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Et pourtant, l’acte est indéfendable !

Publié le lundi 15 mai 2017 à 18h54min

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Et pourtant, l’acte est indéfendable !

Dans cette « affaire du gendarme et du journaliste », plus je lis certains commentaires, plus j’ai honte pour mon pays, chose qui m’oblige à réagir par cette brève réflexion, car les tombes de nos compagnons de lutte sont encore fraiches et certains ont déjà hâte de retourner aux abus du passé que nous avons rejeté par la révolution des 30 et 31 octobre.

Si le gendarme faisait son « boulot », de quel boulot s’agit-il donc ?

Il y a une confusion monstre chez beaucoup de lecteurs, qui n’hésitent pas à donner raison au gendarme qui apparemment ne faisait que son boulot ! Choquant ! Quel boulot faisait-il donc ? La gendarmerie nationale a-t-elle pour boulot d’agresser les citoyens ?

Si le journaliste a enfreint à une loi ou à un règlement, il fallait le verbaliser, l’arrêter et le déférer au parquet ou lui coller une contravention si cela relève des pouvoirs de la gendarmerie !

Si le gendarme avait fait ainsi, et arrêter le journaliste, nul ne se plaindrait ! Si même, le gendarme avait essayé d’arrêter Mr. Sanogo, et avait été obligé d’user de la force pour le faire parce que ce dernier aurait résisté, nul ne se serait plaint !

Mais rien de cela ne transparaît dans cette affaire ! Tout ce que nous savons, c’est que le gendarme a utilisé la force publique dans un but non déterminé ! Une violence totalement gratuite ! En effet, on ne peut faire usage de la force publique que dans des circonstances bien précises, notamment si l’on rencontre de la résistance lors d’une arrestation ! Est-ce le cas ici ?

En quoi M. Sanogo représentait-il une menace ?

Le gendarme étant du GSPR, donc assigné à assurer la sécurité du président du Faso, on se demande du reste comment il a pu penser que le fait d’enjamber un cordon mettait à risque la sécurité du président du Faso qui n’était pas encore sur les lieux ?

Avant même d’être arrivé à Kaya, c’est un « bain de foule » nous dit-on que le président du Faso s’est offert à Ziniaré. Et pourtant, sa sécurité rapprochée ne s’est pas mis à terrasser tous ceux qui venaient lui saisir la main ! Comme quoi, assurer la sécurité d’un personnage publique requiert de la patience et surtout de la sérénité, de la vigilance et de perspicacité pour manager efficacement cette sécurité même dans les situations les plus difficiles comme un bain de foule.

Pourquoi alors, ce gendarme, à mille lieux du président du Faso estime-t-il que la sécurité de celui-ci est menacée par l’enjambée d’un cordon pour aller et venir dans un hangar qui n’abritera pas le président du Faso puisque réservé aux journalistes ?

Le maintien de l’ordre à cette manifestation relève-t-il des attributions du GSPR ? Ou le gendarme faisait-il du zèle à s’occuper de ce qui franchement, ne le regardait pas du tout ? Quel lien existe-t-il entre sécurité présidentielle et maintien de l’ordre autour d’un hangar de journaliste ?
Aucun !

Conclusion

Rien, mais franchement rien ne saurait justifier cette agression dont M. Sanogo a été victime ! Nous sommes dans un état de droit et les forces de défense et de sécurité doivent être les premières à respecter et appliquer la loi, ce qui veut dire, verbaliser, arrêter, mais ne certainement pas agresser.

Nul n’est censé ignorer la loi, surtout pas un gendarme qui est censé faire appliquer la loi. C’est pourquoi, le comportement de ce gendarme n’est peut-être justifie sous aucune circonstance, encore moins être accepté.

De plus, des burkinabè sont morts pour nous débarrasser du RSP, pour que la sécurité du président du Faso soit assurée par des forces de police, soumise à la loi et non des forces militaire en dehors de la loi. Le comportement de ce gendarme est un manque de respect pour ces martyrs, et cautionner ce comportement l’est encore plus.

Je recommanderai à M. Sanogo de porter plainte afin qu’en plus de son redéploiement hors GSPR, le droit soit dit dans toute son entièreté à ce gendarme, et que la sentence tombe sans appel !

Koudraogo Ouedraogo
Blog : http://burkinafache2015.wordpress.com
Membre, Faso 2020 : http://faso2020.org

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Vos commentaires

  • Le 15 mai 2017 à 19:28, par Bakus En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Je valide . Il airport family interpeler simplement me journaliste. Vivement queen M Sancho depose under plainte ET que LA justice false don’t travail.

  • Le 15 mai 2017 à 19:36, par S En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Et pourtant l’acte est bien, et même très bien défendable.Nous ne supportons pas ce genre de comportement en temps de terrorisme. Si vous trouvez que c’est un bon comportement, veuillez le conseiller de conserver ça dans sa famille et non en public.là personne ne se plaindra.

  • Le 15 mai 2017 à 19:53, par vicinic En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Qu’est qu’il a fait pour merité ce sort. Le journaliste a ses droit tou comme le gendarme mais chacun ne doit pas oublier ses devoirs.Le gendarme a fait son devoir. En matiere de securité, les consignes sont claire. Courages aux FDS.

  • Le 15 mai 2017 à 19:59, par Mawuéna En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Là aussi il y a du zèle. A quoi servait le cordon, s’il devait être enjamber à tout vent ? Quand il y a un cordon c’est qu’il y a des passages pour ceux qui avait droit d’accès au hangar. N’est-ce pas ? Pourquoi Mr Sanogo n’a t-il pas emprunté un de ces passages ? "Un marché sans marchandage est une réunion d’hommes et de femmes tristes" Hampaté Bâ. Quels échange y at-il eu entre les deux hommes ? Civisme+++

  • Le 15 mai 2017 à 20:01, par la guerria En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Si le gendarme a réagi de la sorte, cela est peut être dû aux comportements du journaliste...

  • Le 15 mai 2017 à 20:12, par baba En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Et si nous cessons tous de polariser cette affaire "Gendarme-journaliste" et laisser les personnes compétentes s’en charger ? Il y a trop de versions et dans ce cas arrêtons nos conjectures et tout le monde gagnera.

  • Le 15 mai 2017 à 20:21, par voltaïque indigné En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Sur la base de quelles informations appréciez vous la situation ?. Les articles des journalistes qui ont tous pris fait et cause pour leur confrères et n’ont donnée que la version du journaliste ou celle du gendarme qui a été black-outée par toute la presse ?. Votre raisonnement est infantile.

  • Le 15 mai 2017 à 20:24, par Monzon En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Chez vous autres journalistes le mot pardon n’ existe t’il pas ? C’est vraie il a eu infraction c’est peut être une erreur . la justice a beaucoup de dossiers .de grâce arrêter cet acharnement contre le gendarme .ces sup ne vont même pas le laisser si vous aussi vous mettez la pression pour qu’on le sanctionne .c’est méchant !!!!!

    • Le 17 mai 2017 à 11:28, par Guessétaoré En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      S’il y’a pardon, il faut que ce soit un pardon ou le fautif reconnaisse sa faute. Mais quand des voix s’élèvent plus pour dire que l’acte est défendable, de quel pardon vous parlez ?

  • Le 15 mai 2017 à 20:26, par traore En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    salut je suis parfaitement d’accord avec vous réellement Nous sommes dans un état de droit et les forces de défense et de sécurité doivent être les premières à respecter et appliquer la loi, ce qui veut dire, verbaliser, arrêter, mais ne certainement pas agresser.De plus, des burkinabé sont morts pour nous débarrasser du RSP, pour que la sécurité du président du Faso soit assurée par des forces de police, soumise à la loi et non des forces militaire en dehors de la loi. Le comportement de ce gendarme est un manque de respect pour ces martyrs, et cautionner ce comportement l’est encore plus.et les autorité doivent savoir et d’Arrêté de frappe des citoyens le moment qu’il sons en tenu si la personne le rembourse les même manque du respect c’est la honte pour qui.

    • Le 16 mai 2017 à 13:30, par Ouattara8 En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      Ce que je viens de lire m’ecoeure sérieusement. Il ya encore des gens sensées dans ce pays ? Pourquoi mettre un cordon si sa ne serre à rien ? La sécurité d’une personnalité commence en amont et se resserre vers l’avant. Vous savez les bandits ou terroristes agissent suite aux différentes observations effectuées ts les jours, s’ils savent que la sécurité accepte avec négligeance le passage de n’importe qui, avec un vrai faux badge ils l’utilise pr accéder et faire leurs salles besognes et on dira pourquoi la sécurité ne l’à pas empêcher par tous les moyens. Apprenons à respecter les règles et instructions que nous mêmes nous nous sommes imposées.

  • Le 15 mai 2017 à 20:31, par nebie En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Je suis parfaitement d’accord avec vous. Ce qui m’ecoeure le plus dans ce pays ce ne sont pas ceux qui prennent quelques libertés avec la loi mais ces écervelés prompt à les défendre !!!

  • Le 15 mai 2017 à 20:38, par vérité no1 En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Merci Koudraogo Ouédraogo !
    Les apôtres de la violence et de la barbarie doivent faire gaffe !
    Le journaliste ne tenait quand-même pas une machette, et je pense que ce gendarme aime la violence et doit être affecté à Dji...!!!!!!!

  • Le 15 mai 2017 à 20:48, par pablo En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    BRAVO A VOUS M. OUEDRAOGO POUR CE MESSAGE PATRIOTE ET DEMOCRATIQUE QUE DIEU VOUS LE RENDE.MERCI D EDUQUER LE PEUPLE ANALPHABETE QUI CROIT QUE LE TRAVAIL DES FORCES DE L ORDRE C EST LE LANGAGE DE LA VIOLENCE.LE PEUPLE NE SAIT PAS QU IL EST ABUSE ET SE SOUMET A LA BARBARIE D UNE AUTRE EPOQUE SANS SE PLAINDRE.UNE OIS DE PLUS QUE LA JUSTICE SOIT DITE.

  • Le 15 mai 2017 à 20:56, par Le Regard En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    A la gendarmerie, il y a un cours qui s’appelle Orgueil militaire. Toujours au dessus de tous. Solidaire même si c’est pas sûr. ..

  • Le 15 mai 2017 à 21:02, par BEN En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Ce n,est pas seulement dans les circontances d,arrestation qu,il faut utiliser la force.
    quand on resiste a un agent de force de l,ordre, il utilise la force...il a ete former pour ca..
    pour agir avec force.. surtout quand il se trouve devant un idiot qui veut le resister..c,est pourquoi j,etais pas d,accord avec votre president. il faut plutot que le president veuille a eduquer sa population.sous d,autres cieux ou les populations sont eduquer, tu vois des foules in un seule lieu mais tres discipliner moin agiter quand un agent de service d,ordre
    te dit recule,, il le dira pas comme ta mere peut te demander, et si tu joue a l,ane ,,tu seras tout simplement meconaissable. et puis tu parle de quel journaliste ?? si ce gards soit disant journaliste a fini correctement sa formation avec stage a l,appui, a la vue du gendarme il se dirais tiens on fait le meme boulot je vais faciliter sa tache ..SORRY MY PRESIDENT mais je vous exorte a vous faire garder desormais par un journaliste vous n,aurai plus a intervenir dans une affaire aussi banale de correction admistrer a un voyou exciter.

  • Le 15 mai 2017 à 21:13, par Remso En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    bonsoir Koudraogo Ouedraogo ;

    Sachant raison garder le sang froid. Mettez vous en tête que les journalistes ne sont pas au dessus des lois et règlements. Ligne rouge c’est ligne rouge. Point barre....

  • Le 15 mai 2017 à 21:14, par disons la vérité En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    tu na rien dit de bon, il fo dire réellema ce qui c’est passé ? o lieu de raconté n’importe quoi,
    cherche a savoir pourquoi la GSPR est venu avant le président ? quel rôle joue-t’il ?
    pose toi la question encore pourquoi le journaliste na pas voulu respecté les consignes et à insisté de ne pas respecté les consignes de sécurité ’c’est de l’incivisme’ : même si c’est ton collègue , il fo lui conseillé si non vous alé mourir bètema,

  • Le 15 mai 2017 à 21:17, par presi En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    depuis que le RSP de BLaise compaore n est plus la on commence a voir la face barbare cachée des gendarmes.Eux qui se faisaient passer pour des FDS reflechis sont entrain de devenir comme ceux qui tout le monde traitait de temeraires a savoir le rsp.

  • Le 15 mai 2017 à 21:25, par "LE VIEUX" En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    TRES BELLE ANALYSE MR KOUDRAOGO ! MAIS PEINE PERDUE PCQ LE BUKINABÈ EST UN ETERNEL MINEUR IRRESPONSABLE. ON A LUTTÉ LES 30 ET 31 OCTOBRE ET LE 1ER ET 2 NOVEMBRE 2014 POUR NOUS LIBERER DES ASSASSINS MAIS RIEN !
    AUJOURD’HUI LA SITUATION EST PIRE ET NOUS N’AVONS QUE NOS YEUX POUR PLEURER.
    DANS TOUT ÇA, C ’EST LE COMPORTEMENT DES AUTRES JOURNALISTES QUI ME CHOQUE. POURQUOI POURSUIVRE LE REPORTAGE ALORS QUE VOTRE PRESIDENT EST ENSANGLANTÉ ? QU’EST CE QUI PEUT JUSTIFIER UN ACTE AUSSI BARBARE QUE CELUI DU GENDARME ?

  • Le 15 mai 2017 à 21:31, par Boudson En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    C est regrettable.je pense que le gendarme n a pas raison sous reserve d’eventuels propos malseant de sa part mais la passion ne resout rien.que le gendarme demande pardon a mr sanogo et qu’il accepte car chacun d’eux voulaient certainement bien faire malheureusement c’est le contraire qui s est produit.pardonnez vous pour taire ces bruits qui ne nous honorent pas.prompt retablissement a mr sanogo.

  • Le 15 mai 2017 à 21:44, par sandaogo En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Arrêtez avec vos analyses de gamins.C’est un fait divers !!
    A force de revenir en boucle sur l’incident,les enfants ou Mme sanogo risque de tomber sur les images de Mr ensanglanté.
    Vous lui rendrez service en oubliant l’affaire car trop d’incongruité .C’est pas parce que c’est un journaliste qui en faut deux semaine d’écrit

  • Le 15 mai 2017 à 21:56, par C’EST FOU En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Trop de connaisseurs dans ce pays. "Je recommanderai à M. Sanogo de porter plainte afin qu’en plus de son redéploiement hors GSPR, le droit soit dit dans toute son entièreté à ce gendarme, et que la sentence tombe sans appel ". han rien que ça !!!!! formidable . Le gendarme est déjà condamné sans autre forme de procès. dites vous que le gendarme là aussi est un être de chair qui peut avoir été exaspéré par l’attitude du journaliste. Mais que dire face à ceux qui manient avec dextérité la parole, la plume et l’image. les détenteurs de la vérité absolue. Y’en a marre cherchez au moins à avoir la version du gendarme.

  • Le 15 mai 2017 à 22:14, par UN BURKINABE En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Ça te plait de republier la photo du journaliste en sang !? que tu est aussi bon ?

  • Le 15 mai 2017 à 22:22, par Cheikh En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Ne t’en déplaise mon cher ami, le gendarme a bel et bien raison. Parce qu’avec son acharnement, nous savons que lui au moins il défend la sécurité du président. Mais quant au journaliste, nul ne sait ce qui lui vaut d’enjamber une corde. Si ce n’est que pour pourchasser les images et les informations, cela n’en valait vraiment pas la peine. C’est plutôt de ce genre d"arrogance que nous ne voulons plus chez nous au Burkina. Du reste, renseigne-toi très bien et tu sauras que dans ce pays, il y a eu plus de gendarmes morts que de journalistes ces derniers temps. Même si c’était à refaire, il vaut mieux que çà se fasse dans les mêmes conditions, et dans l’intérêt du peuple et non dans celui de vous les journalistes.

  • Le 15 mai 2017 à 22:25, par Kritik En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Mr Koudraogo, votre analyse laisse entrevoir de quelle profession vous êtes, donc votre analyse est subjective, biaisée et excentrique, ne questionnant que le gendarme et pas le journaliste. Moi, aussi, mon point de vue sera jugé de subjectif par d’autres analystes en fonction de leur sensibilité. Je suis bien d’accord que c’est vraiment qu’un époux, un père soit victime d’une humiliation, mais le feu de l’action est passé et laissons la hiérarchie des deux protagonistes gérer l’affaire, afin de ne pas creuser un sillon dangereux entre ces corps de métiers qui sont tous indispensables pour notre république. Cependant, je me permets de conclure en ces termes : "les dispositifs et les consignes ne sont pas négociables ; ils doivent être respectés. Imaginez-vous que ce soit un système automatique comme les robots ? ça aurait dû être pire".

  • Le 15 mai 2017 à 22:59, par Paix En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    c’est pas la peine de s’énerver pour ce qui ne vaut pas la peine. tous ceux qui ont respecté les consignes n’ont pas été agressé. et c’est pas à la vue du journaliste qu’il a réagit c’est après insistance du journaliste. il fait son boulot même s’il a été excessif. en tant que président il devait donner l’exemple.si cela avait concerné un simple citoyen même la hiérarchie allait soutenir le gendarme mais pour faire plaisir aux journalistes vous démotivez ces jeunes.
    travaillons plutôt a permettre aux deux personnes de se retrouver et que chacun reconnaisse sa faute cela sera mieux. sinon le journaliste à tort même si le gendarme est allé un peu plus fort.

  • Le 15 mai 2017 à 23:00, par le patriarche En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Bonjour mr Koudraogo Ouédraogo. Sans trop vous soutenir dans votre analyse, je dirai que la gendarmerie n’a pas sa place même dans la sécurité présidentielle. Dans votre écrit, vous cherchez à démontrer l’irrégularité du comportement du gendarme vis-à-vis de la déontologie, la discipline et les textes afférant aux corps des forces de sécurité. Votre raisonnement est logique, réaliste même si les gens s’y opposent. Quant à moi, je vais vous accompagner en disant que même si les circonstances nécessitaient l’intervention des agents de sécurité, il y’a du matériel conventionnel propre à l’exercice de la sécurité. L’usage des coups de poings ou de pieds sont proscrit sauf cas de légitime défense où, l’agent dépourvu de tout moyen matériel, est obligé de faire le combat corps à corps.
    Question : depuis quand a -t-on neutralisé un terroriste avec des coups de poing ?
    Si le GSPR faisait bien son travail, il devait à chaque fois connaître la liste des journalistes qui prennent part à chaque événement que le président doit participer. Ainsi, les éléments auront une notion des officiels.
    L’essentiel que je veux vous dire, est que tout le monde joue l’ignorant et à l’égoïste dans ce pays. Il refuse de dire la vérité. Les textes sont sabotés au profit des affinités. Tout est confus dans l’administration burkinabé. Finalement les uns sabotent le travail des autres. Quand le gendarme avait attaqué le policier en service dans la circulation, il y’a eu quelle suite ?
    Ce sont les mêmes actes qui continuent.
    Merci de faire d’avantage de reflexion !

  • Le 15 mai 2017 à 23:54, par La violence est l’arme des gens moralement faibles. En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Bravo pour cette position courageuse, même si elle est minoritaire. Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à se tromper qu’ils ont raison. Nos compatriotes ont la mémoire courte. Norbert Zongo est mort du fait de gens qui pensaient aussi avoir fait leur boulot. C’est quel boulot qui autorise à brutaliser, à frapper et à blesser les gens en toute impunité. A moins d’etre un bourreau ! Quoique le journaliste ait fait, le gendarme ne devrait pas le frapper.. point barre. De plus en allant faire du. Catch des personnes mal intentionnées pouvaient profiter de la situation pour pénétrer le périmètre de sécurité et bonjour les dégâts. Ce manque de professionnalisme doit être sanctionné. Par son comportement, ce pandore a mis la vie du président en danger et pour cela il a failli.
    Nous allons nous assuré qu’il a été relevé du GSPR et muté à Togomael pour combattre Dicko et ses hommes. Vu ses talents de catcher aucun soucis à se faire, les fous de djihad n’ont qu’a bien se tenir Rango arrive !

  • Le 15 mai 2017 à 23:59, par Marginale En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    On ne frappe plus les gens mon cher ami pandore, cette époque RSP est bien révolue n’en déplaise. On vous flatte que vous avez bien fait votre travail mais en fait vous êtes seul a faire des rapports sur cet incident, vous allez écrire et écrire encore. En attendant d’être sanctionné pour l’exemple......

  • Le 16 mai 2017 à 00:49, par Zot En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Pardon enleve la bouche de nos martyrs dans cette histoire là. C’est aujourd’hui que tu as su que ya des militaires qui assurent toujours la garde du président ? Pourquoi n’avoir pas dénoncé ce fait bien avant ? Dans tout sa la on a seulement la version du journaliste, si on pouvait aussi avoir la version du gendarme on comprendrait ce qui sait réellement passé.

  • Le 16 mai 2017 à 08:08, par Un autre Koro En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Faites aussi un reproche à votre journaliste qui n’a pas respecté les consignes. Il paraît aussi qu’il a traité le gendarme de petit gendarme. Le gendarme n’a même pas utilisé la force publique. Il a utilisé sa propre force. Et comme il est petit, sa force là n’est même pas beaucoup. J’ai toujours eu une sainte horreur des gens qui refusent de respecter les consignes sécuritaires. Et si après monsieur Sanogo qui serait passé avec la permission du gendarme, d’autres personnes franchissaient le cordon. Que faire ? La plume ne donne pas le droit d’insulter une personne qui fait son travail. en d’autres temps votre journaliste aurait eu droit à un "meilleur traitement ". On passe. Conclusion : qu’aucune personne ne franchisse désormais le cordon de sécurité et il n’y aura aucune altercation avec les gendarmes.

  • Le 16 mai 2017 à 08:42, par Gbè En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Je pense que vous cherchez des poux sur des crânes rasés. Votre métier de journaliste ne vous invite pas à transgresser toutes les règles.
    L’exemple que vous prenez n’est pas démonstratif de votre position sur le problème tout simplement parce que lorsqu’un bain de foule est AUTORISER par le PF et les forces de sécurité il va de soit que la foule puisse approcher le PF.
    Si ce n’est pas le cas, alors les forces de sécurités utiliseront la FORCE pour faire respecter les règles. C’est à ça qu’elles servent.

  • Le 16 mai 2017 à 09:06, par paysannoir En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Il n’a qu’à aller en justice ou à la CPI. Le gendarme a ses arguments aussi solides que ce journaleux qui se prend comme super Burkinabè. Au camp de Paspanga, il y a des barrières à l’entrée. Même le plus connard sait que c’est une zone à ne pas franchir sans passer par le contrôle. Que Sanogo parce que journaliste et portant un badge, aille passer par le mur pour faire un reportage quelconque. La suite c’est quelqu’un d’autre qui va décrire. Le problème c’est les excuses du chef de l’état. Si la sécurité relâche parce qu’elle ne se sent pas soutenue, vous verrez ce que les mauvais garçons vont faire encore. Et puis toi Kouraogo faut pas des amalgames aussi bassement. Vous croyez que ce fameux journaliste compte plus que les paysans que les gendarmes ont bousculé, donné des coups de matraque ? Moi paysan noir, j’ai rien à foutre des gens qui se croient au dessus des autres, alors qu’ils rasent les murs pour négocier les reportages à cause du gombo.

    • Le 16 mai 2017 à 09:42, par Koudraogo Ouedraogo En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      Vraiment !
      Tous ceux qui disent le gendarme a raison, qu’il me sorte un seul article du code pénale qui dit que si un gendarme prend quelqu’un en faute, il faut lutter avec lui ?
      Ou est-ce que c’est écrit ?
      Faut pas raconter du n’importe quoi quand même !

      • Le 16 mai 2017 à 10:26, par paysannoir En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

        Tu sais comment on fait pour maitriser un délinquant ? Tu connais rien. Il n’y a aucun agent de sécurité qui ne connait pas le "corps à corps". On a pas besoin d’écrire dans un code quelconque qu’il faut utiliser les arts martiaux face à un délinquant. Est ce qu’il est écrit dans votre code de déontologie qu’un journaliste a le droit d’outrepasser les consignes de sécurité pour faire son travail. Comme beaucoup d’entre vous n’ont pas suivi une formation professionnelle (comme c’est ton cas Koudraogo), ils exercent le métier de journaliste comme des marchands ambulants. Ce sont eux qui ternissent l’image des journalistes. Nous avons connu des journalistes professionnels au Burkina qui ont été respectés, qui sont respectés, et qui seront respectés. Je dis bien des professionnels et non des porteurs de badge qui se baladent à des occasions comme la JNP et qui ne savent même ce qu’est une zone de haute sécurité. Nous avons connu les Alexandre Rouamba, Dieudonné Ouédraogo, Sigué, San Evariste, Daboné, Barroi, Konkobo, Zalissa Soré, Vanessa, Barro, Diallo, Serges Théophile, Auguste, bref les vrais quoi. Sans badge ils sont respectés parce qu’ils se respectent. Est ce que tu vois Koudraogo.

        • Le 16 mai 2017 à 11:03, par Koudraogo Ouedraogo En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

          Mais paysannoir,
          1 – je ne suis pas journaliste ! Les lecteurs de faso.net le savent bien et je signe aussi toujours avec l’url de mon blog
          2- « on maitrise » un déléguant comme vous dites. Pourtant je pose la question. Est-ce que le gendarme cherchait à arrêter M. Sanogo ? Si c’est le cas, M. Sanog a-t-il opposé une résistance ?
          Mon frère relisez-bien mon post ! Je dis bien, si tel était le cas, personne ne se plaindrait !
          Vous parlez de corps à corps ! Quel sont les conditions dans lesquelles la loi autorise ce corps à corps pour « maitriser » comme vous dites une délinquant ? Est-ce que vous retrouvez ces conditions ici, oui ou non ? Si non, le gendarme est donc en contra faux avec la loi !
          3- Quel est le lien entre sécurité présidentielle et maintien de l’ordre devant le hangar du journaliste ?

        • Le 16 mai 2017 à 13:45, par Ouattara8 En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

          Bien dit paysan noir sa c’est des références. Les Balima ne se sont pas fait battre par un gendarme parcequ’îls se respectent et respectent les lois et règlements .

  • Le 16 mai 2017 à 09:17, par Badpress En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Vous pouvez porter plainte pour lui. S’il n’y avait pas de sécurité à Kaya ce Sanogo là ne serait pas à ces JNP. Qu’il aille à la frontière du Mali, côté Djibo nous donner les nouvelles de Mahalam. Tous ces journalistes qui y sont, sont accrochés aux pantalons des soldats. Sanogo devrait se réveiller à Yalgado. 4ème pouvoir ! mon œil !

    • Le 16 mai 2017 à 10:58, par paysannoir En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      Oui je suis de ton avis Badpress. Nous avons besoin de savoir où se trouve Malam Dicko. C’est la-bas qu’il faut aller. Ce n’est pas Kaya où vous êtes logés, nourris, gomboïsés avec l’argent des paysans, qu’il faut aller se battre avec les gendarmes. Il faut aller à Djibo, Déou, Tinakoff, Tontori-poli pour nous dire comment les enfants préparent les examens, quel est l’état d’esprit des enseignants, des autres fonctionnaires, de la population. Au lieu de porter des badges pour emmerder les FDS. Faut aller sans gendarme, sans policier, sans militaire, avec vos badges seulement. Koudraogo et Sanogo allez y et vous reviendrez nous dire si les djihadistes connaissent badge ou carte de presse. Quand vous parlez de l’insurrection, combien de journalistes sont morts pendant l’insurrection ? On connait aussi ceux qui étaient sur le terrain pendant l’insurrection. Ces journalistes courageux ne s’en ventent même pas. Au contraire, ils aujourd’hui anonymes, discrets, respectueux. Qui entend parler de Albert Nagrengo aujourd’hui ? Pourtant c’est un héros vivant. Il n’a jamais manqué de respect à un agent des FDS malgré ce qu’il a subi au temps fort et que des parvenus s’adjugent les dividendes.

  • Le 16 mai 2017 à 09:29, par paysannoir En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Il n’a qu’à aller en justice ou à la CPI. Le gendarme a ses arguments aussi solides que ce journaleux qui se prend comme super Burkinabè. Au camp de Paspanga, il y a des barrières à l’entrée. Même le plus connard sait que c’est une zone à ne pas franchir sans passer par le contrôle. Que Sanogo parce que journaliste et portant un badge, aille passer par le mur pour faire un reportage quelconque. La suite c’est quelqu’un d’autre qui va décrire. Le problème c’est les excuses du chef de l’état. Si la sécurité relâche parce qu’elle ne se sent pas soutenue, vous verrez ce que les mauvais garçons vont faire encore. Et puis toi Kouraogo faut pas des amalgames aussi bassement. Vous croyez que ce fameux journaliste compte plus que les paysans que les gendarmes ont bousculé, donné des coups de matraque ? Moi paysan noir, j’ai rien à foutre des gens qui se croient au dessus des autres, alors qu’ils rasent les murs pour négocier les reportages à cause du gombo.

  • Le 16 mai 2017 à 09:31, par Le Regard En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    orgueil militaire : narcissisme, nombrilisme. Pandore, toujours au dessus de tous. Toujours solidaires même si c’est pas le cas.

  • Le 16 mai 2017 à 09:51, par Le miel amer En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Très chers burkinabè,reconnaissez une chose, le gendrame qu’il ait fait son boulot ou pas a raté de manies.En d’autres termes, il ne s’est pas servi des techniques de force de l’ordre. En rappel un agent de la sécurité doit pas être quelqu’un qui n’a que son beret dans et sur sa tête.Veuillez mes très chers frères d’armes, et suporteurs de notre frère gendarmes qui a posé cet acte savoir jouer bal à terre.merci.

    • Le 16 mai 2017 à 11:48, par paysannoir En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      Toi tu es vraiment un miel amer doublé d’un manque de vision et de stratégie. Comment toi tu peux jouer balle à terre avec des gens qui jouent balle en l’air ? Les journalistes eux, croient que les FDS sont des bruts, des barbares, des gens qui ne représentent rien devant eux. Ils sont dans les nuages et toi "miel amer" tu veux jouer à terre. Si le président du Faso ne craint pas pour sa sécurité, qu’il donne l’ordre de ne plus baliser les lieux au cours des JNP. Ainsi tout porteur de badge est autorisé à aller lui dire " Hé le Rocco, comment va ? Et Madame et les enfants ? Ah mon type pays là ya foye". Et puis il continue chez Salif Diallo pour lui dire à peu près ceci : Hé gorba, ça va ? Et à l’assemblée, ça gaze ? Il termine avec Simon Compaoré "Hé tebdjéré on dit quoi ? ça fait longtemps. Vous nous manquez nous les journalistes. On ne vous voit plus en ville.
      Il fait le tour avec son badge et puis il va s’assoir où il veut.

  • Le 16 mai 2017 à 10:33, par Badpress En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Je suis parfaitement d’accord avec vous le paysannoir. Qu’il aille enjamber les barrières de la gendarmerie de Paspanga avec son badge accompagné de son avocat défenseur le journaleux Koudraogo Ouedraogo. Du n’importe quoi !

  • Le 16 mai 2017 à 11:45, par pipo En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Le gendarme pouvait maitriser le journaliste sans le taper. le journaliste dit avoir été surpris de la réaction du gendarme car il ne lui a pas mal parlé. Nous avons tous regardé des documentaires où l’on voit comment on peut maitriser avec professionnalisme quelqu’un sans même que cela fasse bruit et grabuge.

  • Le 16 mai 2017 à 12:07, par kzal En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Messieurs les journalistes, efforcez-vous d’être moins partiaux en évitant cette solidarité aveugle envers votre confrère agressé. Vous dites bien que M. Sanogo n’était pas le seul à franchir la barrière de sécurité. Si tel est le cas, pourquoi c’est lui seul que le gendarme agresse physiquement ? Certainement qu’avec sa bouche de journaliste qui connait tout, il a eu à tenir des propos injurieux qui ont fait perdre le sang froid du gendarme qui, après tout reste un humain. S’il avait reconnu sagement son infraction et accepté les réprimandes verbales comme tous les autres partisans de la facilité, c’est sûr qu’il n’allait pas avoir les lèvres fendillées. Il s’est comporté en voyou et il a traité ainsi. S’il était passé par la porte prévue pour le passage, tout cela n’allait pas arriver. Point barre ! Arrêtez donc de défendre le diable au risque de vous faire endiabler.

  • Le 16 mai 2017 à 12:54, par basga En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    es ce qu’on est obligé d’utiliser chaque fois le nom de nos martyrs pour servir sa cause.
    c’est dommage que depuis toute cette histoire, c’est seulement la version donner par le journaliste qui circule.
    NB : a vous d’analyser...!

  • Le 16 mai 2017 à 13:14, par basga En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Voilà ce qui s’est réellement passé entre le journaliste et le gendarme :

    Le #gendarme : "On ne passe pas par là. Allez y de l’autre coté monsieur !"
    le #Journaliste : "Mais pourquoi ? ma place est à coté là."
    le #gendarme : "monsieur, pardonnez, ce sont les consignes"
    Le #journaliste : " je suis un journaliste, voici mon badge"
    le #gendarme :" pardonnez, mais ce sont les consignes ! "
    le #journaliste : Mais on s’en fou des consignes là, moi je vais passer par là. Je suis sorti par là, je vais rentrer par là ! et il n’y aura rien. ce n’est pas un #petit_gendarme comme toi qui va m’en empêcher le passage.
    Le #gendarme : ok. faites comme vous voulez.
    Après ces échanges, le journaliste a tenté de forcer avec son pieds droit déjà de l’autre coté de la corde, aussitôt, le gendarme l’a tenu par derrière son habit et projeter une première fois au sol. Ensuite s’en est suivi un défi et des injures du journaliste qui a tenté une autre fois de traverser mais une deuxième fois il fut projeté à terre. Ce fut vraiment déplorable et choquant pour l’ensemble du public et les acteurs médiatiques qui y étaient. Mais que pourraient t-ils faire en ce moment-là ?

    Voilà un peu le résumé de ce qui s’est passé ce jour mais cela n’a pas été dit par les journalistes. J’ignore pourquoi mais je pense que chacun pourrait maintenant faire son analyse sur le mensonge de certains événements et écrit pour coûte que coûte se donner raison.

    • Le 16 mai 2017 à 15:34, par Koudraogo Ouedraogo En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      « Après ces échanges, le journaliste a tenté de forcer avec son pied droit déjà de l’autre côté de la corde, aussitôt, le gendarme l’a tenu par-derrière son habit et projeter une première fois au sol. »

      C’est à partir de là que le gendarme commence à violer la loi. Ce qu’il devait faire, c’est arrêter M. Sanogo et le déferrer à la brigade la plus proche pour les formalités... Voici un travail de gendarme ou de policier qui est bien fait...

    • Le 16 mai 2017 à 16:47, par mimilinguere En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      Vous racontez les faits comme si c’était vous le gendarme.
      Le gendarme devrait pouvoir se maitriser surtout que le journaliste lui a présenté sa carte. A quoi servent les cartes alors ? et cette violence gratuite. Si le gendarme est aussi bagareur qu’on l’envoie au nord.

    • Le 17 mai 2017 à 09:49, par Wendsom En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      Merci pour cette relation des faits. Toutefois, cela n’excuse en rien la l’usage indisproportionné de la force pour soit disant maîtriser le fautif Sachons avoir du recul dans tout agissement et/ou analyse (ayant 1 esprit critique et non de critique) il aurait agit autrement qu’il en serait sortie grandi.

  • Le 16 mai 2017 à 13:44, par Eloi En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    Salu a tous.Moi je dit comme l’autre que le gendarme a bel et bien fait son travail.un cordon de securite sa ne se viol pas,en matiere de securite la consigne es claire.si vous avez bonne memoire le commandant massoude a ete assassine par un journaliste donc vos histoire de badge sa ne marche ps..je fier du gendarme pour la simple raison que mon president a une tres bonne securite. Que chacun garde son zele chez lui

    • Le 16 mai 2017 à 19:24, par Idriss En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

      C’est dommage l’on défende l’indéfendable. Cautionner l’attitude du journaliste revient à cautionner l’incivisme, l’indiscipline. Ce journaliste n’a pas donné l’exemple et on le lui a appris. Pourquoi les autres journalistes avec lui ne l’ont pas suivi. ils savaient que c’est à ne pas faire. Parce que lui est président d’une association, il s’arroge une privilège. C’est ce que nous combattons. Ce journaliste était trop imbu de son titre. Saurait été un simple journaliste, nous n’aurions pas eu tout cet intérêt pour cette altercation. Plutôt que d’avoir une attitude partisane éduquer les responsables pour qu’ils donnent le bon exemple. Si j’étais journaliste, je demanderais une motion pour le déchoir de la présidence de l’association car il n’est pas un bon exemple. Et puis le titre de l’article est très partisan et déforme la réalité. C’est plutôt, "Un journaliste rebelle neutralisé par un gendarme de la sécurité présidentielle". Nous manifesterons si nous apprenons que le gendarme est sanctionné. Où allons-nous ?

      Quand allusion est faite à une corde à même le sol, que dites-vous du marquage au sol. Tout le monde sait lire ces codes. Les ignorants demanderons ce que ces marquages signifient. Ce journaliste ne mérite pas qu’on le soutienne dans la bêtise.

      De plus, je trouve que c’est le Président du Faso qui a prêté le flanc en faisant allusion à la maîtrise de soi et au respect de la population. La population doit se respecter pour qu’on la respecte. L’incivisme que nous critiquons nait du comportement de ce journaliste et il faut le combattre.

  • Le 17 mai 2017 à 15:22, par FIFI En réponse à : Et pourtant, l’acte est indéfendable !

    arrêter de ramener la question des martyr a tour de bras pour justifier n’importe que banalité même quand il n y a pas de lien. vous parlez de martyr ? vous ne le serai jamais. vous parlez des 30 et 31 ? ce sont les burkinabé qui sont sorti et pas vous. Bref revenons au sujet. Vous parlez d’état de droit, dans quel état de droit les gens ont-ils le droit de violer une barrière de sécurité ? Cette barrière est bien un message qu’en tant que journaliste monsieur sanogo devrait connaitre. S’il la viol il y a bien une raison. Vous parlez de zèle, n’est ce pas le journaliste qui a fait preuve d’excès de zèle ? il y avait combien de journaliste à cette rencontre ? pour qu’il soit le seul a franchir ? Mr Koudraogo serait le 1er a tirer a boulet rouge sur ces agent si toute fois un acte terroriste se produisait en évoquent les failles du cordon de sécurité. par ces temps qui cours, les règles de sécurité sont mise en place pour être appliquée et respectée. qui les enfreint paie cache

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