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Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

Publié le lundi 13 novembre 2017 à 01h08min

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Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

En conclusions à une réunion de son Secrétariat Exécutif National, l’UPC exige la démission du ministre Simon Compaoré, apporte son soutien à la maire UPC de l’arrondissement 3 de Ouagadougou, Rainatou Ouédraogo et dénonce l’incompétence de la diplomatie burkinabè suite au refus de l’Ethiopie d’agréer notre nouvel Ambassadeur dans ce pays.

Les membres du Secrétariat Exécutif National de l’Union pour le Progrès et le Changement (SEN/UPC) se sont réunis à Ouagadougou en session ordinaire le samedi 11 novembre 2017 sous la présidence effective de Monsieur Zéphirin DIABRE, Président du SEN, Président du parti. Les échanges ont porté sur la vie du parti et la situation socio-politique nationale.

Au titre de la vie du parti, les participants ont entendu et approuvé un rapport de la direction sur toutes les initiatives prises par celle-ci dans le cadre de la résolution de la crise née de la démission d’un groupe de députés du groupe parlementaire UPC. En particulier, un compte rendu a été fait de la rencontre organisée le Samedi 28 octobre 2017 dans le souci de ramener la cohésion dans le groupe, rencontre qui a regroupé ces députés autour de la direction du parti, et des différentes missions des députés dans certaines provinces.

Les échanges ont porté sur les mesures conservatoires déjà prises et à prendre en vue du fonctionnement continu du parti.

Suite à l’analyse de la requête de Monsieur TRAORE Tahirou, précédemment responsable de la section UPC de la Léraba, le SEN a décidé de proposer au Bureau Politique national (BPN) la levée de la sanction qui lui avait été infligée, et ce pour faute non avérée.

Les membres du SEN ont aussi échangé sur la crise qui prévaut au sein du Conseil municipal de l’arrondissement 3 de Ouagadougou et ont pris des mesures allant dans le sens de soutenir madame le maire et d’éviter la création au sein de cet arrondissement d’une délégation spéciale.

Au titre de la situation socio-politique, le SEN a condamné le comportement irresponsable du ministre en charge de la sécurité, monsieur Simon COMPAORE, pris en flagrant délit de port d’arme de guerre, à la recherche de militants UPC. Pour le SEN, ce monsieur, en plus d’être notoirement incompétent, est un danger public et un facteur de risée pour notre pays. Il exige du Président du Faso son limogeage pur et simple du Gouvernement.

Toujours au chapitre de la vie nationale, les participants ont échangé sur la démission fracassante de Monsieur Tahirou BARRY du gouvernement, dont les déclarations successives donnent de nos plus hauts dirigeants et de l’action gouvernementale une image désolante. Le SEN observe que les critiques très acerbes de l’ex ministre BARRY rejoignent en tous points l’appréciation que l’UPC a toujours faite de la conduite des affaires de notre pays sous le règne du MPP. Les membres du SEN ont aussi condamné les actions d’embrigadement de la liberté de presse et d’expression au Burkina Faso menées par le Ministre en charge de la communication, qui vient de s’illustrer par la censure d’une émission publique à laquelle M. Tahirou BARRY était convié.

Enfin le SEN s’est offusqué du scandale diplomatique auquel le pouvoir s’est livré en Ethiopie, toute chose ayant contribué à humilier une fois de plus notre pays sur la scène internationale. En plus d’être devenue une « diplomatie de business » au service d’intérêts privés bien connus, notre diplomatie est en train de sombrer dans les profondeurs de l’incompétence.

Débutée à 9 heures, la session a pris fin aux environs de 13 heures dans une ambiance cordiale.

Le Secrétariat National à l’Information et à la Communication (SNIC)

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Vos commentaires

  • Le 12 novembre 2017 à 19:26, par le vent En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Huumm ! Le lion rugit fort maintenant hein. Attention au lion blessé. surtout ceux qui ont l’habitude de yada yada

  • Le 12 novembre 2017 à 19:29, par Damis En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Y en a marre de ce lion affaibli qui refuse de reconnaître sa défaite.
    L’UPC n’a même pas fini de résoudre ces propres problèmes et c’est problème des gens qu’il détient les solutions miraculeuses. Merde !
    A cette allure, il ne vous reste que de demander la démission du gouvernement et du Président du Faso et si cela tarde, vous organisez un coup d’état pour calmer votre soif lamentable d’aller à Kossyam. Votre malheur c’est que vous avez oublié que le naam-là c’est Dieu qui donne à qui il veut.
    Donc un conseil : allez-y vous calmer et attendre votre tour au moment opportun et si Dieu le veut, vous allez compétir.

  • Le 12 novembre 2017 à 20:24, par tapsobayassiki En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    UPC quitte dans ca on attend de de l’UPC des proposition de reforme sur la vie de la nation quand au depart de SImon , ce n’est pas cela qui interesse les burkinabè. Le President n’a qu’a nomer qui il veut, c’est son bilan final qu’on l’attend pour juger

  • Le 12 novembre 2017 à 20:44, par RV En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Les démissionnaires du groupe parlementaire UPC
    vont demissioner de l’UPC pour adhérer à leur parti
    qu’ils auront créer juste avant les présidentielle et législative
    couplées de 2020. Et ils seront tous réélus avec d’autres députés
    en plus au détriment de l’UPC.
    Si Zéphirin ne peut pas comprendre ça, il ne mérite pas
    de diriger un pays car il sera manger sur le plan international .

  • Le 12 novembre 2017 à 21:23, par Ka En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Je cautionne votre action monsieur le président de l’UPC : Pour Ka qu’importent les raisons supposées ou réelles, qu’importe l’arrière-fond politicien, nous sommes (paraît-il) dans un état de droit, et personne n’a le droit de se faire justice lui-même : Surtout pas une personne qui se dit ministre de la sécurité qui protège son peuple appelé Simon Compaoré. Malheureusement un parti politique ne peut tout seule déboulonner un ministre issu de la majorité. Un conseil Mr. Zéphérin Diabré, ‘’’’ toute lutte de masse est une lutte politique, et pour avoir une masse et demander la démission de Simon Compaoré, il faut passé par une opposition forte, pas celle du votre qui est une opposition fantôme avec des mange-mil qui veut vous enterrer vivant, mais des vrais OSC qui seront de votre côte pour demander la démission d’un ministre qui patine, et veut abusé de son pouvoir de pacotille.

  • Le 12 novembre 2017 à 21:42, par verité no1 En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Et pourtant Simon ne demissionnera pas pour faire plaisir a l’opposition !
    Ce n’est pas l’UPC qui a nomme Simon comme ministre de la securite, point barre !
    Un peu de respect a nos institutions !

  • Le 12 novembre 2017 à 21:46, par verité no1 En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Simon n’a qu’a porter kalach faire le tour du Burkina, ce n’est pas l’affaire de l’opposition !
    Si Zeph continue dans sa rancune, on doit l’interdire de faire la politique et il va aller manger ses arachides a Komtoega !!!!!!!!!!!!!!

  • Le 13 novembre 2017 à 07:02, par Attention En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Militants de l’UPC et alliés de l’opposition, occupez-vous de votre cuisine interne par une gestion rationnelle des démissions de vos députés et autres membres de vos partis. Il ne vous appartient pas de demander les démissions de militants d’autres partis. Vous traitez d’autres citoyens et personnalités de fous, alors que de par vos agissements violents de saccages de domiciles de députés, vous vous comportez en hooligans, pires que des fous. Votre comportement est aux antipodes de la démocratie dont vous prétendez être le reflet.

  • Le 13 novembre 2017 à 07:32, par yamyellé En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Mr le président de l’UPC soigné votre langage. Vs n’aviez pas nommé SIMON COMPAORE vs ne pouvez dire de l’enlever comme si c’est votre enfant. il faut critiquer, certe mais jusqu’a dire de le limoger c’est aller loin. vs aviez des tetes dures a L’UPC mais pourquoi vs ne les chasser pas. les assoifés de pouvoir la taisez vous et laissé SIMON tranquille.

  • Le 13 novembre 2017 à 07:39, par Abcd En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Hey UPC. Union pour les Plaintes et Critiques . Sinon que le succès de nos FDS la semaine dernière dans le nord est aussi un sujet d’actualité. Vous auriez pu aussi en parlé. Mais ça ça ne vous plait pas on sait . Vous souhaitez le chaos et c’est très dommage.

  • Le 13 novembre 2017 à 07:44, par IBK En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    et pendant ce temps l’UPC est en train de prendre l’eau. Je vous en prie, cessez de faire une fixation sur le MPP et occupez vous de l’UPC. Ne vous trompez pas d’adversaire : c’est l’instabilité de l’UPC qui est notre problème. Resolvons le et vous verrez que ni Simon Compaoré, ni le MPP ne vous inquietera.

  • Le 13 novembre 2017 à 08:44, par s En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Quand vous aurez limogé votre maire prisonnier de l’arrondissement 7 qui a compromis les chances de nos enfants aux concours, le président du Faso avisera votre demande. La charité bien ordonné commence par soi même !

  • Le 13 novembre 2017 à 09:04, par ngoonga En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Quand un parti manque de vision il se donne à des querelles inutiles. Est ce que c’est vs qui avez nommé SC pour demander sa démission ??? attendez votre tour à la gestion du pays. Difficiklement

  • Le 13 novembre 2017 à 09:13, par Nassa Jean olivier En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Je Salus en fin la réaction de la direction de UPC sur la situation qui prévaut à l’arrondissement n°3 de Ouagadougou. Cette prise de position est une bonne chose en ce sens qu’elle permet à madame le Maire de ne pas se sentir orpheline dans ce coup de force qu’on veut lui faire, également ça lui donne du courage pour se battre davantage. Vivre l’UPC et Vive à madame le Maire de l’arrondissement 3 de Ouagadougou.

  • Le 13 novembre 2017 à 09:58, par YAAM SOBA En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Ceux qui critiquent l’UPC perdent leur temps. Dans une république digne de son nom, le ministre Simon Compaoré devrait être limogé illico presto. C’est le même Simon qui disait aux koglweogos que si un civil se balade avec une kalashnikov, il devrait être arrêté conformément à la loi. N’est-ce pas ? Simon Compaoré est-il au dessus de la loi ? Chers militants du MPP ne défendez pas l’indéfendable s’il vous plaît ! Soyez républicains !

  • Le 13 novembre 2017 à 10:41, par Juste En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Je vous dis et je vous le répète, l’UPC n’est que parti sectaire et sectariste. Je ne suis pas MPP mais je préfère ne pas avoir à faire à l’UPC au sommet de l’état. On va inévitablement assister à une guerre civile dans ce pays ; si les Burkinabè veulent, ils peuvent jouer avec le feu mais je préviens que beaucoup s’exileront dans des pays voisins ou lointains. Continuons seulement.

  • Le 13 novembre 2017 à 12:30, par Daouda En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Voici des interventions qui reflètent l’immaturité de nos analystes.Avec des analyses dépourvues d’idées. Le combat pour la liberté est l’affaire de tous et non unique à l’upc.Il n’est pas facile de vous suivre lorsque vous estimez que l’opposition politique doit rester en marge des critiques.Quel serait donc le rôle de l’opposition dans État qui se dit démocratique ?c’est de la malhonnêteté intellectuelle de votre part ou simplement de l’ignorance ?

  • Le 13 novembre 2017 à 12:35, par Moctar Philippe En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    La polémique sur les réseaux sociaux relative au ministre d’Etat en charge de la sécurité, Simon Compaoré vise essentiellement à le provoquer. Le ministre estime que ses images ont été volées et déformées pour des exploitations visant à le traiter de ce qu’il n’est pas. Il ne reconnaît pas avoir tenu des propos déplacés, contrairement à ce que d’aucuns insinuent. Les gens doivent comprendre, que le ministre est libre de rassurer des citoyens en situation d’insécurité, qu’ils peuvent rester tranquilles. Peu importe qu’il utilise le français, l’anglais, l’espagnol ou toute autre langue pour exprimer cette assurance. Ce qui s’est passé, relève d’une violation de la vie privée, que la Commission de l’informatique et des libertés(CIL), le Conseil supérieur de la communication(CSC) ne cessent de dénoncer comme étant des abus de l’internet et des réseaux sociaux. La preuve de cette dérive est clairement établie dans une des images sur Facebook, où le ministre de la sécurité est présenté avec de gros muscles de lutteur, savamment montée avec 2 pistolets et un chapeau noir sur la tête. Tous ceux qui connaissent Simon Compaoré, savent que même pendant sa jeunesse, il n’a jamais eu des biceps aussi costauds comme présentés sur Facebook. Toute personnalité se rendant sur un lieu de conflit avec des risques d’affrontements, a le droit de se protéger avec des gilets pare -balles. Le ministre qui a eu de bons réflexes en faisant sécuriser les domiciles de députés frondeurs de l’UPC, a su ainsi parer à des drames de morts d’hommes, vue la violence des propos et actes de vandalisme qui ont été perpétrés contre certains de ces députés et leurs domiciles. Ceux qui qualifient le ministre de la sécurité de guerrier ,font un abus de langage par adversité politique et pure animosité ,qui ne sauraient tenir la route devant les réflexes sécuritaires du ministre pour protéger des citoyens qui auraient pu être victimes d’une vindicte populaire. Le président du Faso est également l’objet d’attaques malsaines sur les réseaux sociaux. Mais ces deux personnalités ne sauraient se laisser ébranler par ces adversités pour ne pas assumer pleinement leurs responsabilités partout et en tout temps quand cela s’avère nécessaire.

    • Le 14 novembre 2017 à 12:42, par YAAM SOBA En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

      La vidéo de SIMON a été partagée sur des médias internationaux tels que France 24 , Jeune Afrique et RFI. Or, vous savez pertinemment que ces médias ne publient jamais de montages. En toute franchise, cautionnez vous qu’un civil se balade en kalash ? Simon est-il un policier ou un gendarme ? Ne soyez pas ridicules en voulant être l’avocat du diable. Cessez de défendre l’indéfendable svp.

  • Le 13 novembre 2017 à 12:49, par Daouda En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Voici des interventions qui reflètent l’immaturité de nos analystes.Avec des analyses dépourvues d’idées. Le combat pour la liberté est l’affaire de tous et non unique à l’upc.Il n’est pas facile de vous suivre lorsque vous estimez que l’opposition politique doit rester en marge des critiques.Quel serait donc le rôle de l’opposition dans État qui se dit démocratique ?c’est de la malhonnêteté intellectuelle de votre part ou simplement de l’ignorance ?

  • Le 13 novembre 2017 à 13:03, par sidzabda En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Zeph et la route manga zabré ? C4est pour te nuire même dans fief. Au lieu de travailler vous critiquez sans proposer des solutions. Tu risque ton fauteuil de chef de file de l’opposition en 2020

  • Le 13 novembre 2017 à 13:10, par Analyse En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Vous UPC,vous n’êtes même pas arrivé à faire démissionner vos 13 députés frondeurs et vous voulez exiger la démission d’un ministre.Nous attendions que l’UPC nous prouve qu’il est capable de gérer des crises .Mais hélas ,vous avez montrez vos limites en vous contentant de réclamer des mandats.Vous n’êtes pas encore prêt pour diriger une nation parce que vous n’avez pas su anticiper sur une crise dont la rumeur courait déjà dans la presse et rues de Ouagadougou

  • Le 13 novembre 2017 à 13:11, par l’analiste En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Mes chers amis si Simon à effectivement fait ça, l’UPC à raison de demander sa démission même s’il est MPP. Nous n’avons pas besoin de chercheur de problème au sein du parti.Arrêter de militer aveuglement.Si GORBA vivait il ne va jamais accepter cela.Il ne faut pas encourager ces genres de comportements si nous voulons que les gens nous fassent confiances.Merci .Militant MMP

  • Le 13 novembre 2017 à 14:05, par Secrétaire En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    S’il vous plait, nous voulons la paix maintenant. si vous insister ça va se terminer comment ?
    De grâce UPC.

  • Le 13 novembre 2017 à 17:35, par pifo En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    La honte ! Vous avez demandé la démission des 13 frondeurs ? Ils ont créé leur groupe un point barre

  • Le 13 novembre 2017 à 20:02, par cheickh En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Que Simon se promène tous les matins avec le Kalach en bandoulière, cela ne fait aucunement de lui un délinquant. Il n’y a aucun texte qui interdit au ministre de la sécurité de porter une arme de guerre. Donc trouver vos motifs de limogeage, sinon celui-là ne convainc personne. D’ailleurs Bravo à Simon pour avoir commencé à vaincre le terrorisme ! Que ceux qui ne veulent pas de lui, transportent leur haine d’aigris ailleurs. L’UPC a intérêt à ouvrir grand les yeux, et à chercher les moyens de se restructurer, que de continuer à distraire la galerie, sinon il est clair que c’est le CDP qui la supplantera bientôt.

  • Le 14 novembre 2017 à 12:45, par YAAM SOBA En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Internaute numéro 25, vous êtes sûr qu’il y a aucun texte qui interdit à un civil de détenir des armes de guerre ? Le même ministre Simon a pourtant adopté un décret qui stipulait qu’aucun civil ne devrait circuler avec des armes. Il a même dit devant les koglweogos que si jamais il était appréhendé avec une kalash, il serait automatiquement mis aux arrêts. N’est-ce pas ?

  • Le 14 novembre 2017 à 12:54, par Nikiema En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    Le Ministre de la Sécurité doit démissionner pour immixtion intolérable dans le fonctionnement d’un parti. Comme le ministère de la sécurité peut rendre visite à des membres de parti politique, gilet et kalach au point, nous aussi membres du même parti ,rendons massivement visite à ce ministère, avec des pancartes pour demander sa démission.

  • Le 14 novembre 2017 à 13:36, par Nikiema En réponse à : Burkina : L’UPC exige la démission de Simon Compaoré

    VIDÉO SUR SIMON COMPAORÉ : « C’EST MON FILS QUI L’A TOURNÉE » (DÉPUTÉ LADJI COULIBALY)

    Vidéo sur Simon Compaoré : « C’est mon fils qui l’a tournée » (Député Ladji Coulibaly)
    Accusé de trahison car faisant partie des députés frondeurs de l’Union pour le progrès et le changement (UPC), le député Ladji Coulibaly, démis de ses fonctions de SG/Comoé, est allé à la rencontre de ses militants de Toumousseni (son village natal) le 11 novembre 2017. A cette occasion, il s’est prononcé sur la motion de défiance le démettant et sur l’origine de la vidéo sur Simon Compaoré, tournée par son fils, a-t-il révélé.

    La formation du nouveau groupe parlementaire UPC/RD par les 13 députés frondeurs du parti du Lion continue de faire couler beaucoup d’encre et de salive. « Je me suis dit qu’il faut venir à la base donner l’information juste après avoir été devancé par nos détracteurs », a soutenu le 11 novembre dernier Ladji Coulibaly devant des notables, jeunes et femmes de Toumousseni (province de la Comoé). C’était en présence de conseillers municipaux du MPP et de la NAFA. L’élu national a évoqué les motifs qui ont conduit à la création du groupe parlementaire UPC/RD. Il a, entre autres, énuméré la suspicion au sein des députés de l’UPC à l’AN, le culte de la personnalité et le manque de qualités managériales du président de l’UPC, Zéphirin Diabré, qui, à l’écouter, ne sait pas se mettre au-dessus de la mêlée. « Il ne s’est pas amendé, au point qu’on lui réclame de quitter la présidence du parti », a témoigné le principal orateur du jour, qui a dévoilé les auteurs de cette réclamation que sont les députés Elisée Kiemdé et Jean Célestin Zouré.

    Devant son auditoire, Ladji Coulibaly a été on ne peut plus clair : il est un élu du peuple et ce n’est pas une frange de militants d’un parti qui peut lui réclamer son mandat. Il est enfin revenu sur des dégâts causés par des militants UPC à son domicile et la présence en cet endroit de Simon Compaoré en gilet pare-balles et arme à la main. La vidéo, c’est son fils qui l’a tournée, a révélé le député. Et sur la réclamation des mandats qui est ressortie, il a pointé un doigt accusateur sur son suppléant, Bamassi Soulama, ancien maire de Soubaka, qui en serait le principal instigateur. Sur la motion de défiance votée par des militants et qui le démet de ses fonctions de SG, il prévient : « Ce ne sont pas deux ou trois personnes qui m’ont élu secrétaire général. » Et de conclure qu’il reste le secrétaire général du parti dans la Comoé.

    Luc Ouattara

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