LeFaso.net, l'actualité Burkinabé sur le net
Proverbe du Jour : “Nous sommes lents à croire ce qui fait mаl à сrοirе. ” Ovide

Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

Publié le mardi 14 mars 2017 à 01h05min

PARTAGER :                          
Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

Une fois de plus devant le Tribunal de grande instance de Ouagadougou ce lundi 13 mars 2017, les protagonistes de la crise CAMEG (Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux), devront attendre.

C’est à la demande de Me Jean-Charles Tougma, l’un des avocats de Dr Bokar Kouyaté et Dr Jean Chrysostôme Kadéba (PCA et DG de la CAMEG) que le TGI de Ouagadougou a renvoyé ce procès au 10 avril 2017. La cause, une transaction est en cours entre les protagonistes. Laquelle transaction avait été annoncée par le nouveau ministre de la Santé, le Pr Nicolas Meda lors de sa visite sur le site de la CAMEG à Tengandogo le mardi 7 mars 2017.

Le renvoi ferme signifie en réalité qu’à cette date du 10 avril, sauf cas extrême et s’il n’y a pas d’accord, le jugement aura lieu. Mais, pour l’heure, c’est la transaction qui est de mise. « Si après la transaction, l’on se rend compte qu’il y a des éléments à poursuivre, ils poursuivront », a laissé entendre Me Tougma. Il a bon espoir que l’Etat et les différentes parties trouveront une issue favorable pour le bonheur de tous.

Selon Me Edasso Rodrigue Bayala, un des avocats de l’Etat et de la nouvelle équipe, il n’y a pas grand-chose à dire pour le moment. « Nous, nous suivons les orientations qui sont données par notre client qui est l’Etat burkinabè », a-t-il avancé. Même s’il prend en compte cette transaction, il n’en demeure pas moins qu’il reste sur sa soif et aurait souhaité que ces derniers soient jugés aussi, comme ses clients l’ont été.

En rappel, Dr Bokar et Dr Kadéba sont poursuivis pour faux et usage de faux sur les statuts de la CAMEG, escroquerie à jugement et usurpation de titre. Une action initiée par les nouvelles autorités contestées de la CAMEG en l’occurrence Dr Salifou Konfé et Dr Damien Koussoubé, respectivement PCA et DG par intérim.

Marcus Kouaman
Lefaso.net

PARTAGER :                              

Vos commentaires

  • Le 14 mars 2017 à 01:03, par Gongloma SOOKE En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    Pr Nicolas MEDA, enfin un ministre intelligent ! Toutes mes félicitations pour l’initiative de la nouvelle procédure de gestion de l’affaire CAMEG. Bonne suite !

    • Le 14 mars 2017 à 09:17, par Kadeba En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

      Ce dernier procès pour "faux et usage de faux et escroquerie à jugement" doit se tenir car RIEN ne devrait empêcher ce jugement d’avoir lieu. Quel est le rôle de la Coopération Francaise dont un "Coopérant" est venu assister à notre réunion avec le Ministre de la Santé à Tengandogo la semaine passée. Cet Expatrié ne travaille ni à la CAMEG, ni au Ministère de la Santé, que faisait il à notre réunion ?

      • Le 14 mars 2017 à 09:33, par Jean Marie En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

        j’ai moi aussi remarqué la présence de ce monsieur, mais comme Le Ministre n’a pas demandé qui il est et que personne n’a osé lui dire de sortir, j’ai observé. Mais dans notre coté, tout le monde parlait de lui, ce monsieur là est qui pour se meler de notre dossier ? jusqu’à venir assister à notre réunion avec le ministre de la santé ? pour faire un rapport après à qui ? croyez vous que nous pouvons nous, aller assister à une réunion de l’AFD comme dans un cabaret ? chaque chose a son temps comme le disait mon collègue ce jour là...

      • Le 14 mars 2017 à 09:52, par la verite En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

        Près de six décisions de justice en faveur de Dr konfe et Dr koussoube.Me Tougmas sait que ce procès est perdu pour eux.Ils ont passé tout le temps à vilipender un revolutionnaire,Dr smaila ouedraogo.Dieu vous voit.

      • Le 14 mars 2017 à 11:13, par Luilui En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

        À vous de nous éclairer sur l’identité de ce monsieur ; vous qui étiez à la réunion.
        Et si d’aventure le parquet et les parties décider d’arrêter les choses là, faites vous le plaisir d’aller jouer au juge.

      • Le 15 mars 2017 à 22:28, par Le Koulango En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

        EEHHH !!! Mon cher Kadeba, comment peux tu assister à une rencontre avec la présence d’un "inconnu" et tu n’as pas :
        1. demander au ministre qui a donné la parole à tout le monde ?
        2. demander au DG qui été à la rencontre ?
        3. demandé au protocole ?
        Tu n’as pas de couilles, ou bien tes couilles ne sont pas suffisamment bien accrochés pour poser une question ? Pourquoi venir demander dans la presse à des gens qui n’y étaient pas ? Je parie que tu dois être UN TRAITRE qui ne connaît ni honte, ni déshonneur !

  • Le 14 mars 2017 à 04:14, par Nama En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    Conseiller en P(BAC+7), Attaché en A1(BAC+5), Infirmier d’Etat en A3)BAC+3). Voici qui doit être prioritairement inscrit en lettres d’or dans la plateforme du syntsha pour nous conformer et faire valoir nos diplôme à l’extérieur ! Notre nombre constitue notre force. Le nôtre est en gestation.

    • Le 14 mars 2017 à 07:25, par Passakziri En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

      le nombre fait la force mais j’ose douter qu’il fasse aussi le diplome.Connaissez vous un infirmier d’Etat sans bac ? un Attaché sans bac ? Ayez pitié de la masse paysanne qui ne demande pas plus que l’eau et un plat par jour.

      Passakziri

      • Le 14 mars 2017 à 11:37, par Kôrô Yamyélé En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

        - Passakziri, est-ce que vous pouvez nous foutre la paix à nous paysans ? Nous avez-vous entendu nous plaindre de notre situation ? Qui vous a mandaté de plaider notre sort ?

        Il faut que les gens arrêtent d’utiliser les paysans pour argumenter leurs platitudes contre les grèves. Pour nous paysans si le gouvernement veut, qu’il réponde favorablement aux revendications des syndicats et qu’il équipe tous les hôpitaux et dispendaires du Burkina, et qu’il augmente les salaires des fonctionnaires de 300%. Nous allons y gagner aussi car nous aurons des soins de qualité dans nos villages ici. Nous n’avons jamais demandé à quiconque de plaider pour nous. Et nous avons des structures si nous voulons revendiquer. Nous sommes organisés dans ces structures que sont la CPF, l’UNCP, le ROPPA et bien d’autres. Croyez-vous que vous êtes plus importants et plus instruits que nous au point de brandir notre situation chaque fois ? Attention à vous petits intellectuels ! Le paysan d’aujourd’hui est différent de celui de 1960 !! Sachez-le pour de bon ! Savez-vous que jusque la semaine dernière un différend opposait la firme américaine Monsanto et nous les producteurs burkinabè sur l’introduction de variétés génétiquement modifiées accusées de faire baisser la qualité du coton ? Pour votre gouverne de petits intellectuels ignorants, sachez que nous sommes arrivés à faire plier l’échine de la firme et nous conserverons 75% des redevances (11,3 milliards de francs CFA). Alors ? Qui d’entre vous nous a aidé dans ce bras de fer ?

        CONCLUSION : Arrêtez de vous considérer plus importants que nous paysans et de vous moquer de nous en brandissant chaque fois notre situation. Sachez aussi que parmi nous il y a des agronomes, des juristes et bien d’autres hauts diplômés. Vous n’êtes pas non plus, plus riches que nous et parmi nous il y en a qui sont capables de vous embaucher et vous payer par mois. Pour terminer, je vous dis que nous ne sommes ni des malheureux, ni des mendiants larmoyants !

        Par Kôrô Yamyélé le fermier

        • Le 15 mars 2017 à 08:04, par Passakziri En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

          Vaut-il la peine de vous repondre ?
          Vous pretendez avoir le pouvoir de mandater les autres à s’exprimer sur le Forum ? Pour qui vous prenez vous Monsieur ou Madame ? Certainement pas pour un paysan . Si vous en êtes un, vous êtes sûrement de cette race de nouveau paysan au lourd Porte-monaie qui se sont spécialisés dans l’art d’exproprier les paysans ordinaires de leurs terres pour vos Business, alors ne parlez pas non plus pour le reste des paysans.
          Monsieur le modérateur, je vous prie de ne pas bloquer mon post comme mes deux derniers d’hier. J’estime avoir un droit de reponse. Vous feriez mieux de bloquer certaines inepties de ce malade mental qui pretend être le Kôrô d’on ne sait qui .

          Passakziri

    • Le 14 mars 2017 à 09:57, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

      On ne vous comprend vraiment pas M. Nama. Vous ne semblez pas savoir que les avantages qu’un employeur, fusse-t-il l’état, accorde à ses employés est lié aux services que ces derniers rendent. On n’accorde pas des avantages pour rien encore moins pour perdre !

      Un infirmier d’état est recruté niveau Terminale et formé pendant trois ans dans une école professionnelle. Ce qui signifie qu’il n’a pas le BAC. Mais vous voudriez qu’il soit classé en A3 comme les agents de l’état qui ont eux le BAC et 3 ans d’études universitaires. Deux élèves, l’un ayant eu le BAC et l’autre non la même année se retrouveraient donc au même niveau, ce qui serait une injustice flagrante ? Qui aurait encore la motivation de faire des études ?

      De plus, cela remettrait en cause totalement le système actuel de classement en fonction des diplômes. Car les autres agents vont aussi réclamer des traitements de faveur, qui en fonction de leur "fonction stratégique", qui comme vous en fonction de leur nombre et de leur "capacité de nuisance". Mais bon, c’est possible et ce ne serait pas une première. Certains agents ont bénéficié et bénéficient de traitements spéciaux selon l’importance que l’état accorde à leur corps, à leur statut ou à la fonction dans le fonctionnement du pays. Pourquoi pas vous ?

      Sauf que ce que vous dites clairement, c’est que vous voulez ce classement de faveur pour aller servir hors du pays ! Pourquoi diable voulez vous que l’état accorde à un agent l’avantage du BAC (qu’il n’a pas eu) et supporte le cout de 3 ans de formation pour que ce dernier aille "se vendre" ailleurs ? Non seulement l’état recrute moins d’agents que ce qui est nécessaire en raison des restrictions budgétaires, mais il devrait en plus favoriser le départ de ceux qu’il aurait formé, perdant ainsi son agent de santé, son argent et son temps ? Pourquoi ?

      Avec ce genre d’arguments (soit dit en passant peu patriotiques) pour appuyer vos revendications, vous n’avez aucune chance d’être entendus et satisfaits... L’état gagnerait mieux à vous accorder un statut particulier et des indemnités que vous n’auriez pas ailleurs pour vous inciter à rester tout en ayant de meilleures conditions de vie et vous auriez intérêt à aller dans ce sens...

      • Le 14 mars 2017 à 14:24, par Nama En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

        M. Sidpa.. Sebgo : Je ne plaide que pour une cause juste : harmoniser les diplômes entre Etats. Vous gatez tout en vous fondant sur un soit-disant statut aussi particulier soit-il (ce qui divise et est source de tensions), pour mieux exploiter les agents en question. Vous gagnerez à appliquer cette catégorisation bien fondée sur des textes limpides, plutôt que d’aggraver les tensions avec des supposées mesures incitatives. Merci à mon meilleur Koro YAMYELE.

  • Le 14 mars 2017 à 05:46, par war En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    La cameg existe avec un recepisse dissout depuis le 19 fevrier 2017 au terme de la loi 064/2015/cnt.Il faut seulement installer une administration provisoire pour conduire la transition vers deux structures:une association des partenaires techniques et financiers et une societe d’etat,agence d’execution pour gerer la cameg.On va ainsi se debarrasser des 4 perturbateurs de la sante au faso

    • Le 14 mars 2017 à 09:20, par JC MALO En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

      Tu as tout à fait Raison, l’égo de KADEBA et de son tuteur qui vient de faire son entrée au BPN d’un parti politique nous a rapporté quoi au final avec cette crise ?

      • Le 14 mars 2017 à 10:40, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

        Vous éveillez notre curiosité, JC Malo...
        Qui est ce mystérieux "tuteur" du DG Kadéba ? Et en quoi le fait qu’il vienne de "faire son entrée" au BPN d’un parti politique le rendrait plus fort que les patrons administratifs et politiques de l’ex-ministre de la santé, à savoir le président du Faso, le premier ministre et le président de l’assemblée nationale, cumulativement président du parti au pouvoir ?
        Il doit être bien particulier pour pouvoir tenir tête à tout ce monde alors qu’il serait selon vos dires "seulement" un nouveau venu dans un BPN, et inspirer au sieur Kadéba un sur dimensionnement de son ego. Expliquez nous SVP ?

  • Le 14 mars 2017 à 07:42, par la verite En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    enfin un ministre de la santé intelligent !!!! Bravo Nicolas Medah.

  • Le 14 mars 2017 à 10:56, par Cheick Omar En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    Chers internautes, n’oubliez pas que lors de son dernier congrès du MPP, les participants ont exprimé la nécessité pour le MPP d’avoir le contrôle sur les maillons stratégiques de l’appareil d’Etat. Par conséquent, ne soyons pas étonné si d’ici peu, l’on assiste à la prise de contrôle de toute l’administration publique (société publique, parapublique, sociétés d’Etat) par le nouveau clan qui vient de prendre le contrôle du parti présidentiel. Que Dieu bénisse le Burkina.

  • Le 14 mars 2017 à 11:06, par pascal En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    Ça c’est du vrai mouta mouta. Eeeh. Rocko ne joue pas à ce jeu. Si vous tentez de cacher la vérité, vous...

  • Le 14 mars 2017 à 11:32, par Pousbila En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    CAMEG c’est pas CAMEG ! Si jamais la nouvelle équipe coopère pour un règlement mouta mouta, c’est à leur risque et péril. Vous savez bien que l’homme à l’ego hypertrophié ne vous aurait pas fait de cadeau si vous étiez les fautifs. Façon on vous a jugé là, exigez à ce que les autres soient jugés avant de passer à toute autre chose. On a insulté et traité Smaila de tous les noms, alors que l’ancienne équipe usait de mensonges et tromperies. Maintenant qu’on sait que si le jugement à lieu, ils vont tous croupir en prison, leur avocat nous parle de transactions. Mon oeil oui ! Gwangwan vous avez créé là, il faut récolter les pots cassés now. Monsieur le MS, ne vous amusez pas dans des accords bidons. L’opinion a besoin de connaître la vérité. Les fautifs qui ont mis à mal, le système d’approvisionnement en MEG doivent être démasqués et punis. Pas question d’amadouer des individus de la race. ..

  • Le 14 mars 2017 à 11:57, par Zazaza En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    Il paraît que plusieurs décisions de justice rendues discréditent l’ancienne équipe et légitiment la nouvelle équipe. Et avec tout ça l’ancienne équipe continue à se pavaner à la CAMEG en gérant mouta mouta les ressources. Et là personne au sommet de l’état ne pipe mot. Quand il s’agit de juger les mêmes fautifs pour faux er usage de faux, escroquerie à jugement... on nous parle de transactions. On est où là ? Cette affaire devrait revêtir des secrets d’état pour être gérer de la sorte. Nous voulons savoir les contours. Les gueulards embusqués ayant soutenu le faux sont ils encore là ? Qu’ils nous disent pourquoi tant de peur à laisser juger le dossier. Quoique vous fassiez le drap petera tôt ou tard et tous connaîtront la vérité.

  • Le 14 mars 2017 à 14:11, par sergy En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    Depuis le début de cette affaire,j’ai pris fait et cause pour Smaila et certaines personnes ont cru que j’avais des intérêts particuliers à défendre.
    L’histoire nous dira un jour ce qu’il en est.Toutefois,je retiens de Smaila ,un Homme intègre qui ne sait pas se faire comprendre et cela est l’apanage des Hommes sincères.
    Quand au nouveau ministre de la santé,il a été nommé pour défendre les intérêts de la nomenklatura(élites) de la santé,véritables fossoyeurs du système de santé du Burkina.
    Si ce n’est dans une république bananière,comment quelqu’un qui est formé pendant 8ans pour soigner ,peut-il préférer l’administration à cette fonction soignante ? Vivement que la commission d’enquête parlementaire sur la santé approche les acteurs du terrain pour diagnostiquer les vrais maux qui minent ce secteur et elle sera édifiée.

  • Le 16 mars 2017 à 08:59, par KIKIDENI En réponse à : Crise à la CAMEG : Un sixième renvoi, en attente d’une éventuelle transaction

    Pour une fois il faut que la justice nous montre qu’elle est capable de juger une affaire dans ce pays. J’appelle les OSC et les syndicats qui se sont prononcer au début de cette affaire à exiger un jugement car il y va de leur crédibilité. Je parle entre autre du SYNSHA et du Balai Citoyen.
    Si éventuellement rien n’est fait je demande au procureur du Faso de s’auto saisir et d’exiger un jugement. C’est un cas de jurisprudence qui risque d’avoir de répercutions lointaines si cette affaire n’est pas juger. Il y va également de le crédibilité de l’Etat Burkinabé.

 LeFaso TV
 Articles de la même rubrique
Crise à la CAMEG : Bientôt la fin ?