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Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

Publié le mercredi 14 septembre 2016 à 23h35min

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Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

La fumée blanche sort-elle enfin des locaux de la Centrale d’achat des médicaments essentiels génériques et des consommables médicaux (CAMEG) ? Ce feuilleton qui connait des développements chaque jour semble tirer vers sa fin. Du moins c’est le souhait des acteurs de cette crise qui n’a que trop duré. Perdu entre deux feuxet fatigué de ce bicéphalisme imparfait à la tête de l’association, le personnel a dû, à un moment donné prendre la lutte en main. Cela, pour ne pas perdre leur outil de travail, source de revenus. Rencontré le mardi 13 septembre 2016, au siège de l’association à Ouagadougou, le délégué du personnel, Ali Zongo, explique leur attitude depuis le début cette crise.

Lefaso.net : Qui est selon vous habilité à renouveler le contrat du Directeur général de la CAMEG ?

Ali Zongo : C’est le Conseil d’administration qui est habilité à renouveler le contrat du Directeur général de la CAMEG. Il n’appartient pas au ministre de la santé de s’ingérer dans cela. C’est le Conseil d’administration qui a les pleins pouvoirs.

Quelle est la position du personnel face à cette crise ?

Le personnel de la CAMEG s’est offusqué et s’est opposé à une ingérence ainsi qu’à une violation des textes par le ministère de la Santé. Ce n’est pas à ce dernier de nommer. Quand vous constatez, le ministre a envoyé une note d’intérim au Directeur général. Du coup, il y a problème car c’est au Conseil d’administration de le nommer. Même si le mandat des administrateurs avait expiré, puisque c’est trois ans, et s’il y avait à reprocher cela il n’appartient pas au ministre de le faire.

Ce sont les membres fondateurs de la CAMEG, y compris les représentants de l’Etat qui doivent reprocher au Conseil d’administration d’avoir fauté. C’est l’assemblée des membres fondateurs qui doit se réunir pour en décider. Le ministre à lui seul n’a pas de prérogatives de faire ces reproches et même d’aller jusqu’à nommer un autre Directeur général.

Quelle appréciation faites-vous des différentes décisions rendues par le Tribunal administratif et le Tribunal de grande instance de Ouagadougou ?

Initialement, le personnel avait sa position. C’est une question de textes, de peur d’interpréter et d’être dans l’erreur, ils ont laissé la justice trancher. Comme la Direction générale ainsi que le Conseil d’administration a posé plainte. A partir de cet instant, comme la justice a tranché en faveur de la CAMEG actuelle, il n’y a pas de raison pour le personnel que cette décision ne soit pas respectée. Mais à notre grande surprise, à la date du 6 septembre dernier, nous avons d’abord vu la note de licenciement du Directeur général, malgré le sursis prononcé par la justice. Une note prise par Dr Konfé en qualité de Président du Conseil d’administration, illégalement installé par le ministre, au ministère de la santé.

C’est ce Conseil d’administration qui a été attaqué.
Notre Conseil d’administration est ici et la justice nous a donné raison en déboutant celui du Dr Konfé. On se retrouvait avec deux CAMEG, deux PCA et deux DG. On s’est dit que la justice doit trancher parce qu’on est troublé dans cette histoire. C’est ainsi qu’on a eu la patience d’attendre toutes les décisions. Pour nous, cela devait être la justice de tous les Burkinabè, que tous doivent respecter.

Après le ‘’licenciement’’ du DG Kadéba, il y a eu la nomination d’un intérimaire (Dr Damien Koussoubé) qui fait partie du personnel. C’est ce que nous n’avons pas compris. Même si nous voulons la promotion d’un de nos agents, il faut que cela respecte les textes. Ce dernier, le 8 septembre dernier, ce sont quatre cargos de CRS (Compagnie républicaine de sécurité) qui sont venus pour l’installer de force.

Pourquoi le portail a été fermé ce jour-là, tout comme le 25 aout dernier ?

Je vous dis que la position même de ce Conseil d’administration a été déboutée par la justice. Pourquoi est-ce qu’ils vont venir installer quelqu’un ici. Il n’y a pas de raison. Le personnel a décidé de fermer la porte parce qu’on ne peut pas comprendre que malgré la décision de justice, ils viennent pour installer quelqu’un. C’est en ce moment que nous avons fait appel à l’avocat de la CAMEG. Il est venu pour s’entretenir avec les CRS et montrer les différentes décisions, les ordonnances de justice qui disent qu’ils n’ont pas autorité et ne doivent plus prendre de décisions relatives à la gestion de la CAMEG.

Vous avez entamé un sit-in depuis le 7 septembre, cela pour une semaine. Expliquez-nous les raisons ?

C’était pour manifester notre mécontentement face au non-respect des décisions de justice par monsieur Konfé et par corrélation le ministère de la Santé. Nous ne sommes pas la seule structure où le ministère de la Santé est le ministère de tutelle technique. On a bien dit ministère de tutelle technique. Ce sont les aspects techniques, la règlementation où il doit intervenir. Mais concernant la maison, nos statuts sont clairs. Nulle part il n’est dit que c’est le ministère de la Santé qui doit diriger la CAMEG. Si vous voulez, regardez les statuts, c’est clair, il n’y a pas de débat dessus. Mais les agissements laissent croire que c’est le ministère de la santé qui veut diriger la CAMEG.

Nous n’avons pas été recrutés par le ministère de la santé mais par le Conseil d’administration qui est issu de 1998. Entre temps, pendant ce film il y a eu un récépissé qui a parachuté le 24 août 2016. Du coup cela veut dire quoi ? Que nous, nous n’existons plus. Le personnel qui a été recruté par le personnel de 1998 n’existe plus. Alors que nous sommes 265 agents. C’est le personnel qui a travaillé jusqu’à ce que la CAMEG soit ce qu’elle est aujourd’hui. Si on était réellement rattaché au ministère de la Santé, pourquoi les subventions qu’il donne aux districts, la CAMEG n’en bénéficie pas.

Depuis qu’elle existe, le ministère n’a jamais donné de subvention.
Nous avons toujours travaillé en fonds propres avec les bailleurs de fonds. Au contraire le ministère de la Santé à travers l’Etat nous doit aujourd’hui 12 milliards de francs CFA. Malgré cela, nous continuons de travailler à satisfaire la population. Il n’y a jamais eu d’arrêt d’approvisionnement dans les districts et hôpitaux. C’est pour dire que nous ne dépendons pas directement du ministère de la santé.

Quelle est la suite après ce sit-in ?

Le sit-in est presque fini. Nous allons faire le point. C’est vrai que ce sont des décisions de justice qui sont tombées. Malgré cela il y avait de l’insistance à passer en force. Nous allons faire le point et on verra. L’objectif est que nos statuts soient adoptés suite à la relecture des membres fondateurs (l’Etat et les partenaires techniques et financiers). Cela évitera que l’on soit là à tergiverser sur les textes.

C’est pour cela en 2014-2015, il y a eu de longues réflexions, des ateliers sur les statuts où tout le monde a participé à savoir les bailleurs de fonds, l’Union européenne mais également l’Etat à travers le ministère de la Santé, celui du Commerce et celui de l’Economie. Les textes ont été transmis au Conseil d’Etat pour voir la possibilité que l’Etat soit membre de l’association. Ce qui a été validé. La dernière phase était que ça parte au ministère pour finalisation pour que les membres fondateurs en assemblée générale puissent adopter. Et c’est ce qui est bloqué depuis septembre 2015 au niveau du ministère de la santé.

A quelle CAMEG appartenez-vous ? La ‘’nouvelle’’ ou ‘’l’ancienne’’ ?

Nous en tant que personnel, nous allons parler de ce qui nous intéresse. Nous appartenons à la CAMEG de 1998. C’est elle qui a fait ses prouesses et arrive aujourd’hui à approvisionner 80 à 90% en médicaments sur tout le territoire national. Est-ce que vous pensez que y a mieux à montrer si ce n’est nous encourager.
Quand la gratuité des soins a été lancée, ce personnel a travaillé, pour la réussite du programme sanitaire du Président du Faso. Alors que nos salaires n’ont pas été augmentés. Nous sommes un outil incontournable pour la réussite de ce programme. Tous se sont mis à pied d’œuvre pour que les médicaments de la gratuité arrivent à temps dans les districts. S’il n’y a pas à nous encourager, il ne faut pas nous décourager, ni démotiver le personnel par ces agissements.

Imaginez que l’on vous dise que vous avez deux PCA, deux Conseil d’administration, deux DG. Vous vous mettez où ?Voilà pourquoi nous avons décidé d’attendre les décisions de justice. Nous pensons qu’il serait bien que tout le monde suive, pour que nous puissions reprendre le travail pour le bien-être de la population. Nous ne sommes mieux satisfaits que lorsque le médicament atteint la population.

Aviez-vous peur de perdre vos emplois et avantages ?

C’est une évidence. Avant on pouvait dire qu’on ne savait pas, on tergiversait. Mais à partir du moment où le nouveau récépissé est descendu, cela veut dire que nous tous on est licencié. Parce qu’on n’appartient pas à ce nouveau récépissé. Nous ne parlons pas est-ce qu’ils vont nous prendre ou pas.

Pourtant le Dr Salifou Konfé a pris l’engagement de ne toucher à aucun de vos avantages !
C’est une promesse. Pourquoi d’ailleurs changer une équipe qui gagne ? La question est là. Y’avait-il nécessité. A vous de savoir ? Sont-ils venus faire des audits et se sont rendu compte que ces organes ont fait des détournements à hauteur de milliards jusqu’à être préjudiciable ? Ce n’est pas le cas. Nous sommes une structure d’achat vente et nous ne travaillons que sur la confiance du fournisseur. Le fournisseur ne travaille qu’avec ceux en qui il a confiance. Il fait confiance à la CAMEG de 1998. On a des fournisseurs qui ont un crédit d’un à deux ans. Mais on les éponge. On aurait pu dire, l’Etat nous doit 12 milliards et on arrête les approvisionnements. Mais ce n’est pas le cas. On continue pour le bien-être de la population.

Perdre nos emplois ? Oui, on a eu très peur de perdre nos emplois. Derrière chaque agent il y a une famille. Il faut préserver d’abord l’outil. C’est quand l’outil est préservé que vos emplois le sont aussi. Mais, ces agissements ne garantissent pas l’outil. Si nous n’achetons pas, nous n’allons pas vendre. Si nous ne vendons pas, nous allons aller en faillite. C’est simple comme mathématique. On aurait pu nous dire que la CAMEG est en train d’aller en faillite. Voilà une solution pour vous. Mais ce n’est pas le cas. Nous avons même fait un bon chiffre d’affaires et le bénéfice a augmenté. On se demande qu’est ce qui se cache derrière.

Pour vous, il y a quelque chose d’autre derrière cette agitation ?

Pourquoi cette précipitation à changer une équipe qui gagne. Nous ne pouvons pas deviner ce qui se passe. Mais on préfère agir sur ce que nous voyons.

Avez-vous un appel à lancer ?

Nous appelons la population à comprendre les agissements qui sont arrivés. C’est pour le bien-être de la population que nous avons agi. Si la CAMEG fonctionne, c’est nous qui sommes là. Si ce personnel expérimenté n’est pas là, la CAMEG aura des problèmes. Nous souhaitons que nos fondements, c’est-à-dire, nos statuts soient respectés. Je vous remercie.

Entretien réalisé par Marcus Kouaman
Lefaso.net

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Vos commentaires

  • Le 14 septembre 2016 à 20:04, par vérité no1 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Donc en quelque sorte, le ministre de la santé n’a rien à foutre dans ça ! Qu’il dégage, le pays là n’est pas pour lui et il doit savoir que personne n’a peur de personne dans ce pays, le temps de Blaise Compaoré est revolu ! Que l’on respecte le Burkina Faso dans la mesure où ce n’est pas une bananeraie de quelqu’un !!!!!!!!

  • Le 14 septembre 2016 à 20:10 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Voilà qui est bien dit ! Clair et net dans ambiguïté. On attend de voir si ce ministrion a un minimum de dignité. S’il en a, il doit tirer toutes les conclusions qui s’imposent. Courage à tous. Seule la lutte organisé et éclairée paie !!!

  • Le 14 septembre 2016 à 20:25, par Sambo En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    C’est le MPP de Salif DIALLO qui est derrière cette agitation du Ministre de la Santé. Un Ministre de la santé qui ose dire qu’il s’en fou de son Premier Ministre et qui défie la justice. Cela veut dire quoi ? Qu’il a du soutien derrière, c’est à dire Salif DIALLO. Le MPP de Salif DIALLO veut placer un de ses fidèles. Voici encore une preuve de la lutte fratricide au sommet de l’Etat RSS. Chacun a son domaine réservé et tente de placer ses hommes.
    Le pays va vraiment mal. La dette intérieure de l’Etat que le Candidat ROCK avait promis régler rapidement dès son arrivée au pouvoir, demeure. Si l’Etat ne parvient pas à payer sa dette intérieure (c’est à dire ce qu’il doit aux entreprises nationales), comment voulez-vous que l’économie soit relancée.

    Sambo

  • Le 14 septembre 2016 à 20:28, par Spruk En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    M Kéé Ali,
    Je ne sais pas si cette équipe gagne vraiment comme vous le prétendez. Vous étiez là quand Mr LB a été débarqué, en son temps, l’équipe CAMEG était elle une équipe qui perdait ? Et pour le cas du départ de Mr SANFO qui a profité à Mr KADEBA, n’était ce pas une équipe qui gagne ? Soignez honnête, vous étiez là ! Je comprends pourquoi vous parlez ainsi. KADEBA vous caresse dans le sens des poiles, vous faites tout ce que vous voulez et vous n’êtes pas inquiété. Je pense que c’est plutôt le laxisme avec lequel Mr KADEBA gère la boîte qui vous arrange. A cette allure vous pouvez être sûr de plomber la maison très prochainement Mais sachez que tout va se savoir et j’aimerais bien vous voir vous expliquer. On vous connaît ! Allons seulement !

  • Le 14 septembre 2016 à 20:34, par Axel En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Et voilà que tout devient de plus en plus clair !

  • Le 14 septembre 2016 à 20:35, par Ma Traoré En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Monsieur Ali ZONGO, avec tous le respect que je vous dois, je pense que c’est trop tôt pour vous de crier victoire. Vous savez très bien que certains de vos collègues sont tremper dans des malversations avec la complicité de certains agents des hôpitaux ou des formations sanitaires où vous livrez sans contrats et sans commissions de réceptions. Cela pose un grand problème qu’un audit de la CAMEG doit impérativement résoudre avec des sanctions. Aussi, en défiant votre ministre qui connait mieux que le justice ce que certains de vos collègues font comme détournement, il faudra que vous sachez que vous avez peut-être gagner la bataille mais pas la guerre. C’est clair que vous avez été recruté par Bocar KOUYATE que vous défendez becs et ongles, mais sachez que nul n’est indispensable dans ce bas et imparfait monde et la vérité finit toujours par triompher. Je souhaite que la sérénité revienne à la CAMEG, mais je persiste et je signe il faut absolument l’auditer

  • Le 14 septembre 2016 à 20:43, par MOI-MEME En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Allons à l’audit de la CAMEG, rira bien qui rira le dernier.

  • Le 14 septembre 2016 à 20:47 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Héé Mr le ZONGAL, pourquoi tu as eu perd, un ZONGO de KOUDOUGOU ne doit pas avoir peur, ou bien tu n’es de KOUDOUGOU.?

  • Le 14 septembre 2016 à 20:52, par Tapsoba R(de H) En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Et si finalement Smaïl Ouédraogo était en mission commandée au profit de qui l on sait,pour faire échec au programme politique de celui qui,avec SC, l avait éjecté du CDP comme un malpropre ? Avec ces rumeurs persistantes de clash au sommet de l Etat ces derniers jours ,et surtout sachant SD rancunier comme son ancien patron BC,je crains pour ce régime MPP .Je touche du bois.Bonne chance nous tous !

  • Le 14 septembre 2016 à 20:57, par wendinkonté frank En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    L’histoire de la Cameg est tellement ambiguë . Je ne fais confiance à aucune des parties en conflits. Le dossier a été jugé en partie et le fond reste en l’état en justice. Le Ministre de la santé a de bonnes raisons de savoir réellement ce qui se passe à la Cameg. Cependant, il a péché au niveau de la méthode. Le fait de montrer les prouesses de la Cameg ne peut tromper personne. Vous dites que vous ne recevez rien du Ministère c’est très grave. Quelle association peut avoir l’espace que vous occupez à coté de L’ ENSP Ouaga.? Dans le fond L’Etat a raison et cette situation hybride va finir. Je suis convaincu que le peuple va comprendre plus tard. Cher représentant du personnel dites moi pourquoi le PCA et le CA renouvellent le mandant d’un DG intérimaire à 2 mois de la fin de son contrat et pour 3 ans ? Pourquoi ils ne font pas un appel à candidature ? La CAMEG peut mieux faire.

  • Le 14 septembre 2016 à 21:40 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Que dit ce poltron de Konfé avec son écervelé de DG Koussoubé. Le problème du ministère de la santé actuellement c’est l’incapacité ou la peur des cadres du niveau central à dire la vérité à cet énergumène de ministre. A tout moment le ministère a toujours été solide contre vent et marée. Mais depuis l’arrivé de ce parachuté de ministre c’est la décadence totale avec des nominations inimaginables à la DLM, DES, DPS. Ces parvenus surtout le DES se prennent pour des héros super intellectuels alors qu’on se connaît dans ce pays. Comment quelqu’un se fait appeler médecin de santé publique alors que l’Etat ne le reconnais car ayant fait des cours parallèles douteux via internet. Je demande aux agents de prendre leur responsabilité face à l’imposture

  • Le 14 septembre 2016 à 22:10, par Xa..... En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Le frere Ali, merci pour les eclaircissements. Ahii.L’Etat aussi tous cela se passe dans un Etat de droit. Chez nous les Ministres pensent que lorsqu’ils sont Ministres cest la fin du monde. Pourquoi vous ingerez dans une structure comme la CAMEG. Nos hopitaux ont des problems, les CSP fonctionnent difficilement, Yagado ya toujours inondations il faut t’occuper de ces problems. Ya longtemp on est aller travailler dehhhh.

  • Le 14 septembre 2016 à 23:11, par saip En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Ce ministre si c’est un vrai Moaga qui connait la honte il doit demissionner point barre. Du n’importe quoi et on se dit on a un PhD. Manager c’est pas enseigner des.
    Bon courage mes frères de la CAMEG. La nuit a beau duré,le jour finira par se lever

  • Le 15 septembre 2016 à 00:18, par Le Roi En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Je suggère à ce représentant du personnel d’avoir un peu de tenu dans ces propos . A ce que je sache , la CAMEG n’a pas été créé par son personnel (actuel comme ancien ) , mais par le bon vouloir de notre état qui semble être votre paria . A l’écouter , il semble dire qu’il n’y a pas plus intelligents qu’eux pour gérer la CAMEG . Avec un tel état d’esprits il serait difficile de recruter un nouveau DG qui ne soit pas de la maison CAMEG , ce personnel n’en veut pas ; même s’il n’a pas le courage et l’honnêteté de le dire . Pour ce qui est de la non subvention de la CAMEG par l’état , je dirai que l’état fait plus que de la subvention ; comme preuve , il suffit de supprimer la part de contribution des structures sanitaires publiques des recettes de la CAMEG et on verra dans le meilleur des cas des mesures de compression massif du personnel . Du reste , n’est-ce pas la même CAMEG qui distribue des ristournes à tours de bras (trimestriellement ) aux responsables des districts sanitaires ? n’est-est -ce pas un DG de cette même CAMEG qui faisait don de véhicules de luxe à nos ministres de la santé ? ( et en toute impunité SVP , ce serait étonnant que ce personnel-là , que j’ai vu à la TELE garde cette" petite" histoire dans les archives ) alors pourquoi s’offusquer de ne pas bénéficier de subventions de l’état ?
    Je rêve d’un Burkina qui ressemble à celui de ma tendre enfance ; le mot" pharmacie" n’existait pas dans le LEXIQUE du quotidien , enfant , nous étions soignés gratuitement à la nivaquine , à l’aspirineet de temps à autre avec le quinimax . C’est dire qu’à quelque part , la gratuité des soins a existé pour toutes les couches de ce pays . Pourtant , la CAMEG n’existait pas , alors , pourquoi ne pas réinventer la roue . Osons inventer notre avenir en terme de politique du médicament .
    A quelque chose , malheur est bon . La principale leçon à retenir de cette crise , c’est de se persuader une fois pour toute que l’état ne saurait brader sa souveraineté en vivant une sorte de concubinage hypocrite dans une association dont les principaux tenants sont des valets locaux de l’impérialisme .

  • Le 15 septembre 2016 à 07:17, par File En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Monsieur le délégué du personnel de la CAMEG,
    "Pourquoi d’ailleurs changer une équipe qui gagne ?". Tels sont vos propos ! Et vous le dites si bien. Rien d’étonnant, vous êtes une équipe qui gagne au détriment de l’intérêt général. En effet sachez que nous savons que des chauffeurs de la CAMEG ont volé le carburant à hauteur de million et que juste une lettre de demande de pardon a suffit pour convaincre votre soit disant DG incomparable à renoncer à prendre des sanctions à l’encontre des voleurs. En lieu et place de sanctions, juste le remboursement des montants (tenant compte de la quotité cessible) à couper par mois sur le salaire a été préconisé. En quelque sorte les voleurs du carburant ont simplement forcé la CAMEG à leur accorder un prêt sans intérêt. Cela aussi fait du DG un héros aux yeux du personnel. Chez vous est doux dèh... Pourrez vous expliqué tout ça un jour à ceux que vous épatez aujourd’hui dans votre interview. En tout cas, vous aurez beaucoup à leur expliquer quand le drap va péter. Ayez surtout le courage de revenir nous expliquer... En attendant vous pouvez savourer votre victoire, j’allais dire !

  • Le 15 septembre 2016 à 07:41, par Moise En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Je crois que cette bagarre n’est pas du tout celle du personnel, mais leur agitation fait croire qu’effectitvement, c’est une question de sous. Et l’Etat de profiter de cette situation pour mettre les choses au clair. Il y a des problèmes plus serieux que ça au ministère de la santé mais personne ne s’agite. Un conseil : auditer la CAMEG et tout le monde verra clair

  • Le 15 septembre 2016 à 08:35, par Rakiswendé En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Je dirai à l’intervenant 14 que la nostalgie du passé est un frein au développement. Tout ce qu n’avance pas, recule. A votre nostalgique enfance, le Burkina avait peut être la moitié de sa population actuelle et certaines maladies endémiques n’existaitent peut être pas. Nous devons fournir l’effort d’aller de l’avant en pensant à la génération suivante. Enfin de quel système êtes-vous le valet ?.

  • Le 15 septembre 2016 à 09:05, par Posseidon En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Ce délégué est soit manipulé, soit de mauvaises foi. Cest le conseil d’administration qui a rompu le contrat de Kadeba. Cest le conseil des ministre qui a nommé Konfe les les 3 autres administrateurs de la Cameg. Il n’y a pas 2 Cameg, aucun emploi n’est menacé. Même Kadeba reste toujours agent de la Cameg.

    Pour ce qui veulent comprendre l’affaire Cameg...lisez plutôt.

    les statuts et règlements intérieurs prévoient trois organes : le Conseil d’administration, le Comité de supervision et la Direction générale. Ces textes prévoient que les membres du Conseil d’administration au titre de l’Etat sont nommés par décret pris en conseil des ministres et que tous les administrateurs ont un mandat de deux ans renouvelables une fois. Ils disposent en outre que le Directeur général est choisi pour ses qualités de gestionnaire sur la base d’un appel à concurrence lancé par le Conseil d’administration. Les statuts prévoient des audits et inspections et l’évaluation de la performance du Directeur général.

    Le Directeur général Kadeba.d’abord désigné sous la transition pour un intérim de trois mois, a par la suite sans appel à concurrence bénéficié d’un contrat de travail de 12 mois dont le terme est intervenu le 30 juin 2016.

    Le mandat des représentants de l’Etat au conseil d’administration a expiré depuis le 09 avril 2016. Ceux-ci qui n’ont du reste jamais été nommés en conseil des ministres, n’en ont pas informés le ministère de la santé alors même que le Président du Conseil d’administration d’alors était un représentant du ministère de la santé et Conseiller technique du ministre. Pire, le 12 mai 2016, bien que leur mandat soit expiré, ils décident en divers d’une session extraordinaire du Conseil d’administration, du renouvellement pour trois ans du contrat du Directeur général intérimaire à l’origine, sans appel à concurrence et sans l’avoir au préalable évalué.

    Quant au Comité de supervision, le Directeur général lui-même a reconnu qu’il n’était plus fonctionnel depuis le mois de février 2015.

    Face à une telle situation et au regard de l’urgence, les membres fondateurs de la CAMEG soucieux du fonctionnement efficient de leur structure, ont décidé lors d’une assemblée générale extraordinaire que le Directeur général assure les affaires courantes pour une période d’intérim d’au plus 3 mois, dans l’attente du remplacement des administrateurs, de l’installation effective de tous les organes statutaires de la CAMEG et de l’ouverture à la concurrence du poste de Directeur Général.

    C’est donc cette décision des membres fondateurs qui a fait l’objet d’un recours devant le tribunal administratif, recours qui a été déclaré sans objet par ledit tribunal pour ce qui concerne la décision d’intérim et dont l’exécution a été sursis pour ce qui est du remplacement des membres du Conseil d’administration. Cette décision pourrait s’expliquer par la production au juge, d’une deuxième version des statuts prévoyant une durée de 3 ans des administrateurs. Cette version est introuvable dans les archives du département en charge des libertés publiques. L’Agent Judiciaire de Trésor, a relevé appel de ladite décision.

    Enfin, pour la première fois de l’histoire de la CAMEG, alors que prévu depuis toujours par les textes de la CAMEG, le Conseil des ministres en sa séance du 11 août 2016 a nommé conformément aux statuts de la CAMEG, les administrateurs représentant l’Etat.

    Le Conseil d’administration s’est réuni et a élu le Dr KONFE Salifou Président.

    Conformément aux dispositions des articles 14 et 54 de la loi 064/CNT du 20 octobre 2015 portant liberté d’association, le récépissé constatant le changement au sein des organes dirigeants de la CAMEG a été délivré par le Ministère den charge des libertés publiques et fera l’objet de publication au journal officiel.

    Il ne s’agit donc pas de la création d’une nouvelle CAMEG. Il s’agit plutôt du strict respect de la loi portant liberté d’association. Cette loi jusque-là foulé au pieds par des mafieux.

  • Le 15 septembre 2016 à 09:23 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    la vérité finira a triompher un jour si c est le ministre ou l ancien ca qui a raison

  • Le 15 septembre 2016 à 09:45, par Le Roi En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Intevenant 17 (Rakiswende) , je ne saurait être un vallet car n’étant pas pro-impérialiste , les réactionnaires en général sont considérés comme étant des pro-impérialistes . Au fait connaissez-vous la définition du mot impérialisme . J’ai bien peur de discuter dans le vide .
    Pour ce qui concerne le doublement de la population ; en soit ce n’est pas une mauvaise chose , c’est même une richesse , je te renvoies donc à la lecture de la stratégie du dividende démographique .
    Vous dites que certaines maladies endémiques n’existaient pas , ne pensez-vous pas que l’espérance de vie à la naissance au Faso a augmenté ? Au fait la science ne nous permettait pas de diagnostiquer certaines maladies . Tenez , un dignitaire de la Compaorose Compradore disait que dans les années 90 il n’ y avait pas de cancer au Faso , pour expliquer le fait qu’on ait " refuser" un poste d’enseignant hospitalo-universitaire à un médecin burkinabê fraîchement rentré d’études .

  • Le 15 septembre 2016 à 11:17, par LAICO En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Monsieur l’argentier alias délégué personnel vous dites : "l’état nous doit 12 milliards de francs CFA " , mais vous ne dites pas " nous importons les médicaments et consommables hors taxes " . Qui paye le manque à gagner ? n’est-ce pas l’état ? Faisons les comptes ; Prenez le total des exonérations par an et vous multipliez par 18 (depuis 1998) OK ? Vous faites la différence avec les 12 milliards que l’état vous doit , si la balance est à votre faveur vous réclamez votre dû à l’état . Si c’est la situation inverse (ce qui est fort probable ) vous auriez publiquement menti . Voyez -vous un peu de respect pour les lecteurs . C’est avec peine que j’ai lu l’interview et au finish , je trouve votre argumentaire très léger et votre attitude trop "suffisante" .

  • Le 15 septembre 2016 à 12:43, par LE BONCITOYEN En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Stp M. le délégué du personnel dit moi qui sont les membres fondateurs de la CAMEG ? Est-ce eux aussi qui ont fondé l’Etat Burkinabè et ses institutions ? Dis moi comment une association peut avoir prépondérance un l’Etat ? Vous criez victoire aujourd’hui, mais dis moi comment vous ferez si une autre crise éclate dans l’institution CAMEG, et qu’il y a risque de licenciement des agents, qui allez appelez au secours ? Vous vous tirez une balle dans le pied et vous dites que vous avez gagné un bataille sur le ministre ? Erreur........ Savourez, savourez votre victoire et l’histoire nous dira qui a raison et qui a tort dans cette affaire.

  • Le 15 septembre 2016 à 12:49 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    star gate, la guerre des Etoiles, prendra -t-elle fin quand ? on est fatigué. que super soum aille se reposer un peu ! il est déjà fatigué en 8 mois de fonction

  • Le 15 septembre 2016 à 14:01, par OUEDRAOGO En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Bonsoir, dans tout ce cafouillage, on ne parle même pas des membres de l’association CAMEG pour mieux éclairer nos lanternes.

  • Le 15 septembre 2016 à 14:03, par OUELLE ZEBO YAYA En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Mr Zongo, vous faites honte aux travailleurs. Le rôle du Délégué est de défendre les intérêts des travailleurs. Ici, en décidant d’embarquer les travailleurs dans la lutte pour le changement du directoire de la CAMEG vous semez les graines de la désunion entre les travailleurs de la CAMEG qui doivent choisir entre deux collègues avec lesquels ils ont lutté et gagné des victoires pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Que sera la CAMEG en cas de victoire juridique de l’un ou l’autre (ex DG ou DG entrant) ? Un panier à crabes avec des pro et des anti-DG. Pensez-vous que dans un tel contexte la CAMEG pourra remplir efficacement sa mission de service public ?
    Il y a une année de celà vous demandiez au Gouvernement de désigner un des vôtres pour gérer la CAMEG (pour un an) en attendant le recrutement par appel à candidature d’un DG. Au terme de cette période, en parfait opportuniste vous faites volte face et refuser le départ du DG en soutenant "qu’on ne change pas une équipe qui gagne". ça nous rappelle en effet, les propos de certains à une époque de notre pays (suivez mon regard). Nous les avons combattu avant et pendant l’insurrection. Hey !! Hey !!! prenez garde à vous, ressaisissez vous et menez des luttes justes.

  • Le 15 septembre 2016 à 15:26, par Moise En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Internaute 25 (YAYA). Suis d’accord avecs vous. Je repète que cette bagarre est loin d’être celle des agents. Au fond il y a un problème. Loin de soutenir qui que ce soit, il y a du flou à la CAMEG et on n’a même pas besoin d’aller charlatter pour y croire. Sans rancune

  • Le 15 septembre 2016 à 15:46, par mauvaise foi En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Internaute 21 LAICO. Votre raisonnement est creux et pourtant vous jouéz au connaisseur. Que les achats de la CAMEG soit exonereré de TVA, cela profite a qui ????? La TVA est dûe par qui ???? Par le consommateur bon sang.!!!!L’Etat exonore la CAMEG pour que le medicament soit accessible au population. A defaut de cette exoneration, la CAMEG ne vendra pas aux prix actuels mais plutot aux prix actuels + la TVA. Donc, avec TVA ou sans TVA, il n’ya aucune incidence sur la santé financieère de la CAMEG. Votre analyse ne saurait donc justifier les milliard que l’Etat doit a la CAMEG. L’Etat prend a credit des medicaments a la CAMEG pour les district sanitaires et traine les pieds pour payer. C’est le meme système avec la subvention du gaz et de l’elecrticité qui ne sont pas regulièrement versée. Meme dans le privé audjordhui, les banques hesitent a accompagner les entreprenneurs qui ont des marché de l’Etat. L’ETAT est mauvais payeur.

  • Le 15 septembre 2016 à 15:52, par moi aussi En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Le jeune ministre qui avait son avenir devant lui, a grillé ses jeunes plumes. il est devenu silencieux, ses collègues se méfient de lui comme la peste. Même son mentor n’y pourra rien. Alors qu’il suffisait ^pour lui d’écouter, de travailler en équipe, de prendre en compte les bons conseils, il allait réussir surtout qu’il est jeune. un jour il allait être appelé à occuper de grandes fonctions. mais hélas pour lui, il s’est lui même mis dans le pétrin.

  • Le 15 septembre 2016 à 15:53 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Monsieur le dlegue du personnel, vous vous tromper de role.
    le role d’un delegue syndical n’est pas de prendre position dans la nomination des dirigents mais dans la defense des interets et de meilleurs conditions de travail pour les travailleurs.
    Effectivement en tant delegue vous devriez vous même demissionner ou etre demis par le conseil syndical si c’est un syndicat honorable car vous venez de semer la division au sein des travailleur.

  • Le 15 septembre 2016 à 15:59, par yaare En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    De la merdes ils n’ont qu’à libérer les lieux..il ya des choses si on vous dit vous allez les chasser au lieu de changer. Ces restes de Comparé

  • Le 15 septembre 2016 à 16:00 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Monsieur le dlegue du personnel, vous vous tromper de role.
    le role d’un delegue syndical n’est pas de prendre position dans la nomination des dirigents mais dans la defense des interets et de meilleurs conditions de travail pour les travailleurs.
    Effectivement en tant delegue vous devriez vous même demissionner ou etre demis par le conseil syndical si c’est un syndicat honorable car vous venez de semer la division au sein des travailleur.

  • Le 15 septembre 2016 à 17:45, par Lionceau En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Voici quelqu’un qui vas s’étonner un jour d’être très surpris..
    Bon courage.

  • Le 15 septembre 2016 à 18:23, par toe Ghislain En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    ok je comprend tout maintenant donc le ministre de santé n’a rien n’avoir avec la cameg ça c’est une bonne nouvelle pour nous. vraiment il faut qu’il laisse les agents de la cameg travaillé librement.

  • Le 15 septembre 2016 à 19:37, par LAICO En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    Internaute 27 ( mauvaise fois) ; as-tu réglé tes impôts ? ( a lire ton raisonnement je dirai non d’emblée ) . Alors , bouge tes fesses , va les régler avant de jouer à l’enfant gâté qui croit que l’argent de l’état vient du ciel .

  • Le 15 septembre 2016 à 23:21 En réponse à : Crise à la CAMEG : « On a eu très peur de perdre nos emplois », Ali Zongo, délégué du personnel

    A vrai dire l’agent judiciaire du trésor et l’avocat du nouveau conseil d’administration m’ont franchement convaincu a l’émission controverse de la rtb. Ils maitrisent même mieux les textes de la Cameg que ce fameux maitre Tougma qui tremblait sur le plateau. Me Tougma. Je me demande comment tu as pu convaincre le juge administratif et celui des referes. Tu es vraiment nul. Rien que la manipulation et la corruption dans ce dossier. Toi et cet ecervelle de delegue ainsi que ton dg de meme que ton conseil d’adm finirez a la maco quand l’asce auditera la cameg

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