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Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

Publié le samedi 4 mars 2017 à 00h59min

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Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

Ceci est un communiqué du Cercle d’Eveil (CEDEV) et de l’Observatoire de la démocratie et des droits de l’Homme (ODDH) sur la santé du général Djibrill Bassolé, incarcéré à la Maison d’arrêt et de correction des Armées (MACA) dans le cadre du coup d’Etat manqué de septembre 2015.

La presse nationale et internationale a largement fait cas de l’état de santé délicat de M. Djibril Bassolé incarcéré à la maison d’arrêt et de correction des armées (MACA) dans le cadre du putsch du 16 septembre 2015. Les informations recueillies sur la place publique assurent d’une dégradation inquiétante de l’état de santé du détenu qui souffrirait depuis longtemps d’un problème du cœur. En rappel, on l’a vu s’écrouler en direct à la télévision lors d’un communiqué officiel avec le ministre turc des affaires étrangères en 2014.

Malgré une période d’hospitalisation récente de 48 heures suite à un malaise cardiaque qu’il a subi le 23 janvier 2017, à la Polyclinique internationale de Ouagadougou, M. Bassolé a été une seconde fois victime d’un autre malaise le 25 février 2017 et fut réadmis en clinique pour des soins.

Des investigations plus poussées nous ont permis de savoir qu’un rapport médical sur l’état de l’électrocardiogramme fourni par le médecin –traitant concernant monsieur Djibril Bassolé exige en urgence des examens approfondis qui ne peuvent se faire au Burkina à cause de l’inexistence d’un centre cardiologique plus outillé pour effectuer lesdits examens indispensables à sa prise en charge sanitaire appropriée.

Il est établi aussi que le cas est officiellement connu auprès de la délégation régionale du comité international de la Croix-Rouge (CICR) sise à Abidjan dont un des médecins en charge des détenus, après avoir constaté les sérieux problèmes de santé du concerné, a eu accès aux informations techniques liées au dossier médical de ce dernier à la suite d’un entretien avec le médecin traitant en date du 17 février 2017.

Il ressort également qu’un contrôle que devait effectuer Monsieur Bassolé dans la clinique de son médecin-traitant le 1er février à 9 heures lui a été refusé par la justice militaire qui a exigé que le médecin- traitant se déplace plutôt à l’infirmerie du camp militaire, malgré le fait que celle-ci n’offre pas tout le plateau technique requis pour y rencontrer son patient afin d’effectuer ledit contrôle.

En outre, à ce jour, six demandes de mise en liberté provisoire ont été rejetées par la justice tandis qu’une septième demande reste sans réponse, alors même que les délais légaux sont dépassés.

Comme conséquence de cette situation, il y a une quasi- impossibilité pour monsieur Djibril Bassolé, en sa qualité de détenu, de bénéficier de soins adéquats pour des motifs que l’on ignore, en totale violation du droit humanitaire et des instruments juridiques pertinents en vigueur.

Pourtant, les exigences et les règles en matière de droits des détenus appellent un respect scrupuleux de la part de ceux en charge de les appliquer. La règle est que la peine d’emprisonnement ne consiste qu’en la privation de liberté de mouvement (aller et venir librement). Aucun autre droit du détenu ne devrait souffrir de la détention. Surtout, ses conditions de détention ne doivent pas être moindres que celles auxquelles il se trouve au moment de son arrestation.

énéficier ou recevoir des soins de santé pendant la détention constituent un droit fondamental de la personne humaine relevant des droits de l’Homme qu’on ne peut réduire, violer ou aliéner de quelque manière que ce soit et pour aucun motif.
La question de la santé du prisonnier en général et celle de monsieur Bassolé en particulier pose avec acuité le principe sacro-saint du droit à la vie et à la dignité humaine dont bénéficie la personne placée en détention.

Face à cette situation beaucoup préoccupante de remise en cause des droits fondamentaux du détenu mettant en danger la vie de monsieur Djibril Bassolé, le Cercle d’Eveil et l’ODDH en leur qualité de mouvements de protection et de défense des droits de l’Homme :
-  Dénoncent les multiples entraves qui conduisent à la violation flagrante des droits fondamentaux de monsieur Djibril Bassolé notamment celui de pouvoir se soigner de façon appropriée ;

-  Exigent que le droit d’accès de monsieur Djibril Bassolé à des soins de santé appropriés lui soit reconnu et pleinement respecté et qu’il puisse être autorisé à se soigner dans les conditions jugées favorables par les spécialistes afin de sauvegarder sa vie et toutes ses facultés afin de lui permettre de pouvoir faire face à la justice dans le cadre de son procès ;

-  Interpellent les autorités de la justice militaire sur leur devoir ainsi que leur responsabilité de veiller sur la santé, la vie et la dignité des personnes détenues à la MACA en les épargnant des mauvais traitements, dégradants ou humiliants ;

-  Appellent la justice militaire à aller vite au procès sur le putsch en vue de l’établissement de la vérité et la justice sur cette affaire du putsch manqué aux dessous énigmatiques ; de permettre d’alléger la souffrance des victimes qui attendent toujours justice ; de mettre fin à la détention préventive illimitée, qui dure depuis près de 18 mois, des présumés coupables, lesquels multiplient les appels à pouvoir être jugés ;

En tout état de cause, nos deux mouvements se réservent le droit de continuer à suivre de près l’évolution et la gestion des questions récurrentes de santé de Monsieur Bassolé ainsi que de celle de tous les détenus incarcérés dans nos prisons.

Ouagadougou, le 2 mars 2017
Ont signé
Evariste CONSIMBO
Président du Cercle d’Eveil (CEDEV)

Lookmann SAWADOGO
Président de l’Observatoire de la démocratie et des droits de l’Homme (ODDH)

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Vos commentaires

  • Le 3 mars 2017 à 18:23, par Ahmed En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Vraiment vous nous pomper l’air . Demandez aux parents de Lengani et de ZONGO Henri s’ils savent ou se trouve leur tombe ? Accusés pour avoir fomenté un coup d’état ils ont été fusillés on ne sait comment ? Du reste Djibril n’est pas le seul malade en prison . Il y en a peut être pire que lui. Vous parlez de droit de L’HOMME ? Ou le droit de guetter les sous d’un milliardaire ? Aucun homme n’est immortel. Tout le monde a droit à la vie. Pas de justice à double vitesse ou bien ? Faites le tour des prisons au Faso vous rendrez service à d’autres cardiaques sans soins. Faites le au nom des droits de L’HOMME. Si vous croyez en Dieu il vous le rendra mieux que les sous que Djibril vous donnera.

    • Le 3 mars 2017 à 23:10, par BB En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      SVP, ni la haine, ni l’esprit de revanche et de vengeance ne doivent gouverner ce pays. les Burkinabè sont connus pour leur humanisme et leur intégrité. Si Mr Bassolet a besoin de soins appropries qu’on le lui permet d’y accéder. c’est comme que je reconnais mon beau pays. S’il vous plait, faisons balle a terre pour nous même et les generations futures. La vie est court et que repose l’âme de tous les défunts dans la paix du Sublime.Soyons tolerants et compatissants.

      • Le 4 mars 2017 à 21:48, par Nabiiga En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

        je me demande ce que vous diriez si votre Lingani était votre parent ou encore Norbert à ne mentionner que ceux-ci. C’est justement cette hypocrisie de lambda burkina qui m’irrite de notre pays. On met les faits sur la table et au lieu de parler de cela, tu nous pompe l’air en parlant des principes qui gouverne ce pays. Ah bon, Ces principes de la haine, de l’esprit de revanche ou encore de la vengeance dont vous parlez n’existaient-elles pas lorsque Norbert a été coincé par les éléments de la garde présidentielle ou encore lorsqu’on a fait exploser Clément par une grenade en centre-ville de Ouaga. Pourquoi l’on n’était pas guidé par ces mêmes principes lorsqu’on tirait sur Norbert, lorsque l’ordre a été donné pour fusiller Lingani etc. Je ne te trouve pas sérieux et tu daignes nous parler de la haine. Quelle haine peut dépasser celle qui fait tuer un autre être
        Merci

      • Le 6 mars 2017 à 09:44, par Gongo En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

        C’est bien bizarre quand même qu’il n’est pas possible qu’il soit pris en charge au Burkina- Faso.
        Il ne faut pas nous embobiner. On voit bien ce que vous voulez : qu’on l’évacue à l’étranger, et il y reste indéfiniment pour fuir la justice. Ça je souhaite qu’on éviter cela.
        Ce qui est certain, il ne mourra pas s’il est pris en charge au Burkina- Faso. Non, il ne mourra pas car il doit d’abord être juger et assumer ses forfaits.

        Donc arrêtez d’embobiner SVP. La justice Militaire si elle refuse les demandes, elle sait bien pourquoi.

    • Le 4 mars 2017 à 14:52, par sanpawende En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      Bien dit mon frère. même si ce qu’ils disent est juste qu’ils sachent que cette justice qu’ils revandiquent est partiale, egoiste, individualiste rien que pour encaisser des intérêts mais pas pour défendre l’homme. sinon, tous les jours ils devaient faire denonciations de ce genre

    • Le 4 mars 2017 à 17:30, par TON HOMO En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      MR Ahmed ;de grâce ne réagissez pas ainsi.Ne comparez pas a l’aveuglette et ne faites pas preuve d’une myopie intellectuelle terminale.Ce mr a droit aux soins requis même s’il est présumé coupable de la pire ignominie. Réfléchis car si c’était toi ou les tiens tu aurais eu un autre ton.

      • Le 5 mars 2017 à 13:02, par Nabiiga En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

        ...je ne pense pas avoir entendu aucune revendication de nulle part selon laquelle le soldat Djirbril ne doit pas être soigné ; qui le diras ? En fait, c’est eux, les gens de Blaise, ce sont eux par contre, qui ont refusé le traitement à leurs prisonniers, à commencer par David, sinon, David Ouédraogo que François a tué, serait en vie. Donc, comme je le disais, personne n’est contre les soins voulus par Djibril, nous le souhaitons ardemment mais souhaitons ardemment également que tout s’arrête au niveau de ces soins-là ; pas plus. Parlez-nous pas de pardon, parlez-nous pas de la haine, et surtout pas de vengeance car ceux pour qui vous réclamez le pardon, la compréhension et je n’en sais quoi, parce que, selon vous, c’est Burkinabè de l’être, se trouvaient dans la même situation et même Burkinabè, ils ont rejeté ces principes de burkiemdé, ils ont refusé d’être ce qu’on attend d’un burkinabè pour assassiner leurs victimes. Pourquoi, faut-il aujourd’hui, du coup, ah, il ne faut pas nous oubliions qui nous sommes, Burkinabè à priori, donc compréhensif, sympa, sans haine, sans vengeance etc et eux, lorsqu’ils étaient au pouvoir, étaient-ils des Turcs ?

  • Le 3 mars 2017 à 19:15, par Fidèle En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Le Cercle d’Eveil (CEDEV) et l’Observatoire de la démocratie et des droits de l’Homme (ODDH) se discréditent car personne n’entend parler de vous depuis des lustres alors que des simples voleurs d’orange croupissent en prison et meurent faute de soin élémentaire. Alors, que votre illustre homme bénéficie d’un minimum qu’eux n’ont pas eu ! vous voulez nous faire croire que la vie de Bassolé est bien plus importante qu’un simple voleur d’oranges.... Un peu de décence de votre part ne ferait pas de mal à tous.

  • Le 3 mars 2017 à 20:19, par moi-meme En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    il est évident que le régime actuel doit assumer toutes ses responsabilités car on ne gère pas un pouvoir comme une cellule laïque d’une confession.
    que vaut cette déclaration si ce n’est une offense nationale et une insulte à la mémoire de ces jeunes âmes tombées sous les balles assassines dont une présomption de culpabilité pèse actuellement sur Djibril BASSOLE. Lui au moins s’il doit mourir aujourd’hui, aura eu le temps de se soigner. et ceux qui sont morts sous les balles sans la moindre alerte ni préavis....foutaises.^pas question de libérer de cet assassin hors pair.

    • Le 4 mars 2017 à 09:16, par oukana En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      Nous nous sommes battus pour une justice équitable et non à la tête du client. Nous devons lutter afin de faire respecter les droits des détenus. Le Burkina Faso à besoin d’une justice équitable, gage d’une meilleure cohésion sociale. Arrêtons les appels à la haine, cela ne favorisera le développement de notre chère nation. Que DIEU veille sur le Burkina Faso !

  • Le 3 mars 2017 à 20:34, par Razambwende En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Sans être politicien ni partisan, j’invite tout être humain à méditer ces deux proverbes qui disent
    1 - " Tant que tu n’as pas traversé le marigot alors ne te moque pas de celui qui se noie"
    2 - " Le problème n’arrive pas aux arbres, ce qui affecte X aujourd’hui affectera Y demain"
    Y est une variable aléatoire qui peut être moi ou mon prochain alors soyons plus humain en ne rendant pas le mal par le mal sous un prétexte quelconque sous couvert de la justice.
    Un suspect non encore jugé donc non encore coupable s’ il n’est pas dangereux et qu’il ne va pas s’évader peut normalement bénéficier d’une liberté provisoire en attendant d’être jugé.
    Attention à trop de zèle juridique ou politique car ce que nous semons aujourd’hui c’est ça que nous allons récolter demain. L’histoire rattrape toujours et comme mon père me disait chaque fois : " Il n y a que le mort prématuré qui ne connaîtra jamais les surprises de la vie tant agréables que désagréables" .
    Nous sommes tous Burkinabè, nous voulons la justice, nous voulons la vérité, nous voulons le pardon et nous voulons la réconciliation . Je crois qu’un cadavre de trop ne nous aidera pas dans le manifeste de la vérité encore moins de la justice ni du pardon et de la réconciliation.

  • Le 3 mars 2017 à 22:40, par Kabré En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Je pense sincèrement que Rock et Salif sont entrain de chercher les problèmes qui vont les emporter. Ne pensez pas que c’est un petit problème.

  • Le 3 mars 2017 à 23:03, par Cheikh En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Quand j’entends aujourd’hui une expression telle qu "un cadavre de trop ne nous aidera......et de la réconciliation", je me demande bien où ce Razambwendé était, pendant tout le temps où l’on trucidait sous l’ancien régime, tous ceux qui l’ont été ! Même si lui il ose affirmer qu’il n’a pas de parents parmi ces morts, qu’il arrête au moins d’insulter la conscience des autres, avec cette logique d’amateur. Quant à Evariste CONSIMBO et Lookmann SAWADOGO, on vous voyait déjà venir, et on vous l’avait prédit. A quoi bon aller se donner la peine, de créer de minuscules structures de ce genre, pour leur donner de grands noms, si c’est pour choisir de s’empêtrer ainsi tout de go, dans des affaires qui ne vous honorent en rien. Ainsi donc, à défaut de ne plus pouvoir continuer à ironiser le pouvoir sur les plateaux de Télé, au point d’en donner même l’occasion aux énergumènes comme Ali COMPAORE, vous vous décidez à présent de fabriquer une autre structure de toutes pièces( ODDH), que vous ajoutez à votre inefficace (CEDEV), pour divertir le monde. Mais arrêtez les gars, car on vous connaît suffisamment. Utilisez plus judicieusement vos petits titres de journalistes, pour faire du bien au peuple, que de chercher à tout prix à le berner.

  • Le 3 mars 2017 à 23:38, par Ka En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Nul n’a le droit de se faire justice soi-même : Et je pense que les amis de Bassolé, je dis ses amis au pouvoir, car ceux qui ont trainé Blaise Compaoré dans la boue, et plier bagages pour grossir les rangs du MPP, en demandant un bon rétablissement au soldat Djibril Bassolé, ne le feront aucun mal. Ils savent tous que ce dernier est soignable avec nos moyens de bord sur place. Ce que je me pose la question, c’est pourquoi la sortie du cercle d’Eveil CEDEV/ODDH ? Ou étiez-vous quand la révolution de Thomas Sankara et de Blaise Compaoré ministre de la justice, tuait sans justice ? Ou étiez–vous quand Blaise Compaoré et Djibril Bassolé emprisonnaient, torturaient, tuaient sans se soucier de la santé des prisonniers que d’annoncer des morts naturels ? Il fallait que vous vous posiez ces questions avant de venir donner les leçons aux gouvernants et amis de Djibril Bassolé. Avant de nous donner vos leçons a la con, il fallait que vous soyez vous-même irréprochable dans vos actions avant, maintenant, et dans l’avenir. Avant de venir nous donner des leçons des droits de l’homme, il fallait passer à la MACA demander au Soldat Djibril Bassolé, quand il était au pouvoir depuis 1999-2014, le Burkina était un état de droit ? De blaise Compaoré a Roch Kaboré, les amis de Djibril Bassolé, leur justice pour le peuple Burkina est à la vitesse variable selon les humeurs pour amis, ou les familles, surtout les miettes promises ou venants de l’extérieure. Pour vous dire Mr. les responsables des droits de l’homme, il fallait commencé votre réveil depuis 1983 à nos jours, car ceux dont vous voulez-vous accuser de laisser mourir le soldat Djibril Bassolé, sont ceux qui bénéficiaient des largesses, soutenu, protégé, par le même soldat Djibril Bassolé fidèle de leur mentor Blaise Compaoré, dont ils ont trainé dans la bouse de vache, et le faire fuir un midi avant son repas. Soyez–en sur, le soldat Djibril Bassolé ne mourra pas en prison, il sera sauvé, ce n’est qu’une question de temps, et un jeu diabolique d’une politique à l’autruche d’un diviseur bien averti.

  • Le 4 mars 2017 à 07:23, par Papa En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Messieurs ,vous et vos structures machins appeles’ pompeusement CEDEV et ODDH, tout le monde sait que vous courez derriere vos pitences aupres de votre bailleur Djibril . Combien de Burkinabe sont plus infectes’ que votre mentor Bassolet par des maladies dans les prisons ? Ne sont-ils pas des citoyens au meme titre que Djibril Bassolet votre bailleur de fond ? Chacun se reveille le matin et etudie de quelle startegie adopter pour faire chauffer la marmite de sa femme, cette fois-ci vous avez rate’ .Essayez de vous regarder dans la glace et vous verrez a quoi vous ressemblez. Honte a vous .

    • Le 5 mars 2017 à 00:22, par Alx En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      Pourquoi croyez vous que tous ceux qui commencent maintenant à dire des choses sensées sont payés ! Commencez par réfléchir maintenant au lieu de continuer à débiter ces bêtises. Et vous ? Vous étiez où ? On a jamais entendu parler de vous non plus sous Blaise. Vous étiez où ? A titre plus personnel, Djibril vous a fait quoi ? On dit de Djibril au moins qu’il a agit à éviter le sang de couler et sur RFI il s’est prononcé sur l’article 37. Et vous, vous avez fait quoi ? Arrêter de faire la girouette comme ces enfants instrumentalisés et devenez l’adulte que vous êtes je crois. Enfin... Cela aidera beaucoup de gens et certainement ces enfants instrumentalisés....

  • Le 4 mars 2017 à 07:29, par le panafricain En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Djibril, laisser les tant que ils te libere pas et faire la lumière sur la mort de salif Nebie ,ce pays continuera a glisser a les niveaux ,le CDP a été victime deja , et avec MPP ça continue .........

  • Le 4 mars 2017 à 08:41, par Leversé En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Djindjéré est un commando plein,est ce qu’on parle de sa santé c’est parce qu’ il a suivi une visite médical avant d’intégrer l’armé .Mais si vous voulez mettre Bassolé en liberté provisoire,faites le au lieu de nous pomper l’air comme s’il étais le seul malade au BF.Les jihadistes sont entrain de vouloir occuper une partie de notre territoire,je pense qu’on a plus d’interêt de se mettre ensemble pour boutter ces jihadistes hors de nos frontières que de parler de la santé de quelqu’un qui est capable d’aller conbattre.
    Aprés Bassolé on attend la maladie de Djindjéré qui est fou a part le vrai.A bon entendeur salut

    • Le 5 mars 2017 à 00:27, par Alx En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      Bassole doit beneficier de la liberté provisoire pas parce que les RSS sont gentils mais parce qu’on la lui doit comme à tout ce qui en ont beneficié. Commencez par réfléchir maintenant au lieu de continuer à débiter ces bêtises. Et vous ? Vous étiez où ? On a jamais entendu parler de vous non plus sous Blaise. Vous étiez où ? A titre plus personnel, Djibril vous a fait quoi ? On dit de Djibril au moins qu’il a agit à éviter le sang de couler et sur RFI il s’est prononcé sur l’article 37. Et vous, vous avez fait quoi ? Arrêter de faire la girouette comme ces enfants instrumentalisés et devenez l’adulte que vous êtes je crois. Enfin... Cela aidera beaucoup de gens et certainement ces enfants instrumentalisés....

  • Le 4 mars 2017 à 09:34, par Société civile En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    de l’électrocardiogramme fourni par le médecin –traitant concernant monsieur Djibril Bassolé exige en urgence des examens approfondis qui ne peuvent se faire au Burkina à cause de l’inexistence d’un centre cardiologique plus outillé pour effectuer lesdits examens indispensables à sa prise en charge sanitaire appropriée. c’était ainsi pour les autres burkinabè pendant le règne de votre protégé alors qu’il aurait pu rendre disponible ce plateau technique au profit des burkinabè et de lui-même. Pensez aussi aux autres quand vous êtes aux commandes. Meilleure santé à Djibril Bassolé .

  • Le 4 mars 2017 à 09:48, par Tarzan En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Pour Loukman cela n est pas nouveau pour ceux suivent l actualite du pays.Journaliste au journal du soir pro Compaore il tente de dissimuler son parti pris.Il cree son machin il ya seulement 2 mois juste pour defendre ses amis.Il est comme Ludo Thieno de Burkina info ils ont du mal a dussimuler leur amertume apres le depart de leur ami Blaise.Quant a Evariste c est l homme a l orgueil surdimentionne, mr je connais tout saisi toutes les occasions pour critiquer.Toute chose qu il a du mal a accepter quand c est son tour.Ce Mr a dit sur Omega en direct qu un intervenant aboie tout simplement pcq il n abondait pas dans le meme sens que lui.Si on libere Bassole pour des soins et qu il ne revenait pas soyez sur qu il sera le premier a insulter le gvt.Chers defenseurs des dites moi si il 2 droits de l homme au Burkina ou quoi.Allez a la Maco vous allez vour des gens plus mal en point que votre Ange.Plutot votre poule aux oeuf d or.Ainsi va le Faso des Interets.

  • Le 4 mars 2017 à 09:52, par Jeune Premier En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    S’il n y a pas de materiel approprie dans nos hopitaux a qui la faute ? Puisque ce sont nous gouvernaient et qui devaient mettre tous ses systemes en place. L’histoire rattrape les humains comme dit l’autre. Ils n’ont qu’a gouter voir et l’occasion pour le trio d ’y penser

  • Le 4 mars 2017 à 10:26, par x En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Mes chers Evariste et Lookman, je salue votre engagement et crois en votre bonne fois. Seulement, on sent que vous manquez d’expérience, vu la jeunesse de vos structures. On ne publie pas une déclaration sur un sujet aussi important (droit à la santé dans les centres de détention), en mettant tout le focus sur une seule personne. Là, votre déclaration perd en crédibilité et revêt un caractère subjectif, qui vous fait beaucoup plus paraître "défenseurs de Mr Djibril Bassole" que "défenseurs de droits de l’homme". Prochainement, évitez de telles erreurs. Merci.

    • Le 5 mars 2017 à 00:30, par Alx En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      Savez vous depuis quand ces structures existent ? Et puis la jeunesse de ces structures ont quoi à voir ? Commencez par réfléchir maintenant au lieu de continuer à débiter ces bêtises. Et vous ? Vous étiez où ? On a jamais entendu parler de vous non plus sous Blaise. Vous étiez où ? A titre plus personnel, Djibril vous a fait quoi ? On dit de Djibril au moins qu’il a agit à éviter le sang de couler et sur RFI il s’est prononcé sur l’article 37. Et vous, vous avez fait quoi ? Arrêter de faire la girouette comme ces enfants instrumentalisés et devenez l’adulte que vous êtes je crois. Enfin... Cela aidera beaucoup de gens et certainement ces enfants instrumentalisés....

  • Le 4 mars 2017 à 10:39, par Athanase En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    C’est vraiment choquant le message de ces deux défenseurs des droits de l’homme. Combien de prisonniers sont à la MACO et sont privés de soins ? M Bassolet est il un super Burkinabè ?

    • Le 5 mars 2017 à 00:32, par Alx En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      On ne justifie pas une injustice par une injustice. Réclamez justice ou liberté provisoire à tout ceux qui sont en prison et qui le méritent. Et de même pour Djibril. Commencez par réfléchir maintenant au lieu de continuer à débiter ces bêtises. Et vous ? Vous étiez où ? On a jamais entendu parler de vous non plus sous Blaise. Vous étiez où ? A titre plus personnel, Djibril vous a fait quoi ? On dit de Djibril au moins qu’il a agit à éviter le sang de couler et sur RFI il s’est prononcé sur l’article 37. Et vous, vous avez fait quoi ? Arrêter de faire la girouette comme ces enfants instrumentalisés et devenez l’adulte que vous êtes je crois. Enfin... Cela aidera beaucoup de gens et certainement ces enfants instrumentalisés....

  • Le 4 mars 2017 à 11:02, par lezoung En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Slt les patriotes. J partage le principe de protection du droit des présumés. Dites moi où se trouve la vérité dans cette affaire ? Les journalistes comme les agents des administrations publiques doivent bénéficier des spécialisations. Qd on peut se prononcer sur tous les sujets, on connaît tout et rien à la fois.

    • Le 4 mars 2017 à 11:42, par Raogo En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

      « Une personne privée de sa liberté individuelle doit être considérée comme un “prisonnier politique” :

      a. si la détention a été imposée en violation de l’une des garanties fondamentales énoncées dans la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) et ses protocoles, en particulier la liberté de pensée, de conscience et de religion, la liberté d’expression et d’information et la liberté de réunion et d’association ;

      b. si la détention a été imposée pour des raisons purement politiques sans rapport avec une infraction quelle qu’elle soit ;

      c. si, pour des raisons politiques, la durée de la détention ou ses conditions sont manifestement disproportionnées par rapport à l’infraction dont la personne a été reconnue coupable ou qu’elle est présumée avoir commise ;

      d. si, pour des raisons politiques, la personne est détenue dans des conditions créant une discrimination par rapport à d’autres personnes ; ou,

      e. si la détention est l’aboutissement d’une procédure qui était manifestement entachée d’irrégularités et que cela semble être lié aux motivations politiques des autorités. »

      (SG/Inf(2001)34, paragraphe 10).

  • Le 4 mars 2017 à 11:36, par N’dabi En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Juste une question : combien de détenu souffrirait de maladie qui nécessiterait qu’on les évacue dans nos prisons au BF ?
    M Bassolé n’a pas plus de droit qu’un détenu quelconque du Burkina, donc, sur ce fait, il faudrait arrêter de crier à l’injustice sur un cas qui n’est pas isolé.

  • Le 4 mars 2017 à 11:40, par Raogo En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    « (…) [L]’article 3 [de la Convention européenne des droits de l’homme, qui interdit les traitements inhumains ou dégradants,] impose à l’État de s’assurer que tout prisonnier est détenu dans des conditions qui sont compatibles avec le respect de la dignité humaine, que les modalités d’exécution de la mesure ne soumettent pas l’intéressé à une détresse ou à une épreuve d’une intensité qui excède le niveau inévitable de souffrance inhérent à la détention et que, eu égard aux exigences pratiques de l’emprisonnement, la santé et le bien-être du prisonnier sont assurés de manière adéquate, notamment par l’administration des soins médicaux requis (…) » (Kudła c. Pologne, arrêt (Grande Chambre) du 26 octobre 2000, § 94).

  • Le 4 mars 2017 à 11:43, par Raogo En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    in Zoodomail posté le 3 mars 2017, par Karanga P
    Koro Yamyele à parfaitement raison.
    ceux qui veulent le savoir, le commissaire du gouvernement, Alioune Zanre, a voulu mettre en doute les résultats des examens du professeur Niankara, lui aussi militaire, alors s’en est suivi d’autres examens en présence d’autres spécialistes de l’armée et les conclusions ont été confirmées. Quant au plateau technique, il n’y a pas de débat puisque vous qui sembler attester l’existence du matériel ici. Savez-Vous ce que le diagnostic révèle porte qu’on veuille demander son évacuation ? Sauf à vouloir douter de l’expertise du pr. Niankara l’un des meilleurs au pays qui officie dans l’une des cliniques la plus techniquement au point. Notre haine ne doit pas brider notre intelligence je pense... Et chacun de nous est mortel sachez-le. A bon entendeur salut !

  • Le 4 mars 2017 à 16:31, par wenda ye la faanda En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Tous ces faux types qui parlent de justice se trompent car seul DIEU est capable de faire une véritable justice. Fourberie, tricherie, sournoiserie, méchanceté, revanchardise sont les vrais maux de la justice des hommes. Alors allons vers le Pardon et ne rendons pas le mal pour le mal et soyons des bâtisseurs de la paix. Dieu là-haut nous observe et nous regarde et même nous suit. Dieu dans sa bonté infinie nous demande de nous pardonner et DJIBRIL mérite notre pardon même étant en prison, il reste un frère bien aimé. Ce monsieur, malgré ce qu’on lui reproche (parfois rien d’établi formellement) a été et reste un ardent travailleur ayant porté très haut la diplomatie et la grandeur du Burkina Faso contrairement à des pietres serviteurs actuels rancuniers ayant perdu toute crédibilité et tout sens de l’honneur pour notre Patrie. Une diplomatie agonisante et misérable parfois répugnante.
    Partout où il passait dans les pays, le corps diplomatique africain demandait l’expertise du Burkina Faso en matière de facilitation et de négociation dans les pays ou des zones de conflits fractricides. Vous pouvez ou ignorez ou ne pas reconnaitre les mérites de cet homme mais il a contribué à amoindrir voire anéantir la douleur de la guerre et de la séparation des membres d’une famille. Vouloir ternir son image, c’est méconnaître l’amour que DIEU a pour tout homme et pour Djibril. En ce temps de carême, moi je suis pour le pardon, la compassion et surtout l’amour pour les personnes privées de leur santé et de leur liberté, car nous sommes tous pareils, pécheurs au carré. DIEU ! pardonnes-nous de nos péchés et nos égarements quotidiens.

  • Le 4 mars 2017 à 16:46, par "LE VIEUX" En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    MESSIEURS DU CEDEV ET DE L’ODDH, JE POUVAIS VOUS COMPRENDRE SI VOUS AVIEZ DEMANDÉ L’HOSPITALISATION URGENTE DE BASSOLET DANS UN HOPITAL OU CLINIQUE DE LA PLACE. MAIS VOCIFERER POUR UNE EVACUATION A L’ETRANGER ME SEMBLE UNE INSULTE A L’INTELLIGENCE DU BURKINABE LAMDA. SI DURANT LE QUART DE SIECLE OU BASSOLET A BRILLÉ. DE "MILLE FEUX",S’IL AVAIT UTILISÉ SON POUVOIR, SON ARGENT ET SES RELATIONS POUR LE DEVELOPPEMENT SANITAIRE DE SON PAYS, ON N’ALLAIT PAS ÊTRE ENTRAIN DE TRAINER L’IMAGE DU BURKINA DANS LA BOUE COMME VOUS LE FAITE MAINTENANT. LES AUTRES CARDIAQUES QUI SE SOIGNENT AUX BURKINA SONT DES ANIMAUX ? CHERS MEMBRES DES 2 OSC, OU SE TROUVE L’EQUITÉ QUE VOUS PRONEZ TOUS LES JOURS ?

  • Le 4 mars 2017 à 19:52, par bidou En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    oh ! on parle des droits de l’homme. seulement ceux qui sont a la MACA sont des hommes et ont des droits. laissez moi rire... et ceux qui sont a la MACO ? des demi hommes ou pas du tout ? arrétez vos mises en scène. nous ne sommes pas a l’ATTB. M. Djibril souffre de quoi ?

  • Le 4 mars 2017 à 19:59, par Pierre Combary En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Merci à ces deux messieurs qui ont osés courageusement là où beaucoup ne s’hasarderait quand bien même il y a nécessité d’élever la voix surtout quand on prétend défendre les droits de l’homme. Défendre les droits de l’homme c’est faire fi des oripeaux et autres considérations de bas niveauX. Aujourd’hui dans notre pays, on ne dépend que ceux de sa couleur ou son idéologie. Suivez mon regard. Pour d’autres organismes, nationaux ou succursales d’Ong internationales qui se sont saborder politiquement, il n’y a plus de voix. On passe le temps a se faire subventionner par les bailleurs étrangers et on fait dans la sectaire ou la sélection des cas. Ou tout simplement, on s’autocensure. La défense des droits de l’homme suppose ouverture, inclusion, généralisation. Si les homosexuels ont droit à voir leur droits pris en compte par les droits de l’homme, c’est au nom de ce principe d’inclusivite. Evariste et Lookmann tenez bon car vos avez saisi là réalité des choses. Chose que d’autres n’accepterons pas. Les propos haineux, injurieux et inintelligiblesur déversésur ici sont le fait de la gêne que vous faites à ceux qui n’aiment pas la cause des droits de l’homme qu’ils professent et y trouvent leur carrière, c’est aussi l’expression de la haine du général Bassolet que des gens souhaitent la mort notamment ces gens du MPP et leurs fidèles, enfin ’est aussi le fait d’ignorants assis sur tablettes achetés pour juste raconter des idioties et détourner les gens des vraies questions. Moi je vous admire et vous demande de continuer. Prenez votre place et n’écoutez que les critiques qui construisent. Les droits de l’homme n’existent plus dans ce pays depuis le temps révolu des Alidou Ouedraogo. Aujourd’hui n’avons des extrémistes et des des revanchards qui oublient la noblesse de défendre les droits de tout le monde et non de ceux qu’on choisi pour une raison ou une autre.

  • Le 4 mars 2017 à 20:00, par Pierre Combary En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Merci à ces deux messieurs qui ont osés courageusement là où beaucoup ne s’hasarderait quand bien même il y a nécessité d’élever la voix surtout quand on prétend défendre les droits de l’homme. Défendre les droits de l’homme c’est faire fi des oripeaux et autres considérations de bas niveauX. Aujourd’hui dans notre pays, on ne dépend que ceux de sa couleur ou son idéologie. Suivez mon regard. Pour d’autres organismes, nationaux ou succursales d’Ong internationales qui se sont saborder politiquement, il n’y a plus de voix. On passe le temps a se faire subventionner par les bailleurs étrangers et on fait dans le sectaire ou la sélection des cas. Ou tout simplement, on s’autocensure. La défense des droits de l’homme suppose ouverture, inclusion, généralisation. Si les homosexuels ont droit à voir leur droits pris en compte par les droits de l’homme, c’est au nom de ce principe d’inclusivite. Evariste et Lookmann tenez bon car vous avez saisi la réalité des choses. Chose que d’autres n’accepterons pas. Les propos haineux, injurieux et inintelligibles déversés ici sont le fait de la gêne que vous faites à ceux qui n’aiment pas la cause des droits de l’homme qu’ils professent et y trouvent leur carrière, c’est aussi l’expression de la haine du général Bassolet que des gens souhaitent la mort notamment ces gens du MPP et leurs fidèles, enfin ’c’est aussi le fait d’ignorants assis sur des tablettes achetés pour juste raconter des idioties et détourner les gens des vraies questions. Moi je vous admire et vous demande de continuer. Prenez votre place et n’écoutez que les critiques qui construisent. Les droits de l’homme n’existent plus dans ce pays depuis le temps révolu des Alidou Ouedraogo. Aujourd’hui nous n’avons plus que des extrémistes et des des revanchards qui oublient la noblesse de défendre les droits de tout le monde et non de ceux qu’on choisi pour une raison ou une autre. Sachez cependant que j’hesiterai pas à vous critiquer s’il y a des choses pas bien. Mais ici vous faites votre devoir rien à se reprocher. Je vis dans un pays où les droits de l’homme sont comme un sacerdoce. On ne fait pas ni par avoir quelque ni parce que aimerais ou qu’on à le choix de faire ou ne pas faire.

  • Le 6 mars 2017 à 11:38, par Zemosse En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    La tactique’est’bien connu. Au Niger on a évacué l’ancien président de l’assemblée nationale, Mahamane depuis plus d’un an.Je pense qu’il serait toujours’en France. Alors , evacuez Bassolet et vous verrez. Il faut faire prendre conscience à nos hommes politiques sur la nécessité d’investir sérieusement dans la santé en vue d’éviter ces aberrations qui consiste à dévoiler que le Burkina ne dispose pas de structures et de spécialistes pour certaines prises en charge : c’est honteux

  • Le 6 mars 2017 à 17:09, par Le fadalais En réponse à : Santé de Djibrill Bassolé : Le CEDEV et l’ODDH dénoncent des entraves judiciaires

    Je pleure pour la haine que cultive mon pays. Je souhaite que les autorités coutumières et religieuses aident les autorités politiques à ramener la joie dans le cœur des burkinabés. Nous devrons comprendre une seule chose "Nous sommes tous burkinabè" et devrons comprendre que le temps passe et les esprits se développent. Il fût un temps où personne n’osait parler devant un homme de tenue à plus forte raisons à mains nues déloger un président. Acceptons l’évolution du monde et acceptons de pardonner. Il m’a tout l’air que personne n’est prêt à pardonner aujourd’hui au Burkina Faso. Je suis une victime directe d’un pouvoir. Je n’oublierai pas mais je leur pardonne afin que l’âme de ceux que j’ai perdu repose en paix car je suis convaincu d’une chose la justice divine existe et existera toujours. Pardonne ! Pardonne pour que les âmes des victimes reposent en paix.

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