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Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

Publié le samedi 8 octobre 2016 à 02h48min

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Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

Les 2e journées parlementaires du groupe parlementaire Union pour le progrès et le changement (UPC) se sont achevées, ce 07 octobre 2016, à Ouagadougou. Après 48 heures d’échanges et de réflexions sur le thème « quelles perspectives de relance économique dans un contexte post-insurrectionnel au Burkina Faso ? », les élus de l’Union pour le progrès et le changement ont rendu leur copie. Ils proposent au gouvernement, la mise en œuvre d’un plan d’urgence de relance économique prenant en compte les aspects sécuritaire, social et économique.

L’économie burkinabè se porte mal. Depuis son accession au pouvoir, le président Kaboré et son gouvernement peine à trouver des solutions pour la relance économique. Il semble vouloir s’appuyer sur le PNDES (Plan national de développement économique et social). Pourtant, « le PNDES n’offre pas cette possibilité. Tel que élaboré et présenté, le PNDES n’est pas un instrument de relance économique, mais plutôt une ébauche de stratégies de développement de notre pays. Le gouvernement a confondu relance économique et stratégie de développement », a expliqué le député Amadou Sanon, lors de la cérémonie de clôture des journées.

Pour permettre aux Burkinabè de sortir de cette situation de morosité économique que traverse le pays depuis l’installation du régime Kaboré, et même avant, l’opposition vole au secours de la majorité. A l’issue de ses journées parlementaires, l’UPC dit apporter « des matériaux pour la construction de notre maison commune, le Burkina Faso ». « Pour la relance économique du Burkina, les parlementaires de l’UPC ont fait d’importantes propositions pour sortir notre économie de son état de « mouta mouta » », a confié Alitou Ido, le président du groupe parlementaire UPC.

Du plan d’urgence en question

L’UPC et ses députés invitent le gouvernement à mettre en œuvre un plan d’urgence de relance économique. D’ailleurs, soutiennent-ils, ce plan d’urgence devait intervenir dès les premiers jours de l’année 2016. Dans ce plan d’urgence de relance économique, les parlementaires du ‘’parti du lion’’ proposent, au plan social et sécuritaire, de désamorcer la fronde sociale à travers un dialogue sincère avec les partenaires sociaux, restaurer sans délai l’autorité de l’Etat, sécuriser les investissements contre les actes de vandalisme, donner des signaux forts que la réconciliation nationale est possible dans la vérité et la justice, réaffirmer l’option pour une économie du marché et le rôle moteur du secteur privé dans la croissance économique…

Sur le plan économique, ils proposent d’assurer le paiement de la dette intérieure afin de permettre aux entreprises de résoudre leurs difficultés financières ; organiser une conférence économique d’urgence avec l’ensemble des investisseurs nationaux et étrangers ; lancer un portefeuille d’urgence de la commande publique ; améliorer le climat des affaires afin d’attirer des investisseurs étrangers ; rendre plus opérationnel le fonds de soutien aux entreprises en difficultés.

Sur le volet Financement du plan d’urgence, selon le groupe parlementaire UPC, il faut lancer immédiatement des euros bonds concomitamment avec des emprunts obligataires sous régionaux ; créer un fonds national d’investissement de la diaspora ; procéder sans délai au recouvrement des arriérés des recettes fiscales et des chèques de trésor impayés ; s’assurer du paiement des prêts avalisés et rétrocédés aux sociétés d’Etat.

Les élus nationaux de l’UPC invitent le gouvernement à prendre en compte ces propositions qu’ils sont formulées afin de répondre aux attentes des Burkinabè.

Ils n’ont pas non plus manqué de souligner les faiblesses du Plan national de développement économique et social (PNDES). Pour eux, « l’analyse diagnostique du PNDES est incomplète et légère du fait que les données sur lesquelles le diagnostic est tombé ne reflètent pas la réalité des faits. En guise d’exemples, on notera les cas des secteurs de la santé, de l’éducation et de l’énergie ».

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Vos commentaires

  • Le 8 octobre 2016 à 07:01, par Alasko En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    C’est du propre, voici un parti responsable avec des idées innovantes en matière de relance économique ; par ces propositions vous venez de donner des leçons de la relance économique au MPP, mais à eux (dirigeants MPP) dans la posture d’un élève étourdi de prendre note de ces brillants travaux du groupe parlementaire UPC pour nous sortir de ce marasme économique. Félicitation aux élus de l’UPC et au Président du parti, ZEPH.

  • Le 8 octobre 2016 à 07:24, par Gomgnimbou En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    créer un fonds national d’investissement de la diaspora
    Tout à fait d’accord sur ce point. J’invite le gouvernement a y réfléchir et prendre compte cette proposition. Ça fait 2 absolument que je réfléchis à la création d’un fonds d’investissement à risque pour le soutien et le financement des là création d’entreprise au Burkina. Et le fonds sera alimenter en grande partie par les Burkinabės vivant à l’étranger.
    Je suivrai avec attention les décisions du gouvernement avant toute initiative car il faut éviter les actions disparates qui sont souvent les cause5 des échecs des bonnes initiatives

  • Le 8 octobre 2016 à 08:18, par Kouma kan En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Je valide :
    "procéder sans délai au recouvrement des arriérés des recettes fiscales et des chèques de trésor impayés ; s’assurer du paiement des prêts avalisés et rétrocédés aux sociétés d’Etat".

    Les impôts doivent procéder à un REDRESSEMENT de toutes les entreprises et les sociétés qui ne payaient pas l’impôt sous le régime de Blaise Compaore.

    IL FAUT ÉGALEMENT ET SURTOUT VOTER ET APPLIQUER LA LOI SUR LE DÉLI D’APPARENCE AFIN DE SAISIR TOUS LES BIENS MALS ACQUIS.

    IL FAUT ENFIN POURSUIVRE CEUX QUI (dans leur fuite) ONT VOLÉ ET PLACER LES FONTS PUBLIQUES À L’ÉTRANGER.

  • Le 8 octobre 2016 à 08:20, par Nikiss de Brazza En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Espérons qu’ils aient toute l’humilité de prendre en compte toutes ces propositions de solutions forts enrichissantes. Il ne manque pas qu’ils disent que comme c’est l’opposition qui a faire ces suggestions il faut les balayer du rever de la main gauche. Le Burkina c’est notre maison commune à tous donc le PPP gagnerait en toute modestie en s’inspirant de ces esquisses de solutions.

  • Le 8 octobre 2016 à 09:05, par "le vieux" En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    MERCI UPC. MAIS C’EST PEINE PERDUE QUE DE MONTRER LA VOIE A CELUI QUI NE PEUT PAS VOIR. APRES AVOIR CONÇU TOUS LES PROGRAMMES DE BLAISE COMPAORE PENDANT 1/4 DE SIECLE, COMMENT VOULEZ-VOUS QUE CE MONSTRE A TROIS TÊTES PUIS CHANGER QUALITATIVEMENT ?
    PARMI LES RSS, MONTREZ MOI CELUI QUI MAITRISE LES ROUAGES DU SYSTEME FINANCIER INTERNATIONAL ; PERSONNE ! HORMIS LES INTRIGUES ET LES ACHATS DE CONSCIENCES.

    ZEPH A ENSEIGNÉ L’ECONOMIE AUX USA, IL FUT DG ADJOINT DU PNUD ET DIRECTEUR AFRIQUE-ASIE A AREVA. IL ETAIT LE MIEUX INDIQUÉ POUR SORTIR LE BURKINA DE CE GOUFFRE MAIS HELAS !!! LE BURKINABE A VENDU SON ÂME A VIL PRIX.

  • Le 8 octobre 2016 à 11:31, par jules En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    pourquoi pas les locaux vides des societes pill pour des centr de formtions pour les jeunes, emploier les jeunes ds les grds stier pr faire curculer l argent.

  • Le 8 octobre 2016 à 11:47, par Locré En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    C’est bien de proposer mais il y a un problème. Pour réussir tout programme ou projet de développement deux conditions indispensables doivent être réunies :
    - d’une part une bonne conception du projet ou programme et
    - d’autre part une bonne application (exécution), avec les moyens mais aussi et surtout les hommes qu’il faut, dans une gouvernance vertueuse dénuée de clientélisme, clanisme népotisme à outrance
    Aucune formule, si bonne soit-elle ne peut être appliquée avec succès par n’importe qui. C’est pourquoi les contrefaçons ou les idées plagiées ou empruntés à d’autres personnes produisent rarement les résultats escomptés
    Néanmoins félicitations à l’UPC pour avoir montré ne serait-ce que l’exemple de comportement vertueux et citoyen....

  • Le 8 octobre 2016 à 13:15, par Et pourtant En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Rien de tout cela ne sera implémenté. Les vieux dinosaures du MPP vont sortir dire encore que "le pouvoir gouverne et l’opposition critique", comme à son habitude. Pourtant l’opposition est complémentaire au pouvoir : le pays appartient à tous !

  • Le 8 octobre 2016 à 13:18, par Adolfo En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    C’est du propre, nous sommes tous burkinabès, que tu sois du parti au pouvoir ou de l’opposition, nous devons comme le Rwanda, mettre de côté notre orgueil personnel pour trouver la bonne formule de la relance économique, laisser de côté les règlement de compte car aucun étranger ne viendra au Burkina pour relancer notre économie. Si notre économie se porte bien on fera notre bagarre après.

  • Le 8 octobre 2016 à 14:13, par NOEL En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    MERCI UPC TU AS UN SENS TRES ELEVE DE LA RESPONSABILITE. ICI TU ME PROUVE QUE TU PLACE L ’AMOUR DE TA PATRIE AU DESSUS DE TOUT.

  • Le 8 octobre 2016 à 15:09, par BOIN-ZEM OUINDE OUEDRAGO En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Pitie pour les indaptés du pays. On ne peut pas batir le développement harmonisé d’un pays sur des plans d’urgence comme si nous étions dans une situation de catastrophes naturelles. Le burkina Faso ne sort pas d’une gerre civile ou d’une catastrophe humanitaire pour qu’on parle de plans d’urgences. Je m’insurge contre cette vsion pessimiste du développement national du Burkina. Je comprends que pour les gens de l’UPC, nous sommes en crise et leur souhait est de semer les germes de la crise pour oser proposer des plans d’urgences. Ecoutez revoyer vos copies de sciences et politiques économiques de Harvard !!!!sorbonne !!! et autres !!!! attention au carririsme intelletuel !!!

  • Le 8 octobre 2016 à 15:42, par Sidpawalemdé Sebgo En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Hum... Toutes ces propositions sont excellentes... Sauf que la on parle de "plan d’urgence" alors que la plupart des mesures proposées demandent des mois pour être mises en œuvre.

    Sans argent frais, on liquide la dette intérieure, on crée de nouveaux fonds ou on lance des commandes publiques avec quoi ? Or, les mesures pour faire rentrer l’argent proposées demandent du temps, en tout cas plus que les deux mois qui restent avant la table ronde des bailleurs que veut faire le gouvernement en Décembre en France.

    1°) L’appel public à l’épargne respecte des règles, que ce soit au niveau régional ou international et donc du temps.

    2°) Quand à faire payer les sociétés qui doivent à l’état, soyons réalistes : Demander actuellement à la SONABEL ou à la SONABHY de régler leurs dettes, c’est les mettre en faillite, et on fait quoi après ?

    3°) Faire payer ceux qui doivent des impôts et les redresser pour les années d’impayés ainsi que recouvrer les chèques impayés, voila qui est juste et populaire. Sauf qu’on a laissé tout le temps à ces gens de s’organiser pour cacher leur argent et se rendre donc insolvables. Même si vous saississez leurs immeubles (en tout cas ceux dont ils n’ont pas encore changé les noms !), cela ne sera pas de l’argent frais !

    Enfin, cette histoire de "signaux forts pour la réconciliation" la, vous jouez avec le feu ! Si au moment ou on accuse le gouvernement de tergiverser sur les affaires de crimes économiques et de sang, qu’aucune affaire n’est encore jugée et qu’on ne sait pas qui a fait quoi, ou sont passées nos parcelles, qui a "vidé les caisses de l’état", qui a tué nos martyrs, ils s’amusent a devancer la justice pour prendre des lois d’amnisties (car c’est de cela qu’ils parlent), le mandat de 5 ans risque de ne pas arriver à son terme. Et on peut se demander comment la population et les familles des victimes vont prendre qu’on permette à des gens accusés de putsch sanglant de revenir gaillardement à l’assemblée. Mais c’est peut être justement la chute prématurée du régime MPP que veut l’UPC ?

    • Le 10 octobre 2016 à 10:56, par TRAORE ADAMA En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

      Mon frère si tu ne comprends rien il vaut mieux se taire. Sinon, toi tu propose quoi ? Eux au moins ont Proposer quelques chose. On a souvent dit que même si tu n’aime pas le lièvre, il faut accepter qu’il cours. Imaginez, si le parti au pouvoir ou encore la mouvance présidentielle avait eu une telle vision dès les premières heures de leur arrivée sur le fauteuil présidentiel, ne pensez-vous pas que la situation chaotique vers laquelle on est conduit actuellement pouvait être évité dans une certaine mesure ?

      Ce sont là des fils du pays d’un parti politique (UPC), qui ont perdu les élections, et qui ont su faire profil bas comme le recommandait un des gourous du MPP pour se moquer d’eux, et, ont fait montre de patriotisme pour sortir de telles réflexions pour ainsi apporter leurs pierres de construction de la nation. Je pense honnêtement, qu’il n’y a pas de honte à cela, et qu’il serait judicieux pour le bien de tous les burkinabè, d’empocher votre égoïsme, et de voir ces propositions afin de prendre ce qui est prenable. Le peuple burkinabè vous regarde.

      Ne vous laissez pas aveugler par votre égo. Parce que ça ce voit déjà quand vous accusez déjà l’UPC de parler d’amnisties alors que nul part il non fait allusion à cela. Calmez-vous et apprenez à lire dans les lignes sans préjugés, sans égoïsme. Une foi encore, le peuple vous regarde, il vous suit et il vous a fait confiance.

      A bon entendeur......

  • Le 8 octobre 2016 à 15:52, par Hamad En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Félicitations aux élus de l’UPC et surtout à son président pour son humilité.

  • Le 8 octobre 2016 à 16:21, par Cheikh En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Pour une contribution saine et sans parti pris ni piques à l’encontre de qui que ce soit, je dirai que pour une thérapie de choc, ce qui est réellement nouveau dans ce pâté de propositions et à prendre en compte par le gouvernement est le suivant :
    - La mise en oeuvre du portefeuille d’urgence de la commande publique
    - Le lancement des emprunts obligataires, des euro-bonds, et des fonds de la diaspora, qui constituent d’ailleurs, l’épine dorsale du programme proposé au peuple par l’UPC lors de sa campagne.
    - Le recouvrement d’arriérés de recettes fiscales,de chèques impayés,de paiements de prêts avalisés rétrocédés aux sociétés d’’Etat si possible, et à condition que la situation des opérateurs s’y prêtent après tous ces bouleversements.
    Sinon pour le reste, nous savons déjà ce qu’il en est, à savoir que :
    - Le dialogue avec les partenaires sociaux est depuis longtemps en cours déjà, et s’avère même exagéré
    - L’organe pour la réconciliation est en train d’être mis déjà en place
    - L’économie de marché fait déjà partie de l’idéologie social-démocrate
    - Le paiement de la dette intérieure a été déjà amorcé
    - Nous assistons chaque jour à un véritable ballet vers les investisseurs internationaux,
    Ce qui devrait déjà interpeller les nationaux vraiment patriotes
    - Pour le Fonds de soutien aux entreprises, ce point fait déjà partie de la politique de création de la CDI, envisagée par le gouvernement.
    Mais n"empêche que pour les autres points retenus, le gouvernement peut toujours tenter de les appliquer avec l’aide des UPECISTES aptes et disponibles.
    Tout compte fait, belle initiative de la part des UPECISTES, le peuple attend maintenant le tour des autres partis d’opposition, également soucieux du devenir de notre nation.

  • Le 8 octobre 2016 à 19:47, par Burbur-sob En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Propositions concrètes qu’il faut saluer.
    Maintenant, est ce que le PM, le gouvernement et le MPP auront la sagesse et l’humilité pour avaliser ces propositions et l’intelligence de les mettre en oeuvre ?
    Le PM a bûché le programme présidentiel comme un élève coranique de telle sorte que le gouvernement semble enferré. Pas d’imagination, pas d’audace ! Une désagréable sensation et impression déjà vécues, il n’y pas si longtemps

  • Le 8 octobre 2016 à 19:48, par Saké En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Tout à fait d’accord avec ces propositions. Mais ces vieux dinausores du mpp vont le récuperer autrement. Dans le milieu intelectuel, on comprendra que ce sont les idées de l’UPC. Malheusement, dans un pays à 90% analphabètes sera berné pour dire que c’est le mpp qui a trouvé ces solutions. D’ailleurs, si les burkinabè votaient programme et non les miettes, le mpp ne serait même pas classé 4ème aux présidentielles à plus forte raison venir au pouvoir. Hélas, les analphabètes ont élu un président qui veut gouverner des intellectuels.

  • Le 8 octobre 2016 à 21:01, par Agents impôts En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    A l’allure où vont les choses par la caporalisation des activités du ministère de la santé par un ministre affairiste et son clan régionaliste, on tend vers une cascade de procès dans le département à l’instar de l’affaire CAMEG. La raison, la chasse aux sorcières que le ministre de la santé veut mener contre des DG des EPS et Hôpitaux qu’il considère comme n’étant pas ses DG, parce qu’il ne les a pas nommés, va entraîner à coups sûrs des procès pour ruptures abusives de contrats de DG choisis par appels à candidatures. En effet, en procédant à une nomination de masse de DAAF d’Etablissements Publics de Santé(EPS) lors du conseil des ministres du 5 Octobre 2016, le ministre vise à créer des conflits entre les DG et ses DAAF snipers qu’il va instrumentaliser. Comme le ministre agit par passion et zèle sans tenir compte des règles de droit, il oublie que ce sont les textes légaux des EPE et autres sociétés d’Etat qui accordent aux DG, des prérogatives d’ordonner les dépenses. Les DAAF ne sont pas habilités pour cela et ne sauraient imposer des dépenses futiles téléguidées par un ministre. Aux dernières AG des EPE et sociétés d’Etat en 2016, le Premier ministre Kaba a insisté pour que les DG de ces structures n’ordonnent sous la pression de quiconque, des dépenses qui sont contraires aux règles des dépenses publiques. Les alibis de fautes lourdes qu’il utilise maladroitement, vont juridiquement se retourner contre lui avec comme conséquences, des droits légaux et dédommagements à hauteur de millions, voire de milliards à payer à des DG abusivement sanctionnés. Nous agents des impôts dont nos revendications ne sont pas satisfaites pour nos droits légitimes de fonds communs, mettons d’ores et déjà en garde, la ministre des Finances si le gouvernement laisse opérer une saignée insensée sur les finances publiques pour des dédommagements judiciaires dûs à des querelles de personnes du ministère de la santé décrié .Il faut que le gouvernement soit conséquent avec lui-même en ne cautionnant pas des dérives administratives qui ponctionnent injustement le trésor public. Le ministre de la santé peut-il prétendre être le seul homme qui travaille mieux que tout le monde au ministère de la santé pour dicter sa loi par devers et contre tous !Quelle félonie et mégalomanie. Les intentions affairistes claniques du ministre sont démasquées publiquement.

  • Le 8 octobre 2016 à 21:40, par ATS En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Sans etre un specialiste en economie, j’estime que l’UPC devrait prendre en compte un certain nombre de choses :
    - Quel est le taux d’endetement actuel de notre pays ?
    - Sommes nous toujours sufisamment solvable pour un endetement massif a l’heure actuelle et a quel taux ?
    - La gouvernance actuelle est-elle suffisamment vertueuse pour garantir un investissement effectif de l’argent emprunte et quel mecanisme est mis en place pour eviter que ces sous ne finissent dans des comptes prives dans les paradis fiscaux ?

    • Le 10 octobre 2016 à 11:13, par TRAORE ADAMA En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

      Mon frère, comme tu le dis bien sans être économiste et expert politique, je te signale qu’ici, tu te trompe de personnes à qui tu devrais poser ces questions. Celui qui est apte à répondre à ces questions est le pouvoir actuel, et précisément le Président KABORE et son Premier ministre Paul Kaba THIEBA. Ce sont eux qui sont aux affaires. Alors, ce n’est pas à l’UPC de prendre tes préoccupation en compte. Change de direction.

  • Le 9 octobre 2016 à 07:43, par Paul Kéré En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Le fond d’investissements de la diaspora avait été expressément évoqué en comparaison avec l’exemple de la diaspora ghanaéenne par M. Salifou DIALLO, avant toutes les élections lors de la rencontre à Paris du MPP avec la diaspora européenne. Et depuis la victoire du MPP, silence radio. Que se passe t-il ? Je cherche à comprendre ce mutisme politique devenu habituel vis-à-vis de la diaspora burkinabè qui doit pourtant, obligatoirement, apporter sa contribution au développementde notre pays. Quel gâchis politique ? Paul Kéré.

  • Le 9 octobre 2016 à 07:58, par Cadama En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    C’est propre. Félicitations. C’est ça la participation à la gestion de l’Etat. Vivement que le gouvernement en tiennent compte

  • Le 9 octobre 2016 à 08:50, par Le démocrate En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Ceux qui ont élaboré le PNDSE ne sont pas tarés comme vous le laissez croire. A la fin de sa mise en œuvre vous pourrez vous exprimer ; je vois pas pourquoi le régime actuel se permettrait de l’abandonner sans l’avoir mis en œuvre et évaluer. Toutefois merci quand même pour vos propositions. Continuez sur cette lancé mais en économisant les dénigrements.

  • Le 9 octobre 2016 à 10:33, par GUEULARD En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Franchement je suis d’accord ici avec l’UPC. En effet le PNDES est une description de stratégie et rien d’autre et vous verrez que la table-ronde prévue à Paris pour attirer les financements le démontrera à merveille. Les bailleurs de fonds ne sont pas des mesquins et ne vont pas se laisser piéger par des mensonges et des ruses. Attendons tous la suite car c’est avec les queues entre les pattes qu’ils reviendront ici.

    Les députés de l’UPC ont asséné une vérité cinglante en disant : ’’l’analyse diagnostique du PNDES est incomplète et légère du fait que les données sur lesquelles le diagnostic est tombé ne reflètent pas la réalité des faits. En guise d’exemples, on notera les cas des secteurs de la santé, de l’éducation et de l’énergie’’. En effet il ne suffit pas de bien parler et de parler beaucoup pour savoir bien faire. En effet dans ces 3 secteurs cités, c’est le tâtonnement, l’amateurisme, la théorisation et le blablabla. Vous verrez ! Rien ne marchera.

  • Le 9 octobre 2016 à 11:15, par le fair play citizen En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Le Rwanda a été le seul pays à atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) malgré des années de guerre. Le développement est avant tout une question de volonté, sinon tout le monde sait comment sortir le Burkina du sous développement
    Travaillons à nous départir de nos égoïsmes qui ne font que nous enfoncer

  • Le 9 octobre 2016 à 17:47, par GUEULARD En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Internaute 23, ici il ne s’agit pas de faire de la philosophie, mais de dire du concret ! Alors fout-nous la paix avec tes objections de conscience et tu sais où te les foutre pour nous laisser tranquille !

  • Le 10 octobre 2016 à 02:35, par Aristide ZONGNABA En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Chers frères du Burkina, je suis déçu lorsque je lis certains commentaires et analyses. Par exemple, lorsque des gens déclarent que le gouvernement reviendra ici la queue entre les jambes pour faire plus gentil, c’est vraiment dommage. De tels propos s’apparentent à s’y méprendre, à des souhaits, voire à de l’exultation et pour cause ???

    Ceci me donne l’occasion de revenir sur la question de l’éducation. Comment peut-on être content que son pays échoue parce qu’il n’est pas dirigé par celui qu’on aurait souhaité voir à cette place ? J’en suis profondément attristé.

    J’aurais pris au sérieux les propositions de l’UPC si l’introduction n’avait pas été que du dénigrement. Toute personne qui se respecte ne peut se permettre de dire que l’autre ne vaut rien, pour ensuite lui dire, fais ce que je te dis en tant que ton enseignant hors pair. C’est simplement cela que l’on appelle de l’orgueil.

    Pour ma part, je note que l’UPC n’a fait aucune proposition nouvelle qui ne soit pas contenue dans le PNDES. Mieux, je suis étonné que des gens qui se disent experts en économie aillent se réunir pour conclure que le PNDES n’est qu’un plan stratégique de développement comme si quelqu’un avait dit le contraire. Pour l’information des honorables députés mais aussi de beaucoup d’internautes, selon ce que j’ai compris en tant qu’un total profane de la chose économique, le PNDES est effectivement un plan stratégique devant servir de boussole et c’est pourquoi on y trouve des indicateurs précis de performance année après année, et cela est une première dans notre pays. Le savant des ignorants, si orgueilleux qu’il est, en tant qu’il fut ministre des finances de ce pays peut-il nous présenter son plan exemplaire écrit et mis en oeuvre en son temps ? Je disais donc que le PNDES est bien un plan stratégiques dont découlent des programmes sectoriels de développement dans une certaine cohérence.

    Je constate avec regret en lisant les différentes réactions que la plupart des gens qui ont réagi n’ont même pas pris la peine de lire le PNDES. Ce serait encore pire de leurs demander d’avoir lu les plans sectoriels des différents ministères. C’est seulement à partir de ces plans sectoriels qu’on pourrait prétendre faire des critiques objectives. Mais, je constate que l’UPC a abusé du fait que généralement les africains ne lisent pas et n’ont donc naturellement pas lu le PNDES, par conséquent n’en savent pas grand chose pour faire du populisme. Si ces honorables députés sont si sérieux qu’ils ne veulent faire croire, qu’ils traduisent leur verbiage en projets concrets chiffrés et indiquent comment et où trouveront-ils les ressources nécessaires pour leur mise en oeuvre dans des délais aussi courts qu’ils ne semblent l’indiquer puisqu’il s’agit de programme d’urgence. Arrêtons la politique politicienne.

    Par ailleurs, à chaque sortie, certains se plaisent à dire que le peuple se serait trompé. OK. C’est aussi le droit pour tout le monde de se tromper non ? Pourquoi il ne s’est pas trompé en faveur du champion incontesté et incontestable aussi bien au niveau de son parti que de la nation ? Un conseil, tant que ce orgueil démesuré ne changera pas, dans cinq ans, le peuple se trompera encore en laissant le champion qui est tellement au-dessus du lot qu’il n’est pas capable de s’adapter à son peuple si bas de niveau. Trop c’est trop.

    Ceci dit, je n’approuve pas du tout la manière de gérer du gouvernement actuel qui fait véritablement peur. Je suis étonné du niveau extrêmement médiocre de management de l’équipe actuel qui au lieu de s’appuyer sur des ressources humaines très qualifiées pour certaines et expérimentées qu’elle est venue trouver, elle fait du changement systématique de cadres dans leurs postes un système de gouvernance. C’est dans quel système ou pays au monde qu’on a nié l’expérience et la qualification prouvée et avérée parce qu’on doit tout simplement mettre des jeunes et que cela a porté du fruit ? J’ai parfaitement soutenu le MPP même si auparavant ma voix était allée à l’UPC, pour des raisons du moment... Mais, ce que je vois me désole et je dois le dire sincèrement pour espérer attirer l’attention du régime actuel qui nous gouverne quoi que l’on dise pour cinq ans. Voilà une équipe qui est arrivé et qui a fait pendant au moins six mois, de la critique et la fouille systématique et orientée de la gestion de la transition un programme de gouvernement au lieu de travailler et laisser la justice faire son travail par des audits. C’est quand même dommage. Ensuite, elle s’est déployée à changer tous ceux qui étaient là par des jeunes qui n’ont jamais rien fait de leur vie sous prétexte qu’il faut promouvoir la jeunesse. Ainsi, les mémoires et de vraies éminences grises de la plupart des ministères ont été mis à l’écart. Et comble de malheur, ce que Blaise avait toujours fait intelligemment a été fait avec grand bruit ; mettre des cadres du MPP. Ceci a été maladroit que beaucoup de cadres MPP, ceux qui ont en tout de la personnalité se sont mis à l’écart et ont été écrasés comme tout le monde. La conséquence peut être très fâcheuse dans un avenir proche. De ce fait, elle n’a fait que créer des conflits un peu partout tout en constituant des équipes incapables de faire bouger le moindre dossier, et nous voilà dans un sale drap. J’espère donc, que le MPP en premier et le gouvernement actuel en deuxième position, pourront opérer des changements radicaux pour faire bouger réellement les projets et programmes qui étaient en bonne posture sous la transition et dont cette équipe est venue freiner net l’élan pris pour certains depuis octobre 2015 qui avaient juste besoin d’un simple OK pour avancer. Pour la première fois depuis mes trente ans de service, j’assiste à une discontinuité de l’action de l’Etat, avec en prime, un tâtonnement et un amateurisme de degré inouï. Je suis bien gêné de parler ainsi contre un parti que je soutiens (c’est ma manière de le faire) mais c’est par amour pour ce pays que je réagis ainsi, pas pour un parti quelconque quel qu’il soit.

    Pour conclure, je dirais que l’UPC joue admirablement bien son rôle en vue d’accéder au perchoir, mais pas sur le bon terrain pour ma part. On ne peut pas jouer du foot bal sur un terrain de volley bal. Sachez-le, celui qui creuse un trou devant un aveugle finit par y tomber, les deux yeux grandement ouverts, car Dieu existe pour tout le monde. Que les dirigeants de ce parti jouent sur une autre corde car ce parti a des atouts qu’il faut conserver dans la vérité en dehors de la ruse dont on est pas toujours sûr d’échapper en fin de course. Attention à la politique politicienne.

    Que Dieu bénisse notre chère patrie à tous.

    • Le 10 octobre 2016 à 11:50, par TRAORE ADAMA En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

      Quant on dit à l’autre, il faut se respecter, on doit appliquer cela à soit-même.

      Sinon, pourquoi acquiser de quelque chose et se mettre aussitôt à faire pire ? Voyer vous-même, ce sont là vos propos :

      "J’aurais pris au sérieux les propositions de l’UPC si l’introduction n’avait pas été que du dénigrement. Toute personne qui se respecte ne peut se permettre de dire que l’autre ne vaut rien, pour ensuite lui dire, fais ce que je te dis en tant que ton enseignant hors pair. C’est simplement cela que l’on appelle de l’orgueil".

      Alors, si vous estimez que l’UPC à introduit ses suggestion par un dénigrement, comment peut-on considérer vos propos qui suivent :

      "Ceci dit, je n’approuve pas du tout la manière de gérer du gouvernement actuel qui fait véritablement peur. Je suis étonné du niveau extrêmement médiocre de management de l’équipe actuel qui au lieu de s’appuyer sur des ressources humaines très qualifiées pour certaines et expérimentées qu’elle est venue trouver, elle fait du changement systématique de cadres dans leurs postes un système de gouvernance. C’est dans quel système ou pays au monde qu’on a nié l’expérience et la qualification prouvée et avérée parce qu’on doit tout simplement mettre des jeunes et que cela a porté du fruit ? ....
      Voilà une équipe qui est arrivé et qui a fait pendant au moins six mois, de la critique et la fouille systématique et orientée de la gestion de la transition un programme de gouvernement au lieu de travailler et laisser la justice faire son travail par des audits. C’est quand même dommage. Ensuite, elle s’est déployée à changer tous ceux qui étaient là par des jeunes qui n’ont jamais rien fait de leur vie sous prétexte qu’il faut promouvoir la jeunesse. Ainsi, les mémoires et de vraies éminences grises de la plupart des ministères ont été mis à l’écart. Et comble de malheur, ce que Blaise avait toujours fait intelligemment a été fait avec grand bruit ; mettre des cadres du MPP. Ceci a été maladroit que beaucoup de cadres MPP, ceux qui ont en tout de la personnalité se sont mis à l’écart et ont été écrasés comme tout le monde. La conséquence peut être très fâcheuse dans un avenir proche. De ce fait, elle n’a fait que créer des conflits un peu partout tout en constituant des équipes incapables de faire bouger le moindre dossier, et nous voilà dans un sale drap".

      Ce sont là vos propos. Quelles différences faites-vous de l’esprit de vos propres dires par rapport à ceux de L’UPC ? S’il vous plait, mon frère, faites que l’on puisse avancer dans ce pays.

      Vous savez, c’est mieux de se taire quand on ne comprend pas français.

  • Le 10 octobre 2016 à 10:08, par pataamleukré En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Merci à l’UPC qui a accepté de donner des propositions de voies de sortie de crise à nos gouvernants.Certains partis d’opposition à leur place allaient plutôt se réjouir de la situation dans laquelle se trouvent leurs adversaires et souhaiter que celle ci perdure.
    "Rataag san ko ki ,bii pinga, ti ka yoorant n’ko yé !":Si ton rival réalise de bonnes récoltes,félicites-le ,car ce n’est pas avec son sexe qu’il l’a fait.

  • Le 10 octobre 2016 à 12:06, par TRAORE ADAMA En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Bravo à l’UPC pour cet exemple d’humilité, de clairvoyance et de patriotisme.

    Que cela soit un exemple pour tous ceux qui prétendent être engager pour la construction du Burkina. Parce que si seulement ces trois valeurs que sont : l’humilité, la clairvoyance et le patriotisme étaient celles qui habitaient les âmes et qui guidaient l’esprit de beaucoup de politiques de ce pays, le Burkina serait très loin et allait être un exemple en Afrique.

    Vivement que cela advienne par la grâce du Seigneur Tout Puissant, pour le bien du peuple burkinabè.

    Que le Seigneur Tout Puissant, Protège se Pays.

  • Le 10 octobre 2016 à 14:01, par jm En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Bon boulot, rien à dire, l’UPC est une force de proposition, elle ne critique pas pour critiquer, elle propose également. A vous les hommes du pouvoir de prendre en compte les propositions, afin que nous sortions de ce marasme économique.

  • Le 19 octobre 2016 à 23:11, par Jean Gabriel Yaméogo En réponse à : Relance économique au Burkina : La thérapie de choc proposée par le groupe parlementaire UPC

    Voilà ce qu’on appelle une opposition républicaine. Quand la case de "Birame" brûle tout le village doit se mobiliser pour éteindre le feu. Après on pourra reprendre nos bisbilles politiciennes à la petite semaine.

    FELICITATIONS A L’UPC !!!

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