’oiseaux granivores, de moineaux aux gros jabots, de fourmis-magnats, et mêmes de serpents à sonnettes et de crotales aussi jaloux les uns plus que les autres sinon ils n’allaient pas ainsi s’en prendre à la bonne Dame Lopez pour avoir juste donné son opinion, ce qui lui permet d’ailleurs l’Article 8 de la Constitution chez nous ici. Merci à vous mon frère belge.

      Par Kôrô Yamyélé

  • Le 31 décembre 2017 à 11:42, par y en a marre de ces ... ! En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Certaines chenilles comme le Chitoumou sont mangeables mais la chenille légionnaire Lopez est en train de devenir un véritable fléau où tout le monde croit qu’il peut déverser son aigreur en 2 ans ce qu’il n’a pu faire auparavant pendant 27 ans ! avant, le slogan, on te fait et il n’y a rien ! était bien plus efficace que l’absence de traitement contre la chenille légionnaire et ses soitdisant mutants OGM comme Safiatou ! Pour une fois, évitez de nous fatiguer les yeux avec ces voeux de malheur pour 2018 ! Bossez pour montrer l’exemple au lieu d’enfumer le milieu des OSC où on ne sait plus qui est qui !

  • Le 31 décembre 2017 à 18:27, par yaako En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Safiatou LOPEZ qui produit une "déclaration", c’est un non-évènement. Elle en produit tellement et n’importe comment, que ça devient ri-di-cule !!!

  • Le 31 décembre 2017 à 19:56, par ouedraogo En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Encore toi ma sœur !

    Avec ce genre d’analyse, tu crois tromper qui ? Tu fais tout ça avec pour objectif de parfaire ton marketing politique. Dis-nous quelles responsabilités administratives as-tu déjà assurées dans ce pays et quel est ton bilan ? C’est si facile de critiquer, mais comme le dit un adage ce sont les tonneaux vides qui font beaucoup de bruit. Oui pour la critique pour faire avancer les choses, mais, non à la politique politicienne. Tu es riche à ce qu’on dit. Tu possèdes des entreprises ! Dis-nous combien d’emplois as-tu créés pour les jeunes. Pourquoi croyez-vous que seul le gouvernement doit créer des emplois ? Vous autres qui bénéficiez de cet environnement favorable à la promotion de vos affaires, qu’est-ce que vous faites pour ces jeunes ? Soyons modestes et ne trompons pas le peuple ? En plus à travers ces analyses, je me risque de vous dire que vous devez vous cultiver davantage sur les conditions et les politiques de développement économique de ce pays qui vous est très cher.

  • Le 2 janvier 2018 à 03:04, par Francois En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Aah ! Mr Bauchau j’adore votre humour bien Belge !!!
    Vous êtes le bienvenu au Burkina dans ces temps moroses. Ça nous détendra sûrement un peu pour l’année qui commence très chaudement. .

  • Le 2 janvier 2018 à 09:44, par caca En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Pour l’amour de Dieu, j’espère qu’en 2020 le peuple burkinabé ne se fera plus duper deux fois. Je ne suis pas politique, mais je souhaite à mon pays un vrai changement. La haine de la transition et reprise par le régime MPP à ouvert la voie de la haine et de violence au Burkina Faso que le pays a du mal à dépasser les clivages individuels et partisans. Certains des Burkinabés pensent que les frères Compaoré sont comptables du malheur du pays. Avec les arrestations des amis de transition pour déstabilisation du régime MPP confirme l’argument soi-dissant que le Burkina a besoin des "hommes forts" non pour un régime monarchique comme c’est le cas nos jours, mais des "hommes" qui sont capables d’un dépassement personnel pour établir une vraie démocratie participative de tout ses enfants. "L’homme fort" selon moi, c’est un "homme" d’après Saint Paul qui par " amour fraternel est plein d’affection les uns pour les autres ".

  • Le 2 janvier 2018 à 11:12, par On est fatigué En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Madame Lopez, de grâce, on est fatigué de vous. Que voulez-vous dans ce pays ? Faites des propositions pour la bonne marche de la gouvernance, du pays, des burkinabè tout entier au lieu de jouer au connaisseur connait rien. Tu politicien ou OSC ? Donne ta position claire.

  • Le 2 janvier 2018 à 13:24, par On est fatigué En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Madame Lopez, de grâce, on est fatigué de vous. Que voulez-vous dans ce pays ? Faites des propositions pour la bonne marche de la gouvernance, du pays, des burkinabè tout entier au lieu de jouer au connaisseur connait rien. Tu politicien ou OSC ? Donne ta position claire.

  • Le 2 janvier 2018 à 15:07, par clair En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Mme LOPEZ, 4,79/10, ne pensez-vous pas que c’est le citoyen lamda comme vous qui devrait vous interroger au lieu que ça soit le PF seul ? Penses-tu que combien vous allier être notée si l’on fait sondage sur vous en ce qui concerne votre domaine. Pensez-vous vraiment battre le PF ou du moins avoir ?
    Jusqu’à quand allons-nous faire la différence entre le PF et le parti au pouvoir ou le gouvernement. J’en appelle à la conscience des uns et des autres afin que nous, burkinabè, respectons notre Président comme aux USA. Les partis politiques doivent donner l’exemple, car chacun peut dégager un président qui doit de facto être respecter de tous.
    A bon entendeur,... Sans rancune

  • Le 2 janvier 2018 à 20:08, par zougou En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Note de 4,79/10 c’est honorable quant on part de -10 /10 et qu’en 2ans on arrive à avoir cette note c’est formidable. J’ai l’impression que le burkinabe à la mémoire très courte ou est de mauvaise foi. Après ce qui a été fait par le régime de Blaise (fuite de capitaux ) après l’insurrection et les Zida il faut féliciter Roch et surtout l’encourager. Ce n’était pas un passage normal de témoin mais quelqu’un qui a pris le pouvoir dans des conditions exceptionnelles. Ne condamnons pas tout azimuts comme si tout s’est passé dans les règles. Mettez un peu d’eau dans votre vin. Le burkina est une savane où on sait qui a fait quoi, quand, pourquoi et comment . Que celui qui n’a jamais triché, volé, profité de biens publiques, tromper, menti,. .. jette la première pierre et nous pourrons éclairer l’opinion sur chacun. Nous n’avons qu’une seule patrie que nous défendrons corps et âme. Politicien ne laissez pas vos passions détruire notre pays. Certains pays ont vécu pire que ce que nous vivons mais grâce à la tolérance de ses fils et filles se sont relevé.

  • Le 3 janvier 2018 à 08:32, par Fidele En réponse à : Année 2017 au Burkina : Une démocratie en danger, une économie morose, un social en désastre selon Safiatou LOPEZ

    Je ne suis pas politicien mais je suis frustré de lire une telle dame (aigri) qui n’a rien à proposer pour la nation. Tout son discours c’est le négatif. Il faut qu’elle élève le niveau de son débat (utilisé un peu de substance grise) car les burkinabés ne sont plus à ce stade primitif de la pensé . Maintenant que tu ne gagne plus tes marchés tu nous pollue l’atmosphère. Crée ton parti, présente toi aux élections on verra si les burkinabés t’accordent leur confiance. Mais arrête de nous divertir, on a besoin des hommes et des femmes pour construire notre nation et non pour la détruire.

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