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56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

Publié le dimanche 11 décembre 2016 à 22h57min

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56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles,  la défiance de la loi et le manque de tolérance

Message à la nation de Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, président du Faso ,
à l’occasion de la fête nationale de l’indépendance, le 11 décembre 2016

Kaya, le 10 décembre 2016

Peuple du Burkina Faso

Demain 11 décembre 2016, nous commémorerons le 56ème anniversaire de l’accession de notre pays à la souveraineté nationale et internationale.

En cette heureuse circonstance, je tiens à rendre hommage à notre vaillant Peuple, à tous les combattants de la liberté ainsi qu’à tous mes devanciers à la tête de l’Etat pour les acquis engrangés dans la quête commune de l’unité nationale, de la paix et de la prospérité.

Je salue la mémoire des disparus, des martyrs et des héros nationaux, tombés sur le champ d’honneur pour défendre la patrie, ainsi que celle de la barbarie du terrorisme aveugle.

Au moment où la Nation s’est donnée rendez-vous à Kaya, dans la région du Centre Nord, pour la fête de l’Indépendance, mes pensées vont aux actrices et acteurs du monde rural, ces paysannes et paysans infatigables qui font notre fierté, pour le travail abattu durant la campagne agricole et dont les récoltes annoncées sont prometteuses.

Vaillant Peuple du Burkina Faso

C’est sous le thème : « Démocratie, Défis sécuritaires et Progrès économique et social » que se tient le 56ème anniversaire de l’indépendance de notre pays.
La pertinence de ce thème, dans le contexte international et national qui est le nôtre se passe de commentaires.

Mais vous me permettrez néanmoins de faire quelques remarques.
Tout en nous félicitant des acquis démocratiques de notre Peuple, au sortir des élections présidentielle, législatives et municipales des 29 novembre 2015 et 22 mai 2016, nous devons nous convaincre que la démocratie n’est nulle part acquise une fois pour toute. Elle est toujours perfectible et nous interpelle sur la nécessité de développer la culture démocratique, dans le respect de la loi et des opinions plurielles qui traversent notre société.

C’est le lieu pour moi de dénoncer et de condamner les violences inutiles perpétrées çà et là, la défiance vis-à-vis de la loi, ainsi que le manque de tolérance. Toutes ces pratiques sont aux antipodes des exigences de la démocratie et seront désormais combattues comme telles, et leurs auteurs punis conformément à la rigueur de la loi.
Il est également à déplorer le fait que nombre de nos compatriotes ne reconnaissent que des droits dont ils doivent jouir et n’entendent pas se plier aux devoirs qui sont les leurs dans le cadre de l’Etat de droit.

Ces comportements attentatoires à la loi et aux règlements ainsi qu’aux droits et libertés des autres annihilent nos efforts de consolidation de la paix et de la démocratie, afin de prendre à bras le corps les tâches de développement économique, social et culturel de notre pays.

Je réaffirme ici ma disponibilité et celle du Gouvernement au dialogue et à la concertation avec tous les partenaires sociaux, sans démagogie, sans excès ni faiblesse et dans le respect mutuel. Je les invite à s’inscrire dans cette dynamique pour préserver la paix qui reste un de nos biens les plus précieux.

Tout le reste viendra, si les fils et filles du Burkina Faso se remettent au travail et que tous les acteurs acceptent qu’il est possible et préférable de préserver la cohésion sociale envers et contre tout.

Peuple du Burkina Faso
Chers Compatriotes

Au plan sécuritaire national et sous régional, la vigilance de chaque instant est de mise. J’ai déjà indiqué, à l’occasion des évènements tragiques du 16 janvier 2016 au Cappuccino et au Splendid hôtel et que nous devons vivre désormais en ayant à l’esprit que la menace terroriste est une réalité contre laquelle nous devons continuer à nous battre.

C’est pourquoi, j’invite les populations à coopérer étroitement avec les Forces de défense et de sécurité. Cette nécessaire collaboration est la condition du succès pour relever le défi de la sécurité partout et pour tous.

Permettez-moi de saisir à nouveau cette opportunité pour saluer nos Forces de défense et de sécurité qui assurent avec beaucoup de détermination, d’abnégation et de satisfaction la lutte pour la défense de l’intégrité du territoire, la protection des institutions républicaines et la lutte contre le terrorisme.

Je voudrais les inviter à redoubler de vigilance pour nous permettre de maintenir le pays dans la sérénité.

Toute paix est oublieuse, a-t-on coutume de dire, mais toutes les attaques terroristes sur le sol national et le long de nos frontières sont illustratives de la nécessité de ne pas relâcher la vigilance dans tous les points de contrôle ainsi que dans nos villes et campagnes.

C’est le lieu pour moi de saluer l’excellence de la coopération en matière de sécurité avec les Etats voisins. Nous devons renforcer cette coopération, mutualiser nos moyens et coordonner nos renseignements, dans l’intérêt supérieur de nos populations et pour continuer à bénéficier de la stabilité et de la paix dans la sous-région Ouest africaine.

Peuple du Burkina Faso
Chères concitoyennes
Chers concitoyens

Comme vous le savez, il y a deux jours que les lampions se sont éteints à Paris, sur les travaux de la Conférence des partenaires du Burkina Faso pour le financement du PNDES 2016-2020.

Ce fut un franc succès qui ouvre de réelles et prometteuses opportunités de gagner le combat de l’emploi pour les jeunes, l’autonomisation des femmes et la croissance économique au bénéfice de tous.

S’agissant de l’emploi des jeunes, les efforts déjà accomplis seront renforcés et consolidés par de nouvelles perspectives leur permettant de bénéficier de l’appui financier des institutions bancaires et de crédits pour le financement de leurs projets.
De même des réformes structurelles seront opérées au niveau de l’enseignement pour privilégier l’enseignement technique et professionnel ainsi que la formation scientifique afin de répondre aux besoins du marché du travail et contribuer efficacement au développement du Burkina Faso.

Alors que nos partenaires font confiance à la capacité de notre Peuple à faire face à l’adversité pour réaliser une croissance durable, il faut que chaque Burkinabè se sente interpellé pour apporter sa pierre à la construction nationale.

Nous devons porter au plus haut les valeurs qui font la dignité des Burkinabè, à savoir, le travail, l’intégrité et l’amour de la Patrie.

Ce sont ces valeurs cardinales qui doivent guider nos faits et gestes quotidiens, pour faire de chacune et de chacun de nous, des dignes filles et fils de la Nation, porteurs du changement et comptables de notre réussite collective.

Il nous faut donc atteindre et dépasser nos objectifs de recouvrement, mobiliser effectivement les promesses de ressources de nos partenaires, améliorer notre capacité d’absorption des ressources et la qualité de la dépense publique, produire et consommer burkinabè, combattre la corruption et toutes nos attitudes contraires au développement harmonieux de notre pays.

C’est le lieu pour moi de réitérer ma gratitude à la communauté des amis et partenaires techniques et financiers du Burkina Faso pour leur engagement au profit du financement du PNDES et du développement intégral de notre pays.

Chers compatriotes

Le Burkina Faso est un pays de défis. Chaque jour, nous devons nous battre, chacun à son poste de travail, pour mériter de la Nation et offrir constamment à nos populations des raisons d’espérer à l’amélioration de leurs conditions.

Il apparait impérieux de nous comporter de façon à consolider l’unité nationale.
Dans un pays comme le nôtre, le sentiment d’appartenir tous à une seule et même Nation est essentiel pour la cohésion sociale.

Notre vigilance doit être permanente pour éviter tout propos, geste ou acte qui pourrait mettre à mal cette chance que nous avons.

Nos différences aux plans politique, culturel, religieux ou autres sont autant de sources de complémentarités et de richesses qui doivent nous permettre de construire la nation de nos ambitions partagées.

Peuple du Burkina Faso

La fête de l’Indépendance de notre pays intervient à un moment où nous sommes interpellés sur tous les fronts, au plan national, sous-régional, africain et mondial pour apporter notre contribution à la sécurité et à la satisfaction des aspirations de nos populations.

Le Gouvernement mettra tout en œuvre pour être à la hauteur de ses responsabilités, en recherchant les solutions appropriées aux préoccupations des Burkinabè.

Je tiens à saluer ici l’action de l’Assemblée nationale par le vote des lois et le contrôle de l’action gouvernementale ainsi que toutes les Institutions de Contrôle, dont les activités concourent à renforcer la nécessaire culture de la redevabilité dans la gestion des affaires publiques.

C’est le lieu de rappeler notre engagement en faveur de la vérité, de la justice et de la réconciliation pour bâtir une nation forte, unie et prospère.

La nécessité de vider tous les dossiers pendants est devenue une exigence de crédibilité au regard des attentes du peuple burkinabè en matière de vérité et de justice.

Les procès annoncés par la justice militaire pour se tenir avant la fin de cette année augurent, nous l’espérons, du dénouement rapide de tous les autres dossiers en cours d’instruction et qui préoccupent l’opinion.

Vider convenablement ces dossiers serait le point de départ d’une vraie réconciliation attendue par toute la communauté nationale.

Je tiens ici à saluer les Burkinabè de l’extérieur et les invite à s’engager pleinement dans l’œuvre de construction nationale.

Je veillerai personnellement à ce que le Gouvernement les associe à tous les efforts de développement du pays.

La fête nationale du 11 décembre me donne l’occasion de saluer tous les travailleurs des secteurs publics et privés, les autorités coutumières et religieuses, les élèves et étudiants, tous les Burkinabè ainsi que les membres des communautés étrangères vivant dans notre pays.

Je n’ai aucun doute que tous nos efforts seront couronnés de succès.

Bonne et heureuse fête nationale
Je vous remercie

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Vos commentaires

  • Le 11 décembre 2016 à 00:32, par Moi aussi En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Ayant fait partie de ceux qui avaient critiqué le discours du PF à l’anniversaire de l’insurrection dans son volet Justice, cette-fois, je pense que le PF a fait le nécessaire en titillant le corps judiciaire et c’est bien. J’ose espérer qu’en coulisse, avec son 1er Ministre et son Ministre de la Justice, ils agiront sur les personnalités qu’ils ont nommées à la tête de chaque juridiction afin que sa vision de la Justice soit suivie. J’entends ici le professionnalisme, la rigueur et la diligence qui sont attendus par le Peuple. Je n’ai nullement dit d’ordonner les juges en charge des différents dossiers mais l’exécutif peut agir sur les patrons qu’il a nommés et qui affectent à leur tour, les dossiers aux juges. Il sera dans son bon droit car, il est le garant de la stabilité, de la cohésion et de la paix sociale dont la Justice est la cheville ouvrière.
    MERCI Président

  • Le 11 décembre 2016 à 05:09, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    "Il nous faut donc atteindre et dépasser nos objectifs de recouvrement, mobiliser effectivement les promesses de ressources de nos partenaires, améliorer notre capacité d’absorption des ressources et la qualité de la défense publique, produire et consommer burkinabè, combattre la corruption et toutes nos attitudes contraires au développement harmonieux de notre pays"

    dépense publique ou défense publique ?

  • Le 11 décembre 2016 à 05:54, par yelmingaan blaan saa hien En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    ..." et offrir constamment à nos populations des raisons d’espérer à l’amélioration de leurs conditions
    aspirer ou espérer ?

    autorités coutumiers et religieuses ?

    coutumières peut etre ?juste pour que notre fasonet puisse peut etre corriger le cas échéant

  • Le 11 décembre 2016 à 06:07, par Citoyen libre En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Un beau discour, c’est bien ;mais passons maintenant aux actes

    • Le 11 décembre 2016 à 22:46, par Poko En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

      Le thème du 56ème anniversaire de l’indépendance de notre pays est « Démocratie, Défis sécuritaires et Progrès économique et social ». Je crois que le Président commet une grave erreur dans son discours à travers cette phrase : « Je SALUE LA MEMOIRE des disparus, des martyrs et des héros nationaux, tombés sur le champ d’honneur pour défendre la patrie, AINSI QUE CELLE de la barbarie du terrorisme aveugle ». Cela veut dire que le Président du Faso Roch Marc Christian Kaboré soutient la barbarie du terrorisme aveugle et salue sa mémoire. TELLEMENT CHOQUANT !!!!! Ceci est ni plus ni moins une bévue très grave dans un discours officiel de la fête nationale après une année marquée par des attaques terroristes barbares et aveugles qui ont endeuillé notre peuple. Qui a écrit ce discours et qui l’a relu pour correction ?

      Dans l’ensemble, discours vague et surtout pas si beau que ça. Il ne promet rien de concret aux femmes et aux jeunes.

      • Le 12 décembre 2016 à 10:09, par CARYLCHESSMAN En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

        Je pense que c’est du français qui ressort du discours car il y a qu’ à comprendre que : AINSI QUE CELLE veut simplement dire la mémoire de ceux qui sont tombés suite à la barbarie du terrorisme

      • Le 12 décembre 2016 à 10:31, par Biola En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

        Poko, il faut intenter un procès au président pour "soutient à la barbarie du terrorisme aveugle, discours vague et pas si beau, absence de promesses concrètes aux femmes et aux jeunes dans son discours". Pendant que tu es, tu pourras aussi exiger que l’on ajoute un article dans la nouvelle constitution qui fasse de toi la rédactrice des discours de la présidence et de toutes les autres institutions nationales du Burkina car ton intelligence n’a d’égale.

      • Le 12 décembre 2016 à 10:54, par Kouda En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

        Poko, avant de venir étaler vos connaissances approximatives de la langue française,
        veuillez d’abord réviser vos fondamentaux de cette langue.
        Le président salue la mémoire des disparus, des martyrs et des héros nationaux tombés sur le champ d’honneur pour défendre la patrie, ainsi que celle (c’est à dire LA MEMOIRE) (des disparus, des martyrs et des héros nationaux) (tombés du fait) de la barbarie du terrorisme.
        Il faudrait vous assurer d’abord que vous comprenez bien le français avant de vouloir donner des leçons aux gens.
        Mais, je ne suis pas surpris. Des gens comme vous, lorsqu’on leur demande de bien s’exprimer en français, prennent un plaisir malsain à répondre que le français n’est pas leur langue maternelle. La conséquence est que vous étalez pitoyablement vos carences sur les fora.

        • Le 12 décembre 2016 à 17:23, par Maria de Ziniaré . En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

          Kouda, ayez l’honnêteté intellectuelle et grammaticale de reconnaître la pertinence de la remarque de Poko au lieu de s’attaquer sa la personne. Si vous êtes le diracab cagoulé du PF soyez humble et non réactif et reconnaissez votre manque de vigilance pour n’avoir pas déceler la faute de style du discours de votre boss. Ça peut arriver à tout le monde sauf ceux qui ne font rien....en matière de rédaction. A mon humble avis le discours aurait du être libellé comme suit
          "Je salue la mémoire des disparus, des martyrs et des héros nationaux tombés sur le champ d’honneur pour défendre la patrie, ainsi que celle DES VICTIMES de la barbarie du terrorisme." Ce qui est claire et nette et ne donne pas à lieu des contorsions de compréhension pour excuser la faute de style qui est évidente pour un élève de 3eme.

          • Le 22 décembre 2016 à 12:28, par Kouda En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

            Maria de Ziniaré, être dircab du PF serait un grand honneur pour moi comme l’est le fait de servir mon pays tous les jours.
            Rassurez-vous, je ne suis ni le dircab du PF ni un membre quelconque d’une équipe du gouvernement.
            Par contre, je suis quelqu’un qui exige des gens qu’ils s’efforcent de toujours bien faire ce qu’ils ont à faire et bien parler la langue avec laquelle ils travaillent tous les jours. De cet effort permanent naitra l’excellence qui est généralement une vertu.
            Comme vous le savez certainement, beaucoup de gens vous retorqueront que le français n’est pas leur langue maternelle ou paternelle en guise de justification de leur faible maitrise du Français. Trouvez-vous cela reconfortant lorsque les personnes qui parlent ainsi ont été scolarisées et ont même souvent achevé leurs études universitaires ?
            Ecoutez attentivement les gens (journalistes, experts, responsables divers....) s’exprimer à la radio ou à la télé et vous serez affligée par le niveau de leur expression. Il en est de même de la presse écrite.
            Bonne journée à vous.

      • Le 12 décembre 2016 à 11:34, par Traoré jacques En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

        Belles remarques . On voit bien que le rédacteur de ce discours qui est censé avoir été préparé de longue date
        est d’un niveau littéraire aléatoire qui le conduit aisément dans des amalgames thématiques et stylistiques qui n’autorisent pas une claire lecture du message du Président. Les sujets s’entremêlent ; avec en apparence le seul souci de les énoncer. Tout est effleuré comme tiré d’un amas touffu de thèmes que le rédacteur s’est surpris à devoir mentionner à l’occasion et à tout prix. Aucune mention des questions internationales actuelles ...! Surtout que Dieu nous garde de ces " lampions qui s’éteignent" sur nos relations de partenariat ...!
        Le Président gagnerait bien à étoffer son Cabinet de gens d’expérience solide . Ses discours se particularisent par une platitude inadmissible . Il y a pourtant encore des gens d’expérience qui parlent et écrivent très bien le français dans ce pays .
        Je reprends la conclusion de mon frère : QUI A ECRIT CE DISCOURS ET QUI L’A RELU ?

      • Le 12 décembre 2016 à 11:48, par Djibril En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

        non mon frere il salut plutot la memoire de ceux qui sont tombes lors d ces barbaries

  • Le 11 décembre 2016 à 07:26, par NAABIGA En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Bonjour à tous les internautes qui participent au forum . Je souhaite et négocie qu’on m’explique en quoi consiste l’indépendance de la justice ? Aussi qui doit nommer les magistrats et autres procureurs ? L’indépendance de la justice ? C’est comment ca se passe ?

  • Le 11 décembre 2016 à 07:27, par Brigitte En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Roch Kabore ,c est bien d’avoir rendu hommage à vos devanciers. Il fallait mettre l’ accent sur le cas particulier de Blaise Compaore qui a eu la hauteur d’ esprit de nous épargner un bain de sang. Mais si vous voulez faire tranquillement vos 5 ans , prenez votre indépendance vis à vis de certains diables qui vous entourent .Faites une vraie réconciliation nationale et libérez tous les prisonniers politiques. Que font les Marin, Adama Zongo , Diendere , Bassolet , Dao , le jeune Boucher Lota ... en prison. Sont - ils plus fautifs que vos partisans qui mis le pays à feu et en sang en octobre 2014 ? Les Salif Diallo , Sakande , Simon , Emile. PARE ...Ont reconnu publiquement que c’est le Mpp votre parti qui a organisé l’ insurrection et et incendié les domiciles , l AN et les entreprises. La crise à la mairie de l’Arrdt 8 vient confirmer ces dires. Alors Mr le président , liberez les prisonniers politiques car ils sont tous innocents. N’ oubliez pas que tout ces gens ont des amis et parents qui constituent vos ennemis.

  • Le 11 décembre 2016 à 07:29, par TUUK-SOMDE En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    " De même, des reformes structurelles seront opérées au niveau de l’enseignement, pour privilégier l’enseignement technique et professionnel ainsi que la formation scientifique afin de répondre aux besoins du marché du travail et contribuer efficacement au développement du Burkina Faso. "

    Pour ce faire il est souhaitable que les enfants soient orientés dès la classe de 6e. Les enfants qui ont vocation à être des militaires ou des prêtres sont orientés dès la classe de 6e. Certains changent de vocation par la suite sans être intellectuellement et techniquement les moindre ailleurs. Pourquoi ne pas en faire de même de tous les enfants.
    L’enseignement général se fera dans le sillage de l’enseignement technique et il sera mieux assimilé car complementaire, pratique et nécessaire.

  • Le 11 décembre 2016 à 07:36, par veni vidi vinci En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    À la deuxième phrase du septième paragraphe " ces comportements....social et culturel de notre pays. Il me semble qu’il y a problème dans la construction de cette phrase. Si je me trompe, les grammairiens pourront m’éclairer.

  • Le 11 décembre 2016 à 07:55, par Vrai En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Le discours est correct tant dans la forme que dans le fond Mais M.le president nous Avons plus besoin daction car pour faire Bouger les choses dans lesprit insurectionel.Nous souhaitons que notre justice fasse tout pour juger les dossiers oubliés dans les tiroirs,pas seulement les dossiers de linsurection et du pucht manqué mais aussi les dossiers du lamda qui traine en justice.de plus dans lesprit de linsurection ,du ministre ,au directeur General,doivent avoir une gestion juste et non pas continuer à faire comme les ministres et DG du regime Compaore.action ,action,et action M.le president.

  • Le 11 décembre 2016 à 08:52, par pioyipo En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Beaucoup d’erreurs de transcription :
    1- celle de la barbarie du terrorisme aveugle (les mots << des victimes >> a été sauté ) . La phrase dite par le PF est la suivante : ......celle des victîles de la barbarie du terrorisme aveugle
    2- phrase dite par le PF : 15 janvier 2016 au lieu de 16 janvier 2016
    3- dépenseS publiques
    Etc

  • Le 11 décembre 2016 à 08:59, par Mninda En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Monsieur le président du Faso ,sauf votre respect, devoirs pour devoirs faites d’abord appel autour de vous à des hommes de devoirs qui ont le sens de l’Etat, de l’intérêt général ,Malheureusement certains membres de votre gouvernement , certains de vos proches et des grands militants de votre parti ,se sont pas dans la donne direction et ne donnent pas le bon exemple

  • Le 11 décembre 2016 à 09:49, par Durdéfaçon En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Buff...
    c’est de la denguéine sociale pour certains quand un discours est prononcé pour la justice. Les coupables denoncez vous....Blaise qui devient"Blaisse" a blaissé ses associés par une mentalité morbide qui n’en puisse oublier leurs passés luxeux.

  • Le 11 décembre 2016 à 10:36, par ELKABOR En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Des thèmes oubliés :
    - la tolérance zéro à la fraude et la corruption
    - l’égalité de tous devant la loi
    - l’homme qu’il faut à la place qu’il faut

  • Le 11 décembre 2016 à 11:33, par Moi aussi En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Relisons entre les lignes notre hymne à l’occasion de cet anniversaire d’autonomie symbolique et rendons hommage à son instigateur Thom Sank et faisons en sorte que cette indépendance soit réelle.

    Contre la férule humiliante il y a déjà mille ans,
    La rapacité venue de loin les asservir il y a cent ans.
    Contre la cynique malice métamorphosée
    En néocolonialisme et ses petits servants locaux
    Beaucoup flanchèrent et certains résistèrent.
    Mais les échecs, les succès, la sueur, le sang
    Ont fortifié notre peuple courageux et fertilisé sa lutte héroïque.

    Et une seule nuit a rassemblé en elle
    L’histoire de tout un peuple.
    Et une seule nuit a déclenché sa marche triomphale :
    Vers l’horizon du bonheur.
    Une seule nuit a réconcilié notre peuple
    Avec tous les peuples du monde,
    À la conquête de la liberté et du progrès

    La Patrie ou la mort, nous vaincrons !}

    Et l’on peut expliquer partiellement l’assassinat de son proclamateur car, les mots sont d’une telle lucidité, d’une telle détermination et d’une telle invite au combat que le colon a paniqué. Si nous, apprentis francophiles, percevons la force de ces mots, que dire du francophile authentique et originel qui l’analyserait ?
    Plus peut être aujourd’hui qu’hier, ces mots restent d’actualité et n’ont rien perdu de leur vérité.
    En cette occasion, j’invite tous les burkinabè à travailler à sanctuariser ces paroles pour toujours.

  • Le 11 décembre 2016 à 12:20, par salou En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    il ya des bonnes paroles mais nous attentdons les actes car les "politiciens parlent toujours" mais n’agissent pas" pour emprunter un avis de Donal TRUMP sur ces "politiciens bureaucrates". De la justice du Burkina, on connait son laxisme et son incompétence avec le même refrain "le dossier suit son cours" meme pour des dossiers decennales. L’internaute n°5 a raison, on ne vient rien d’abord des effets d’une justice dite "independante". Peut etre c’est encore tôt ? Pour moi une justice independance = justice efficace ie qui juge selon la loi et non à la tête des individus : Bonne de l’independance à tous les patriotes

  • Le 11 décembre 2016 à 15:05, par Nabiiga En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Merci monsieur le président, on vous salue pour ce discours surtout et avant tout, la mention de la réconciliation nationale qui, selon vous, passe inéluctablement par le procès de toute personne détenue ou en cavale pour les délits commis contre notre peuple ; personne ne souhaitera le contraire. Nous vous croyons Monsieur le président, et souhaitons toujours vous croire. La vraie réconciliation dirai-je moi, passera par des véritables procès digne de ce nom de ceux dont vous parlez : Problème cependant ! Ce sont vos anciens compagnons de guerre avec qui vous avez soupé ensemble pendant 27 longues années, avez fait tout fait ensemble et de surcroît, avec eux, vous avez surveillé sur une justice burkinabè dont les jugements sortaient directement du Kosyam. Vous y êtes, Kosyam, présentement, et vous détenez tous les rouages de l’ancien régime. Nous craignons, nous, que les procès de vos camarades d’hier ne soient pas à la hauteur de nos attentes. Vous sera-t-il possible de voir vos anciens amis condamnés à perpétuité ou à la mort pour leurs crimes ? Vous sera-t-il possible de vous tenir à l’écart de la justice sans essayer de jouer les cartes que vous savez très bien jouer car vous les avez déjà jouées par le passé lorsque vous tous étiez au pouvoir ? Ce procès de vos camarades, est-ce que le jugement n’est pas déjà arrangé, telle condamnation à perpétuité pour ensuite gracié immédiatement après ? Nos craintes, Monsieur le Président, sont vives car nous appuyons déjà sur les libérations dites conditionnelles et pour cause de maladie douteuses auxquelles nous avons assisté et risque de continuer à assister. Quoi que vous fassiez Monsieur le président, nous vous regardons car vous avez parfaitement comment vous êtes arrivés au pouvoir. Lambda burkinabè s’est beaucoup évolué depuis lors. Sans doute que vous ne jouera pas avec le feu au risque de vous faire brûler les doigts. Hein, Monsieur le Président ? N’gaw.

  • Le 11 décembre 2016 à 17:11, par armel En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Brigitte si tes clients sont des criminels ,ils seront juger.Ou tu fait comme les femmes dignes du Faso.TRAVAILLER

  • Le 11 décembre 2016 à 19:01, par Ka En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    A l’internaute Brigitte : Qui que tu sois, sache que sans une justice juste et équitable ou les criminels payent leurs crimes pour soulager les familles des victimes, il n’y a pas de réconciliation nationale ni une paix durable dans un pays comme le Burkina dont le peuple a tant pardonné, et les prédateurs que tu veux protéger ont pris ce peuple pour un mouton. Toi, ou La CODER peut monter au ciel et redescendre avec son Ablassé Ouédraogo qui veut accaparer le CDP et l’ADF/ RDA pour se faire un nom, ne pourra jamais refaire venir le peuple a l’stade du 4 Août avec les sages pour pardonner des criminels lâches et de bas échelle dont tu sites les noms. Chaque chose à son temps, aujourd’hui ce sont eux, demain ça sera tous les proches de Blaises Compaoré au sommet de l’état qui manipulent la justice qui passeront à la caisse pour payer leur passé car la jeunesse ne les lâcheront pas, cette jeunesse a bien dit que rien ne sera plus comme avant. Depuis plus de 30 ans, Blaise Compaoré ancien ministre de justice de Thomas Sankara, a usé de son pouvoir pour tuer sans raison tous ces proches, et pour finir, il a condamné celui dont il utilisait pour tous ses complots a mort le 15 Octobre 1987. A partir de cette date on tuait qui on veut, là où on veut, avec la complicité de ceux dont tu cites les noms. Et quand François Compaoré a tuer son chauffeur, le valeureux journaliste Norbert Zongo a fini par poser cette question dans son journal : ‘’’Comment fera le président Blaise compaoré pourra s’imposer aux intellectuels qui appréhendent les dimensions de sa dictature et de ce qu’elle représente pour notre pays ?’’’ Quelques jours après, Norbert Zongo a été tuer et bruler avec ses compagnons sur la route de Sapouy. Djibril Bassolé, ministre délégué et ancien patron de la gendarmerie de l’époque à étouffer les dossiers du Chauffeur et de Norbert Zongo jusqu’à nos jours. Sans Oublié les enlèvements du pr. Guillaume Sessouma et de l’étudiant Dabo Boukary tué. Brigitte la liste sera longue. Pour finir, le collectif de l’époque et les sages acceptent que Blaise Compaoré et sa clique demande pardon pour une réconciliation nationale, le peuple accepta comme des moutons a ce piège comme toi et Ablassé demandent aujourd’hui. A l’stade du 4 Aout, voilà Blaise Compaoré en larmes de crocodiles devant les sages, et demander pardon au peuple. Aussitôt rentrer chez lui, les crimes reprennent avec ses complices a la MACA parmi eux tes amants. Même ordonné de tirer sur des jeunes affamés d’une alternance politique apaisée le 30 et 31 Octobre 2014. Non Brigitte, il nous faut une justice équitable pour que tes amis comprennent qu’on est dans un état de droit, et on ne tue pas qui on veut, là où on veut. Si on t’interdisait d’écrire tes âneries sur Lefaso.net, tu allais demander justice, car tu es dans un état de droit. Et ce discours que je partage, va de ce sens, même si l’auteur n’a pas un cœur en paix, il est obligé car plus de 50% du peuple l’on élu, et attend ce qu’il vient de dire. Maintenant nous attendons des actes et pas des libertés provisoires des amis et familles. Brigitte, tu ne pourras pas convaincre aucun Burkinabé de ce que tu avances depuis quelque temps sur les sites des réseaux sociaux du Burkina, car le peuple est très mûr par les crimes de tes amants.

    • Le 11 décembre 2016 à 22:34, par veni vidi vinci En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

      A Ka,
      Vous gagnerez à soignez ne serait-ce qu’un tout petit peu vos publications. On general, on préfère de loin les textes concis et bien écrits aux textes où vous étalez en longueur vos limites. Moi, je ne suis pas méchant comme ceux-là qui pensent que vous ne parlez pas français. Je pense plutôt que c’est par enthousiasme et excès de zèle (ne le prenez pas en mal). Autrement, j’aurai la faiblesse de penser que vous n’êtes vraiment pas à la hauteur du débat politique que vous affectionnez pourtant.
      Des conseils sans frais.

      • Le 12 décembre 2016 à 08:07, par Ka En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

        ‘’’A’’’veni vidi vinci : Depuis ta venue sur le forum avec tes multiples pseudos, c’est simplement Ka que tu vise de tous les points. Faute de frappe comme les deux dans cette analyses, car j’étais en colère pour une personne qui provoque les familles des victimes. Tout ce que je sais, Brigitte a bien compris ce que je voudrai la dire. Tu feras mieux de demeurer dans tes dictionnaires dont le Burkinabé lambda ne retient rien de toi. S’il faut aussi rentrer dans la langue française plus académique pour m’exprimer, je le peux, mais c’est ma volonté d’être dans l’élémentaire pour répondre a des personnes comme Brigitte pour que toute la jeunesse tout confondu comprenne ce que je veux dire. Soit assurer, je ne perdrai aucune minute de te lire, ni de répondre à aucun de tes messages dont tu prétends comprendre à la linguistique que moi. Je préfère me faire comprendre par tous, en employant les groupes nominaux suivis des processus rédactionnels faciles, ce qui ne rentre pas dans ta caboche d’intellectuel qui se croit malin avec tes multiples pseudos pour humilier les autres. Mais tu ne connais pas le quart de ce que je connais, alors passe ton chemin et moi le mien. Tu écris tes messages avec le Larousse dans ta main gauche, un dictionnaire d’écolier, quand tu finiras ce dictionnaire, tu utiliseras le dictionnaire analogique de la langue française, puis celui de l’académie française, et celui de Maximilien Émile Littré, mais personne ne s’intéressera à tes âneries plus que les écris du vieux Ka. Petit, Il te reste beaucoup à apprendre pour se faire lire par tous les Burkinabé tous confondus.

      • Le 12 décembre 2016 à 11:34, par Adam’s En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

        "Soignez" également votre texte. Comme quoi c’est facile de voir la paille qui est dans l’œil de l’autre en oubliant qu’on a une poutre dans le sien.

  • Le 11 décembre 2016 à 19:23, par sidbala En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Ces genres de discours, c’est du déjà entendu. Le problème de ce pays n’est plus au discours, ce qu’il va falloir faire c’est de se remettre en cause. Il ne faut pas continuer à détruire le peu de dignité qui nous reste.

    La morale sociale n’existe plus car les considérations politiques basées beaucoup plus sur les intérêts individuels, générationnels et claniques, ont détruits le peu qui nous restait de dignité.
    Les rempares de la société (quelques chefs traditionnels et surtout certaines communautés religieuses) ont contribué à mettre en doute ce qui nous restait comme valeurs.

    TOUS CES HYPOCRITES QUI SE SONT BATTU PIEDS ET MAINS POUR DIRE QUE LA MODIFICATION DE L’ARTICLE 37 ETAIT LE SOCLE DE LA DEMOCRATIE ET QUI ONT AUJOURD’HUI TOURNE DOS A CETTE LOGIQUE QU’ILS SOUTENAIENT SONT RESPONSABLES DES MAUX QUI MINENT LA SOCIETE. On ne déclare pas une guerre quand on n’a pas d’armée.

  • Le 11 décembre 2016 à 23:04, par Poko En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Bien vouloir confirmer les dires de forumiste 10 concernant contenu de la transcription du discours. Est-ce Lefaso.net qui a mal retranscrit le discours ? Si cela est vrai, ne pas publier mon poste précédent à propos de la phrase sur la mémoire des disparus et martyrs et celle de la barbarie et du terrorisme aveugle..

  • Le 12 décembre 2016 à 07:16, par veni vidi vinci En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Ka,
    Vous gagnerez à soigner ne serait-ce qu’un tout petit peu vos publications sur le net. En général, on préfère de loin les textes concis et bien écrits aux textes où vous étalez en longueur vos limites. Moi, je ne suis pas méchant comme ceux-là qui pensent que vous ne parlez pas français. Je pense plutôt que c’est par enthousiasme et excès de zèle ( ne le prenez pas en mal ). Autrement, j’aurai la faiblesse de penser que vous n’êtes pas à la hauteur du débat politique que vous affectionnez pourtant.
    Des conseils sans frais.
    Respectueusement.

  • Le 12 décembre 2016 à 07:56, par veni vidi vinci En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    A Brigitte,
    Je suis entièrement d’accord avec vous. Les Burkinabe ont vraiment la mémoire courte et un manque criard de discernement. Quand je lis certains forumistes comme les Ka et compagnie, ça me donne la nausée et je me retiens comme je peux pour éviter de vomir sur la place publique.
    On se connaît dans ce pays sahélien. Vous voyez que leur langage ne change pas. Ils s’en foutent. Point barre. Mais moi je dis comme toujours qu’à la prochaine insurrection, la vraie, même un rat ne pourra quitter le pays même pour se réfugier au Niger voisin.

  • Le 12 décembre 2016 à 13:37, par Ka En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Veni vini vinci : Parlons toujours des insurrections, mais a la prochaine, ce sont des personnes comme toi veni qui seront sur la touche. A te lire, je comprends pourquoi tu ne conseille pas des personnes comme Brigitte, que le Burkina a besoin d’une justice juste pour mieux avancer. Ce sont des personnes de ton genre, avec les idées de tuer et se balader sans craindre la justice qui mine l’avancer de notre pays. Quand a la façon dont j’écris mes messages et lus par beaucoup, je n’appuie sur aucun dictionnaire comme toi pour les écrire, je dis ce que je pense en construisant mes propres définitions. Je ne m’appuie pas sur un lexicologue (rédacteur de dictionnaire) pour comprendre les mots que j’utilise." Je crée mon propre vocabulaire pour me faire comprendre, même par les niveaux les plus bas du monde depuis que je suis sur les forums et aussi dans la presse écrite. Je ne suis ni écrivain, ni politicien, mais je me fais comprendre si un prédateur comme toi veut prendre le peuple pour un mouton. Depuis que tu es sur le net après l’insurrection du 31 Octobre 2014 avec tes multiples pseudos de partisan sans aucune critique fondée, tu cherches a nuire les internautes de bonne foi. Rappelle de celui qui t’a répondu avec honnêteté sur ZOODOMAIL à mon sujet. Tu n’es qu’un sinistre démarcheur intellectuel de pacotille qui sévit ici sur le net pour nuire l’alternance politique du Burkina avec la jeunesse. Si tu veux qu’on t’écoute, tu viens avec des critiques fondées sur ton passé et ton vécu de la politique Burkinabé, même avec des fautes, pour que la jeunesse puise tes connaissances et choisir les bons, pour mieux construire le Burkina que nous aimons tant. Si c’est seulement regarder les fautes d’orthographes des internautes de bonne foi qui ont des critiques fondées, tu la ferme. Quant aux criminels que tu demandes de libérer, s’ils sont coupables, ils payeront leurs crimes, s’ils sont innocents, ils auront leurs libertés. Combien de fois tu vas continuer à me provoquer au lieu de répondre a mes critiques avec de l’auto critique fondée qui va pour le peuple et l’avancer du Burkina ? Tes critiques stériles ne méritent plus aucune réponse de ma part.

    • Le 13 décembre 2016 à 08:00, par veni vidi vinci En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

      A Ka,
      Je suis certain que tu n’es pas vieux comme tu le prétends. Tu veux nous obliger moralement à accepter toutes les âneries que tu ne te gènes pas d’étaler sur le net. En général, on reconnaît le vieux sage à travers sa pondération quand il s’agit de prendre la parole en public. Mais toi au contraire, ce que tu sais faire c’est de proférer des insanités et des grossières telles que même le dernier né est obligé de baisser la tête de gêne.
      Comment peux-tu traiter des gens de criminels pour dire après que s’ils sont reconnus non coupables quand ils seront jugés, on va les libérer ? Toi aussi, dis- moi, y a quelle logique dans tes propos. Et puis, il ne revient de parler à la place du juge. Tu n’as même pas les qualités pour juste apprécier.
      Tu es toujours ulcéré ? Je suis content que tu continues de me lire.
      Salute !

  • Le 12 décembre 2016 à 14:10, par caoot En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Héi les gars là ya problèmes. on veut forcer les enfants du citoyen lambda à devenir enseignant ; policier, infirmier dès la classe de 6ème. je pense qu’il faut revoir toute la reforme. Aussi dans les actes de barbaries il faut citer les agissements des kogléweogos avec leur patron en tête. Moi je reclame la CPI pour ces gens d’un autre âge§§§

  • Le 13 décembre 2016 à 09:11, par Toutdemême En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Si le texte publié est authentique, il est urgent que le Chef de l’Etat se trouve quelqu’un d’autre pour rédiger ses discours

  • Le 13 décembre 2016 à 16:45, par Cheikh En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Quant à moi, j’ai comme l’impression que lorsqu’on parle de défiance et de violence, les journalistes qui sont pourtant les premiers à rapporter ces propos, ne se sentent pas du tout concernés. Ils ont tendance à croire qu’on ne s’adresse qu’aux autres, à qui eux ils se contentent le beau rôle de la retransmission. Alors que pourtant, en tant que vitrines du pays, ce sont eux-mêmes les plus dangereux, à travers ce qu’ils disent et font chaque jour. Il suffit de suivre les débats pro-actifs sur BF1 et autres Burkina Info, pour se convaincre qu’aujourd’hui, les journalistes rivalisent d’injures vis-à-vis de nos autorités, soit pour se faire remarquer, soit pour refouler toute une hargne contenue, face au changement actuel qu’il supporte mal.
    Tandis-que certains d’entre eux veulent s’ériger califes à la place du calife, pour diriger à la place de Roch ou de Salif, d’autres n’ont que la vision univoque du mal, à travers tout ce qui se fait, parce que Blaise a été chassé. Tout de même camarade Lingani Issaka, même si tu es Blaisiste, reconnais en ton âme et conscience, que ton protecteur n’a glissé que par sa propre faute, car la nature même désapprouve l’excès. Arrêtez enfin avec cette politique du "Ôte-toi pour que je m’y mette", qui même si elle redore votre image auprès de quelqu’un qui a plein d’autres soucis à présent, n’aboutira tôt ou tard qu’à un cul de sac. Quant à toi Mamadou Ali Compaoré qu’on prétendait à tort ou à raison être l’enfant naturel de Blaise, si tu as la nostalgie de ton excentrique de père, il n’est pas du tout loin. Rejoins-le donc au bord de la lagune Ebrié, au lieu de vouloir profiter de n’importe quel plateau pour faire le guignol, en manquant de politesse à nos dirigeants. Quelqu’un pouvait-il au temps de ton géniteur Blaise, traiter un P.A.N de ripou, sans se faire rattraper, corriger, voire pendre haut et court comme il se devait ? Cessez de croire qu’après Blaise, il n’y a pas d’homme fort dans ce pays, pour vous faire avaler vos insanités. Et puis pour recourir à certains termes, il faut veiller en tant journaliste, à bien vérifier leur sens, car le français n’est pas du mooré. Pour une fois, la liberté d’expression a le devoir d’être cadrée, pour ne pas permettre à des moins que rien comme ce Compaoré Ali, de se donner une importance qu’il n’a jamais eu. Les autres se limitent aux critiques sans insulter nommément quelqu’un, et c’est ce qu’on appelle art. Alors que celui qui n’a pas cette aptitude, reste tranquille dans son coin, avec sa pauvreté de langage, car n’est pas journaliste qui veut. A bas l’incivisme journalistique ! A bas les dérives médiatiques subversives !

  • Le 13 décembre 2016 à 16:58, par Ka En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    Merci à Adams’s et a SOME de mettre ce morveux débile d’spécialiste de basses besognes qui est ce griot de multiples pseudos souvent prenant l’intelligence des autres comme de Ka, et même mon pseudo pour insulter le monde : Il m’inspire de la pitié, car tous ceux-ci pour se donner une crédibilité intellectuel de bas échelle. C’est un petit morveux sans cervelle détruit par l’insurrection dont son père ou sa mère n’a plus les moyens de rentrer dans la caisse de la corruption à ciel ouvert pour qu’il fait son malin. S’il a le courage, il peut parcourir toutes les historiques des sites des réseaux sociaux d’information du Burkina depuis les cinq dernières années, et voir les critiques fondées du vieux Ka ou de son ami Körö Yamyélé et d’autres internautes de bonne foi qui ont donné le courage à la jeunesse de se battre pour le maintien de l’article 37 dont sa lettre et son esprit interdisent tout président prédateur de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs, et aussi l’abandon du sénat couteux. S’il est courageux de relire toutes les historiques il y a 13 ans, ou la presse écrite, il aura la chance de savoir qui est le vieux Ka car à l’époque comme madame M. Guirma nous venions sur le net avec nos propre noms avant que des petits voyous comme Veni, lionceau, Ka sociale, …. Viennent foutre la merde dans les critiques fondées que d’autres jeunes aimaient nous lire. Je redis a ce morveux qu’avant l’insurrection, même avec les fillettes du RSP avec leurs balles qui se perdaient dans les têtes des habitants de Ouaga et de BOBO, mes écris et ceux de Körö étaient le petit déjeuner de Blaise Compaoré a Kossyam, ainsi que ses vagabonds des hommes de mission qui n’avaient rien à faire dans les bureaux qu’à lire nos messages. Mon petit frère Blaise Compaoré que tu soutiens sait que mes critiques et surtout d’autres internautes de bonne foi sont fondées sur des argumentations solides, mais voilà, des gosiers larges comme vous, les Achille Tapsoba, Fançois Compaoré, Kouanda, Yoda, l’ont poussé de s’éterniser au pouvoir pour vos gosiers, le résultat petit morveu de merde appellé Veni, Ka.. et qui je ne sais, il a filé la queue sous les jambes avant le repas de midi. Ce que le vieux Kayouré et Ka pour les intimes peut te conseiller c’est que : ‘’’la critique doit être fondée sur l’argumentation solide et non sur le dénigrement, les injures, les railleries, l’humiliation, comme beaucoup d’intellectuels comme toi de notre société sont tenté de le faire quand leurs idées ne sont pas écoutées. A SOME et Adams’s, laissez ce morveux dans sa bulle d’intellectuel débile qui ne peut plus pratiquer la corruption a ciel ouvert. A tous mes lectrices lecteurs, ne faites pas attention à Veni vidi , car toutes les critiques stériles sans proposition de solutions meilleurs, ne doivent pas être écoutées. Quant au discours de mon petit frère son excellence le président Roch Kaboré, je le partage comme je l’ai dit dans mon premier message, ce qui lui reste c’est la pratique. La théorie comme ce discours, est naît sur la base de la pratique : C’est pourquoi les deux sont indispensables.

  • Le 13 décembre 2016 à 18:54, par charles En réponse à : 56ème anniversaire de l’indépendance : Roch Kaboré condamne les violences inutiles, la défiance de la loi et le manque de tolérance

    ne soyez pas étonné que le discours soit confus, rock est entouré de médiocres. des chercheurs de fortunes qui ont mis le pays à feu et à sang rien que pour se remplir les poches une fois au pouvoir. regardez bien son entourage tous des tonneaux vides. pourquoi lui même n’a pas relu le discours avant de le lire ? Sg, dircab, conseillers rien de bon. Il faut récompenser seulement les amis. president mouta mouta, entourage mouta mouta. pauvre BURKINA, Qu’ as tu fait à DIEU ? On dit que chaque peuple mérite ses dirigeants.

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