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Commission de l’informatique et des libertés : Les nouveaux commissaires imprégnés du fonctionnement de la commission

Publié le mardi 3 janvier 2017 à 22h50min

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Commission de l’informatique et des libertés : Les nouveaux commissaires imprégnés du fonctionnement de la commission

Après avoir prêté serment le 19 décembre 2016, les nouveaux commissaires de la Commission de l’informatique et des libertés (CIL) ont reçu une session de formation à Ouagadougou. Cette session de formation organisée par la CIL le 29 décembre 2016 avait pour but d’imprégner les nouveaux commissaires du fonctionnement de la maison.

« Nous avons souhaité une session de formation à l’endroit des nouveaux commissaires qui ont prêté serment le 19 décembre 2016 afin de les mettre à niveau, de leur prodiguer des informations sur la protection des données personnelles et leur faire mieux connaitre la CIL, c’est-à-dire ses missions et attributions », tels sont les propos de la présidente de la CIL, Marguérite Ouédraogo/Bonané à l’issue de la session de formation organisée le 29 décembre 2016, à Ouagadougou.

A l’en croire les commissaires font partie de l’organe décisionnel de la CIL. Aussi, elle a fait savoir que les modules qui ont été développés au cours de cette session de formation sont : le cadre juridique et institutionnel des données à caractère personnel ; les enjeux de la protection des données personnelles et la sécurité des systèmes informations ; l’action de la CIL depuis 2007 et enfin l’évolution des TIC et les nouveaux défis de la protection des données personnelles.
[ Cliquez ici pour lire l’intégralité ]

Rita Bancé/Ouédraogo
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Vos commentaires

  • Le 3 janvier 2017 à 09:03, par Le Vigilant ! En réponse à : COMMISSION DE L’INFORMATIQUE ET DES LIBERTES : Les nouveaux commissaires imprégnés du fonctionnement de la commission

    La CIL commence à devenir une boite budgétivore, un machin ou le citoyen lambda commence à ignorer réellement Le bien fondé de son existence. Voilà une institution par manque de vision stratégique et professionnel passe son temps dans les établissements secondaires de nos cités à raconter des devinettes. Il est grand temps que cet institution soit diriger par une ou un professionnel afin d’impulser et de garantir réellement le rôle qu’elle doit jouer. Il y’a trop d’amateurisme là-bas . Il est grand grand temps de revoir La copie à ce niveau Mr Le President Kabore. Il faudrait nommer un ou une professionnel dans cette institution pour éviter le délitement. À ce stade l’institution n’arrive pas à jouer son rôle par manque de vision .

  • Le 3 janvier 2017 à 21:59, par Tamou En réponse à : Commission de l’informatique et des libertés : Les nouveaux commissaires imprégnés du fonctionnement de la commission

    Moi je veux bien qu’on s’inspire de l’expérience des autres.

    Mais là franchement, tout copier de la France jusqu’au petit détail des noms de ses organismes, ça en devient ridicule, pathétique même, pour tout un Etat qui se dit indépendant.
    Même là où la France ne nous impose rien, nous lui courons après et la copions.

    Et nos hauts-fonctionnaires, ils sont payés pourquoi faire ?
    Pour faire du copier-coller ou pour réfléchir et trouver des idées originales ?

    Pauvre Burkina, pauvre Afrique ! Vos enfants n’ont pas de dignité.
    C’est honteux !

    • Le 4 janvier 2017 à 12:33, par Yabila En réponse à : Commission de l’informatique et des libertés : Les nouveaux commissaires imprégnés du fonctionnement de la commission

      Merci mon frère, pauvre Afrique et pauvre Burkina comme vous dites. Nous sommes colonisés, néo-colonisés, sur-colonisés et aujourd’hui encore plus qu’hier. Je vous le concède et j’en suis désespéré aussi. Nous avons en Afrique un complexe d’infériorité congénital envers le blanc. Je me demande toujours, quand, comment, et que faire pour que les africains sortent de ce complexe.
      Nos grands-pères et nos pères qui ont lutté pour sortir nos pays du joug oppressant du colon et qui ont géré l’après indépendance comme ils ont pu dans un contexte néo-colonialiste, ont été malgré leurs insuffisances que nous leur avons tant reprochées, beaucoup plus dignes que nous ne le sommes aujourd’hui, je trouve. Le Burkina d’aujourd’hui est rempli de docteurs en tout genre ! C’est la nouvelle mode. Tout le monde, du reste, les bien nés et les nantis pour la plupart, grouille pour soutenir une thèse de doctorat, parfois en plagiant et/ou en imitant bêtement ce qui se passe en occident pour ensuite se faire appeler pompeusement "docteur". Avec tous ces docteurs colonisés dans leur esprit, le pays ne décolle pas. Ailleurs, il y a plein de gens nantis d’un doctorat qu’on appelle Mr ou Mme...
      Au Burkina, c’est Dr un tel, puis Dr une telle à tout va...Qui font quoi ? Imiter bêtement l’occident et plaquer le tout venant de l’occident dans le contexte africain dont ils ne savent jamais grand-chose. Et oui, nous en sommes encore là en Afrique et au Burkina au 21ème siècle avec un exemple patent qu’est cette commission de l’informatique et des libertés ici au Burkina. Que le CIL forme les nouveaux commissaires à son fonctionnement est une chose. La maîtrise des nouvelles technologies que vous citez, cloud, vidéo surveillance, drones, dans le contexte burkinabè sans plagier les applications qui en sont faites en France est encore autre chose. A quand une réflexion au Faso pour par exemple concevoir nos propres outils de protection des données personnelles. Avec tout ce que nous avons aujourd’hui d’intellectuels et de grands docteurs, moi je pense que cela peut être envisageable. En tout cas, j’en fais un vœu pieux !

  • Le 4 janvier 2017 à 08:04, par AlphaRomeo En réponse à : Commission de l’informatique et des libertés : Les nouveaux commissaires imprégnés du fonctionnement de la commission

    Je rêve ! Comment peut-on parler de " mise à niveau " à l’endroit de personnes, qui plus est sont des égaux, des collaborateurs dont vous n’en savez a priori les compétences ? Quelle n ième bourde ! Le doit-on au danseur du Binon en disgrâce présentement ? La fin est pour bientôt

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