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Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

Publié le jeudi 14 septembre 2017 à 00h09min

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 Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

Ce n’est pas une tradition, encore moins une coutume pour nous, cadres et forces vives de la Province du Poni, de se pourfendre dans les médias et autres réseaux sociaux, pour manifester bruyamment notre solidarité à un des nôtres, victime d’acharnement qui ne dit pas son nom. Et c’est ce qui fait croire à certains esprits moqueurs, que les fils et filles du Poni, voire la région du Sud-ouest, se regardent toujours en chiens de faïence.

C’est peut-être vrai ; mais comme disait un artiste bien connu, seuls les imbéciles ne changent pas. Nous n’avons jamais voulu jouer aux enfants gâtés, pleurnichards, revendiquant tout à chaque bout de temps. Et comme il y a forcement un début à TOUT, nous avons pris le temps de réflexion et d’analyse, de concertation large et avec la sérénité requise en pareille situation, pour comprendre les tenants et les aboutissants de ce qui apparait à nos yeux, comme de la méchanceté absurde contre Mme SOME, aux seules fins de l’affaiblir, la déstabiliser physiquement, mentalement, moralement et en dernier ressort, briser sa carrière jusque là irréprochable.

Qu’à cela ne tienne et pour avoir bonne conscience, il est bon de de rappeler ici que nous avions, le 05 Janvier 2017, après 48h de va et vient, pu déposer au service courrier de la présidence du Faso, une lettre à l’attention de son Excellence, Monsieur le Président du Faso, dans laquelle nous avions émis des inquiétudes sur les agissements des six(6) conseillers assermentés du CSC, grâcement payés et qui ne savent rien faire d’autre que la contestation, la conspiration à tout vent, sous la houlette du sieur Désiré COMBOIGO, candidat malheureux à l’élection à la présidence du CSC. Une correspondance restée bien entendu lettre morte ; c’est bien après que nous nous sommes rendus à l’évidence qu’il y a collusion avec le groupe des 6 Conseillers irresponsables et un haut placé à Kossyam. Bref..

Le coin du voile ainsi levé, nous avons maintenant la conscience tranquille pour appeler un chat un chat et passer de l’implication à l’engagement dans cette chasse à la sorcière.

A sa toute première entrevue avec le juge en charge du dossier, la Présidente du CSC et les mis en cause dans le rapport de l’ASCF- LC, sont déposés manu-militari en prison. Faut-il en croire que tout ce qui vient de l’ASCE-LC, est accueilli comme parole d’évangile au palais de justice ? La justice est-elle aux ordres de l’ASCE-LC ? Ainsi donc tout ce qui vient de chez Ibriga est sans contestation, de l’eau limpide quoi ! Et ce fut le brouhaha habituel sur le dossier par médias intercalés. Et nous savons pourquoi Radio Omega devenue Radio Kankan , a été le premier média à avoir le fameux scoop, avant qu’il ne soit distillé, relayé, délayé et assaisonné par les autres. Même la grande RTB et les petites BF1 et Burkina info, ont montré à l’écran, cette femme qui a détourné 650 Millions pour certains et 1 Milliard pour d’autres.

Nous avons compris que l’affaire dépasse la personne de Mme SOME et répond à des objectifs nauséabonds et difficilement acceptables ; une excitation qui a éclairé à suffisance nos lanternes sur ce qu’il est désormais loisible d’appeler « les sangsues de Mme SOME ».

Au-delà de tout avis à charge ou à décharge, nul n’est besoin de rappeler ici, que Madame SOME a été portée à la tête du CSC, à une période très sensible et délicate de la vie sociopolitique du pays. On ne le dit pas assez, mais la décision courageuse du collège des conseillers de suspendre pour trois(3) mois les émissions radiophoniques interactives, une première dans la vie de l’institution, a un temps soit peu décrispé l’atmosphère, désarmé les va-t-en-guerre. Et pourtant que n’avons-nous pas entendu et lu en son temps ; six(6) Conseillers assermentés, dont trois(3) retraités, se sont publiquement désolidarisés de ladite décision sans que l’autorité devant laquelle ils ont prêté serment, ne lève le petit doigt. Seule contre tous, Mme SOME a tenu tête aux contestataires dont certains sont aujourd’hui membres du gouvernement.

Face à la publication malveillante et sans raison évidente, par le journal « l’Evènement », des points de dépôt d’armes, le CSC a encore pris ses responsabilités en suspendant ledit journal. Ici aussi, sa présidente a été traitée de tous les noms d’oiseaux. Même la grande muette qui était principalement concernée, est entrée dans ses petites bottes. Pis encore, le journal conduit par celui qui a été un candidat à la présidence de la transition remis à sa place et aujourd’hui enfin président de la CENI, a bel et bien craché sur ladite décision de suspension de 3 mois au vu et au su de toute la République.

Et comment ne pas rappeler enfin, que ce même journal pour le fait cité plus haut a « décrété une fatwa » contre Madame SOME, en appelant de toutes ses forces, l’ASCE-LC, à faire une descente au CSC. Une intrusion exécutée 10 mois durant ; il faut le faire et trouver la petite bête.

En plaçant sous mandat de dépôt Mme Ini NATHALIE EDWIGE SOME née HIEN, une Présidente d’Institution, Commandeur de l’ordre national (un rappel douloureux pour la grande chancellerie), n’est que la partie visible de l’iceberg car la dénonciation évidemment n’était pas fortuite ; nous avons compris maintenant à qui elle profitait, dire une conspiration ourdie par une cohorte de loups et louves affamés et experts dans la conduite des drones sur les toits des institutions.

L’indépendance de la justice qui est le credo de tout bon citoyen, ne saurait rimer avec forfaiture, excès de zèle, encore moins la recherche du sensationnel. C’est pourquoi sous d’autres cieux, Il est coutume de dire que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». En d’autres termes, l’indépendance de la justice sans une justice dans les règles de l’art, est dangereuse pour la cohésion sociale et la paix dans une nation.

Quoiqu’il en soit, nous, cadres et forces vives du Poni et de toute la région du Sud-ouest, et une bonne partie de l’opinion nationale, nous nous expliquons très difficilement, le fait que l’audit annoncé de la transition, se résume à cette dénonciation braquée sur le CSC seul, alors que l’ASCE-LC et bien d’autres, à cette même période, ne sont pas exempts de tout soupçon. Contre mauvaise fortune, nous faisons bon cœur pour saluer la promptitude avec laquelle l’ASCE-LC a bouclé le rapport sur le CSC et la « célérité » avec laquelle, la Justice est entrée en action. Si ce n’est de la poudre d’escampette jetée à nos yeux, il doit en être ainsi pour les autres dossiers, cal il y en a à la pelle. Suivez notre regard. Et pourtant, les mis en cause vaquent tranquillement à leurs occupations ; le patron de la transition par exemple.

Sans être des oiseaux de mauvais augure, doit-on alors comprendre que le CSC est le maillon faible, la proie facile de la transition pour Ibriga et ses contrôleurs. Ce « Monsieur propre » comme de l’eau de source, sait très bien qui est la cheville ouvrière dans l’organisation des élections au Burkina ! Attend-t-il ici aussi, une dénonciation pour bouger les pieds ? Alors nous venons de faire des dénonciations, Messieurs au boulot. Que nenni ! l’ASCE-LC pour rien au monde, n’osera faire une descente à la CENI. Barthelemy KERE n’est pas n’importe qui ?

Aussi sera longue la nuit, l’opinion attend de voir la suite dans les dossiers des magistrats corrompus ?

On le voit donc, on le sait, on comprend la manigance. Sinon pourquoi l’ASCE- LC a-t-elle peur de la contre-expertise ! Ses inspecteurs et autres contrôleurs ne sont pas des saints. Ils ne sont pas tombés du ciel ; ce sont des anciens collègues pour quelques uns d’entre nous ; on les connait et la contre expertise demandée par Mme SOME, est dans ses droits ; c’est aussi simple que ça.

Qu’on se comprenne bien, Madame SOME, notre sœur, notre épouse, notre mère, notre tante, etc.….n’est pas au-dessus de toute critique, tout soupçon, toute procédure judiciaire ; elle a ses forces et ses faiblesses ; mais elle est loin d’être ce mouton du sacrifice pour le sieur D. COMBOIGO [ ..... ] qui a fêté l’arrestation de son ennemi juré en compagnie de ses larbins ( ex-travailleurs du CSC) et intimer l’ordre à l’Administration du CSC de prendre immédiatement les dispositions permettant le remplacement de la présidente. Il ne fera rien pour attendre, car nul n’a le monopole du complot et de l’achat des consciences ici bas. Qui rira, rira le dernier dit-on. Ce n’est point un dénigrement revanchard, le moment venu, nous lui apporterons des preuves matérielles, les différents soupirs entre lui ses larbins, ces fous du « cash », les dessous et les couverts de son plan machiavélique afin d’accéder au trône. De la bêtise humaine. Le lobi ne connait pas ça.

Ardents défenseurs de l’unité nationale et souscripteurs à tout vent pour la paix dans le pays, nous, cadres de tout bord, Chefs coutumiers et religieux, OSC, Associations des femmes, vieux et jeunes du Poni, nous nous insurgeons contre ses agissements qui tendent à faire de nos administrations des « mystères et des caches d’armes anti-personnelles », que personne ne peut gérer. C’est pourquoi l’arrestation de la Présidente du CSC, est un cas d’école, un acte gravissime et qui n’a laissé personne indifférent. Du moins, pour ceux et celles qui voient plus loin que leurs nez.

Excellence, Monsieur le Président du Faso, vous le savez mieux que quiconque : les graves crises identitaires et d’appartenance à une même nation, sont nées à partir de ces genres d’excès de zèle, du deux poids deux mesures, dire le je m’enfoutisme, où chaque partie se considère abusée ou victime d’une grossière machination et conspiration. Et libre cours à toutes sortes de ceci expliquant cela ; des parce que à ne pas en finir. Vous êtes le garant de l’unité nationale ; nous sommes tous les fils de ce pays et il serait très dommageable et déplorable que certains grands commis de l’Etat, se sentent abandonnés et laissés à la merci de quelques cupides zélés, assoiffés de pouvoir personnel, et en dernière analyse, du poison pour le savoir vivre ensemble.

C’est pourquoi, nous, forces vives de la province du Poni, nous interpelons encore une fois, le Président du Faso, qui s’est battu pour que le pays ait des Institutions fortes et non des personnalités fortes, à préserver l’égalité dans l’indépendance de la justice ; vous êtes le premier magistrat ! Que vaut la personne de Mme Nathalie SOME devant la notoriété d’une institution de la République ? Absolument peu. Alors aucun citoyen ne doit être laissé au bon vouloir d’un magistrat chargé de dire le droit en tout humilité et respect. Le juge ne peut pas être au-dessus de la justice elle-même.

Voici une semaine que Mme SOME, notre fille, notre épouse, notre mère, notre sœur, notre tante, notre amie, notre Présidente, est en détention ; Mais chaque jour que Dieu fait, ils sont nombreux les parents et amis, les « défenseurs des faibles », à lui rendre visite. Nathalie ne sera jamais orpheline. Les dés étant pipés au début et pendant le contrôle, un contrôle hyper médiatisé, donc forcément biaisé et cela est inacceptable. C’est pourquoi à l’annonce du coup de théâtre fort de café, le Poni dans toutes ses composantes, s’est indigné et trouvera l’occasion pour dire à qui veut entendre, trop, c’est trop ! Absolument et catégoriquement, le pays lobi clame que sa fille est restée la même Nathalie, malgré sa nouvelle fonction ; Et elle, multimillionnaire ! NON et trois fois NON.

Que le Faso demeure toujours en paix, dans la fraternité, l’unité nationale et le progrès continue.

Que DIEU bénisse le Burkina Faso.

Pour la Coalition

François POODA

Tél : 74 36 35 03 / 62 27 57 02

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Vos commentaires

  • Le 13 septembre 2017 à 23:58, par Le Roi En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Chers frères et soeurs du Poni , je ne suis pas des votres , mais je vous Assure que j’ai écrasé une larme quand j’ai vu à la une du 20 heure de la TNB , Nathalie SOME présentée avec l’étiquette de détourneur de deniers publiques ; les yeux non bandés SVP !!! Elle n ’a même pas eu le privilège des grands et gros bandits présentés à longueur de journée dans les médias mais les yeux bandés sous prétexte de ne pas nuire à leur sécurité , et que jusqu’à preuve du contraire ils ne sont pas encore coupables , NATHALIE l’est-elle déjà ?
    J’ai trouvé particulièrement choquant le fait que cette campagne médiatique aux allures punitives soit l’oeuvre de ses propres collègues journalistes en premiers chefs . Si les journalistes disposaient d’un ordre , des sanctions devraient être prises pour manque d’esprit de confraternité , voir de professionnalisme .
    Bref , mon problème n’est pas sa culpabilité ou non ; mais plutôt tout le mal ressenti devant une grande soeur sans défense !!! Elle a subit une humiliation qui ne peut être effacée même si on la libérait à l’heure où je trace ces lignes .
    NB : je ne la connais pas personnellement , mais j’ai mal .

  • Le 14 septembre 2017 à 00:10, par Unitile En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Vraiment dans ce pays la ! Vous ecrivez pour defendre la cause d’une personne parce qu’elle vient de chez vous ! Wow !

    Vous auriez pu bien la defendre sans utiliser ce langage toxique et ethniciste. Alors est-il vrai que l’on doit defendre quelqu’un tout sdimplement parce qu’elle vienne d’une region ?

    Utilisez tous les moyens que vous avez pour apporter de la lumiere dans ce dossier mais de grace n’utiliser pas comme argument l’appartenance de l’accusee a une ethnie ou une region.

  • Le 14 septembre 2017 à 00:49, par NYT En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Hei, vous-là, c’est trop facile ! Nul n’est au-dessus de la loi. Laissez donc la justice faire son travail ! Si, elle est vraiment blanche comme vous le prétendez, elle sera relaxée.

  • Le 14 septembre 2017 à 01:40, par LA VERITE En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Le régionalisme et l’ethnicisme ont tellement aveuglé le signataire de cette déclaration que votre raisonnement est dénué de bon sens. Etre lobi n’est pas une preuve de probité et d’intégrité. Cet écrit est un précédent très grave dans une République et dans une Nation. Il faut inculper ici et maintenant son signataire. Demain, les mossis du Passoré (et le riche Nord avec) se lèveront pour Gilbert Diendéré ; les Lyélé et partant tous les Gourounsi pour Djibril Bassolé. Et c’est parti ! Connaissez-vous combien de visiteurs (en quantité et en qualité) du monde entier, ces deux généraux reçoivent chaque jour ? Et pourtant, seule la justice pourra fixer leur sort. C’est comme cela dans un Etat de droit. Si Nathalie Somé est aussi blanche et irréprochable comme vous le croyez, attendez son jugement pour qu’elle soit blanchie avec les excuses qui vont avec. Le Burkina est un pays de savane. Nathalie Somé est loin d’être exempt de tout reproche que vous le croyez. Elle n’a jamais été "bonne" dans ses relations humaines. A ce que je sache, ce n’est pas M. Comboïgo D. qui a organisé la joie des travailleurs de la RTB2 Bobo quand elle a été relevé de ses fonctions à la tête de cette structure. Les signataires de ce "torchon" identitaire se souviennent-ils des aveux et des larmes de leur propre frère Bobar Félix Kambiré (fils aussi du Poni et actuel coordonnateur du SIG) lors de sa passation de service à la tête de la délégation régionale du CSC de Bobo ? Quand vous vous entêtez à vous créer des ennemis là où ça ne vaut pas la peine dans le but d’humilier vos prochains pour prouver qu’on est au perchoir, souffrez que vos victimes se réjouissent lors de votre chute. Ils sont encore nombreux ses anciens collègues de la RTB et des habitants de Bobo-Dioulasso à se souvenir douloureusement de cette dame. Qui a orchestré l’arrestation grossière et arbitraire de Comboïgo D. après le putsch manqué du 15 septembre 2015 ? Que ce soit à la gendarmerie comme à la justice, ce sont vos frères " les prétendus vertueux" lobi, des parents connus de Nathalie Somé, qui ont menti dans leur PV jusqu’à ce que le juge d’instruction découvre la supercherie et le libère. Nathalie Somé n’a pas attendu son inculpation ou sa condamnation avant de demander au collège de conseillers d’élire un autre vice-président qu’elle persiste à reconnaitre malgré les gains de cause obtenus en justice par Comboïgo D. Où étiez-vous en ce moment pour interpellez votre soeur bien aimée sur sa méchanceté inutile ? Il faut être sincère, honnête et digne dans ses attitudes devant toute situation même les plus douloureuse. Ce que le signataire de ce "dangereux torchon" est loin d’être.Renseignez-vous, votre soeur et épouse n’est le mouton de sacrifice de personne. Elle fait partie de cette catégorie de Burkinabè qui se sont crus malins et tout permis de profiter du "cafouillage insurrectionnel" sous la Transition pour foudre le bordel dans les finances publiques et la cohésion sociale. C’est elle même qui s’est mis dans le pétrin en pensant que diriger c’est s’ériger en tyran ou en dictateur pour clamer contre vents et marrées que c’est elle la patronne. Seule une réconciliation exclusive, véritable et sincère peut sauver le Burkina Faso. Règlement de comptes pour règlements de comptes, nous allons tous en pâtir.

    • Le 14 septembre 2017 à 11:04, par TIENFO En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

      Je fais partie des premiers internautes à décrier la célérité avec la laquelle Mme SOME a été arrêté et déférée à la MACO. Ça sent de la poudre nauséabonde dans l’air. Mais avec cette déclaration régionaliste et partiale, je tombe de nu. Il faut déculpabiliser votre parente sans accuser les autres. Tout le monde n’a pas les mêmes chances. Dans un crash d’avions ou accident de voitures, il y a souvent des morts et des survivants. Ce n’est pas pour autant que les parents des victimes doivent se plaindre auprès du Bon DIEU d’avoir épargner la vie de certains. La question qu’il faut se poser est de savoir si votre parente est oui ou non coupable. Il ne s’agit pas de chercher à savoir si des malfrats sont dehors ou pas mais si Mme SOME est innocente ou non. La connaissant, vous savez de quoi elle est capable. Comme vous en savez tant sur sa gestion, l’avez-vous approchée pour mieux en savoir sur ses problèmes relationnels avec ses collaborateurs et se donner d’éventuels conseils entre parents. Elle a dû donner aussi beaucoup de coups en passant dans son entourage. Comme le dit l’adage « s’il faut réprimer le chien, il faut dire aussi deux mots aux chiens ». Le bon manager c’est aussi la gestion collégiale et non individuelle. Pour la suite, je souscris entièrement aux propos des internautes « 4 LA VERITE », « 5 bonsens » et « 30 Kooswende songré nzaan néy suitane touma ». Intéressons-nous à la suite judiciaire de cette affaire. Vivement qu’elle sorte blanchie et qu’elle soit rétablie dans droits civiques avec dommages et intérêts. Il manque une chose capitale à cette déclaration : la liste exhaustive des organisations et/ou personnes signataires de la déclaration.

    • Le 14 septembre 2017 à 17:55, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

      Je partage entièrement le point de vue de "LA VERITE".Cette réaction dévoile par ailleurs,l ignorance ou la mauvaise foi de l auteur(je ne dirai pas coalition car c est facile de se cacher derrière un groupe fictivement créé pour ne pas avoir à assumer seul ses actes et c est aussi dissuasif quand on fait penser à plusieurs et non à un individu) de la procédure judiciaire.L ASCE-LC n a fait que son travail qu il a remis à qui de droit.La suite judiciaire n est plus de son ressort encore moins l arrestation du groupe.Et pourquoi elle n a pas eu lieu depuis le mois de mai lorsque les officiers de police judiciaire ont commencé leur enquête ayant conduit à l incarcération du prestataire de service qui se trouve être une dame ? Est-ce Ibriga qui conduit les interrogatoires desquels elle n est pas sortie libre après plus de 4 mois d investigation ? L auteur a t-il seulement pris connaissance du contenu de l enquête ? Vraiment pitoyable comme sortie

  • Le 14 septembre 2017 à 01:52, par bonsens En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Vraiment, de mon point de vue, çà, c’est une sortie hasardeuse, tendancieuse et dangereuse car teintée de fibre régionaliste dont on pouvait se passer dans ce contexte. Monsieur POODA, J’ose d’abord espérer que vous êtes votre propre porte parole et non celui d’une communauté. Depuis qu’on interpelle des personnalités qu’on dépose à la MACO ou à la MACA, je ne me rappelle pas avoir déjà vu la réaction d’une organisation ou corporation à connotation régionaliste intervenir pour condamner telle ou telle arrestation, du fait que les personnes misent en cause viennent de leur région. Les interventions sur le net ont toujours été faites par des citoyens qui donnent leur point de vue et qui suscitent des réactions des internautes. Votre intervention sonne comme un desaveu de nos prestigieuses institutions en l’occurrence la justice et l’ASCE dont je suis sure qu’elles renferment des intelligences indiscutables qui leur permettent de mener à bien leurs taches. Par ailleurs, votre lettre du 05 Janvier 2017 déposée à la Présidence, c’était à quel titre ? Si vous n’êtes pas membres du CSC, en vertu de quoi une association ou communauté ( si c’est le cas) doit-elle s’interférer dans les affaires internes d’une institution comme le CSC pour y mener des enquêtes et débusquer des "troubleurs" ? Parce qu’elle est dirigée par un des leurs ? Si oui, je m’inquiète beaucoup ! Parce que dans ce cas, le Burkina sera ingouvernable, car c’est bonjour la pagaille ! M. POODA ! Si par cette arrestation on a coupé votre pain, sachez que ce pain était certainement fabriqué avec de la farine subtilisée de façon illégale (sous réserve de la présomption d’innocence) ; sinon, quel intérêt la justice et l’ASCE ont à s’acharner sur un citoyen ou une citoyenne parce qu’il / qu’elle est originaire d’une région donnée ? Votre sœur, mère, épouse,.... est-elle au dessus de la loi pour qu’on ferme les yeux sur ce qu’elle fait même si c’est en porte-à-faux avec la loi ? Si Madame SOME a été interpellée, c’est qu’il y a des faits qui le recommandent. Vous auriez pu prendre connaissance d’abord du contenu du rapport d’audit et relever les éléments qui disculpent votre sœur, tante, épouse,..... et je ne sais quoi, avant de vous défouler sur le net. Vous aviez peur de quoi ? si elle est clean, elle le démontrera en temps opportun et recouvrira sa liberté. Pour l’heure, je pense qu’il faut permettre à son excellence M. Le PF de travailler car il est au dessus de ces genres de considérations.

  • Le 14 septembre 2017 à 03:26, par konkona En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    C est ça la Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication ? Monsieur François POODA je ne crois pas. Les Cadres du Sud-Ouest méritent mieux. SVP, balle à terre.

  • Le 14 septembre 2017 à 04:11, par Fasokan En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Wahou ! Je reconnais là mes esclaves, marchant toujours à découvert, tors bombé. Il est clair dans le rapport que certaines sommes réclamées à ma Ini le sont à cause de vices de procédure de passation de marchés publics et non à cause de détournement. Mais de là à dire qu’elle n’est pas multimillionnaire, il faut être déjà de retour du cabaret pour dire cela. Elle n’a quand même pas mis tout son salaire de présidente d’institution dans le Dolo pendant des années ! Mes esclaves, toute personne qui a une parcelle à Ouagadougou aujourd’hui est multimillionnaire...
    Bref, je comprends votre colère et votre frustration, je la partage (la frustration pas la colère car en bonne Lobi, elle a manqué des occasions de démissionner bien avant sa dénonciation à L’ACE/LC) à cause du 2 poids 2 mesures. Mais une fois de plus, nous sommes tous responsables, surtout ceux qui ont voté pour les dirigeants actuels du pays. Il n’y a pas 2 façons de se plaindre contre les agissements des hommes politiques : toujours aller voter avant d’aller au cabaret. Il y a eu une multitude d’enquêtes parlementaires quand le Président Kaboré était à la tête de l’assemblée nationale : quelles en sont les suites ? RIEN ! Si vous le votez comme Président, il ne fera que ce qu’il sait faire. Je n’ai rien contre personne mais je suis pour la RESPONSABILITÉ à tous les niveaux.
    Il y a d’éminents (attention, ne vous prenez pas trop la tête sinon je barre ce mot ) hommes de droit parmi mes esclaves donc mettez l’accent sur le domaine judiciaire pour que ma Ini bénéficie d’une liberté provisoire en attendant le procès. En attendant, faites en sorte qu’elle ne manque pas de Dolo. Courage à tous, DIEU est aux commandes !

    • Le 14 septembre 2017 à 09:32, par Marie En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

      Qui a autorisé cet inculte des comoes à venir ajouter son grain de sel selon l’ expression populaire. Et me voici tenue d’avouer que je suis d’avis avec un Gbin !!! Pouah ! Perso, je suis moi aussi cadre exécutive ressortissante du Poni, mais la charge de Mr. Pooda me met mal à l’aise, très mal à l’aise. J’éprouve une forte gêne face à ces envolées ethnicistes. L’emotion semble avoir pris le dessus sur la raison. Le billet n’a pas de fond convainquant, outre une marrée de supputations colériques, d’accusations tout azimuts... la meilleure façon de défendre ou de soutenir la sœur serait de faire confiance en la justice. Le Faso reste un État de droit, avant tout. Madame Some si elle est blanche ne sera mieux blanchie que par la justice, non par les salves d’indignations des "parents". Le contributeur aurait dû appeler les uns et les autres à la serenite et a faire confiance en la justice. La marre de la MACO est pleine de gros poissons issus de toutes les régions au Faso. Mais c’est bien la première fois qu’une association régionale se donne droit et prérogatives de défendre un parent tout simplement parce que c’est un parent. Ce n’est pas parce que nous sommes du Poni que nous sommes au dessus de la Loi. Si notre "soeur" est innocente, la justice lui fera droit. Restons confiant et évitons le ridicule.

    • Le 14 septembre 2017 à 11:18, par Zangoté En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

      Je suis complètement d’accord avec toi Fasokan ! Nous sommes tous responsables de nos actes notamment ceux qui ont consisté à amener le MPP au pouvoir. Nous avons marché depuis 1998 contre le régime CDP gardé et porté par entre autres les RSS. Qui était la 2è personnalité de l’Etat depuis 2012 ? Roch Marc Christian KABORE. Et il le restera jusqu’en 2012 ! Que seulement en 2014, ces gens là débarquent du navire qui avait suffisamment pris de l’eau pour devenir 18 mois plus tard les messies du peuple burkinabè par la volonté de 53% de ce même peuple, cela me fend le cœur ! Jugez-en vous mêmes ! Il a suffi d’un mea culpa à peine marmonné pour étourdir nos esprits et nous faire croire que ces gens là n’y sont pour rien dans la paupérisation du peuple pendant 27 ans ! C’est bien fait pour nous. Une chose est sûre, je mange à ma faim mais je les hais comme la mort, l’hypocrisie, l’inconscience et l’irresponsabilité qui ne manqueront pas de nous détruire tôt ou tard.

  • Le 14 septembre 2017 à 05:16, par bombiri En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    C’est ça qu’on appelle le régionalisme rampant.Il est un danger majeur pour toute nation. Il est à combattre avec la dernière énergie. Mme Somé est une citoyenne de ce pays. Elle a assumé de hautes fonctions dans ce pays. En acceptant cette lourde responsabilité, elle savait qu’elle rendrait compte au peuple un jour de sa gestion. C’est ce qu’elle a fait. La structure dirigée par M. Ibriga est officielle et a été mise en place pour controler la gestion des affaires publiques. Mme Somé n’est ni la première, ni la dernière à se soumettre aux lois de notre pays. J’ose croire qu’elle n’approuve pas cette démarche initiée par quelques individus, sinon, elle ne mérite pas le poste qu’elle a occupé. La loi reste la loi ! Faisons en sorte qu’elle soit équitable pour tous. Ne semez pas le germe de la division s’il vous plait. Tous les citoyens sont égaux devant la loi. C’est la première fois que j’entends dire qu’un citoyen de ce pays a été sanctionné parce qu’il est de telle ou telle région. Ettoufons ces sentiments régionalistes dans l’oeuf.
    Bombiri

  • Le 14 septembre 2017 à 05:34, par Sawadogo En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Je n’ai rien compris à ce cri de coeur adressé au PF, au nom de TOUS LES FILS ET FILLES du Poni, et signé d’une seule personne ! Comme disent les jeunes : quel est le projet ?

  • Le 14 septembre 2017 à 06:55, par Achille De TAPSOBA En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    L’impunité ne marche pas. Nul n’est au dessus de la loi. La justice fera son travail si elle est innocente, logiquement elle sera acquittée. Les chantages et les pressions médiatiques n’ont pas d’effet sur la justice.

  • Le 14 septembre 2017 à 07:20, par #BlackBird En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    RI DI CULE
    C’est quoi ce régionalisme/ethnicisme beat là ?

  • Le 14 septembre 2017 à 08:35, par Laafibala En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Donnez juste des preuves que les faits reprochés à Mme Somé sont faux, et que la gestion financière est saine ! on ne lui reproche de n’avoir pas travaillé !! Votre sortie est inappropriée et pourrait même faire objet de poursuite pour dénonciation calomnieuse.

  • Le 14 septembre 2017 à 08:37, par HIEN En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Vous avez joué sur la mauvaise corde, mes parents. Je suis Lobi mais j’ai honte de votre déclaration. J’ai la douleur au coeur. Comment des cadres ( des intellectuels) peuvent-ils penser et raisonner de la sorte ? La soeur SOME est accusée de malversations. Elle n’est pas encore reconnue coupable. La justice lui donne l’occasion de se défendre. Et vous, vous trouvez cela injuste. Vous mettez en avant les exploits de la soeur SOME. Même le voleur de poulet a, à un certain moment de sa vie, réalisé des exploits. Mais il croupit en prison. Nul n’est au dessus de la loi.S’il en est ainsi, fermons toutes nos prisons, car personne ne doit aller en prison.
    Fraternellement

  • Le 14 septembre 2017 à 08:42, par ouedraogo salif En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    RIDICULE force vive du PONI. Réèllement vous etes tous corrompus. Laissez la justice faire son boulot. Les OPJ officiers de police judiciaire ont fait un bon boulot. La gendarmerie a fait son boulot. Propre Mr les gendarmes nous avons confiance en vous.

  • Le 14 septembre 2017 à 08:42, par Justice En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Nul peut être condamné par la Justice pour appartenance à une famille, ethnie ou région. Autrement, on ne parle plus "justice". Mme SOME n’a pas été nommée à la tête de la CSC pour son appartenance à une famille, ethnie ou région. Si c’est le cas, alors ne cherchons plus justice. Il se peut qu’elle soit innocente - d’ailleurs la présomption d’innocence doit lui bénéficier jusqu’au verdict du juge. Je vous recommande, dès lors, de fourbir vos armes sur le plan juridique, car ses adversaires ne font pas valoir d’autres arguments que ceux-là. En privilégiant le prisme relationnel, vous écartez d’office sans nécessairement le vouloir tous ceux, non membres de votre communauté, qui la défendent.
    Nul ne vous en voudra de la défendre mais tout le monde pourrait vous en vouloir de la défendre parce qu’elle est "votre fille, votre épouse, votre mère, votre sœur, votre tante, votre amie, votre Présidente".

  • Le 14 septembre 2017 à 08:44, par Justice En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Nul peut être condamné par la Justice pour appartenance à une famille, ethnie ou région. Autrement, on ne parle plus "justice". Mme SOME n’a pas été nommée à la tête de la CSC pour son appartenance à une famille, ethnie ou région. Si c’est le cas, alors ne cherchons plus justice. Il se peut qu’elle soit innocente - d’ailleurs la présomption d’innocence doit lui bénéficier jusqu’au verdict du juge. Je vous recommande, dès lors, de fourbir vos armes sur le plan juridique, car ses adversaires ne font pas valoir d’autres arguments que ceux-là. En privilégiant le prisme relationnel, vous écartez d’office sans nécessairement le vouloir tous ceux, non membres de votre communauté, qui la défendent.
    Nul ne vous en voudra de la défendre mais tout le monde pourrait vous en vouloir de la défendre parce qu’elle est "votre fille, votre épouse, votre mère, votre sœur, votre tante, votre amie, votre Présidente".

  • Le 14 septembre 2017 à 08:57, par Kondia En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    La gabégie au CSC a commencé depuis Luc Adolphe Thiao qui fut d’ailleurs promu après Ambassadeur et Premier Ministre par la suite. Pourquoi l’enquete s’arrete à Nathalie seulement ? C’est pas clair, il faut à la limite reprendre les investigations.

  • Le 14 septembre 2017 à 09:10, par le Z En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Simplement ridicule cet article. Heureusement, il s’agit de quelques individus aux abois qui ne peuvent représenter, ni en quantité, ni en qualité les intellectuels du Sud - Ouest.

  • Le 14 septembre 2017 à 09:30, par rosamonde En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Bonjour à tous les internautes et intervenants sur cet article. Vraiment, je suis déçue par ce qui est écrit. M. Pooda, êtes-vous vraiment sûr de parler au nom des cadres du Poni ? au nom des cadres lobi ? Comment est-ce que cette déclaration a été préparée ? Y a-t-il eu une réunion de concertation, une délégation de pouvoir pour rédiger la déclaration et la lire à une deuxième réunion ? Cette déclaration a-t-elle été validée et adoptée ? Par qui ? Si c’est oui, alors je suis déçue et je dis que ma région n’a pas de cadres. Or, Dieu seul sait que ma région regorge de beaucoup et de valeureux cadres pleins de sagesse et donc de retenue. C’est une région reconnue pour sa croyance et son christianisme et dans l’évangile, il est dit de tourner 7 fois sa langue avant de parler. Ce qui signifie qu’il faut réfléchir, peser les mots, analyser les conséquences et voir l’impact des phrases que l’on va prononcer avant de le coucher sur papier ou l’émettre oralement. Où sont-ils ces braves croyants ???? Notre soeur est peut-être ou sans doute innocente. Mais lorsqu’on parle de détournement, ce n’est pas forcement le "vol" ou en français expliqué "prendre quelque chose qui ne t’appartient pas". Le détournement, c’est changer la destination d’une chose. Ou encore, c’est utiliser l’argent destiné à une activité pour en faire une autre. C’est encore changer de voie ex : passer de Ouaga par Bobo pour aller à Gaoua, alors qu’il est dit de passer de Ouaga par Léo pour aller à Gaoua. Si c’est le cas, vous avez détourné. Je pense que nous déplorons tous la manière dont son arrestation s’est passée, pas parce qu’elle est du Poni, mais parce qu’elle est une autorité, une responsable d’une de nos grandes Institutions et c’est comme si le Burkina venait d’ouvrir une porte pour la profanation de ses Institutions. Cela fait mal, très mal.

  • Le 14 septembre 2017 à 09:41, par je passais En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    il serait bon que les dispositions de loi autorisent une contre-expertise en pareille circonstance pour permettre à chaque camp d’apporter ses arguments et ses preuves.
    Aussi comme on a commencé avec Nathalie, il faut continuer avec toutes les autres institutions et ministères du pays y compris l’ASCE-LC. Il faut éviter du deux poids, deux mesures car ça finit toujours et très mal.

  • Le 14 septembre 2017 à 09:48, par Sud-Ouest En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Bjr chers frères et sœurs du Poni et du Sud-Ouest. je ne me cacherai pas car je suis de la région et je compatis à la douleur liées à l’arrestation de Nathalie SOME. Je ne connais pas bien les tenants et aboutissants de ce dossier, mais il est clair qu’on doit laisser la justice faire son travail même si notre justice ne nous inspire aucunement confiance par la sélection des criminels a col blanc dans ce pays. Ces bandits de défourneurs de deniers publics il y en a des milliers ici au Faso, bien connus de la justice mais qui circulent allègrement au yeux et la barbes de nos juges qui ne sont eux mêmes pas irréprochables.

    Je profite de cette occasion lancer quelques flèches aux fils et filles du Sud-Ouest qui travaillent dans les administrations ici au Faso et travers le monde. Voyez vous ? J’ai 7 ans de fonction dans l’administration burkinabè mais j’ai découvert la face hideuse de certains ressortissants du Sud-Ouest. En effet, les premiers responsables (DG, Directeurs ...) ont toujours utilisé un fils ou filles du Sud-Ouest pour mater un autre du Sud-Ouest. En un mot freiner l’évolution de son frère ou de sa sœur. Contrairement à ce qu’affirme mon frère POODA, c’est ce qui fait croire à certains esprits non moqueurs, que les fils et filles du Poni, voire la région du Sud-ouest, se regardent toujours en chiens de faïence. C’est de la pure vérité. les ressortissants de la région ne s’entendent pas du tout et il faudrait tôt ou tard arrêter cette mafia. Moi, je me suis maintes fois posé des questions sur cette utilisation des ressortissants du sud-ouest dans l’administration. Voilà ressortissant du Sud-Ouest
    et Gourounssi, ce sont les esclaves de l’administration burkinabè. Quand ça chauffe à quelque part, c’est à eux on fait appel sous le vocable de bosseur intelligent, il arrive, il maltraite ses parents, il commet des dégâts et on le remercie après.

    J’ai personnellement travaillé avec un parent du Sud-Ouest que le premier responsable a utiliser contre moi. Il était friand des coups-bas et des manigances à mon égard, juste pour me faire ombrage. Ce qui m’écœurait, ce que je ne comprenais jamais pourquoi il me faisait ça. Je demande aux ressortissants du Sud-Ouest qui me lisent et qui sont dans ces pratiques de mettre fin à cela.

  • Le 14 septembre 2017 à 09:55, par Pierre Sawadogo En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Franchement, c’est décevant et très regrettable. Nous voulons QUOI au juste au FASO. Un juge apprécie des faits, décide en son âme et conscience, et voila une telle déclaration de soient-disants cadres et forces vives. Vouloir une chose ou son contraire selon que ça touche notre fille, notre épouse, notre sœur et patati ..., c’est très ridicule. Je ne suis pas sûr que Nathalie SOME est fière de cette sortie bien trop partisane.
    Défendez une justiciable qu’on veut ’’bâillonner’’ selon vous, mais pas parce qu’elle est votre femme, amie et votre ...
    Peut-être même que c’est vous qui avez poussé la bonne Dame là ou elle est aujourd’hui par vos conseils ’’éclairés’’, et par ces genres de déclarations. Le BURKINA a vraiment du chemin à faire.

  • Le 14 septembre 2017 à 09:57, par paysannoir En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Ce n’est pas un Kambiré qui a dénoncé Nathalie Somé à Bobo ? Vous pouvez parce qu’une ressortissante est en prison écrire ce chiffon à caractère régionaliste et ethniciste pour balancer dans les médias ? On s’en fout de la région de quelqu’un qui a affaire à la justice. Normalement la justice doit vous entendre et vous conduire là ou est Nathalie pour incitation à la haine. On est où avec ces hommes moyenâgeux ?

  • Le 14 septembre 2017 à 10:05, par Etre correct ! En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Mes amis, soyons correcte et logique avec nous-même en évitant de tomber dans la facilité des attaques gratuites et lâches. Vous dites ".....l’ASCE-LC pour rien au monde, n’osera faire une descente à la CENI. Barthelemy KERE n’est pas n’importe qui ?......" Qu’est-ce qui vous donne le droit de citer nommément une personne en insinuant qu’il a fauté sans en avoir la preuve ? C’est votre bouc-émissaire faible, à vous aussi, que vous pensez avoir trouvé sur lequel vous voulez déverser votre aigreur C’est vraiment lâche et cela ne vous grandit pas !
    Ce qui arrive à votre soit disant sœur ; elle l’a certainement bien mérité. Vous autres, vous êtes de l’espèce d’individus qui pensent que l’on peut faire aux autres ce que l’on ne souhaiterait pas qu’ils nous fassent et que l’on peut prospérer en faisant de tout le monde son ennemi ! Détrompez-vous, chers amis. comment votre soit—disant soeur peut-elle imaginer qu’elle peut passer le temps à distribuer le mal et les frustrations à la pelle aux autres tout en sachant qu’elle n’est pas et ne peut pas être si ange que ça ? Aviez-vous tenté de la conseiller lorsqu’elle sévissait injustement sur les autres ?

  • Le 14 septembre 2017 à 10:07, par tapseureula En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Ça y est !! Il ne reste plus que la coalition des ressortissants du Passoré, du Sanguié de l’Oubritenga, du Houet et j’en oublie, pour défendre tous les leurs qui sont embastillés. C’est vraiment pathétique. Non pas que je ne compatis pas au sort de Mme Somé, mais cette manière de la défendre va plutôt la desservir. Et j’espère de tous mes vœux que les nombreux cadres du Sud Ouest qui liront cette déclaration vont s’en démarquer.

  • Le 14 septembre 2017 à 10:09, par 2 1 En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Donc il s’agit d’une association et c’est une seule personne qui signe...au nom d’une ethnie...et dans le tort. Monsieur, c’est des réflexions similaires qui ont menées la Côte d’Ivoire là où elle est en ce moment. Vous avez tous marché pour un pays sans justice, sans corruption, alors souffrez qu’une personne, fut-elle votre sœur, qui est l’illustration de tous ces maux soit punie. Point barre. Moi même je suis de ta zone mais ne nous ridiculise pas dans ton écrit. Si on la met en prison, c’est que y a des preuves. Si elle est innocente elle en sortira.

  • Le 14 septembre 2017 à 10:10, par Ka En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    ‘’’Qui rira, rira le dernier dit-on. Ce n’est point un dénigrement revanchard, le moment venu, nous lui apporterons des preuves matérielles, les différents soupirs entre lui ses larbins, ces fous du « cash », les dessous et les couverts de son plan machiavélique afin d’accéder au trône. De la bêtise humaine. Le lobi ne connait pas ça.’’’ C’est là où je dis mes sœurs et frères Lobi, que le rattrapage ethnique engendre la corruption à ciel ouvert, le suivisme, la conquête du pouvoir par un clan. Si vous êtes sure de vous, vous n’attendrez pas le moment venu, ‘’’allez directement a la justice avec vos preuves.’’’ Je vous comprends avec votre prise de positions pour un parent, c’est normal, mais le cas de madame SOME, on peut dire que ‘’’’presque personne n’est assez pur de péchés pour ne pas mériter un châtiment.’’ Et votre sortie hasardeuse comme les partisans de Djibril Bassolé, enfonce encore d’avantage votre protégée, car l’extrémisme exprime la pensée de celui qui n’admet pas qu’on lui oppose une autre manière de penser. Dans cette histoire du détournement du denier public, la justice est la seule porte comme elle agisse actuellement pour blanchir votre protégée ou la condamner si elle est coupable. Remuer les anciennes plaies qu’elles viennent de la transition ou aux décideurs du jour, sera très dangereux pour madame SOME. Surtout si vous vous permettez de mettre en avant le problème ethnique dans la soupe des querelles politiques dont les pouvoirs régionaux constituent un obstacle considérable du pays : Et si le Burkina de 2017 est là encore, c’est en grande partie des pensées des intellectuels de pacotille de votre genre. Chers membres de la coalition des intellectuels du Poni, laissez la justice faire son travail, et j’en suis sure, si elle est aussi blanche dont vous voulez nous faire comprendre, elle sera libre avec tous ces droits. Pour l’instant oublions les querelles politiciennes et la pureté de l’ethnie Lobi : car nous ne perdons absolument rien à supprimer ce qui déshumanise nos comportements pour renforcer les aspects positifs. Refuser cette façon de voir les choses revient tout simplement à dire que vous les Lobis, vous êtes dans la perfection et que tous les Lobis tout confondu sont blancs et parfaits plus que tous les autres ethnies du peuple Burkinabé. Mais comment votre vie peut-elle être parfaite alors que par définition l’être humain est l’expression même de l’imperfection ? Mesdames et Messieurs de la coalition de Poni, restez tranquille, et ne commettez pas les mêmes erreurs comme les partisans nationale et internationale du soldat peureux Djibril Bassolé qui ne veut pas assumer ses actes, en comptant que sur ses partisans, comme les juristes gourounsis avec les miettes de ce dernier exilés en France.

  • Le 14 septembre 2017 à 10:17, par Abraham En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Ne prenez pas cette déclaration à la légère. Car ça en dit long sur ce que certaines personnes ont comme perception des investigations de l’ASCE. je ne suis pas régionaliste et je ne suis pas d’accord que ce groupe défende Mme Somé parce qu’elle est Lobi (pour moi il devait défendre tous les opprimés innocents de l’asce) mais il y a lieu de nos jours d’analyser de manière profonde certains agissements dans nos administrations. Pour ceux qui se rappellent de la guerre en Côte d’Ivoire, elle n’a pas commencé qu’en 2002. il y a eu des précédents, des comportements, des agissements qui l’ont favorisés. Par exemple à l’ époque en Côte d’Ivoire dès qu’on prenait un voleur, un bandit, un braqueur il était toujours présenté à la télé comme un mossi (Voltaïque), un Dioula, un malien mais jamais un baoulé, beté etc.. Tout le monde se rappellent aussi des tracasseries que les burkinabè et autres nationalités et même certains ivoiriens de souche (parce qu’ils sont Dioula du Nord) subissaient dans ce pays. La chose vient comment ? d’abord les gens murmurent, en suite ils se regroupent pour en parler, discuter, après ils s’organisent et trouvent un leader puis discutent des solutions, puis encore ils cherchent et trouvent des financements et en fin un beau jour ça s’éclate boummmmm. Que Dieu épargne notre cher Burkina. Mais à nous aussi de travailler pour préserver les acquis de nos ancêtres.

  • Le 14 septembre 2017 à 10:26, par sam En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    C’EST PAR CE QUELLE EST DU SUD OUEST QU’UIL YA CE ACHARNEMENT.
    COMMENCEZ A METTRE EN PRISON ET A PRESENTER DANS LES JOURNAUX LES VISAGES DE TOUS CEUX QUI SONT EPINGLES DANS LE RAPPORT DE L’ASCE.TCHRRR !

  • Le 14 septembre 2017 à 10:33, par Kooswende songré nzaan néy suitane touma En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Le Président Blaise COMPAORE après 27 ans de règne a été chassé hors de son pays en exil, Lui aussi a une région, une famille et des parents et amis mais collectivement vous l’avez puni sévèrement et de manière non intègre, Nathalie SOME, elle dépasse Blaise COMPAORE, intouchable, le CSC est-elle une institution au dessus de la présidence de la république. Au lieu de vous lamenter à travers des écrits, priez Dieu pour qu’il allège sa peine et priez aussi pour les autres prisonniers politiques car parfois c’est des blablabla chez eux, or chez votre soeur, il a quelques preuves, "le népotisme" donnez les pause cafés et déjeuners à sa nièce semble vous ressembler et les surfacturations, vous verrez que même si vous pensez qu’elle n’a pas détourné 650 millions, elle a été complice pour des surfacturations et la justice en l’inculpant, a quelques preuves qu’il vous revient d’aller effacer pour la blanchir. J’ai toujours dit que tout burkinabè est justiciable et un potentiel présumé, donc faites attention même si elle partageait avec vous quelques subsides.

  • Le 14 septembre 2017 à 10:38, par awa la terrible En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    En réalité, Cette dame n’est pas coupable...C’est un règlement de compte

  • Le 14 septembre 2017 à 10:44, par v7 En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    C’EST AINSI QUE DES SOIT DISANT CADRES DOIVENT ŒUVRER POUR UN BURKINA BÉNI, ALORS LA, NOUS N’ AVONS NOS YEUX QUE POUR PLEURER.QUE C’EST TRISTE.

  • Le 14 septembre 2017 à 11:01, par "LE VIEUX" En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    .. ET LES TRENTE JUGES EPINGLÉS PAR LEURS COLLÈGUES ?...ET LES MISSIONS NON JUSTIFIÉES DE L’ASSEMBLEE NATIONALE ? ... ET LES 25000000 DISPARUS DANS L’AVION DU PREMIER MINISTRE ? LE FASO EST MALADE ET MME SOME EST VICTIME DE SES PRISES DE PISITION COURAGEUSES. EXEMPLES : LA SUSPENSION DE JOURNAL L’EVENEMENT ET DES EMISSIONS INTERACTIVES.

  • Le 14 septembre 2017 à 11:01, par SIDNABA En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Je pense que tous les ressortissants du Sud Ouest doivent se lever comme un seul homme pour non à l’arbitraire et l’humiliation gratis d’une des leurs comme nos esclaves du Nord de la Côte d’Ivoire l’ont fait au régime du FPI. Les voleurs et détourneurs au Burkina ont les connaît. Ce ne sont pas les gens du Sud Ouest qui se battent contre les loups garous des finances publiques qu’ils vont utiliser comme bouc émissaire dans cette affaire. Guiro a dealé 2 guiros ici et cette même ASCE n’a pas trouvé à redire. Si ces "inspecteurs" sont convaincus de leur travail, alors pourquoi l’ASCE refuse la contre expertise ? La justice est manipulé et instrumentalisé à souhait au Burkina. Les Comboigo dont il s’agit ici ont été libéré par cette même "justice" de l’argent suite à leur implication au coup d’Etat du Général Dindéré non encore jugé à ce jour. Si la honte pouvait tuer. Kariiiii !

  • Le 14 septembre 2017 à 11:02, par Salam En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Un conseil gratuit mon frère, ne vous jetez pas à l’eau avant de vous rassurer que le bout de bois que vous voyez flotter n’est pas un caïman. A comportement de délinquant, réaction de policier. Mis à part les sous ponctionnés sur le budget des élections 2015, si vous voyez ce que votre bien aimé sœur a fait des budgets de fonctionnement 2015 et 2016, vous allez vous cacher. Personne n’en veut à Nathalie, du fait de son appartenance ethnique ou régionale. Ce qui lui arrive, est une conséquence de ses actes, point barre.
    Pour vous donner une idée, ce qu’elle a pris sur les indemnités de chez chaque cadre de l’institution dépasse le million/cadre. Et non content de cela, elle leur servait comme plat de résistance quotidienne, l’humiliation à tout bout de champ.
    Tu écris au président pour débiter des bill-vissés, alors que le dossier ne relève pas de son ressort. Il aurait bien aimé sauver votre tendre Nathalie, mais c’est peine perdu.
    Une question, monsieur Pooda : n’existe-t-il pas de voleurs au Poni ? Où bien le vole est célébré comme une vertu chez vous ? De gràce, laissez M. Comboïgo et les conseillers se reposer, car ils ont tellement souffert des affres de "Hitler Nathalie".

    Sans rancunes !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    Salam

  • Le 14 septembre 2017 à 11:04, par le Vigilent En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Je suis d’avis que le juge a fait preuve d’un excès de zèle en envoyant Mme Some Nathalie à la MACA des sa première comparution. Je me pose la question de savoir pourquoi une simple mise en examen avec interdiction de sortie du territoire ne serait pas suffisante dans son çà ?
    Je m’attendais à ce que les hommes de médias fissent une déclaration pour déplorer la manière cavalière dont leur collègue à été mise en accusation et immédiatement transférée al à MACO.
    Je trouve maladroite et tout a fait îopportune et même pernitieuse la sortie des ressortissants du Poni/Sud-Ouest.

  • Le 14 septembre 2017 à 11:19, par Lire_correctement En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Je lis cet écrit comme suit :
    "Moi je suis d’Oubritenga. Le Président COMPAORE a beaucoup travaillé pour ce pays pendant toute sa vie. On ne doit pas le trainer ainsi. Les voyous et voleurs, les soit disant martyres qui ont été corrigés le méritent. On traite Blaise ainsi parce qu’il est moaga et ceux qui ont organisé le désordre sont contre les mossé. Blaise a toujours été une bonne personne. Il a simplement bien pris soins de ses ennemis. Tout ce qui a été dit depuis le désordre populaire n’est que du fake news".
    C’est ce que les auteurs de cette publication veulent nous dire. Ils n’ont fait que du « outing », c’est-à-dire des gens qui sont sortis pour dire haut et fort qui ils sont.

  • Le 14 septembre 2017 à 11:35, par sankara SAIDOU En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    j’ai lu avec attention la déclaration des cadres du PONI sur la situation de Mme SOME. Ce qui me gène c’est que Mme SOME n’a pas été arrêtée parce qu’elle est Lobi où encore moins une ressortissante du Poni. Ce qui lui est reprochée c’est la mauvaise gestion des ressources publiques. Il lui appartient de prouver son innocence. En matière de vertu, dans tous les ethnies du Burkina il y a des délinquants. Et les lobi n’échappent pas à ce constat. Votre démarche aurait été appréciée si vous vous organisez pour rencontrer les autorités du pays pour demander la clémence ou demander que le dossier soit bien examiné. En vous comportant comme vous l’avez fait, vous ne rendez pas service à MMe SOME. En effet s’il s’avère qu’elle est coupable la sanction pourrait être plus sévère. On pourrait penser par exemple qu’elle vous a instrumentalisé. Pire on sent dans votre correspondance un comportement régionaliste qu’il faut à tout prix éviter. Je pense que Mme SOME a besoin d’autres soutiens que celui que vous faites aujourd’hui. Les cadres du PONI peuvent t-ils mettre la main sur la poitrine et jurer que MMe SOME n’a rien à voir avec ce qu’on lui reproche ! Evitez donc tout ce qui peut nuire à cette dame dans cette affaire.

  • Le 14 septembre 2017 à 12:44, par Fille de Hien En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Cette coalition me fait honte. Depuis quand on défend un citoyen sur la base de son appartenance ethnique ? vous rigolez ou quoi ? où sommes-nous finalement avec les agissements des gens de ce pays ? A chaque occasion chacun sort nous servir du n’importe quoi.
    Justement quand on est RESPONSABLE d’une institution, on doit faire attention sinon la fanfare qui nous a installé aura le même son et ton quand viendra le jour du débarquement.
    il y a pleins de prisonniers lobi, birifor, djan, gan, dagara dans les prisons, mais eux ils n’ont personne pour les défendre car ils n’ont rien et ils ne sont rien, n’est-ce pas ?
    L’arrestation de votre épouse, fille, tante , mère, sœur et j’en passe n’a pas atterri comme par enchantement et vous le savez. On en parle depuis combien de temps maintenant ? et vous avez cru que ça resterait lettre morte ?
    Si elle est blanche comme neige vous la retrouverez bientôt dans le cas contraire, elle devrait rendre compte et restitué et c’est cela aussi être un RESPONSABLE.

  • Le 14 septembre 2017 à 12:46, par KUSOME En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Je suis originaire du sud-ouest et je ne me reconnais pas dans ce billet qui émane de Monsieur POODA François et non d’une quelconque association se ressortissant du sud-ouest.
    En effet :
    1) nulle part Monsieur POODA François ne dit que c’est suite à une AG, réunion, ou même concertation entre fils et fille du sud-ouest que billet est écrit.
    2) Monsieur POODA François ne dit pas non plus à quel titre il est signataire de ce billet.
    3) Un vrai fils du sud-ouest agit avec assurance et détermination (il n’est pas du genre à faire des declaration à l’emporte pièce irresponsable).
    Ceci dit, j’ai été choqué par la manière dont la presse a traité le sujet. C’est comme si elle était déjà déclarée coupable !!!

  • Le 14 septembre 2017 à 12:55, par kampad En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Et pourtant je l’ai moi aussi ressenti cet acharnement médiatique contre MME SOME par le fait qu’elle n’est pas mossi, " chien ne mange pas chien" c’est clair, la manière a choquée
    Une justice qui aime le sensationnel, où allons nous
    Bien fait pour nous qui les avons voté, on a entendu "tout sauf le Bissa’ ;la suite on la connait ; ce sont les frustrations qui créent le repli identitaire et les conflits ethniques ;
    Yen a marre ;qu’attendent les juges pour se saisir de tous les dossiers de crimes économiques des rapports passés de l’ASCE LC ?
    Comme l’a si bien dit un internaute(21) plus haut, quant ça coince , on utilise un du Sud Ouest ou un gourounsi pour décanter et après on se débarrasse d’eux comme papier de toilette
    y’en a marre ; point barre

  • Le 14 septembre 2017 à 13:10, par lecoq En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Quittez la-bas ! quelle mauvaise gestion dans ce pays ? Mme SOME n’a rien fait de si grave pour être exposer publiquement à la télé au plan international qu’elle l’a détourne de l’argent ? Les vrais voleurs sont là ! on les connais tous,je dis qu’il faut libérer tout simplement la bonne Dame de peur que le peuple sorte demain pour réclamer le départ de beaucoup de gourous.Ce que vous ne comprenez pas,ce n’est pas parce-qu’elle est du Sud-Ouest,non ! Pourquoi l’exposer dans tout les médias à l’image du monde entier pendant qu’ils ont des assassins et criminalités de grandes qu’on cache leurs visages.je suis totalement contre cette manière de déstabiliser la vie de quelqu’un

  • Le 14 septembre 2017 à 13:40, par insurgé instaisfait En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    je fais les remarques suivantes, même si elles apparaissent moins importantes cet écrit est tout de même le fruit de toute une province ( le PONI):et s’adresse au PRESIDENT.
    1- utilisez convenablement les expressions : on dit prendre la poudre d’escampette au lieu de ’’ poudre d’escampette jetée à nos yeux’’
    2- on dit ’’ rira bien, qui rira,le dernier’’ au lieu de’’ qui rira, rira le dernier’’
    3- cet "écrit est selon vous le fruit d’une réflexion du PONI et une bonne partie de l’opinion nationale, il n’ya pas d’autres expressions pour qualifier ces dires que de mensonges
    4- avec la fibre du régionalisme qui a été votre principal argument, vous mettez de côté ceux qui la défendaient en tant que Burkinabè, car ce n’est pas le PONI qui l’a nommé au CSC
    5- Vous mettez la honte à toute une province avec cet écrit signé d’un certain POODA. Amicalement !!!!

  • Le 14 septembre 2017 à 13:42, par Paguindsom En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Les enfants du Sud-ouest refusent d’aller à l’école et leurs parents ne peuvent rien y faire. Oui, on des taux d’abandon de l’ordre de 13,1% pour la Bougouriba ; 15,1% pour le Ioba 24,0% au Noumbiel et 20,8% au Poni.
    A l’inspection Gaoua II on a plus de 25 enseignants qui ont déserté les classes pour venir « dormir à Gaoua et percevoir gratuitement et indument leur salaire. Ce n’est qu’un exemple !
    C’est contre ces genre de choses qui freinent le développement de la région qu’il faut appeler les forces vives de la région.
    Nathalie que je respecte et à la situation de qui je compati est assez grande, au propre comme au figuré, pour se défendre. Si vous l’aviez consulté je ne suis pas sure qu’elle aurait approuvé votre initiative que je trouve malheureuse, maladroite et totalement inutile.
    Excellence Monsieur le PF, vous savez bien que vous avez mieux à faire que de perdre votre précieux temps sur ça. Nathalie même vous saura gré de laisser la justice la blanchir.
    Monsieur François POODA, à dire que votre rage vous a fait perdre votre latin ! Fallait vous faire lire car votre texte est truffé de mauvaises formulations.

  • Le 14 septembre 2017 à 14:05, par eliane En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    C’est vraiment regrettable, ayons confiance à la justice. A ma connaissance l, inspection n,a rien inventé, la justice n,inventera rien, évitons les accusations émotionnelles des collaborateurs ça pourrait se retourner contre vous,.Vivement le procès pour départager les uns et les autres.

  • Le 14 septembre 2017 à 14:06, par DIEU MAUDISSE LES DICTATEURS En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    I.votre raisonnement contre le peuple :"...mais comme disait un artiste bien connu, seuls les imbéciles ne changent pas. Nous n’avons jamais voulu jouer aux enfants gâtés, pleurnichards, revendiquant tout à chaque bout de temps. Et comme il y a forcement un début à TOUT, nous avons pris le temps de réflexion et d’analyse, de concertation large et avec la sérénité requise en pareille situation, pour comprendre les tenants et les aboutissants de ce qui apparait à nos yeux, comme de la méchanceté absurde contre Mme SOME, aux seules fins de l’affaiblir, la déstabiliser physiquement, mentalement, moralement et en dernier ressort, briser sa carrière jusque là irréprochable.".
    II.votre vision d’organes de presse :"...Et nous savons pourquoi Radio Omega devenue Radio Kankan , a été le premier média à avoir le fameux scoop, avant qu’il ne soit distillé, relayé, délayé et assaisonné par les autres. Même la grande RTB et les petites BF1 et Burkina info, ont montré à l’écran, cette femme qui a détourné 650 Millions pour certains et 1 Milliard pour d’autres."
    III.A l’égard de la justice :"..L’indépendance de la justice qui est le credo de tout bon citoyen, ne saurait rimer avec forfaiture, excès de zèle, encore moins la recherche du sensationnel. C’est pourquoi sous d’autres cieux, Il est coutume de dire que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ».
    "..En d’autres termes, l’indépendance de la justice sans une justice dans les règles de l’art, est dangereuse pour la cohésion sociale et la paix dans une nation."
    Lisez vous même la dangerosité de vos propos.

  • Le 14 septembre 2017 à 14:18, par Paguindsom En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Les enfants du Sud-ouest refusent d’aller à l’école et leurs parents ne peuvent rien y faire. Oui, on des taux d’abandon de l’ordre de 13,1% pour la Bougouriba ; 15,1% pour le Ioba 24,0% au Noumbiel et 20,8% au Poni.
    A l’inspection Gaoua II on a plus de 25 enseignants qui ont déserté les classes pour venir « dormir à Gaoua et percevoir gratuitement et indument leur salaire. Ce n’est qu’un exemple !
    C’est contre ces genre de choses qui freinent le développement de la région qu’il faut appeler les forces vives de la région.
    Nathalie que je respecte et à la situation de qui je compati est assez grande, au propre comme au figuré, pour se défendre. Si vous l’aviez consulté je ne suis pas sure qu’elle aurait approuvé votre initiative que je trouve malheureuse, maladroite et totalement inutile.
    Excellence Monsieur le PF, vous savez bien que vous avez mieux à faire que de perdre votre précieux temps sur ça. Nathalie même vous saura gré de laisser la justice la blanchir.
    Monsieur François POODA, à dire que votre rage vous a fait perdre votre latin ! Fallait vous faire lire car votre texte est truffé de mauvaises formulations.

  • Le 14 septembre 2017 à 14:19, par nawalaguimba En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Une association du Sud-Ouest n’est pas bien placée pour défendre une fille du Poni qui est avant tout une Burkinabè d’abord et exerçant une fonction qui est publique.
    Nathalie SOME n’a t-elle pas été nommée en tant que Burkinabè et non Lobi ? Si la sortie est peut être légitime, elle est hasardeuse parce que venant des enfants qui se réclame d’une région. Elle est inopportune par rapport à la forme de la revendication et des propos qui y sont tenus.
    Aucun Homme ne se connait lui même pour prétendre connaître les autres. Ne dit on pas que pour connaître l’Homme il faut lui donner le pouvoir et l’argent ? le pouvoir corrompe, aussi bien que l’argent.
    comment peut on comprendre qu’à l’annonce de l’arrestation de la première responsable d’une institution, les travailleurs de ladite institution manifestent leur joie sans se cacher. Même si on ne peut pas être aimé de tout le monde, cela donne à réfléchir.
    Prenons patience et faisons confiance en notre justice qui jouit aujourd’hui d’une indépendance plus qu’auparavant.
    Vive le Burkina Faso !
    Union de coeur !
    QUE DIEU PROTÈGE NOTRE FASO.

  • Le 14 septembre 2017 à 14:59, par Hum En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    À la fin de la lecture de cette déclaration, il y a un constat : nous ne sommes pas une Nation (n’en déplaise à ceux qui penseraient autrement que moi). Ensuite il me vient une grande question : à quand la Nation Supra-ethnique (au-dessus des ethnies) ? Nos politiques n’en parlent jamais... comme si le problème n’existait pas.Trop préoccupés probablement à se faire des militants et du bétail électoral. Il faut éviter les sujets qui pourraient fâcher, de peur de perdre des voix. Hum !

  • Le 14 septembre 2017 à 15:16, par Jean En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Amusez vous à prendre cette déclaration et ces révélations à la légère ! Roch à interet à regarder de près les révélations qui y sont faites sinon ! Ngaw cest comme ca ca commence

  • Le 14 septembre 2017 à 15:18, par TIENFO En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Je fais partie des premiers internautes à décrier la célérité avec la laquelle Mme SOME a été arrêté et déférée à la MACO. Ça sent de la poudre nauséabonde dans l’air. Mais avec cette déclaration régionaliste et partiale, je tombe de nu. Il faut déculpabiliser votre parente sans accuser les autres. Tout le monde n’a pas les mêmes chances. Dans un crash d’avions ou accident de voitures, il y a souvent des morts et des survivants. Ce n’est pas pour autant que les parents des victimes doivent se plaindre auprès du Bon DIEU d’avoir épargner la vie de certains. La question qu’il faut se poser est de savoir si votre parente est oui ou non coupable. Il ne s’agit pas de chercher à savoir si des malfrats sont dehors ou pas mais si Mme SOME est innocente ou non. La connaissant, vous savez de quoi elle est capable. Comme vous en savez tant sur sa gestion, l’avez-vous approchée pour mieux en savoir sur ses problèmes relationnels avec ses collaborateurs et se donner d’éventuels conseils entre parents. Elle a dû donner aussi beaucoup de coups en passant dans son entourage. Comme le dit l’adage « s’il faut réprimer le chien, il faut dire aussi deux mots aux chiens ». Le bon manager c’est aussi la gestion collégiale et non individuelle. Pour la suite, je souscris entièrement aux propos des internautes « 4 LA VERITE », « 5 bonsens » et « 30 Kooswende songré nzaan néy suitane touma ». Intéressons-nous à la suite judiciaire de cette affaire. Vivement qu’elle sorte blanchie et qu’elle soit rétablie dans droits civiques avec dommages et intérêts. Il manque une chose capitale à cette déclaration : la liste exhaustive des organisations et/ou personnes signataires de la déclaration.

  • Le 14 septembre 2017 à 15:33, par bedouns En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Qui n’est pas burkinabé, régionaliste, provincial et même villageois ? s’il y a une injustice contre un burkinabé ou le Burkina, personne ne peut m’empêcher d’être burkinabé. Exemple la combine de la FIFA de faire rejouer le match Afrique du Sud contre le Sénégal. S’il y a une injustice contre ma région je suis régionaliste pian, contre ma province provincial, contre mon village villageois, contre mon ethnie ethniciste PIAN !!!
    Si les lobi pensent qu’il y a maldonne faut lutter.
    Je ne suis pas lobi, je ne défends pas non plus la présidente du CSC mais la manière et célérité m’ont sincèrement choqué. Justice ! justice ! quelle justice pour mon pays !

  • Le 14 septembre 2017 à 15:59, par Roosvelt En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Il faut deplorer le zèle du juge et souhaiter que justice soit dite. Toutefois, il faut prendre cette declaration au serieux pas parce qu’elle est signèe de Mr Pooda. Dans l’administration burkinabé, le regionalisme et l’ethnicime sont devenus des pilliers de gestion depuis le règne de Blaise Compaorè. Certaines ethnies se prenant pour le coeur du pays n’acceptent pas de voir quelqu’un d’autre être leur chef ou responsable.Quand c’est le cas, bonjour aux manigances ethno-regionalistes.
    J’ai peur pour mon beau pays le BurkinaFaso.Je demande aux premiéres autoritès de ce pays de prendre de la distance avec cet ètat d’esprit en mettant en competition tous les postes de responsabilitès . Evitons de fermer les yeux sur cette realitè hideuse. Je ne crois plus à la presse et à certaines manifestations des travailleurs de la fonction publique car aujourd’hui dans beaucoup de cas ce sont les responsables consciencieux qui sont diabolisès.
    Que Dieu ètende sa main sur le Burkina Faso.

  • Le 14 septembre 2017 à 16:33, par HALLAL En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Monsieur POODA, sachez que la magistrature burkinabè est plein de ressortissants du Sud -Ouest. Mieux actuellement les deux procureurs généraux sont de votre région. Monsieur HIEN Didier est procureur général près la Cour d’Appel de Bobo-Dioulasso. Et monsieur PODA Laurent est procureur général près la Cour d’Appel de Ouagadougou. Quand au Procureur du Faso près le Tribunal de Grande Instance de Ouagadougou, elle est s’appelle Maiza SEREME. Le Contrôleur Général de l’ASCE-LC a pour nom Marius Luc IBRIGA. L’identité du Ministre de la Justice est René Bessolé BAGORO.
    Dites moi monsieur POODA, est ce que parmi tous ses responsables, il y a le nom d’un mossi. De grâce....

  • Le 14 septembre 2017 à 17:04, par Imothep Vigie du Pharaon En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    A mon avis la déclaration de monsieur Pooda est tout a fait fondé même si elle teinté de colère. IL suffit juste de se poser la question quelle sanction a t-on prise comme les chefs de la police, lorsqu’il en ait ressorti une enquête les incriminants ? Au contraire les gens se sont empressés pour enlever le DG et point barre. La troisième insurrection viendra de la mauvaise manoeuvre de la justice.

  • Le 14 septembre 2017 à 18:31, par Toutdemême En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Garder le silence est parfois synonyme de prime au vice. M POODA (se faisant passer pour une coalition), examinez attentivement (faites-vous aider au besoin) le chemin parcouru par notre pays de mars 1919 à ce jour, et vous comprendrez que vous perdez votre temps. Vous ne rendez service ni à celle que vous prétendez défendre, ni au Sud-Ouest, ni à personne, pas même à votre triste personnage. Si vous-vous sentez mal dans votre peau, il y a certainement des solutions, qui ne préconisent pas les insinuations et suggestions que vous faites

  • Le 14 septembre 2017 à 19:42, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Entendons nous bien :

    1°) Des gens accusés de détournements sont toujours en liberté. Affirmer qu’on ne doit pas arrêter quelqu’un tant qu’on n’arrête pas tout le monde n’est pas très sensé. Dans certains cas il n’y a pas de preuves, ou les gens ont utilisés des subterfuges ou des prête-noms de sorte qu’il est compliqué de les confondre. Doit-on pour cela laisser ceux qui ont pillé sans gêne et sans se cacher ?

    2°) Oui, Mme SOME est supposée innocente jusqu’à preuve du contraire. Mais c’est une personnalité publique, de sorte que son arrestation ne peut pas être traitée sans bruit par la presse. Elle fait partie des 5 première personnalités de l’état, quand même, et en vouloir à la presse de couvrir largement un tel évènement, c’est être de mauvaise foi.

    3°) Il faut noter que la principale concernée n’a jamais nié les faits si on lit ses déclarations faites depuis la publication du rapport. Elle dit que les montants sont moins élevés, que ces pratiques ont toujours eu cours dans l’institution, et que les élections sont été un succès ce qui justifie d’office toutes les sorties d’argent. D’ailleurs, l’auteur de l’article ne dit pas autre chose : Il y a d’autres détournements ailleurs donc on ne doit pas arrêter leur "sœur" pour ces "peccadilles", à moins de lui en vouloir pour autre chose ! Malheureusement, une telle ligne de défense coute cher devant un juge, et on comprends alors le mandat de dépôt. Ils ont intérêt à changer leur ligne de défense, sinon les carottes sont cuites !

    4°) D’autres personnalités ont été entendues pour des fautes de gestion. Non seulement la plupart ont nié les faits, mais ils ont généralement fait un temps en dépôt avant d’obtenir la liberté conditionnelle. Nathalie SOME aussi devrait obtenir la même liberté conditionnelle, avant que le procès dise si elle est coupable ou innocente. Alors pourquoi faut-il tout ce bruit non seulement pour l’innocenter d’office mais pour condamner son arrestation. Et les centaines de Burkinabè qui sont arrêtés chaque jour, souvent pour des bêtises, ce sont des moutons ?

    5°) Règlement de comptes ou pas , là n’est pas la question. De l’argent a-t-il été détourné oui ou non, et par qui, là est la question. Si vous avez des ennemis et que vous prêtez le flanc par des actes de gestion condamnables, tant pis pour vous, que vous soyez du Poni ou du Zwaziland !

    6°) C’est triste que des soit-disant cadres en soient toujours réduits à l’argument ethniciste pour prendre position. On peut vouloir défendre Nathalie SOME sans recourir à cet argument du niveau du caniveau. C’est ridicule, honteux et dangereux dans ce Burkina post-insurrection ! En plus, pour défendre une personne, on attaque toute une institution comme l’ASCE/LS, qui porte justement les espoirs d’une meilleure gouvernance avec moins de gabégie. Quelle irresponsabilité !

    7°) On apprend par ailleurs dans cet écrit et avec surprise qu’un certain Désiré Comboigo, soupçonné d’avoir participé activement au coup d’état le plus bête du monde, est toujours en poste au CSC et fait même la pluie et le beau temps ! Le Burkina n’est pas à une absurdité près mais vraiment, entre un coup d’état qui a fait des morts et un détournement, il n’y pas match, à mon avis. Alors pourquoi bénéficie-t-il d’une telle impunité ? Alors même si on demande pas de libérer Mme SOME, on peut au moins demander que ce monsieur réponde de ses actes ? Ou alors il a des super avocats et Mme SOME devrait s’en inspirer en lieu et place de la comédie des "parents" écrivant n’importe quoi dans la presse...

  • Le 14 septembre 2017 à 20:37, par Nedjarabi En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Messieurs les membres de l’acsé avez-vous agi en votre âme et conscience ? Madame Somé est un petit poisson plus facile à prendre dans une nasse que les barracudas genre Guiro ou Paré Joseph et plus récemment ceux accusés de détournement de fonds du siao et j’en passe si l’on suit le raisonnement des juges ils devraient aussi être enfermés par précaution mais jouissent d’une totale liberté et surtout sans les conséquences psychologiques d’une incarcération quelqu’en soit l’objectif visé. Il faudrait procéder à un audit des contrôleurs de l’acsé avec déclaration de patrimoine et justificatifs à l’appui et ce n’est que par cette transparence qu’ils feront preuve d’intégrité. Je ne suis pas entrain de défendre le détournement si tant est que cette hypothèse reste jusqu’à en fournir la preuve. Merci de laisser passer mon post.

  • Le 14 septembre 2017 à 23:30, par Jean Philippe En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Qu’ on nous dise pourquoi quand il est s’ est agi de Nathalie SOME la justice a ete plus que rapide ? Je suis en droit de dire qu’ elle ne vient pas de a bonne region.On prend des decisions regionalistes et quiand les gens reagissent, on dit qu’ ils reagissement regionalistem,ent. Ils devaient faire quoi ?

  • Le 15 septembre 2017 à 09:57, par RAMDE En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Moi particulièrement je trouve cette arrestation comme une entrave à la carrière de la bonne dame.Pourquoi dans ce pays quand on veut faire clairement son boulot on te fou la merde au cul.Détournements il en a eu dans notre pays et c’est resté sans suite.Quand j’ai vu l’article sur l’arrestation de Mme SOME j’ai coulé des larmes car c’était prévisible.Arrêtez les vrais auteurs et libérez les innocents comme disait l’autre. Ayez honte un jour chers dirigeants.

  • Le 15 septembre 2017 à 12:48, par AMOUR En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Mr François POODA, juste te demander, en tant que moi-même fils du Sud-Ouest, de ne pas saboter les valeurs qui caractérisent le "Peuple" du Sud-Ouest. Le Lobi, est fier, direct, vrai et responsable. Le Lobi assume et affronte quelque soit ! Je constate avec regret que votre "écrit" n’incarne aucune de ces valeurs. Mr François POODA , je m’attendais a voir a la fin de votre écrit plusieurs signataires. Logique, puisse que vous parlez de "Coalition des cadres et forces vives du Poni" mais qu’est-ce que je vois : François POODA ! qui signe un écrit des cadres et forces vives du Poni et sans même prendre le soin de mentionner son rôle dans cette coalition !!! Je me permets de supposer que ce sont des omission, mais quoi qu’ils en soient cela montrent a suffisance :
    1. Votre refus d’assumer le contenu de votre écrit, quand on refuse d’assumer alors qu’on a posé l’acte, on manque de responsabilité et de courage
    2. Votre manque de certitude. Juste une question, pourquoi attendez-vous l’arrestation de Mme SOME Nathalie pour nous sortir tout ce que vous savez et j’ai l’impression que vous en savez beaucoup !! Etes-vous sur de tous les faits que vous révélez et les noms que vous citez dans votre écrit ?? je relève, juste,ces deux points. Je ne partage pas votre écrit et votre démarche de parler au nom de tous les filles et fils du Poni.
    Le droit positif burkinabé s,applique a tous les citoyens et sur toute l’étendue du territoire du Burkina Faso, le Poni en fait parti. Je souhaite a Mme SOME Nathalie courage et lui demande d’affronter la justice de son pays avec responsabilité, vérité et de croire a son indépendance.

  • Le 15 septembre 2017 à 14:20, par STOP En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Les auteurs de cet écrit devraient faire preuve d’un peu de sagesse a moins d’être animés d’intentions malveillante inavouées. Surfer sur le terrain ethnique ou régionaliste est très dangereux pour la cohesion et l’unité nationale. N’allumez pas une mèche que vs ne pourrai pas éteindre. J’invite chacun a plus de retenue dans l’intérêt supérieure de la nation. Chaque ethnie ou région a au moins un ressortissant qui croupi dans les geôles.

  • Le 15 septembre 2017 à 16:32, par GROZER En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    A Monsieur PODA et ses prétendus intellectuels et associations,comme un illustre homme politique l’avait dit :"la tragédie des peuples révèlent de grands hommes mais toujours ce sont les médiocres qui la provoquent"Le Burkina Faso a besoin de tout sauf cette aberration comme modèle de penser. De grâce arrêter de faire porter votre bassesse par un groupe social car ceux dont vous prétendez responsables de cet écrit ne sauraient tomber dans une telle disgrace. Pour votre propre gouverne, retenez ceci : l’inventeur de la guillotine a fini par la guillotine. Alors, on a déjà assez de problèmes à résoudre ; si vous allumez ce dont vous n’êtes pas sûr de pouvoir éteindre, c’est vous serez le premier à être brûlé . Sachons raison garder quelque soit la situation.

  • Le 16 septembre 2017 à 15:16, par Hermann En réponse à : Déclaration de la Coalition des cadres et forces vives du Poni sur l’arrestation manu-militari de Mme Ini Nathalie Edwige SOME, Présidente du Conseil Supérieur de la Communication

    Bonjour a tous !

    Je ne suis pas d’avis avec les auteurs de cet écrit. Toutefois, je demandais sur ma page Facebook a connaitre, le sort de ceux qui avaient été épinglés par l’asce-bf des années bien avant Mde Nathalie Some.

    En apparence, il y a une justice a vitesses variables pour les citoyens de ce pays. Mais toutefois, je vous pose la question suivante. Est-ce parce que le policier n’a pas pu attraper tout les bruleurs d’un feu rouge.qu’il faut qu’il n’attrape pas les autres qui viendront a commettre cette infraction ? Non, quand on a commis un infraction, on doit s’attendre aux conséquences.

    Maintenant que tout le village d’un fautif se sentent concernés et veillent intervenir, pas de probleme, mais je leur demande de bien verifier LES CHOSES d’apporter un quelconque soutient car s’il se trouve un jour que l’accusée est confondu et reconnu coupable ? ce serai tout son village et toute les ressortissants du Pony qui en partageront la honte, d’ailleurs une honte inutile. Car, tout un chacun peut fauter et etre recadrer par ses parents, amis et connaissances mais s’il se trouve que ceux-ci ont pris fait et causes pour leur parent alors auront-ils la clarté du jugement ? Ce qui est sure, c’est NUL N’EST AU DELA D’ETRE TOUCHE PAR LA HONTE, MIEUX VAUT NE PAS POSER DES ACTES QUI CONDUISE A SA PROPRE HONTE

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