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Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

Publié le jeudi 12 janvier 2017 à 06h17min

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Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

A l’instar des policiers révoqués suite à la mutinerie de 2011, les militaires radiés ont aussi demandé leur réintégration au sein de l’armée ce mardi 10 janvier 2017. Regroupés à la place du grand lion, ces hommes ont souhaité que la hiérarchie militaire se penche sur leur dossier.

Devant l’Etat-major général des armées, les militaires radiés ont exprimé en cette matinée du mardi 10 janvier, l’intention de comprendre le traitement des dossiers militaires. « Nous nous sommes déportés ici pour que les premiers responsables de l’institution militaire, sortent nous dire le sort qui est réservé à ce dossier. Cela n’a pas de lien avec le dossier des militaires de l’ex- RSP (Régiment de sécurité présidentielle, ndlr), mais nous dénonçons le fait de laisser des situations qui se sont passées avant ce dossier pour venir gérer ce problème », a indiqué Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés de 2011.

Et le porte-parole des 600 militaires révoqués de poursuivre : « Nous pensons que c’est de la politique parce que pour le cas RSP, ils défendent leurs généraux et autres. Nous avons défendu toute une armée parce que tout le monde a bénéficié de la minuterie, sauf ceux qu’on a radiés. Pourquoi aujourd’hui, on ne peut pas revenir sur ce dossier ? » s’est interrogé Hervé Tapsoba.

Presque six années après leur radiation, Hervé Tapsoba et ses camarades veulent que le droit soit dit et de la bonne manière. « Actuellement au Burkina, on a l’impression que le faible n’a jamais eu raison devant le plus fort et chaque fois, c’est la queue qui est sanctionnée au détriment de la tête » a-t-il martelé. Puis, le porte-parole de poursuivre : « On veut nous laisser dans la nature et ce n’est pas de la bonne manière. Même si vous le voulez, respectez au moins la part de vérité en disant au peuple ce qui s’est réellement passé. Si vous avez pu accepter les revendications, sachez aussi que ceux que vous avez chassés, ce n’était pas de la bonne manière. Qu’est- ce qui prouve que ce sont les coupables qui ont été radiés ».

Avec le temps, tout se dira ….

A les entendre, ce sont leurs responsables qui peuvent trouver la solution à ce problème. Et après plusieurs tentatives infructueuses de rencontrer ces derniers, ces militaires radiés soutiennent que la hiérarchie militaire ne veut pas trouver une solution à leur problème. « Le problème est dans les mains des chefs », insiste Hervé Tapsoba. Et de renchérir : « Nous avons voulu déposer une demande d’audience. Le colonel-major Moné (secrétaire général du Ministère de la défense) nous a dit qu’il ne transmettra pas notre demande d’audience. Il nous a dit, allez-y déposer vous-même. En tant que secrétaire du Ministre de la défense, si ce dernier refuse d’envoyer une demande d’audience pour les radiés, c’est une réponse pour dire : On ne veut pas une solution à votre problème ».

Aussi, le porte-parole des militaires radiés poursuit : « Ce qu’ils (responsables) nous ont appris, nous connaissons et peut-être qu’on connait mieux que ce qu’ils pensent mais, nous sommes tous patients. On demande au peuple de nous soutenir parce que ce qui s’est passé avant, on leur a pas dit la vérité » a-t-il dit.

Puis de conclure que : « Petit à petit, nous savons que le secret militaire, nous ne sommes plus dedans, parce que si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre, que vous n’avez jamais entendues et avec le temps, tout se dira ici, à la place du lion ».

Lire aussi : Policiers radiés suite à la mutinerie de 2011 : « Même s’il y aura des cadavres parmi les éléments, on préfère mourir que de vivre ce que nous vivons »

Nicole Ouédraogo
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 11 janvier 2017 à 21:08, par warzat En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre. Des menaces, justement c’est pour cela que vous avez été radiés. Soyez ce que vous voulez, la gendarmerie vous aura aussi à l’œil. Franchement nous n’avons pas besoin de tels individus dans notre armée. Si ces gars étaient toujours dans l’armée, il y aurait eu plus de morts lors du soulèvement et du putsch raté. D’ailleurs ceux d’entre vous qui sont réellement innocents devraient réussir dans des activités dont les bénéfices sont tels qu’ils vont trouver qu’ils ont perdu leur temps dans l’armée. Foi de croyant.

  • Le 11 janvier 2017 à 21:17, par Yako En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Le pays est tombé bas deh.Sinon comment expliquer que, des violeurs et pilleurs n’ont plus honte de s’exhiber en public.Pire,ils menacent de.....tout ça au nez et à la barbe des chefs militaires.Yaako,même l’armée n’est pas épargnée par le nouvel ordre Burkinabé.

  • Le 11 janvier 2017 à 21:38, par sidwaya sorgho gomis En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    S’agit-il des mêmes soldats qui ont cassé des boutiques et violer des femmes dans leurs sorties bruyantes de 2011. Nous avons en mémoire un qui avait même préféré abandonné son arme dans la boutique qu’il a vandalisée pour se charger de son butin. Même les vulgaires coupeurs de route ne font pas ça : abandonner son "outil de travail" au profit de son butin.

    S’agit-il des mêmes policiers qui ont voulu emboîté le pas des militaires ?

    La chienlit s’installe dans le pays. Que les autorités nous montrent de quoi elles sont capables.

  • Le 11 janvier 2017 à 21:47, par un passant. En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Ne menacez pas (publiquement surtout) si vous n’etes pas sur de mettre votre menace a execution. Voyez, vous venez de mettre vos interlocuteurs dans l’embarras. S’ils acceptent vous rencontrer, c’est comme s’il y a vraiment des choses qu’ils ne veulent pas que le peuple sache !! S’ils refusent de vous rencontrer, vous continuerez a dire qu’ils ne se soucient pas de vos problemes. Et vous memes, si apres vous ne dites rien, c’est comme si on avait achete votre silence.... en clair vos menaces rendent difficiles une solution negociee et une sortie honorable pour toutes les parties.

  • Le 11 janvier 2017 à 22:02, par Romuald En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    « ... On demande au peuple de nous soutenir parce que ce qui s’est passé avant, on leur a pas dit la vérité »

    Vous demandez aujourd’hui au peuple de vous soutenir, celui que vous avez pillé et tué le jour de votre sortie à la RAMBO. Vous vous êtes vus intouchables ce jour là. Les balles que vous avez tirées ont fait des victimes parmi ce peuple. Si ce n’est pas parce que l’armée vous protège, vous devriez être poursuivis, jugés et vous devriez payer pour cela (réintégrés ou pas).
    Osez quelque chose aujourd’hui, vous verrez comment ce peuple que vous avez brimé ce jour là va réagir.
    Vous êtes des indisciplinés et vous n’avez pas encore compris que nous ne voulons pas de vous dans notre vaillante armée républicaine qui nous a débarrassé de ce fichu RSP.

  • Le 11 janvier 2017 à 23:16, par Barcelonais En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    FRANCHEMENT CES MILITAIRES ET POLICIERS RADIÉS NOUS FATIGUENT. VOUS DEVRIEZ REMERCIER DIEU D ÊTRE HORS PRISON. VOUS AVEZ VOLÉ, VIOLÉ DEVANT TOUTES LES CAMÉRA DU MONDE. VOUS AVEZ PILLÉ DE SIMPLES MAQUIS POUR VOUS SOULER LA GUEULE. VOUS AVEZ TRAUMATISÉ DES CIVILS TOUT SIMPLEMENT PARCE QUE VOUS AVIEZ DES ARMES MAINTENANT UN PEU DE DIGNITÉ EN VOUS CACHANT , VOUS N ALLEZ JAMAIS RÉINTÉGRER L ARMÉ , NOUS CIVILS ON S OPPOSERA PAR TOUS LES MOYENS.

  • Le 12 janvier 2017 à 00:02, par pierre En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Le peuple vous tient a l’oeil . Bande de violeurs et de voleurs . Commettez le moindre gaffe et vous verrez.

  • Le 12 janvier 2017 à 02:58, par Droit En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    A ce point !? Ne dit on pas que nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes ? Que disent les textes militaires à propos de ces comportements de type mutinerie adoptés par des militaires ? Ces textes ont ils été violés en son temps quand on prenait la décision de votre radiation ? Si cela peut aider parlez seulement afin que toutes les vérités se manifestent... Votre dossier est corsé hein, parce que les priorités du Gouvernement semblent être ailleurs en ce moment. Courage à vous mais, dans un élan de repentance mes frères...

    • Le 12 janvier 2017 à 09:50, par Romuald En réponse à : Minuterie de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

      Non justement, ne les encouragez pas. Leur réintégration n’est pas un droit. L’Etat n’est pas obligé de reprendre des fonctionnaires qui ont été radiés pour faute professionnelle. Ils manifestent comme si leur réintégration était un droit. Il ne faut pas confondre revendications syndicales, grèves et marches syndicales (car faisant partie des règles démocratiques) et revendications de fonctionnaires radiés pour indiscipline. Ils n’ont qu’à aller se battre comme les autres citoyens. Tous les burkinabé ne sont pas des fonctionnaires pourtant ils vivent non.

  • Le 12 janvier 2017 à 07:01, par SIDPAWETTA En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    VOUS ETES DES VOLEURS ET DES VIOLEURS DE SOEURS RELIGIEUSES D’EXPATRIEES. ON DEVAIT MEME VOUS METTRE AU POTEAU....LAISSER NOUS TRANQUILLE. L’ ;ARMEE NE VEUT PAS DE DELINQUANTS...BASTA

  • Le 12 janvier 2017 à 07:22, par Hamane En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    j’avais dit ceci et je le redis : "Je plaide pour la réintégration de ces jeunes policiers et militaires radiés en 2012 suite aux évènements de 2011. Je me permets de douter de l’objectivité, la transparence dans l’enquête ayant abouti à leur radiation. A l’époque je pense que certains ont été épargnés parce qu’ils avaient des bras longs et beaucoup de ceux qui n’avaient pas de bras ont été radiés. Il faut peut-être reprendre l’enquête pour mieux comprendre. Je pense que des innocents ont été radiés et des coupables ne l’ont pas été. N’oublions pas aussi que ce mouvement de 2011 a contribué au succès de l’insurrection de 2014. Ce mouvement de 2011 a été un indicateur que beaucoup de chose en vont pas et ne sont pas maîtriser comme on le pense. C’est ce mouvement qui a convaincu le RSS qu’ils peuvent se retirer du CDP et utiliser le peuple comme bouclier. Avant ce mouvement, avec le RSS au CDP, si tu faisais on te faisait et c’était sans soucis et réaction populaire sérieuse. Rappelons que lors de ce mouvement Simon a été frappé chez lui et après il a dit "tant qu’on ne te frappe pas chez toi tu ne peux pas comprendre qu’ils (certains du CDP) ne maîtrisent rien". C’est ce mouvement qui a permis à Roch de comprendre que l’article 37 n’est pas anticonstitutionnel. En réalité pour moi, ces soldats révoltés de 2011 font partie du peuple et ont exprimé une partie des aspirations du peuple. Ils ont seulement fait l’erreur de s’en prendre souvent au peuple. On peut leur pardonner cela. Par contre les putschistes de 2015 étaient des anti-peuples qui ont tiré délibérément sur le peuple avec les armes de guerres achetés par le peuple. Pour ces radiés, ils peuvent demander pardon au peuple et réintégrer l’armée. N’oublions surtout pas leur contribution positive aux évènements de fin d’octobre 2014. De leur radiation à octobre 2014, ils ont marché aux côtés du peuple pour dire non à l’injustice au Burkina Faso. Lors du putsch, ils étaient du côté du peuple. Et ils sont prêts à monter au Nord pour nous sécuriser. On peut très bien leur faire confiance. Seulement, je pense que certains gradés à l’époque intouchables et aujourd’hui plus ou moins intouchables ne veulent pas d’eux pour des raisons subjectives. Ces responsables qui ne se sont pas assumés en 2011, en 2014, etc. les radiés leur renvoient une mauvaise conscience. Ces radiés sont comme un miroir qui renvoient à ces gradés leur mauvaises consciences. Je ne suis pas du milieu mais c’est mon analyse à distance. J’ai plus de sympathies pour ces radiés que ces gens pris en flagrant délit libérés de la MACA ou de la MACO avec des certificats médicaux par un système complice."

    • Le 12 janvier 2017 à 11:54, par Une FEMME En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

      <<......En réalité pour moi, ces soldats révoltés de 2011 font partie du peuple et ont exprimé une partie des aspirations du peuple. Ils ont seulement fait l’erreur de s’en prendre souvent au peuple. On peut leur pardonner cela......>>, Huuummm !!! Vous avez raison. Comme autre le vole, votre fille, sœur ou mère même n’a pas été violée par plusieurs d’entre eux ce jour, c’est normal que vous parlez de les pardonner pour cela. Des vies ont été détruites à jamais ce jour. Peut être qu’il y’a des innocents parmi eux ; aussi il y’a peut être des coupables non radiés. Que celui qui est sûr de son innocence le prouve ou s’il connait un coupable non radié, qu’il dénonce aussi et cela de manière explicite. Si l’état émet même ne serait ce qu’une petite possibilité de les réintégrer, nous les femmes allons sortir marcher. Ils devraient être reconnaissant même pour avoir écopé comme punition une simple radiation.

    • Le 12 janvier 2017 à 12:25, par Bonnet Rouge En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

      Cher internaute, j’ai du respect pour vous et, je vous demande d’avoir du respect pour les autres. Savez vous pourquoi vous pardonnez avec une si grande légèreté ? Parce que lors de cette mutinerie de 2011, vous n’aviez pas été molesté et dépossédé de ces maigres sous (comme ce fût mon cas) par ces voyous, ces délinquants, ces pires bandits de grands chemin, ces impies qui n’ont de Dieu que leur seuls et égoïstes intérêts. Si vous aviez perdu un fils, si votre sœur ou même votre mère avait été violée simplement parce qu’ayant commis le crime d’être au mauvais endroit au mauvais moment, vous n’auriez pas pardonné aussi irrespectueusement comme vous le faites à travers vos lignes. Aussi, je pense qu’il serait plus décent de suggérer que tous ceux qui sont coupables soient punis à la hauteur de leur forfait plutôt que de vouloir l’impunité au prétexte qu’il y en a certains qui ont échappé à la justice. Il convient que chaque citoyen rende des comptes lorsqu’il s’écarte de la loi.

    • Le 12 janvier 2017 à 13:29, par Sambo En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

      M. Hamane, si vous êtes un politicien, vous êtes un piètre politicien, vous ne pourrez jamais diriger un pays. Dans la gestion d’un Etat, il ne faut pas verser dans le sentimental. Il y a des fautes qui ne se pardonnent pas surtout quand il s’agit de fautes professionnels dans des domaines aussi sensibles que la sécurité de l’Etat. Ces individus ont commis des fautes professionnelles très graves, ils ont pillé des biens de citoyens, violé des femmes, ils ont fait usage de leurs armes qui ont fait des victimes parmi les populations civiles et vous, vous soutenez qu’il faut les réintégrer. Non, Monsieur, on ne peut pas diriger un pays de cette façon. Oui peut-être il y a des innocents parmi eux, mais la très large majorité est constituée de manifestants armés. Tant pis pour les innocents. Il fallait que ces radiations servent de leçons pour l’armée entière et pour tous les aventuriers planqués parmi les troupes..

      Souvenez-vous de vos leçons d’histoire sur la 2è guerre mondiale : le débarquement des "ALLIES" en Normandie, les bombardements dans cette partie de la France. Les Etats Majors des alliés savaient très bien que cela allait faire des milliers de victimes civiles innocentes, mais, il fallait le faire quand-même. Dans toute décision d’Etat de cette importance, il y a toujours de innocents. On n’a souvent pas le choix, il faut faire avec.

      Vous avancez ceci : « N’oublions pas aussi que ce mouvement de 2011 a contribué au succès de l’insurrection de 2014. Ce mouvement de 2011 a été un indicateur que beaucoup de chose en vont pas et ne sont pas maîtriser comme on le pense. »

      Même si cela était avéré, est-ce pour autant qu’il faut « reprendre l’enquête pour mieux comprendre » comme vous le préconisez ? On ne va pas gaspiller l’énergie et de l’argent pour ça quand même. Il y a tellement de choses plus urgentes et plus importantes à faire dans ce pays. Et puis, si tous les groupes sociaux qui ont contribué à l’insurrection d’octobre 2014 devaient revendiquer leur droits bafoués en son temps, on ne s’en sortira jamais (salaires coupés, têtes rasées, tortures, corps mutilés, humiliations diverses, etc.)

      Sans rancunes.

      • Le 12 janvier 2017 à 22:03, par Hamane En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

        A Une femme, Bonnet Rouge et Sambo. Avec un ou des si on met Paris dans une bouteille pour simplement dire qu’avec une ou des hypothèses tout deviens possible. Si on avait violé ma fille, ma mère etc. mon avis serait ceci ou cela. vous n’avez aucune preuve de ce que vous dites. Vous ne me connaissez pas, vous auriez peut-être jamais le temps de me connaitre. mas je vous parle de moi rapidement. 5 ans après ma naissance, ma mère a été assassinée par une tante "ST". Je n’ai jamais connu ma mère. je n’ai jamais vu sa photo . je ne la connais pas même en image. depuis mon enfance jusqu’à sa mort, je n’ai jamais fait le moindre mal à ma tante "ST". j’ai toujours défendu ses intérêts à tel point que ST pensais qu’autrui ne m’avait jamais dit qu’elle a assassiné ma mère. je m’occupait tellement bien d’elle et de ses enfants (certains plus âgés que moi) que peu de gens savaient que je savait. Un jour la fille ainé de St m’a demandé si je savais que c’est sa mère qui a tué ma mère ? j’ai dit oui, elle m’a dit que c’est faux. que sa mère lui a toujours demandée si je savais. je lui ai dit d’aller dire à sa mère que chaque jours que Dieu fait, il y a des gens autour de moi qui de demande de ne pas m’occupé d’elle car elle est à la base de mon malheur... l’histoire est plus longue que tout ça. prenons un raccoursi. Au décès de ST, j’ai pris en charge les frais de son enterrement au cimetière municipal et j’ai pris en charge ses frais de funérailles. l’histoire est plus longue que ça. mais vous dites que si on avait violé ma mère je leur pardonnerai pas. eu bien autrui a tué ma mère, c’est plus que le viol mais j’ai pardonné à ST. Je vous parle de ma vie réelle et je n’ai pas besoin de vous mentir pour quoi que ce soit. A+

    • Le 12 janvier 2017 à 17:09, par Le Vigilent En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

      eHamane, vous dites : "Ils ont seulement fait l’erreur de s’en prendre souvent au peuple" . Et moi je did qu’ils ont commis des fautes lourdes et/ou des crimes en s’en prenant souvent au peuple qu’ils avaient pour mission de proteder, meme au risque de leur vie.
      Si les radies estiment qu’ils sont victimes d’une injustice, ils doivent deposer une plainte contre l’Etat pour radiation abusive.
      Vous criez sur tous les toits qu’il faut mettre fin a l’impunite et en meme temps vous demandez a l’Etat de garantir l’impunute aux mutins de 2011 qui ont vilole, pille, violente des honnetes citoyens et fait des victimes par balles perdues.
      De toutes facons, meme la justice ne pourra pas demander leur integration, vu les menaces a la surete de l’Etat qu’ils ont proferees a travers leur porte parole. En cas de recours a la justice, toutes les menaces qu’il a proferees seront retenues contre le groupe a l’exception .de ceux qui eventuellement publieront in communique de desavoeu de ce parte parole irresponsible.

    • Le 12 janvier 2017 à 18:04, par hummmmmmmmm En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

      On ne comprend plus rien dans ce que tu dis. Tu écris et tu réponds toi même.
      Haïe mon frère, arrête d’espérer. Tu n’as plus ta place dans l’armée. Achète-toi une daba. C’est mieux quoi.

  • Le 12 janvier 2017 à 07:59, par yamyéllé En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    « et tous ces sœurs religieuse que vs aviez violé ? et ces commerçants que vous aviez pillé ? remettez leurs leur matériels et leurs argent avant votre réintégration. ne prenez pas vos supérieurs comme des cons. c’est vous qui aviez cherché. »au lieu de demandé pardon vous voulez revendiquer encore comme si c’est un droit. continué seulement.

  • Le 12 janvier 2017 à 08:37, par SAGE1 En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Je pense qu’une bonne foi pour toute, il faut que la hiérarchie militaire traite ce dossier. Que ceux qui ont violé, pillé et volé soient condamnés conformément à la loi et ceux qui sont innocents soient réintégrés. Mais, de grâce arrêtez vos menaces. Ce n’est pas de cette manière que vous aurez le soutien du peuple, qui du reste a subi le plus gros tribut de votre mutinerie.

  • Le 12 janvier 2017 à 08:46, par DA S. Larmanté En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Ca vous regarde ! Vous allés restés sur la voie publique ? Ca vous regarde ! Vous allez vous pendre ? Ca vous regarde ! Vous allez faire grève de la faim ? Ca vous regarde ! Si vous ne partez pas chercher du travail, c’est la faim qui va tuer. Bande de voyous violeurs, voleurs, ... VOUS NE SEREZ PAS REINTEGRES. POINT/BARRE

  • Le 12 janvier 2017 à 09:13, par LE BONCITOYEN En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    SVP , je demande à la presse ne plus couvrir les activités de ces "bandits" de grand chemin. Mes chers militaires "vous avez joué au casino, tant vous gagniez il n’y avait pas de problème, maintenant que vous avez perdu vous criez sur tous les toits. Non vous avez joué et vous avez perdu, la vie continu" (Thom Sank). Démocratie est bon dèh !!!!!!! J’ai dit de nous laisser faire l’Etat d’exception pendant 5 ans avant de revenir à la démocratie on dit gnaïï -gnaïï , vous nous obliger de faire de crises chez nous parce des gens ont violé nos mamans, femmes et filles, piller nos biens et reviennent nous narguer que ce n’était pas eux. On est où là ??????

  • Le 12 janvier 2017 à 09:21, par x En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Désolé, c’est maintenant que vous avez compris que le faible n’a jamais eu raison devant le plus fort. Nous, on l’a compris depuis le jour que vous avez porté les armes du peuple contre le peuple. Votre place est en prison, bande de clochard

  • Le 12 janvier 2017 à 09:31, par Egouembi En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Qui peut apporter la preuve que les violeurs et voleurs sont parmi ces gens là ? Pour anéantir l’effet de leur mouvement à son temps des soldats acquis ont été commis de voler et violer donc attention à vos jugements

  • Le 12 janvier 2017 à 09:56, par Zangoté En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Cinq ans de congé c’est trop pour un militaire ! Même si on vous reprend, il va falloir recommencer presqu’à zéro. A la limite, demandez un accompagnement financier. J’allais proposer que chacun de vous monte un projet dont le montant de réalisation ne dépasserait pas 3 000 000 FCFA. Ensuite vous soumettez vos projets à qui de droit et l’État également accepte vous accompagner à condition que vos projets soient créateurs d’emplois. En gros 2 milliards devraient suffire à vous remettre en forme en espérant que d’ici 2 ans on aura au moins 1 200 emplois de créer si on suppose que vous êtes actuellement 600 personnes.

  • Le 12 janvier 2017 à 10:22, par Yita En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Franchement vous continuez à nous pourrir la vie, militaires et policiers radiés. Vous avez commis des infractions très graves et vous en avez subis les conséquences par une sanction. Si vous n’êtes pas d’accord, attaquez l’Etat devant les juridictions nationales ou internationales (par exemple la cours de justice de la CEDEAO).
    Ce peuple que vous prenez à témoins aujourd’hui est le même que vous avez violenté, volé et humilié en 2011 : avez-vous oublié ? Ce peuple vous déteste à souhait ! Même vos géniteurs, s’ils avaient vécu ce que les habitants des villes abritant les mutineries ont vécu, allaient vous désavouer car vos actes sont ignobles ! Vous devez avoir la décence de vous taire et demander la clémence dudit peuple dans la repentance.
    Quant au MATDS, je me permets de poser deux questions :
    -  La dite ‘’Association des militaires radiés’’ est-elle reconnue légalement ?
    -  La dite association a-t-elle une autorisation de manifestation sur la voie publique ?
    Si la réponse à mes interrogations est affirmative, je m’en tiens à cela. Autrement, je demande à l’autorité publique d’appliquer la loi afin de nous épargner ces sorties publiques illégales et pire au cours desquelles des menaces sont proférées à l’endroit de la hiérarchie militaire et policière.

  • Le 12 janvier 2017 à 10:29, par FMGEC En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Salut les gars, au lieu de fatiguer les gens avec votre revendication de réintégration dans l’armée, chercher vous un autre travail. Dans le civil, lorsque vous êtes licencié on va chercher du travail dans d’autres structures. On ne vient pas pleurnicher tous les jours pour se faire réembaucher. soyez des vrais hommes. Vous n’êtes pas en prison remercier Dieu.
    Notre armée n’a pas besoin de voyous comme vous, des indisciplinés notoires.
    Vive l’armée du Burkina Faso.

  • Le 12 janvier 2017 à 10:34, par Le Berger Sahelien En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Je constate que Warzat n’a même pas lu texte. Il. dit qu’ils vont révéler des choses en publique et non ils feront des choses.
    En réalité les vrais délinquants sont restés aux commandes de l’Armée. Ceux qui on pillé les primes alimentaires de ces militaires pour construire des R+3 à ouaga 2000 et acheter de grosses cylindrées ont été ceux qui ont provoqué la mutinerie. dites moi combien de femmes ont été violées ? peut ont être au Darfour et violer une femme au Burkina ? Ces Officiers criminels ne veulent pas la résolution du problème parce que leurs malversations criminelles seront étalés sur la place publique. NE PARLEZ SANS CONNAÎTRE LE FOND D’UN PROBLEME. Certes ces ont commis des gaffes pour lesquelles ils peuvent être poursuivits, mais ne remonter aux auteurs de ce qui a provoqué la mutinerie n’est pas aussi responsable de la part des autorités en son temps.DES SANCTIONS SUR TOUTE LA LIGNE AURAIENT RESOLU LA SITUATION. AUCUN SOLDAT DU RSP N’AVAIT ETE RADIÉ, POURTANT ILS ONT MUTINE, CASSÉ DES MAGASINS, VOLÉ ET FAIRE FUIR LE PRWSIDENT. JUSTICE ÉQUITABLE POUR LE FASO OU NOUS CREONS PLUS DE PROBLEMES QUE NOUS APPORTONS DES SOLUTIONS.

  • Le 12 janvier 2017 à 10:35, par Wendmi En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    La rigueur et le sérieux d’une armée restent et demeurent sa DISCIPLINE. Rien au monde ne peut changer cela. Mes frères radiés, supportez et abstenez-vous.

  • Le 12 janvier 2017 à 11:48, par KA En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Tout le monde a bénéficier de la mutinerie sauf nous, c’est de l’ arrogance ça ! vous vous avez piller, voir voler et violer et tu gagnes le courage de dire que ces gens ont bénéficier de la dite mutinerie. Mon œil wèh !

  • Le 12 janvier 2017 à 11:50, par Sergent-Révolutionnaire En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Faisons attentions car des menaces internes nous guettent. il faut plus de contrôles des faits et gestes de certains de nos compatriotes pour éviter que ceux-ci s’en prennent aux pauvres et honnêtes citoyens. Que chacun assume ses bêtises, ses erreurs, ses fautes ! Et que s’il y a des comptes à régler ; que vous le fassiez entre vous et laissez les innocents en paix (surtout vous les FDS). Ce qui s’est passé en 2011 était inacceptable, vous vous êtes pris à d’honnêtes citoyens et de la mauvaise manière alors que vous connaissiez et connaissez vos veritables ennemis. Quiconque est contre le peuple burkinabé (son ennemi donc) ne mérite pas de vivre librement au Burkina, a fortiori d’exiger sa prise en compte dans les affaires du pays car il constitue une menace. A nos FDS, invite leur est faite sur ce sujet. Nos ennemis actuellement avec l’ère du terrorisme sont ceux de l’extérieur (djihadiste, extremistes ou intégristes religieux, les intolérants.) et aussi et surtout ceux de l’intérieur (qu’il faut craindre surtout et donc surveiller de près). Paix à ce grand pays béni !

  • Le 12 janvier 2017 à 11:55, par Le Zongale En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Vous êtes exactement ce que vous exprimez. C’est quel peuple vous voulez qu’il vous soutienne ? Celui que vous avez bâillonné et pillé en 2011 ? Le peuple qui vous soutiendra, vous le trouverez ailleurs. Vous aviez pensé qu’en pillant la population votre situation financière et confort changerait non ? Sachez que ce peuple n’avait pas attendu d’être soldat pour avoir une solde et construire sa fortune, ni piller des concitoyens pour se la construire. Alors, maintenant que votre rêve de vivre sur le dos de ce peuple est devenu un cauchemar, je vous conseille tout simplement de vous inspirer du talent de ce peuple, au lieu de demeurer 6 ans durant à attendre une hypothétique réintégration qui ne viendra jamais. Sachez que vous pouvez gagner mieux votre vie ailleurs que dans l’armée. Au lieu de perdre votre temps dans des regroupements et des piaillements inutiles, allez chercher du boulot et je pense que ceux qui l’on compris ne sont pas au milieu de vous mais dans leur business.

  • Le 12 janvier 2017 à 12:41, par foll En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    VRAIMENT LES AUTORITES COMPETENTES SUR CES DEUX AFFAIRES DOIVENT PRENDRE LEURS RESPONSABILITES ET TRANCHER DEFINITIVEMENT ! TOUT LE MONDE SERA QUIT !

  • Le 12 janvier 2017 à 13:19, par Omso En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    MES FRERES MILITAIRES RADIES JE SUIS AVEC VOUS.
    LORS DE VOS RADIATIONS ; J’ETAIS TRES HEUREUX. MAIS DEPUIS L’INJUSTICE NEE DE L’AVENEMENT DES ELEMENTS DU RSP ; JE SUIS DE COEUR AVEC VOUS.
    POURQUOI RADIER DES PILLEURS ET INTEGRER DES ASSASSINS ? SI VOUS RADIEZ EGALEMENT LES ELEMENTS DU RSP, VOUS VERREZ QUE CEUX RADIES EN 2011 NE VONT + PARLER DE LEUR REINTEGRATION. POUR MOI C’EST CE K J’APPELLE INCAPACITE DE RESOUDRE UN PROBLEME. HONTE A LA HIERARCHIE MILITAIRE. ELEMENTS,SOYEZ SEREINS ET COURAGE A VOUS.

  • Le 12 janvier 2017 à 14:47, par Radar En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    Il est temps pour le premier responsable de la défense prenne ses responsabilités sur ce problème de militaires radiés. pour ma part parmi les 600 d’autres ont vu leur contrat résilier par ce qu’ils ont refusés d’exécuter des ordres illégaux que la hiérarchie militaire qualifie d’insoumission. Aussi parmi les 600, il y’a certains qui sont honnêtes et détiennent même diplômes en spécialité. L’armée doit les faire appel, les encadrés et les réintégrés. C’est ma vision.

  • Le 12 janvier 2017 à 15:10, par HACIANNE En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    JE COMPRENDS VOTRE PEINE.MAIS COMPRENEZ AUSSI LA NOTRE ,NOUS QUI SOMMES LE PEUPLE.ON PEUT VOUS PARDONNER D AVOIR VOLE MAIS PAS D AVOIR VIOLE ET D AVOIR TUE.EST CE QUE VOUS SAVEZ QUE LES VOLS QUE VOUS AVEZ COMMIS ONT PAR LA SUITE ENDEUILLE BEAUCOUP DE FAMILLE.CELA EST INADMISSIBLE.VOUS ETES NOS FILS ,VOUS ETIEZ SENSES NOUS PROTEGER .AUJOURD HUI ENCORE JE NE COMPRENDS PAS VOTRE MOTIVATION.L ENFANT QUELQUE SOIT SON AMOUR DU JEU N IRA JAMAIS S AMUSER DANS UN CIMETIERE.JAMAIS.DANS TOUTE L HISTOIRE DU BURKINA C ETAIT LA PREMIERE FOIS QUE CELA SE PRODUIT.MEME AVEC TOUS CES COUPS D ETAT A LA PELLE.OU BIEN VOUS LIVRER CEUX D ENTRE VOUS QUI ONT FAIT CELA.SI VOUS ETES DE VRAIS MILITAIRES ACCEPTER LA SANCTION.JE COMMETS UNE FAUTE ET J ASSUME MES RESPONSABILITES.
    AVEZ VOUS SONGE UN SEUL INSTANT A DEMANDER PARDON AU PEUPLE EN BONNE ET DU FORME ?LE CHEMIN EST ENCORE LONG.TRES LONG.
    VOUS DEVEZ SAVOIR QUE LE BURKINA CE N EST PAS LE STADE DE CONACRY
    VOUS DEVEZ SAVOIR QUE LE BURKINA CE N EST PAS LA COTE D IVOIRE DE GBAGO,ET VOUS DEVEZ SAVOIR QUE LE BURKINA FASO RESTE LE BURKINA AVEC SES VALEURS QUI LUI SONT PROPRES.MERCI

  • Le 12 janvier 2017 à 15:15, par fred En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    A la lecture de ces menaces, je me pose une seule question : où sont les autorités en charge de la sécurité ? Quand il s"agit des Kogleweogo et Dozo, on est prêt à sortir les menaces brutalement et faire preuve de fermeté ; Là on ne comprend plus rien. N’oubliez pas que 2014 c’était seulement hier.

    Nous ne voulons plus qu’on nous trouble le sommeil dans ce pays ; quelle honte lllll

  • Le 12 janvier 2017 à 18:28, par Tomitozi En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    ils ont raison de parler comme -ça puisqu’ qu’ils ont été utilisé comme ils le signifient eux même peut-être avant et après les événements de l’insurrection et du coup d’état manqué à des manœuvres politiques par qui on on se l’imagine ; Et peut-être des promesses de réintégration une fois mission accomplie leur avaient été mouta-moutament faite. Quoi de plus normal que de rappeler aux prometteurs que la mission a été accompli il ya une année et que les comptes doivent être soldés. Mais c’est mal connaître ces gars qui les ont bien eu. Il se sont fait hara-kiri. C’est mal connaître aussi le peuple burkinabé qui n’est pas amnésique et qui n’à pas participé à ces manoeuvres souterraines qui ont abouti aux accords souterrains. Le peuple burkinabé n’a pas perdue sa lucidité il sait faire toujours la part des choses. J’aime le peuple burkinabé.

  • Le 12 janvier 2017 à 20:04, par Y En réponse à : Mutineries de 2011 : « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre », Hervé Tapsoba, porte-parole des militaires radiés

    « Si nous ne sommes pas militaires, il y a des choses que vous allez entendre » vous n’ête pas dans ce pays ou quoi ? Nous vous laissons dans la main des KOGOLWEOGO. Essayer voir...........

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